C'est le 10 octobre 1994 à Séoul, que les membres des familles Holloway (paternelle) et Lim (maternelle) m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Gremory Rosalya. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétero et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de design de la mode en majeure et histoire de l'art en mineur depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Eliot.
Il m'arrive de regarder les gens dans le campus, de les fixer pendant des heures, se demandant quels caractères ils ont d'après leurs vêtements, leur coque extérieure. J'aime l'art cela va sans dire. Depuis toute petite j'apprécie la compagnie d'un crayon. Faire des gribouilles n'importe quand, n'importe où. Cela ne s'arrête pas à la mode, j'ai une collection de sept Polaroïds, et deux appareils photos numériques, mon bébé et chéri le Canon 5D. Je ne fais pas partie d'un club mais j'aime beaucoup me balader sur le campus avec mon appareil et prendre des photos. Dans le passé j'ai déjà fait de la danse, street et moderne. Mais il y a un petit problème à mon intégration chez les Lowells : ok je ne crée pas le conflit mais c'est simplement parce que j'en suis un.
Eliot.
J'aime la compétitivité, mais dans la mode il faut se plier à la société et se faire accepter! J'apprécie faire la fête occasionnellement pendant les vacances et m'amuser avec des gens mais comparé à la maison Mather qui est anti-conformiste mon désir primaire n'est pas d'enfreindre les règles mais de les suivre dans la perspective de mon futur dans une société mondaine. J'ai été influencée par mon père, un grand commerçant international. C'est d'ailleurs ainsi qu'il a rencontré ma mère en Corée. C'est grâce à lui que j'ai appris à aimer me trouver supérieure aux autres. La solitude ne m'effraie pas, on progresse plus vite seul.
Me trouvant près du mémorial hall, j'entendis des explosions, des cris, des appels au secours et tout se brouillaient. Face a cette agitation, je ne bougeais pas, pourtant à la vue des flammes grandissante mes mains se mirent à trembler et je me découvris en train de me précipiter loin de cet endroit. Semi bouleverser, je ne comprenais d'abord pas ce qu'il m'arrivait. Plus tard, je me rendis compte que ce qu'il m'avais fais fuir était une demi pyrophobie, la peur des feux incontrôlés. A ce moment, les gens me concernaient pas, je m'en fichais. La seule pensée que j'avais pour mon entourage, fut pour les personnes à coté de la bombe, mes amis "proches".
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Le 17 janvier 2015, je m'étais enfermé dans ma chambre pour finir un design d'écharpe. Je m'étais donc couper du monde pour éviter toute diffusion de mon modèle, jusqu'à ce que ma voisine de chambre frappe démesurément à ma porte. Elle entra, essouffler, les larmes aux yeux, me regardant étonnée de me voir à ma table calme. Cela m'avait dérangée et je détestais ça : être coupée dans un élan de création. Elle m'apprit la nouvelle, puis je la regarda et je la prias de fermer la porte après l'avoir gentiment traversée. Puis je me remis a mon travail, l'accident sur la conscience. Après cinq bonnes minutes, je me mis sur mon lit et pensa à ces pauvres personnes en plein stress. Je m'imaginais ce qu'elles pouvaient ressentir. Mais cette pensée me rendait trop triste et cela ne me sied guère donc je me remis a mon bureau et l'affaire était close.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rosarias et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Grenade. Au premier regard, j'ai beaucoup apprécié les couleurs assez pop et Grenade m'a parlé des gens géniaux qui s'y trouvaient alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Bae Su Ji comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Kimmi. Je fais environ 200 à 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ▲ Je m'excuse pour les nombreuses fautes sur les accents puisque mon clavier est qwerty et je n'ai donc pas les accents!
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
▲ séjourner en [] caravane [] tente [] chalet au summer camp
▲ [X] je ne souhaite pas participer au summer camp
adhérer un flood d'intégration (?)
Née de parents très ambitieux et de différentes nationalités, j'étais destinée à voyager, beaucoup voyager. Je suis née à Séoul, mais à cause du travail de mon père, nous étions forcés de partir pour l'Europe. Je fis donc mes débuts dans un pays qui n'était pas le mien, avec une langue que je découvrais petit à petit. De la primaire au lycée, je variais entre l'Allemagne, la France, l'Espagne et le Royaume-Uni, pendant que ma mère me parlait le coréen et un peu de japonais. Je pris très vite gout à ce rythme de vie et à ces diversités. Je passais mon bac français de littérature et me mis à chercher mes centres d'intérêts concret. Puisque jusqu'à présent je ne faisais que suivre mes parents sans m'attacher à quelconque personne ou matériel puisque je ne restais pas plus de deux ans dans une ville.
En effet, mes parents m'ont souvent emmenée voir des psychiatres et m'ont poussée à me socialiser. Or ils ne comprenaient pas que développer une relation avec des personnes que tu ne vois qu'un voire deux ans m'était très difficile. J'avais peur de blesser, mais ceci n'était qu'une simple façade puisque j'avais surtout peur de me blesser et de ne plus pouvoir me relever. Je n'ai donc pas encore connu l'amour, ceci n'est pour moi que de simples réactions chimiques qui se produisent dans ton corps et qui affectent ton cerveau et tu ne progresses plus. Je déteste ça. Ne pas pouvoir m'améliorer, me construire et faire évoluer ma connaissance. C'est de ma mère que je tiens cela, d'origine asiatique, la culture veut que chaque personne donne du meilleur d'elle-même, même si pour cela il faut travailler rudement jusqu'à tard le soir. Je n'ai donc pas eu de mal à être souvent dans les trois premiers de la classe. C'est peut être aussi pour ça que personne ne voulait m'approcher. Qu'est-ce que j'en sais, cela m'importait peu.
Pour mes seize ans, mes parents ont décidé de m'offrir un baladeur mp4 et des crayons de papier de très bonne qualité, pensant que cela pourrait m'occuper et pour me récompenser de mes efforts dans mon travail personnel. Au départ, je les ai posés dans un coin de ma chambre puis au fur et à mesure que j'entendais les élèves de ma classe parlés d'un tel ou d'une tel à propos de leur nouvel album, je me suis mise à écouter la même chose. L'originalité des paroles et des musiques me plurent. Les jours suivants je redécouvrais les crayons sur mon bureau et je me mis à dessiner. Ma mère me complimenta un jour sur l'unes de mes "oeuvres" que j'avais faite à la va-vite. Je m'étais trouvé une passion : la création.
Durant l'année seize, j'apprenais la danse, street et moderne. Cela m'avait beaucoup plu mais il m'en fallait plus, l'expression et la création par le corps n'était pas aussi palpitant que je l'espérais. Je pris des cours de dessin, de photo et de peinture. J'évoluais à mon allure et mes parents étaient comblés. Je fis les brocantes pour me trouver quelque chose a collectionner et j'y trouva mon bonheur : des argentiques authentiques. Enfin quelque chose qui me plaisait réellement. Cette année me révéla également un oeil pour la mode, les vêtements en particulier parce qu'ils caractérisaient chaque personne et je n'avais donc pas besoin de les approcher pour connaitre leur(s) personnalité(s).
Dans l'année de mes dix-huit ans mon père nous annonça une grande nouvelle. Nous déménagions pour de bon dans son pays natal : L'Amérique. Mes études non terminées il me fallait une grande école. Au grand désespoir de mes parents puisque nous déménagions en pleine année scolaire. Il était urgent de trouver une école avec un campus qui pourrait m'accueillir. Ma mère connaissait cette école très réputée, où les élèves s'entraidaient et évoluaient dans un même milieu. L'élément décisif fut qu'il y était donné des cours d'art, mieux encore des cours d'art de la mode. L'envie de m'inscrire était donc plus grande et c'est ce que je fus.