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arrête de me voler la vedette, dans le zéphyr van der woodson pecek show. (martin)

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you'll be you and i'll be me and the rest still a mistery
Tu te souvient de cette petite peste de Sally Bennet ? Elle disait à tout le monde que t'étais un robot dépourvue de sentiment, pas parce que t'avait pas pleurer quand Biscotte le hamster débile de classe est mort. Non, parce que tu es née dans des coquelicots, parce que c'est pas HUMAIN quand deux papa ont un enfant. Et que c'était le pourquoi de t'étais pas humain, et c'est le pourquoi il fallait t’éviter. Et bien sûr, comme Sally est belle et qu'elle a deux parents dont l'un est directeur de l'école, tout le monde la crois, et tout le monde pense que tu es dépourvue de sentiment, et personne ne veut te parler. En dehors de Lennox, et Lennox t'as dit il y a deux jours de cela, dans ce magasin de jouet, que tu était infâme et horrible, et Austin a surenchérit le lendemain, qu'une fille comme toi ne mérité jamais son happy ending. Et Martin te le redit encore, maintenant, dans cette caravane ou tu lui avait pourtant déjà montrée ô combien tu avait un cœur, et ô combien il était fragile et enfuit. Moi j'le sait, pas lui c'est sûre vu comment il est énerver, mais moi je sais que tu devrais juste t'en aller, et laisser tomber tout ça. Ton regard se perd un quart de minute sur le sol, t'avais pas besoin de ça, vraiment pas, en tout cas pas ce soir. « Je pense que j'aurais préféré que tu me frappes au visage, ça aurait fait moins mal. » un rire nerveux sors de ta bouche, tandis que tu re-organise tes affaires. J'avais raison. J'ai toujours raison, mais je ne vais pas me venter pour une fois, j'te soutient dans ta dur épreuve. Tu penses qu'il était différent, qu'il voyait ce que les autres ne voyait pas, qu'il comprenais. Mais il voit rien, il est aussi aveugle que les autres, pire même il est encore plus débile qu'eux. « J'veux plus me battre avec toi ; ni pour toi. » Tu met ton sac sur ton dos, en faisant gaffe de pas taper dans ton tatouage. Ouvre la porte, et décide juste de t'en aller. Qu'est-ce que tu aurais pu dire de toute façon ? Oh Martin, quand je suis amoureuse d'un garçon ça me prend environs trois ans avant de m'en rendre compte ? Oh Martin, je tiens à toi parce que personne d'autre à part Palmyr ne sait que j'existe ? Oh Martin, tu te trompes, tu penses que je me serais fait tatouer le J de Jorden en pensant à lui ? Oh Martin, ta stupidité est si grande qu'elle déborde sur tes poignets d'amour. Si on était dans une comédie musicale comme celle de que tes papa regarde en abondance, il rouvrirais la porte et se précipiterais pour te dire que c'était une blague, et d'autre danseur se joindrais à lui. Un truc entraînant comme le nouvel album de Justin Bieber ou Total Eclipse Of The Heart pour rester dans l'ambiance Bonnie Tyler.

 MARTYR   
( MADE BY MOI MEME POUR TES YEUX DE BICHES MARIE ) [/quote]
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you'll be you and i'll be me and the rest still a mistery
Vous savez ce que ça fait quand on marche sur un tube de dentifrice ouvert ? Et bien toute la pâte sort du tube et s’étale sur le sol. Et pas moyen de stopper le truc, parce que quand tu te rends enfin compte que tu as ton gros pied couvert de verrues plantaires sur le tube, ce dernier est déjà vide. Et voilàààà, t’as trois euros de ton budget d’étudiant en mode opération survie qui vient de finir à la poubelle – ou sur le carrelage de ta salle de bain recouvert de cheveux gras de tes colocs et d’ongles de pieds découpés à l’arrache lààà. Et bien la situation avec Zéphyr échappait à Martin comme le dentifrice hors du tube. Et vous savez ce que ça signifiait pour le maniaque du contrôle qu’il était ? C’était la fin des haricots, des cocotiers, des haricocotiers, de Harry Cottier (j’voulais faire un jeu de mots personnalisé pour toi avec Harry Potter mais ça a foiré, désolée Ange). Elle lui balançait à la figure son rire nerveux et sa mâchoire soudainement prise de soubresaut, comme si elle était à deux doigts de sangloter. Mais non, c’est de Zéphyr qu’on parlait, Zéphyr c’est un bonhomme, Zéphyr c’est Zéphyr quoi, ça sanglote pas. C’est le chiot qui s’est égaré un matin devant le laboratoire de Martin, qui sourit et qui remue la queue, et qui s’en fout pas mal de changer de proprio tant qu’on lui donne du Frolic à bouffer et qu’on lui papouille le ventre. Zéphyr, c’est ça. Pas la fille à qui on peut briser le cœur, encore moins les rêves. Elle plia bagages et quitta la caravane. « Zéph … » Non mais il n’allait pas encore la retenir quand mêmeeeeee. Et bien non. Ou peut-être que si. Il ouvrit la porte de la caravane et s’époumona pour attirer l’attention de la Van Dégénérée ; « ZEPHYR VAN DER WOODSON ! » Mon dieu, ça avait a way of déjà-vu cette histoire, un mauvais remake de la comédie pas romantique de Martyr. Il courut jusqu’à elle et attrapa son poignet, l’obligeant à se retourner. « Tu peux pas partir comme ça Zéphyr, tu m’entends ? Tu ne peux pas ! » Lèvres légèrement entrouvertes, sa voix ne sonnait plus que comme des ultrasons. Il riva ses pupilles dans celles de Zéphyr, marquant un silence, comme s’il découvrait pour la première fois qu’elle pouvait être jolie. Et brisée. Deux impressions distinctes, mais pas contraires. Et là, normalement, c’est le moment où il se met à pleuvoir, une pluie battante, qui décoiffe Zéphyr, qui lui grasse les cheveux, mais sous laquelle Martin reste terriblement sexy. Sauf qu’on se trouvait en plein milieu de l’Arizona. VDM. « Tu ne peux pas partir sans ça. » Et là, bim bam, il lui tendit l’alcool médical qu’il avait attrapé avant de sortir, parce que ouais, faut pas oublier que son tatouage était infecté. Quoi ? Ils étaient encore amis, non ? Les amis veillent sur les amis, c’est comme ça.

 MARTYR   
( MADE BY MOI MEME POUR TES YEUX DE BICHES MARIE c'est trop beau Ange )
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C'est Martyr 2.0. Sauf que cette fois-ci y a pas de trou, et il va pas faire une annonce débile avec les codes couleurs, surtout qu'à cette heure-ci et chambouler comme tu l'es actuellement tu risques de mélanger les codes, pour être franche tu t'en rappel même plus. Y avait un code pour : la police est dans le coin, vert je crois et un autre : ramène de la chantilly quand tu reviens à la caravane, c'était bleu je crois, fin c'est confus, tout est confus, il est confus, et tu l'est encore plus et que font les gens quand ils sont confus ? De la confiture. MDRRRR RIGOLES A MA BLAGUE J 'AI RIGOLER A TES AUTRES JEUX DE MOTS NAZES. En plus c'est pas vraiment une blague, parce que c'est ce qui se passe réellement, vous faite de la confiture, un début de je t'embrasse, un début de je te déteste, un litre d'amour avec une pincé de haine, mélanger avec un demi bol d'amitié et une cuillère à soupe de reproche et de violence. De la confiture. Et il te rattrape, tel Troy rattrape Gabriella sur ce petit pont qui sépare le club de vacance dans High School Musical 2 et le parking ou la mère de Gabriella attend impatiemment sa fille pour regarder la rediffusion des feux de l'amour en rentrant. Pendant qu'elle s'en balek parce qu'il faut d'abord qu'elle finisse sa chanson slash rupture, avec le mec le plus sexy de son bahut. « Ah bon je peut pas ? REGARDE COMME JE PEUT, J'AVANCE PAS PAR PAS ET JE M'EN VAIS, COMME CA JE PEUX M'EN ALLAIT, BAH TU TE TROMPES. » et pas seulement pour ça. Tu finit par laisser tomber ton sac sur le sol, les sourcils froncé et un air pas contente, parce que tu ne sais plus quoi faire. Il est pas le seul à pas savoir ou vous en êtes, moi j'avais proposer une bonne partit de baise vite fait, bien fait dans la caravane et ça aurait réglés tout les soucis, mais vous êtes si compliquez. « Qu'est-ce qu'on fait ? HEIN ? Dis moi, ce qu'on fait. Parce que c'est pas ça qui va arranger les choses. - tu poins l'alcool médical du doigt en hurlant presque. Si c'était de la vodka peut être que ça aurait arranger les choses, mais non, on peut même pas boire ce bordel. - T'as raison. Tu sais la première fois que j'ai vu le Martin Piqueur et que je suis aller dans ta caravane. Tu m'as dit qu'on était des aimants. Et que les aimants ne se touche jamais, et sont destiner à se tourner autour pour le reste de leurs vies, parce qu'ils sont fait ainsi. Et bien on est des aimants. Tu as raison, comme toujours, bravo. - Tu tapes dans tes mains, en gloussant nerveusement. - Et j'ai eu tord. Tord de croire que je pouvais te donner de l'amour, et qu'en échange tu finisses par m'apprécier. » les bras le long du corps et le visage dépitée, tu savais pas quoi dire d'autre. Martin est mauvais. Martin est sadique. Martin sait exactement ce qui se passe dans ta tête, il t'as analysé, alors il sait exactement ce qu'il engendre chez toi à chaque fois qu'il te fais ses sales coup, comme t'embrasser à la va vite, ou encore passe sa main moite dans ta nuque quand vous dormez ensemble ou utiliser cette voix de mec sexy et endormis quand il te dis bonne nuit pour le millième fois, mais que tu finit toujours par trouver quelques choses à raconter. Il avait la balles dans son camp et tu en avait assez que ce soit lui, qui a chaque fois chamboule les choses. Prise d'un élan, tu supprimes l'espace qu'il y avait entre vous pour lui sauter au cou. Passant tes bras autour de sa nuque POUR L’ÉTRANGLER mdr, non je dec, pour coller tes lèvres de manière sauvage et féroce. Remontant tes mains dans ses cheveux en bataille, et penchant la tête dans un geste plus doux pour un long, et beau baiser passionner. Avant de le relâcher, en gardant une main sur son épaule. « C'est là qu'il devrait pleuvoir des cordes, et rendre tes cheveux gras et me rendre super sexy parce qu'on verrais à travers mon tee-shirt blanc. » mais on est beau milieu de l'arizona, et à part une tempête de sable, je voit pas ce qui pourrais se lever.
 MARTYR   
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NON ZEPHYR NE POUVAIT PAS S’EN ALLER. PAS COMME CA. Si elle s’en allait sans l’alcool médical, elle prenait le risque que son tatouage à la con s’infecte, qu’elle se retrouve avec un trou béant de la taille d’une balle de ping-pong  dans le bas du dos et PLUS JAMAIS elle ne connaîtrait l’agréable sensation et la vague de chaleur qu’on ressent quand on pose son cul sur une chaise. C’est ça qu’elle voulait hein c’est ça qu’elle voulaitttt ? Zéphyr avait ce pouvoir magique de faire oublier à Martin en deux secondes chrono la raison de son geste altruiste en lançant la nouvelle édition du Van Der Woodson Show, à base de javance/javancepas, numéro qu’elle avait plagié à Cartapus dans Astérix et Obélix Mission Cléopâtre. M’enfin j’dis ça j’dis rien, après ça s’dit artiste mais même mon sphincter fait de plus belles sculptures. « T’as fini ? » demanda-t-il en croisant les bras et tapotant du pied par terre, visiblement agacé par la crise de Zéphyr. Non mais c’est bon quoi, c’est elle qui passait sa vie à compliquer leur histoire, à foutre la pression à Martin pour qu’il entretienne la tension sexuelle et tout … Non mais jamais dans sa vie une fille ne l’a accusé de décompresser la tension sexuelle quoi, il ne savait même pas que ça s’entretenait. Apparemment c’est une plante verte. Ceci dit, Martin il avait un gros cocotier dans le slibard, faut pas croire. Et là, au lieu de lui répondre ou de lui gueuler dessus, Zéphyr commit l’improbable et se pendit aux lèvres de Martin, raccrochant dans un élan désespéré ses bras à son cou. Il avait le dos aussi tordu qu’un point d’interrogation, surpris par cette étreinte qu’il n’aurait pas soupçonné deux minutes plus tôt. Ses muscles se crispèrent, sa main s’ouvrit, prête à la repousser, mais se referma aussitôt sur la hanche de la brunette. Et là, bam, feu d’extincteur, elle divorça de sa bouche, enchaînant sur un commentaire digne d’elle, au moins du même niveau que celui sur la tension sexuelle de l’autre jour. Il s’esclaffa nerveusement, avant de foutre une main sur son visage, tentant de reprendre ses esprits. Ouais, là, elle l’avait surpris et en fait, il détestait cette sensation. La surprise. L’une des seules choses au monde qu’il ne pouvait contrôler. D’ailleurs, chaque fois qu’on lui faisait un annif surprise, il faisait tout pour la gâcher en stalkant ses potes. Ça doit expliquer pourquoi, aujourd’hui, il n’a pas tant que ça de potes. Mh. A méditer. Il attrapa la main de Zéphyr sur son épaule et la regarda, avant de remonter progressivement jusqu’à son visage. « Tu veux retourner dans la caravane ? » demanda-t-il à mi-voix. Il s’approcha d’elle, parquant une main dans ses cheveux et collant succinctement ses lèvres fiévreuses sur son front. Il ne lui laissait pas le temps de réponse, il fit demi-tour, direction sa maison d’Arizona. Il avait tout essayé pour qu’elle se détache de lui ; la gentillesse, la méchanceté, la fuite, les autres filles … Il ne lui restait plus qu’une chose ; lui briser le cœur. Ça commencerait ce soir.

 MARTYR   
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