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(FF) MARTILMORE - can't feel my face

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CAN'T FEEL MY FACE. BUT I LOVE IT.
" Il fait tard, mais j'ai entendu parlé de toi Martini. Il parait que..tu vends ce qu'il me faut. "Ses bras se croisent, son débardeur qui remonte sur son ventre dévoilé. Sa jupe trop courte qui met en valeur ses jambes gracieuses, ses yeux verts te toisent quelques minutes avant de rire. Un sac de marque dont les branches s'arrêtent sur son poignet, une montre en or qui prend place. Elle passe sa langue légèrement sur ses lèvres, elle te toise comme un insecte dans la nuit. Le genre qu'on écrase vite fait. Elle n'a pas le temps, dépêche. Il pleut et elle quémande un peu de chaleur humaine, une gentillesse extrême. Vous êtes en dessous d'un pont, un lieu sordide pour quelqu'un comme elle. Mais, tu le vois dans ses yeux, elle n'a peur de rien. Elle s'en fout d'être kidnappée ou même de se retrouver face à un fou. Elle veut ce que son corps réclame depuis tout à l'heure. "Bon. Ça va, ça va...j'ai besoin de came." bronche-t-elle face à un homme impassible qu'elle attrape par le poignet. Ses yeux verts bloquent son regard dans le sien, puis se détachent pour fouiller dans son sac à main. "Tu veux combien ? J'ai assez d'argent pour nourrir ta famille et ton bled." Aucune politesse princesse.

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W/ GILMORE.
Je vous ai déjà dit que Martin détestait les surnoms ? Ben voilà, il les déteste. Il connaissait Gilmore depuis, quoi, trois secondes, et v’là que l’envie de la baffer le chatouillait furieusement. En plus, j’vous épargne les détails, mais il avait passé une sale journée, m’enfin, il n’était pas du genre à faire payer aux autres ses frustrations quotidiennes. Bref, le Martini ne se laisserait pas marcher sur les pieds par Gilmore. D’ailleurs, il soupira bruyamment et leva les yeux au ciel avant de faire demi-tour, jusqu’à ce qu’elle lui attrape le poignet. Alors, il riva ses pupilles brunes dans les siennes et l’écouta demander sa came. Elle était déjà prête à prendre ses sous. En général, il cernait les gens assez facilement, et il avait surtout l’impression de voir une princesse déchue de son trône et qui, pour se donner un peu de contenance, consommait tout ce qu’elle trouvait. Mais elle avait de l’argent, alors si elle se montrait un minimum polie et courtoise, le Tchèque accèderait à sa requête. Sans long discours, il annonça la couleur ; « Deux cents dollars. » Avant d’enchaîner, un petit sourire se dessinant à la commissure de ses lèvres ; « Pour info, quand on a le même nom de famille qu’un meuble IKEA, en général on évite de déformer les prénoms des autres, merci. » Glücksbourg quoi, bitch please. Ouais, c’était gratuit, en échange du Martini.  
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CAN'T FEEL MY FACE. BUT I LOVE IT.

Gillie rit a pleines dents, avant de poser ses mains sur ses épaules.."T'es un petit marrant toi." Elle passe légèrement le paume de sa main contre sa joue, et l'observe..avant de chuchoter dans son oreille droite. "Tu ouvres encore ta bouche pour critiquer mon nom de famille, et ton trafic de merde je le détruis en deux temps, trois mouvements." Un point, un trait, t'auras même pas eu le temps de dire un mot. Ses billes le toisent avec une certaine douceur, aucune agressivité, je vous jure. Elle est calme et observe les alentours. Tu verras que mon nom Ikea a tout un sens, c'est ce que son regard lui lance comme signal. C'est une princesse, elle fait ce qu'elle veut mon gars. Elle serre fortement ses épaules avant de le lâcher " Deux cents ?" ..s'étonne-t-elle. "C'est un peu trop cher pour un dealer de seconde main ", elle sourit brièvement et tend un paquet de billet enroulés qu'elle sort subitement de son sac. "Ça doit valoir plus de trois cents..j'ai la flemme de compter, tu peux le faire à ma place ?." Elle sourit faussement, quelle manipulatrice. Elle ne te donnera certainement pas quelques centièmes en trop. Elle recule de lui, observe les alentours parce qu'elle se sent épiée. "Mais, avant que tu me passes la camelot." Qui ne me dit pas que tu es un escroc ? Et tu vends quoi d'ailleurs ? Tu ne m'as encore rien montré. "D'où tu connais mon nom de famille ?". Elle brandit son paquet d'argent sous son cou. Cet endroit n'est pas du tout rassurant, elle aurait du prévoir des gardes du corps, du personnel pour l'accompagner. Quelqu'un qui saurait risquer sa vie pour la perdre inutilement rien que pour elle.
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W/ GILMORE.
Wow, les menaces, maintenant ? Son souffle chaud au creux de son oreille vibra sur toute la surface de son échine et un frisson assez désagréable redressa les poils de Martin. C’est la première fois qu’il tombait sur ce genre de clients, peut-être parce que d’habitude il les sélectionnait rigoureusement avant de les rencontrer. Ça lui apprendra à ne laisser parler que l’appât du gain ; résultat, il se trouvait face au fond du panier. « Tu le détruirais comment, avec tes contacts ? Tu crois que ça ne s’ébruiterait pas qu’une princesse du Danemark rencontre sous un pont un dealer, vêtue d’une jupe aussi longue que la scolarité de Kylie Jenner ? » Ouais Kylie, ce modèle d’intelligence sur terre. A son humble avis, c’est plutôt au sujet de son image qu’elle devrait s’inquiéter. Elle lui balança une liasse de billets, liasse que Martin ne prit même pas la peine de trier. Elle le prit pour son comptable ou quoi, sérieusement ? Il sortit le petit sachet en plastique avec quelques cristaux de meth dedans, assez pour s’envoyer au septième ciel en moins de cinq minutes. « Le dealer de seconde main que je suis n’est pas con au point de rencontrer des gens sans se renseigner un minimum sur eux. Hein, Gilmore Glücksbourg, Princesse du Danemark, troisième à la succession. Ta sœur, Brynn, m’a même arraché mon maillot de bain à la piscine cet été. Je sais qui tu es, crois-moi, je ne suis pas celui qui devrait le plus craindre l’autre dans cette histoire. » Puisqu’il avait l’argent, il tendit le sachet qu’il tenait fermement entre son index et son majeur. Lui aussi, il pouvait sortir les menaces. 
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"Au contraire, tu es un petit joueur..elle recule et malaxe ses épaules..il y a une loi importante dans ce monde. La raison du plus fort est toujours la meilleure. Dans ce cas-ci, mon rang l'est. Les médias diront que tu m'as agressée et que tu as tenté de me kidnapper. Ils diront que ce n'est pas étonnant, tu as un passé de dealer et c'est sans doute la dernière option pour toi de te payer...des cours. Elle le toise quelques secondes avant de continuer calmement. Alors, il mettront la faute sur l'homme que tu es, le stress de la vie quotidienne et ton incapacité à tenir tes pulsions. Pense à toutes les féministes qui..elle fait mine de respirer un parfait particulièrement agréable..se feront une joie de me défendre sur le droit d'une femme à se mettre en valeur." Manipulatrice, tout est calculé. Le peuple danois à l'habitude de ses frasques, ce n'est pas une surprise, elle est un peu Le Harry Windsor de la famille royale danoise. Il cite son nom lorsqu'elle lui demande comment il l'a connait. Gillie le dévisage, elle a presque envie de rire à l'annonce d'une Brynn arrachant un maillot de bain qui se présumait être le sien. C'est elle tout craché ça et dire que c'est sa grande soeur. "Tu crois que tu n'as rien à craindre..et pourtant ton corps dis-le contraire..." Elle regarde ses poils s'hérisser et elle retire des doigts le sachet en l'ouvrant légèrement pour regarder l'intérieur comme pour se rassurer. "Chéri, tu es si prévisible.."marmonne-t-elle avant d'attraper son visage d'une main et de poser un baiser sur ses lèvres entrouvertes et prêtent à se défendre. Un baiser pour ta mauvaise journée, ça calme les nerfs tout ça.
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W/ GILMORE.
La loi du plus fort ? Elle, la princesse désabusée, sûrement reniée moralement par la moitié de sa famille, balançait à Martin, le fils prodige, le père aux milles relations (et pas que sexuelles, aussi incroyable que cela puisse paraître), ce qu’était la loi du plus fort ? Cette blague. Martin roula des yeux, chronométrant intérieurement combien de temps durerait sa connerie. En fait, c’est toute la vie de Gilmore qu’il devrait calculer, elle était une connerie en elle-même, en jupe courte et talons aiguilles. « Ferme ta gueule. » Des camés qui réclamaient leurs doses, ça courait les rues de Cambridge. Et pour les trois quarts, ils étaient mille fois plus agréables que cette pimbêche blonde. Il lui lançait son regard menaçant, donnant un coup d’épaule dans le vide alors qu’elle se rapprochait de lui, un peu trop à son goût. Mais ses lèvres sur les siennes, il ne les avait pas vues venir. Ni senties. Il posa aussi ses mains au niveau de la poitrine de Gil pour la repousser et reculer de deux pas. Elle foutait quoi, là ? Sérieusement ? « Tarée. » grommela-t-il en s’essuyant la bouche du revers de la main. Il s’approcha à son tour d’elle, et la cingla à son tour de menaces ; « N’essaye pas de jouer à la dure ou de me recontacter. Car les trucs que je te donne là, je pourrais très bien forcer la dose. Ou te donner par mégarde de la ricine. Tu sais ce qu’est la ricine ? » Il laissa une seconde de silence, avant d’enchaîner ; « Quand tu l’inhales, ça te paralyse progressivement, ça commence par les membres inférieurs … » Il pointa du doigt ses jambes. « Puis les mains, les bras, les épaules, la mâchoire … » Son doigt frôlait les parties du corps citées. « Jusqu’à stopper toute activité là-dedans, même si je ne soupçonne pas l’existence d’une quelconque activité dans ta matière grise. » Et là, il lui donna une pichenette au niveau de la tempe. « J’remballe. T’as la came, j’ai mon fric. Allez, à jamais. » Il se retourna, il n’allait pas traîner plus longtemps avec cette sociopathe de première. Heureusement qu’on ne donnait pas le trône du Danemark à une fille comme elle, mon dieu.  
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