(flashback) charlotte&damian ✗ parce qu'au final... l'important, c'est d'aimer.

Charlotte & Damian, the true love

ça m’insupportai plus qu'autre chose de l'avoir su avec William. Je connaissais que rapidement sa réputation, mais là, s'approcher de Charlotte, je n'avais pas du tout apprécier. Cette fille me rendait folle, je l'aimais, je savais que je l'aimais et que je tenais à elle. Mais j'avais du m'écarter, ce que nous avions fait tous les deux n'était pas correcte, je n'avais pas été correcte avec elle. Mais... ça ne permettait pas aux autres de s'approcher de ma princesse, de la femme que j'aimais. Je la tenais fermement, je la tenais pour qu'elle ne reparte pas avec ce mec. J'avais pris le premier endroit que je trouvais parfait pour discuter, le bureau du directeur, du moins, nous étions actuellement à coté du bureau de sa secrétaire. Je n'avais pas entendu la porte se fermer sous la force dont je l'avais fermé. La respiration haletante, mon visage presque déformé par la colère et la jalousie, je me tournais vers Charlotte. Qu'elle était belle dans sa jolie robe rouge, qu'elle était magnifique. Je m'en crevais le cœur de la voir ainsi et d'agir horriblement avec elle. Depuis quand tu fréquentes les Mathers? ça te prends comme ça de parler à des gens de ce genre là? ils ne sont pas fréquentable. Encore moins ce William. Pour lui tu ne serais qu'une fille de plus dans son lit ! lui criais-je, m'insultant intérieurement de lui dire ça. J'étais juste...Jaloux... et fou d'amour pour elle.

Fiche (c) Espe

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Tout était allé vite, et sans que je comprenne comment, j'étais en train de me faire trainer dans les couloirs vides de la fac par Damian. Je bouillonnais intérieurement. De quel droit se permettait-il de me toucher ? De me faire sortir d'une soirée dans laquelle je voulais être ? Et pourquoi est ce que je m'étais laissée faire ? Je m'énervais contre lui, contre moi, contre la situation entière. Je reconnaissais les bureaux de l'administration, et Damian s'engouffra dans l'un d'eux, qui, d'après mes souvenirs, était celui du doyen. J'entendis la porte se claquer, mais n'y portais aucune attention. Dam se tourna vers moi et commença à me crier dessus, ce qui n'eut pour effet que de m'énerver encore plus. «Depuis quand tu fréquentes les Mathers? ça te prends comme ça de parler à des gens de ce genre là? ils ne sont pas fréquentable. Encore moins ce William. Pour lui tu ne serais qu'une fille de plus dans son lit ! » Je voyais la colère transformer l'éclat de ses yeux, déformer son visage. Au fond de moi, une pointe de contentement faisait son apparition. J'avais bien calculé mon affaire, il avait l'air jaloux. Je me détachais de son étau, les yeux brillant de colère, avant de lui répondre sur le même ton. « Déjà, tu ne me touches pas. Et tu ne me parles pas sur ce ton ! Je sais pas pour qui tu te prend, mais je suis assez vieille pour savoir ce que je fais. » Je m'écartais de lui, m'approchant du siège en cuir du proviseur. « Ensuite,les Mathers ne sont pas forcément mauvais. J'en connais qui valent largement des Winthorps. Les réputations ne sont pas toujours vraies. Et contrairement à ce que vous pensez tous, Will est fréquentable, c'est moi qui lui est demandé de venir au bal avec moi, pas l'inverse. » Je marquais une pause, tournant le dos à Damian. Je ne voulais pas le voir, mes sentiments pour lui étaient encore trop à la surface. Je ne voulais pas qu'ils m'exposent. « Et puis.... Je peux savoir en quoi ça te concerne ? T'as pas eu l'air de t'intéresser à moi je crois.»

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Charlotte & Damian, the true love

Charlotte avait bien vite repris le tournant de la situation, elle trouvait vraiment bien les mots à me renvoyer. Ça me faisait mal qu'elle me dise que je ne devais pas la toucher, d'un coté, elle avait raison, mais je désirais tellement l'avoir contre moi, et la protéger. J'avais l'impression de recevoir une leçon de morale de sa part, et je sentais très bien qu'elle était tout aussi en colère de moi, bien que ce ne soit pas les mêmes raisons. Je prenais tout en pleine tête, mais ce n'était pas de sa faute, j'avais fais du mal à Charlotte mais c'était pour son bien, je la protégeais de mes sentiments pour elle, et en plus de ça, des sentiments qui me faisaient peur. Je supportais pas qu'elle ai été le voir, qu'elle soit allé voir ce mec. Je n'avais rien contre lui, mais je ne supportais, à mes yeux, Charlotte était à moi, rien qu'à moi. La partager? Fallait même pas y penser. A présent, elle me faisait dos. Que faire, que répondre ? Et finalement, elle reprit. Et j'avais qu'une envie, lui dire que si elle m'intéressait, que c'était même plus que ça, je l'aimais. Si... ça me concerne. Selon ce que tu me dis, ça me concerne. J'avouais indirectement que j'étais interessé par elle. Je voulus la prendre par les épaules pour la retourner et la prendre dans mes bras, mais je n'y arrivais pas. L'image de notre nuit passé ensemble me hantait. Et... Ma main se posait finalement sur son épaule, j'avais le courage, j'étais un homme, je pouvais le faire. Au moins, je lui dirais la vérité. Ce sujet m'intéressait, je sentais qu'elle m'en voulait. Je voulais au moins lui expliquer pourquoi j'avais fais ça, être honnête. c'est parce que je tiens à toi, plus que tu ne le penses, que je tiens à t'écarter des personnes comme William. Tu m'en veux à cause de ce que j'ai fais ? Je le comprends, et... j'assume ce que j'ai fais. Je fais ça pour ton bien, j'ai été irrespectueux de te faire l'amour, de céder à mes sentiments alors que tu mérites pas ça, tu es une amie de ma sœur, j'avais pas à te toucher. Charlotte...

Fiche (c) Espe

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D'un coté, j'étais fière de moi. Je ne m'étais pas laissée complètement faire par Dam, je m'étais défendue... Mais d'un autre côté, je sentais que la colère que je ressentais n'était que la surface de bien d'autres sentiments que je ne voulais plus voir en face... Il finit pas finalement prendre la parole. Si... ça me concerne. Selon ce que tu me dis, ça me concerne. Qu'est ce que j'étais censée penser de cela ? Qu'il s'intéressait à moi ? Ce qui était en totale contradiction avec sa façon d'agir de ces dernières semaines... jusqu'à maintenant, apparemment. Je le dévisageai, essayant de voir une logique dans ses actes, sans succès. Je restais stoique lorsqu'il tenta une approche, posant sa main sur mon épaule. J’eus un moment d'hésitation lorsque je sentis ses doigts toucher ma peau, contact qui m'avait manqué, qui faisait renaitre en moi des souvenirs... Il finit par reprendre, après avoir laisser suspendre ses mots dans un silence inconfortable. c'est parce que je tiens à toi, plus que tu ne le penses, que je tiens à t'écarter des personnes comme William. Tu m'en veux à cause de ce que j'ai fais ? Je le comprends, et... j'assume ce que j'ai fais. Je fais ça pour ton bien, j'ai été irrespectueux de te faire l'amour, de céder à mes sentiments alors que tu mérites pas ça, tu es une amie de ma sœur, j'avais pas à te toucher. Charlotte... J'étais troublée... J'avais finis par surmonter ces doutes... Ne pensait-il pas que les mêmes considérations avaient traversé mon esprit ? On laisse William en dehors de ça, tu veux... Je crois que c'est pas de lui qu'on devrait parler... Ma voix s'était adoucie, mais mon ton, si moins fort, n'en était pas moins dur. Enfin... tout était relatif. Et ensuite... Tu crois pas que j'ai aussi voix au chapitre ? Et arrête de dire que c'est de ta faute, que tu prends les responsabilités pour ça... On était deux, je suis toute aussi responsable que toi... Mais contrairement à toi, apparemment, je regrette pas. Et je crois que... que si tu avais vraiment voulu agir pour mon bien, Dam, tu serais pas parti... pas comme ça. Je baissais les yeux. J'avais trop pensé, trop parlé. Et je ne savais plus comment réagir.

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Charlotte & Damian, the true love

Il faudrait peut-être que je grandisse lorsqu'il s'agit des sentiments, non ? Que je ne fuis pas dès le premier sentiment amoureux, pour le premier désir ardent de faire l'amour à une femme que j'aimais. Charlotte me mit rapidement en place, en m'expliquant qu'elle ne regrettait pas ce qu'elle avait fait avec moi, d'un coté, j'en étais heureux mais de l'autre, même si je ne regrettais pas moi non plus, je regrettais simplement d'avoir céder à mon amour. C'était la première fois que j'aimais une fille aussi sincère, mais en plus de l'aimer, je voyais en Charlotte un être beau et pure, ce n'était pas comparable aux autres filles avec qui j'avais pu sortir, en rien comparable. Je posais ma main sur sa joue pour qu'elle me regarde dans les yeux. Je ne regrette pas d'avoir fait l'amour avec toi...seulement... Je me torturais vraiment tout seul, mais je l'aimais, c'était plus difficile à expliquer. Je me rapprochais un peu plus d'elle. C'est juste que tu es...plus qu'une fille avec qui j'ai fais l'amour avec toi. Tu n'es pas n'importe qui, Charlotte. Tu es...je... Il faudrait que je te le dises. Même si tu vas finir par prendre de la distance, à me repousser. Je m'écartais d'elle finalement, elle allait sûrement me détester et vouloir me gifler. Si j'suis parti, c'est parce qu'il y a autre chose qui me poussait à ça. Je...je t'aime, Charlotte. Je suis amoureux de toi, je penses à toi, ça me rend malade de te savoir loin de moi. Et si j'ai couché avec toi, c'est parce que je t'aimais, pas pour autre chose. Seulement... je n'ai pas le droit de te toucher, de t'aimer. Tu es une fille bien, tu es merveilleuse, tu viens d'une famille beaucoup plus aisée que la mienne, tes parents voudront jamais de moi, et...toi non plus. Je ne voulais pas t'imposer mes sentiments, je ne voulais pas...Tu mérites mieux que ça, et imposer cette distance était la meilleure décision que je pensais prendre. Je suis désolé... J'attrapais sa main droite, en me mettant devant elle, le genoux au sol et l'autre plié. Je la regardais, elle était si belle, comparable à un ange. Saches au moins que je suis sincère, même si je sais que tu voudras plus me voir après tout ça...

Fiche (c) Espe

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Les yeux toujours baissé, le regard fixe sur le bureau, je sentis la main de Damian s'approcher de mon visage, ce qui m'obligea à le regarder dans les yeux. Je ne regrette pas d'avoir fait l'amour avec toi...seulement... Seulement quoi ? J'avais un mauvais pressentiment par rapport à ce qu'il allait me dire... Son visage se rapprocha du mien, et j'écoutais, tout en savant pertinemment que mes sentiments refoulés plus ou moins facilement allaient finir par refaire surface. Lorsque je le vis s'écarter, je sentis mon coeur se serrer, bien qu'une partie de moi s'énervait contre ce que Damian venait de dire... Il ne pouvait pas prévoir mes réactions, comment pouvait il dire que j'allais le repousser ? Je le fixais, ne bougeant pas d'un cil, attendant la suite de son discours. Si j'suis parti, c'est parce qu'il y a autre chose qui me poussait à ça. Je...je t'aime, Charlotte. Je suis amoureux de toi, je penses à toi, ça me rend malade de te savoir loin de moi. Lorsque j'entendis ces mots, plus d'hésitation n'était possible. Je l'aimais aussi, je ne voulais pas le voir avec quelqu'un d'autre non plus, et si je n'allais pas l'admettre, le savoir avec cette Victoria m'avait rendue verte de jalousie aussi. Cependant, je me recrispais dès que j'entendis son Seulement... Je ne voulais même pas écouter cette partie là, qu'en avait-on à faire des autres ? Est ce que, pour une fois, il ne pouvait pas penser à lui, à moi, à nous ? Sans réfléchir au conséquences ? Je captais les mots 'familles', 'parent', entre autres... Et une partie de moi ne pouvais pas s'empêcher de fondre devant Damian, qui se, en quelque sorte, sacrifiait pour moi. Soudain, sa main pris la mienne, et je l'observai s’agenouiller devant moi, et je ne pu empêcher un fin sourire d'apparaitre sur mon visage. Saches au moins que je suis sincère, même si je sais que tu voudras plus me voir après tout ça... Je serais sa main dans la mienne et n'attendait pas de savoir s'il souhaitait encore ajouter quelque chose. De toute manière, ce n'était pas comme si j'en avait quelque chose à faire. Tais-toi, s'il te plait. Je l'incitais à se remettre à hauteur humaine et allait me réfugier dans ses bras, contact familier, naturel même. Je passais mes bras autour de lui, et mes lèvres trouvèrent les siennes, et je restais silencieuse quelques instant, blottie dans ses bras. Son contact m'avait manqué, et je ne mesurais à quel point que maintenant. Ne dis pas ça, je veux encore te voir Damian... Je... je t'aime aussi je murmurais.

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Charlotte & Damian, the true love

Je lui faisais certainement la plus belle déclaration que j'avais pu faire jusque là. Jamais je n'avais aimé jusque là, jamais, aucune fille ne m'avait rendu aussi fou d'amour et de désir. Charlotte faisait partie de cette exception. J'espérais qu'à chaque mot, chaque syllabe la touche, et qu'elle comprenne ce que je ressentais pour elle, que j'avais des sentiments pour elle, que je l'aimais. Elle me demanda de me taire, j'obéissais. J'obéissais à tous ces ordres, me relevant pour accueillir l'ange de mes désirs dans mes bras. Je la serrais fort, je la serrais pour la garder contre moi et qu'elle ne s'enfuit pas. Ça me faisait tellement de bien de la tenir contre moi. Et mon cœur finit par s'arrêter soudainement de battre lorsque je sentis les lèvres de Charlotte contre les miennes. Un soulagement, une liberté. La demoiselle ne se rendait pas compte à quel point ça me faisait du bien. Et lorsqu'elle m'avoua ses sentiments, je ne pus réprimer l'envie de l'embrasser. Je posais mes mains sur ses hanches, la collant contre moi, l'emmenant s'asseoir à moitié sur le bureau du Doyen pour la maintenir contre moi et l'embrasser aussi passionnément, impliquant tout l'amour que j'avais pour elle dans ce baiser. Je t'aime tant, Charlotte. soupirais-je entre deux baisers alors mes mains remontaient à ses omoplates, caressant sa peau, la douceur de sa peau m'avait manqué, j'avais envie de lui arracher ses vêtements pour sentir son corps, caresser le corps entier sans aucune retenue. Mais je devais la respecter, plus que je le dois. Peut-être ne voulait-elle pas retenter? Et puis, ce n'était pas grave, si nous le faisions pas malgré le désir ardent que je ressentais pour elle. Serrant un peu plus l'étreinte de mes mains sur ses hanches, je la montais sur le bureau pour l'asseoir, écartant ses cuisses pour m'y placer afin de la garder près de moi. Je rompais le baiser quelques secondes. Charlotte Emilia Rockefeller-Parks, acceptez-vous de devenir celle qui possédera mon cœur, mon corps, mon amour ? Celle qui partagera ma vie le temps que vous m'aimerez ? Je caressais sa joue, remettant une mèche derrière son oreille, ma bouche effleurait la sienne. Acceptez-vous de m'offrir votre cœur que je garderais précieusement, de partager votre vie à mes cotés, le temps que vous m'aimerez ? Je souris, en posant mon front contre le sien. Et même d'abuser de moi pour faire des enfants à l'avenir... dis-je en riant un peu et reprendre possession de ses lèvres pour clôturer ma demande. J'espérais qu'elle accepte, même si, je devais l'avouer, pour une fois, j'étais sûr de moi. Elle ne serait pas là à m'embrasser, dans un endroit où nous pourrions nous faire surprendre. Mes mains sur le bas de ses reins, mes yeux fixant les siens, j'admirais la femme que j'aimais, et je me sentais allégé de la peine qui m'avait poursuivis depuis cette fameuse nuit.

Fiche (c) Espe

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Je sentais les mains de Damian sur ma peau, et un frisson parcouru mon corps alors que je me sentis à moitié soulevée lorsqu’il me fit rejoindre à moitié le bureau. Nos lèvres se rejoignaient, trouvant la place qu’elles n’auraient jamais dues quitter. Je passais mes mains autour de sa nuque, mes doigts frôlant ses cheveux. Je ne remarquais que maintenant à quel point son contact m’avait manqué. Ses mains, son odeur, sa peau, ses muscles, sa voix… Il m’était familier, et je n’avais qu’un désir, ne rester que seule avec lui, toujours. Mon cœur manquait un battement lorsqu’il repéta sa déclaration, et l’embrassais passionnément en guise de réponse. Je ne pouvais me tenir loin de lui et serrait mes jambes autour de sa taille, dans une étreinte passionnée. Je sentis ses lèvres s’écarter, et entendis sa voix me murmurer quelque chose. Je rouvris les yeux et les déposais dans le bleu des siens, toute ouïe. Charlotte Emilia Rockefeller-Parks, acceptez-vous de devenir celle qui possédera mon cœur, mon corps, mon amour ? Celle qui partagera ma vie le temps que vous m'aimerez ?
Je ne répondais pas, stupéfaite, pleine de joie. Je frissonnais alors que ses doigts glissèrent sur mon visage, remettant en place une mèche. Un sourire délicat éclairait mon visage, et mes lèvres effleurèrent les siennes alors que nos fronts se rejoignirent. Je hochais doucement de la tête et lui rendit son baiser, message symbolique, muet, de notre amour. Une infime partie de moi était tout de même étonnée par cette déclaration si profonde, inhabituelle, inattendue aussi. C’était tellement différent du Damian que j’avais connu auparavant, et je devais avouer que le changement ne me déplaisait pas vraiment. Un sourire encore plus franc s’afficha sur mon visage, accompagné d’un éclat de rire cristallin, alors que j’écoutais sa… requête ? question ? Acceptez-vous de m'offrir votre cœur que je garderais précieusement, de partager votre vie à mes cotés, le temps que vous m'aimerez ?. Et même d'abuser de moi pour faire des enfants à l'avenir... Je ne savais pas réellement ce que c’était, toujours était-il que j’appréciais, malgré la ressemblance troublante avec une demande en mariage. Mais je ne pensais pas à cela pour le moment… Plus tard en revanche, cela sera probablement l’objet de futures réflexions. J’embrassais Damian et passais mes doigts au travers de ses cheveux. « Bien sûr Dam…Je t’aime aussi. Mais…mais pour les enfants… on...on verra plus tard ! » Mes phrases étaient entrecoupées de baisers fugaces et tendre, et un autre éclat de rire traversa mes lèves, et j’eu pendant une fraction de seconde une pensée pour toutes les jeunes femmes qui tombaient enceintes jeunes, trop jeunes… Mais ces pensées repartirent aussi rapidement qu’elles étaient venues, mon esprit n’étant concentré qu’à une unique chose. Je ne réfléchissais pas à ce que nous faisions, je laissais agir mon corps, mes désirs étaient maitres de moi, et ma raison était comme évaporée.

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Charlotte & Damian, the true love

Une déclaration comme je n'en avais jamais faite jusqu'au bout. Je ne connaissais aucune limite dans l'expression de mon amour pour elle. J'avais tellement retenu mes sentiments jusque là, ce n'était qu'une explosion. Savoir qu'elle m'aimait aussi, que c'était réciproque, ça me faisait du bien. J'en oubliais mes principes, j'en oubliais qu'elle était l'amie d'Apple, puisqu'après tout, j'étais en froid avec elle, je n'avais pas le regret de sortir avec une amie à elle. Ça me fit sourire que la demoiselle me fit stopper un peu mes ardeurs, l'expression de mon amour qui était débordante. « Bien sûr Dam…Je t’aime aussi. Mais…mais pour les enfants… on...on verra plus tard ! » m'avait-elle dit entre quelques baisers, entre quelques caresses que je m'appliquais à lui donner. Je tenais ma princesse dans mes bras, je profitais de son temps pour l'avoir auprès de moi, je rattrapais le temps perdu à ne pas être à ses cotés, à ses bras qui m'avaient affreusement manqués et dont j'avais besoin d'avoir. Excuse moi, ma belle. lui dis-je pour répondre à sa phrase alors que ma bouche dérapait sur sa mâchoire pour déposer de petits baisers sur sa peau, descendant un peu plus sur sa peau. Je ne réfléchissais plus vraiment, je profitais d'être en sa présence, d'avoir un peu de temps pour nous deux. Je descendais un peu plus bas sur ses épaules, sur son buste sans trop approcher ses seins, je voulais que ce soit sensuel, je ne voulais pas précipiter trop les choses, bien que j'étais souvent maladroit. Je remontais à son visage pour l'embrasser, mêlé ma langue à la sienne, la caresser. Mes mains descendaient vers le bas de son dos pour défaire un petit peu sa robe et libérer sa poitrine. La surprise fut-elle que je reculais mon visage de quelques centimètres de Charlotte pour lui sourire, jetant un regard coquin à cette jolie poitrine avant de prendre possession de ses lèvres alors que ma main passait rapidement sur sa poitrine, je me torturais à ne pas les toucher, j'avais peur de céder. Interdit moi d'aller plus loin, pitié. Je serais capable de te faire l'amour ici tellement tu m'as manqué et que je te désire, Charlotte. soufflais-je à la demoiselle, tel un aveux comparable à un appel au secours. Me secourir de la passion, de la folie amoureuse qui s'emparait de moi.

Fiche (c) Espe

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