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Wait for me to come home
Ton père avait pour habitude te dire ô combien tu ne te soucier pas du monde qui t'entoure. Pas dans le sens ou tu serais égoïste, tu avais cette manie de passer les besoins des gens avant les tiens, non, mais que tu ne faisait pas attention à ce qui t'entoure. Le paysage, les gens dans le besoin, les détails. Bien sûr, tu avais essayer, t'arrêter un arrêt de bus plus tôt pour arpenter les rue et observer les détails architectural, ou encore s'assoie au fond du bus pour avoir une vue globale sur les personnes assise. Mais j'pense que ton père parler aussi du journal à la télé, des nouvelles sur papier ou encore la météo. C'est important la météo, et si t'avais regarder la météo tu aurais vu qu'il y avait une alerte orange. Mais non, toi t'as foncer tête la première lorsque les prix pour le bus direction Pheonix centre ville c'est affiche, tu t'es même dit : wow, je fais une belle affaire dit donc. Tu ne te serais pas pavané dans les rues de Pheonix, tranquillement, habiller comme-ci la mort ne pouvais pas te tomber dessus, et tu n'aurais pas acheter une glace à la vanille. Déjà partir dans la ville voisine seule, alors que tout le monde y va en groupe, je trouve que ça fait grave pitié. T'es vraiment une miskine là, alors au milieu de la banquette arrière, tu peut pas regarder à gauche parce qu'y a un gros monsieur qui s'est endormis et tu peut pas regarder à droite parce qu'y a des gosses qui se chamaille, à un certain moment t'aurais peut être du te dire qu'une sortir était pas ce qu'il fallait faire aujourd'hui. Et rester sur le campement pour continué à nager dans l'eau remplis de transpiration et de MST des autres campeurs. Quoi qu'il en soit, tu ne fais pas attention à ce qui t’entoure, t'es sortit du bus et fait des petits achat, tu n'as pas attention à cette vielle femme et ses trois enfants qui se hâte de fermer le magasin, à cette pancarte qui virvole en arrière en écraser deux vélo sur son passage, aux alarmes qui rende l'endroit orange et bruyant. « ALERTE TEMPÊTE DE SABLE. » HEIN ? QUOI ? TEMPETE DE SABLE ? La seule tempête que t'as jamais affronté c'est le dessin animé tempête de boulette géante et dedans c'était easy, il fallait juste bouffer ce qui tomber du ciel, alors que là c'est du sable ET LE SABLE CA SE BOUFFE PAS !!! t'es cloué sur place, lorsque le sable commence à approcher et que t'en reçoit une bonne poignet dans les yeux, laissant tomber tes paquet au sol pour te projeter, tu sais pas vraiment où aller. Chez toi ça aurait été top, mais le bus est loin loin loin. Alors tu t'approches et essaie d'entrée dans un magasin, n'importe lequel, ils sont déjà au courant alors ils ont fermer les portes à part le The Play Factory. Par chance, la porte est ouverte, tu entres et elle se referme automatiquement en claquant, les jambes emmêler tu tombes la tête la première dans la piscine de ballons. « AIDEZ MOI, AIDEZ MOI JE SAIS PAS NAGER... JE.. » calme toi voir c'est des ballons, des petits ballons de toutes les couleurs. C'est fun, tu ris et sautille sur place, un peu déçu d'avoir laisser 200 dollars emporter par le vent, comme si ils avaient besoin d'un nouveau jean pour la rentrée et de déodorant anti trace noir. Un bruit te sors dans tes penser, tu t'arme d'une raquette qui se trouver là, et sors doucement de la piscine.. « Qui est là ? Je suis armée. » okaaay, c'était quoi cette voix de policière de 35 ans, mère de famille et accros à top chef ?
dramione
Copyright Clochette
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