Malachy O'Leary ► Tom Felton

C'est le 2 Juillet 1989 a Dundalk en Irlande du Sud que la naissance de Malachy a lieu. Le conflit opposant les Irlandais sud, nord et les anglais n'était pas complètement fini. La famille O'leary vivaient dans une petite ville très près de la frontière. Les parents de Malachy ont toujours été très actifs dans les conflits Nord Irlandais. Très catholique, ayant de la famille au Nord, ils avaient du mal à supporter la présence Anglaise, et le favoritisme envers les protestants anglais. Malachy grandit dans une famille, bercé par la haine des anglais, des protestants, et de tout ceux qui voudraient s'en prendre aux bonnes valeurs catholiques. Malachy, comme ses deux grands frères avant lui, n'était pas un charmant enfant. A l'école il y avait un petit anglais, vous imaginez bien qu'il servait de souffre douleur pour l'irlandais. L'Irlandais adorait le faire pleurer, et très souvent il eut quelques problèmes avec l'école à ce propos-ci. Mais quand on voyait sa famille, ce n'était pas si étonnant. Les cousins du Nord qui avaient préférés ne pas y rester et venir s'installer en Irlande encore Irlandaise, racontaient régulièrement à Malachy comment ces anglais faisaient partis de la vermine, ils épiaient les conversations des adultes qui parlaient des fois des conflits qui semblaient terrifiants. Sa famille lui apprit à être fort, à manier les armes, a ne pas se laisser faire, à être un bon catholique et à détester les anglais du plus profonds de son âme. Sa vie était teinté d’amertume et de ressentiments transmit par ses parents, ses grand frères, ses cousins, et il le transmit à son tour à son petit frère. Il était voué à devenir mécano ou quelques chose dans ce goût là, en Irlande, il était bien partit pour ça en tout cas.
Tout partit d'une pression familiales sur les fréquentations de Malachy. En effet ses grands frères avaient commencer à sortir avec des filles assez jeunes, c'était un peu comme une tradition. Aussi quand l'Irlandais passa cet âge sans parler de filles, des questions se posèrent. Malachy se mit à fréquenter des filles, bien que ça ne l'enchantait pas plus que ça, à part sa meilleure amie rencontrer au jardin d'enfant. Il suivit les pas de ses frères, sortant avec des filles, et couchant avec quelques unes. La première fut de la curiosité, les suivantes, des tentatives vaines d'y trouver un quelconque sentiment de satisfactions ou d'attachements envers les demoiselles. Etant plutôt beau gosse, et venant d'une famille connu dans le coin, ce qui arrive toujours quand on est le 3ème de la fratrie, il continua à se montrer en compagnie de filles, a perdre son temps à essayer de faire semblant d'être amoureux de celle avec qui il sortait. D'ailleurs Malachy soupçonnait sa meilleure amie (et oui une fille) d'être au courant de son non-intérêt pour ses soit disant petites amies. En tout cas elle ne lui pipa jamais mot à ce propos, et il n'introduisit jamais le sujet avec elle. Malachy un bon catholique comme il convenait commençait à avoir des noeuds au cerveau concernant le garçon anglais (bon il avait des ancêtres Irlandais, certes, mais il était anglais et c'tait suffisant). Ce garçon était troublant, parce qu'après des années où Malachy l'avait persécuté, il ne semblait pas en vouloir de trop à l'irlandais, ou alors il cachait son jeu. Le plus important était que l'irlandais commençait à avoir une curiosité très mal placé, et malgré lui des sentiments se développèrent envers ce jeune homme qui ne le laissait clairement pas indifférent. Il avait envie de passer du temps en sa compagnie, et bien plus encore, mais soyons honnête, il était un fervent Irlandais Catholique, et la nature même de ses envies allaient contre tout ce en quoi il croyait, et contre tout ce qu'on lui avait apprit.  La tension sexuel entre l'irlandais et le petit anglais atteint quand même son comble, et contre toute attente ils échangèrent un baiser, passionné, et révélateur pour Malachy. Ce 'simple' contact lui offrit plus de frisson que n'importe quel expérience il ai pu avoir avoir toutes les filles. Mais son cerveau ne voulait pas intégré qu'il était amoureux d'un garçon, qui plus est anglais. Il se détestait pour ça, et détestait encore plus tout les sales et fourbes anglais du sexes masculins. En parallèle ses notes étaient très bonnes et il pourrait aller dans n'importe quel fac, étant curieux il postula pour les grandes fac à l'étranger, évitant soigneusement de postuler en Angleterre, manquerait plus que ça! Ses parents n'avaient pas d'argent, mais la curiosité de Malachy était plus forte que ce soucis technique. Ce fut pourtant quand il apprit de ses frères que son Anglais c'était fait casser la figure par eux-même, qu'une colère pointa le bout de son nez. Il devait se rendre à l'évidence, c'était SON anglais et l'idée que quelqu'un d'autre que lui, lui fasse du mal avait tendance à l'énerver. Il rencontra sans vraiment le chercher, l'Anglais dans la foret à côté d'où ils vivent, et malgré toute la rancune, suivant la gêne, une conversation éclos. Et les jours, puis les semaines qui suivirent, ils se retrouvaient dans ce coin, pour discuter. Les discussions laissèrent places à des moments d'intimités, sentimentales, puis physiques entre les deux jeunes hommes. Et la foret devinrent leur royaumes. Aux côtés de l'anglais, Malachy arrivait presque à tout oublier, mais il ne s'acceptait pas. Sa sexualité était un problème, la personne partageant sa déviance était un problème. Et si sa famille venait à l'apprendre, il y a fort à parier, qu'ils le renieraient, voir même pire. Cette relation dura jusqu'au diplôme. Pendant ce laps de t'emps, comme il ne fréquentait aucune autre fille que sa meilleure amie, les gens se mirent à penser que secrètement, ils entretenaient une relation, mais personne ne lui posa vraiment la question. Il faut dire que Malachy n'y aurait pas prêter attention non plus... Et sa meilleure amie n'aurait sûrement jamais démentit, sachant que trop bien à quel point Malachy et sa famille était religieux, et que la possibilité de l'homosexualité du blond, aurait jeter un énorme froid dans sa famille. Cette fille c'était un ange pour l'Irlandais, même sans parler elle le comprenait et le protégeait comme il en faisait autant pour elle. C'était comme sa soeur. Même plus qu'une soeur. Une fois le lycée finit, Malachy informa ses parents de son envie d'explorer le monde, comme il était reçu à Harvard, c'était plus pratique. Il ne leur demanda rien, prit un aller simple, et laissa tout sur place, y compris l'Anglais. Il ne l'informa pas de son départ, et partit secrètement. Il ne put se résoudre à ne rien lui dire, et lui envoya malgré lui une lettre l'informant qu'il était à l'autre bout du monde, et de part ce fait, ils ne se reverraient jamais plus. Il se garda bien d'ajouter qu'il l'aimait et que c'était trop dur de rester dans la même ville que lui, et sa famille. A vrai dire, Harvard était pour lui, une libération, loin de la réputation de sa famille dans sa ville, loin de leurs valeurs, de leurs regarde réprobateurs. Il allait pouvoir faire ce qu'il voulait. Mais pour payer les droits d'inscriptions à Harvard, il n'avait pas trouver meilleur moyen que d'entrer dans une combine, et devenir prostitué, pour femme, d'ailleurs Malachy avait une préférence pour les vieilles femmes, enfin pas les mamies non plus. Simplement ne prenant pas vraiment de plaisir, autant "rendre service". Et même si la débauche, les fêtes et les relations avec des hommes se firent plus souvent, Malachy restait Malachy, fidèle à lui même, ne pouvant toujours pas piffer les Anglais, et refusant d'afficher au grand jour son homosexualité. Malachy avait ce grand rêve d'ouvrir un bar, trouva même un peu de temps pour aller visiter les malades aux hopitaux (non Anglais évidement), ou donner de son temps dans un centre d'aide aux droguées.