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Caitlyn Maria Di-Rosa fiche; terminée C'est le 10 Avril 1980 à Buenos Aires, que la famille Di-Rosa m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Caitlyn Maria. Je suis divorcée et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Depuis maintenant 2 ans je travaille comme professeur d'anglais et d'espagnol. |
Études Quand j'étais étudiante, les seules matières qui m'intéressaient étaient les langues et le sport car le professeur était tout simplement canon, il avait des fesses en bétons. Comment je le sais ? Vous connaissez les ados, des personnes complètement délurées, et j'en faisais partie. Mes amies m'avaient donné un défi, toucher les fesses du professeurs de sport, et bien évidemment, je ne m'étais pas dégonflée, j'avais accepté et avec le sourire en plus de ça. Voilà comment j'ai su que ses fesses étaient du béton armé. Mais plus sérieusement, quand j'étais encore étudiante, j'étais l'une des filles les plus célèbres du campus, et l'une des plus belle aussi, niveau petit copain, je n'avais aucun problème, mais alors niveau étude, je ne vous raconte pas, ce n'était pas vraiment terrible. | Caractère Je dois l'avouer, j'ai quelques petites manies, quelques tics, comme le fait d'enrouler mes cheveux autour de mon doigts quand je suis stressée ou quand quelques choses me dérange. Quand je suis énervée, contre les élèves par exemple, j'ai cette fâcheuse tendance à faire taper mes ongles sur mon bureau. J'aime me recoiffer plusieurs fois dans la journée et j'adore me regarder tout ce qui arriver à projeter mon reflet, comme un miroir, la vitre d'une voiture, ou la vitrine d'un magasin. Non je ne suis pas narcissique, mais j'aime être parfaite tout simplement et ne rien avoir qui cloche sur moi. Je suis quelques d'hyperactive, j'aime que les choses soient bien faites, en temps et en heures aussi. Au boulot, je suis quelqu'un de très sérieuse, je plaisante avec mes élèves mais que très rarement, mais une fois sortie des salles de classe, je suis une toute autre personne. J'adore faire la fête, m'amuser et ne pas me prendre au sérieux. Je suis une fille sympathique, attentive, à l'écoute, drôle, belle, sexy même, mais je suis également une fille très maniaque, et on m'aime pour mes qualités, comme pour mes défauts. |
Everyone Has Their Own Story
Je vais vous lire quelques passages du journal intime de ma mère, Maria, vous comprendrez peut-être de quel monde infecte je suis issue.
JUILLET 1979
Cher journal, une fois de plus, Alejandro a osé lever la main sur moi, je ne supporte plus cette vie, j'aimerai tellement quitter cette vie, quitter ce monde, mais je ne peux pas, j'aurai trop honte de faire ça, alors que ma mère a souffert pour me mettre au monde, alors qu'elle a perdu la vie en me mettant au monde. Mais ce métier devient trop dure, travailler au Bordel est la seule qui me fasse gagner autant d'argent mais Alejandro ne le supporte pas, et moi, je ne supporte plus ses coups à répétition, il me bat, j'en ai des marques, ses marques qui resteront à jamais marqués, sur mon corps.
AOÛT 1979
Mon fidèle journal. J'ai une nouvelle à t’annoncer, je suis enceinte. Je suis enceinte. C'est une catastrophe, je ne sais même pas qui est le père, et si cela venait aux oreilles d'Alejandro ... Je ne préfère même pas penser à ce qu'il me ferait. C'est mon mari mais ce n'est peut-être pas le père de l'enfant que je porte. Tout ces doutes sont due à mon travail, je ne sais pas si son père est l'un de mes clients, ou bien Alejandro. Je mène une vie catastrophique, chaotique. Devrai-je vraiment mettre cet enfant au monde.
Je suis née le 10 Avril 1980 à Buenos Aires, en Argentine, mais je n'ai pas grandit la-bas, et heureusement pour moi, je n'ose même pas m'imaginer, moi, vivre dans un bidonville, travaillant au bordel comme ma mère et vivre avec un homme qui me frappait pour un oui ou pour un non. Heureusement pour moi, si je peux dire ça comme ça, j'ai été adopté, par une famille ne pouvant pas avoir d'enfant. Ma mère adoptive était stérile. Ce que j'ai adorée chez cette famille, c'est le fait qu'elle soit mexicaine, j'ai donc grandit dans un milieu hispanique. Mais bon, je vais entrer un peu plus dans les détails.
J'ai été adopté par Paula et Eduardo Di-Rosa, ils m'ont appelé Caitlyn Maria, Caitlyn était un nom qu'ils avaient toujours aimé, quant à Maria, et bien, c'était le prénom de ma mère biologique. J'ai grandit dans un foyer rempli d'amour, dans le New Jersey, j'habitait une belle petite maison et j'avais absolument tout ce que je voulais, j'étais leur petite Princesa. Ils cédaient à tout mes caprices et je le leur rendait bien, en maternelle et pendant la primaire également, je n'avais que des points verts, ou des bonnes notes, j'étais l'élève exemplaire. J'étais inscrite à la danse, une vraie danseuse étoile, una bailarina elegante y magnifica comme ils avaient si bien l'habitude de me le dire. Je ne manquais de rien.
Je ne vivais pas dans le mensonge, ni dans le secret, c'est pour cela qu'à mes 11 ans, ils m'ont avoué mon adoption, et personnellement, si je m'en souviens bien, ça ne m'avait pas vraiment affecté, pour moi, c'était Paula et Eduardo mes parents, c'est eux qui m'avaient élevés et personne d'autre, mais je tenais tout de même à rencontrer mes vrais parents, afin de les remercier, car s'ils n'avaient pas prit cette décision, je ne serai pas là aujourd'hui, je serai sûrement morte.
Mes parents adoptifs avaient accepté de m'emmener dans mon pays natal, dans ma ville natale, afin de rencontrer mes vrais parents. Arrivés là-bas, dans ce bidonville, j'étais comme paralysé. J'avais l'impression d'être dans une déchetterie, nous avions même beaucoup de mal à retrouver la demeure de mes vrais parents, mais bon, comme tout le monde connaissait ma vraie mère, la recherche fut de courte durée. Ma vraie mère était là, allongée sur un vieux matelas, posé sur le sol. J'en avais les larmes aux yeux. J'étais heureuse et triste à la fois. J'étais heureuse de ne pas vivre ici, mais triste que ma vraie mère y vive. Elle était toute pâle, elle parlait d'une voix à peine audible. Elle nous avait annoncé qu'elle n'en avait plus pour longtemps, qu'elle était atteinte d'un cancer des reins et que mon père, quant à lui était déjà mort depuis longtemps. Elle ne m'avait pas dit la raison à l'époque, et d'ailleurs je ne la connais toujours pas.
Je ne voulais plus rester en Argentine une journée de plus, et mes parents adoptifs l'avaient bien compris, mais avons notre retour aux USA, ma mère m'avait donné son journal intime, elle m'avait dit que j'en apprendrais beaucoup plus sur elle, sur sa vie, sur la mort de mon père avec ça. Et aujourd'hui, si je ne connais pas les raisons de la mort de mon père, c'est que je n'ai pas finie de lire son journal intime, il faut dire qu'il y a des passages vraiment horribles, et peut-être que ma tête, mon coeur, mon esprit ne voulait pas que j'en connaisse d'avantage sur lui, vu l'homme horrible qu'il avait été avec Maria, avec celle qui m'avait mise au monde.
J'étais de retour dans le New Jersey, j'étais dans ma chambre et je serrai son journal intime fort contre moi, je sentais les larmes couler lentement sur mes joues. Je m'allongea alors sur mon lit et commença à feuilleter quelques pages et rien que ces quelques pages me firent éclater en sanglot. Je lisais chaque une nouvelle page de son journal, elle racontait tout en détails, mais plus les pages passaient, moins elle en racontait. Mais que cachait-elle. Un an plus tard, j'avais 12 ans, je rentrais de l'école, et je pris la décision de lire encore quelques pages. Une page de Juillet, et une page d'Août. Ma mère travaillait donc dans un Bordel, elle se prostituait pour ne gagner que quelques piécettes et mon père, Alejandro la battait. Je ne pouvais plus le supporter, je rangea son journal intime au fond de mon armoire, pour ne plus le ressortir de sitôt. Ma mère, Paula, m'avait appelée à l'étage du dessous, elle avait son téléphone à la main, elle avait l'air triste. Avec sa main de libre, elle prit la mienne et m'annonça qu'on venait de l'appeler pour lui dire que Maria était morte. Je n'avais eu qu'un an pour la connaître, et elle me quitta aussitôt. Je n'arrivais pas à m'en remettre et les jours qui suivirent furent encore pire. J'entra dans ma phase de grande dépression. Mes parents ne me reconnaissaient pas, et cela dura 4 ans, je m'habillai tout de noir, j'avais les cheveux noirs, mon maquillage était noir, j'avais l'apparence d'une gothique et je ne disais aucun mot.
A mes 16 ans, je me suis dis que c'était finie, qu'elle était partie, mais que moi j'étais encore là et qu'il fallait que je me reprenne donc en main. Et c'est ce que je fis.
J'avais 23 ans, j'étais marié à un bel américain que j'avais connu à l'université d'Harvard, car oui, c'est ici que j'ai étudié, à Harvard. Nous vivions dans une grande villa, car il était riche, il était issu d'un famille très aisée, nous avons vécu 11 ans ensemble, et il m'a trompé. Nous avons divorcé et plus de la moitié de son argent m'est revenu. Aujourd'hui, j'ai 32 ans, je suis divorcée, je n'ai aucun enfant, je suis riche, je suis professeur d'anglais et d'espagnol dans mon ancienne université, à Harvard donc, je suis de nouveau sur le marché des célibataires. Je vais voir mes parents, Paula et Eduardo dans le New Jersey dès que je le peux et je continue à lire le journal intime de ma mère biologique pour connaître quelques éléments de leur vie.
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - Shymilly. ↬ ÂGE - 18 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Sur PRD. ↬ TES IMPRESSIONS - Je suis juste waaaw . ↬ CRÉDIT(S) - Pink Flamingos. ↬ AVATAR - Eva Longoria . ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI.. ↬ LE MOT DE LA FIN - Magnifique forum. |
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