Triple H ! Hadès H. Hippolyte ~ ♪

Il était une fois, mon histoire … […]

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Je me prénomme Hadès, de mon nom complet Hadès Héphaïstos Hippolyte, je suis né il y a maintenant 22 ans, un 14 septembre 1989. Je suis né à Vaduz la capitale du Liechtenstein un petit pays d’Europe. Ma mère à du partir travailler durant un an et demi là-bas pour un grand couturier, étant une styliste de grand renom. Je suis donc né là-bas et est vécu mes premiers mois de vie là-bas. Ma mère est une styliste qui à travailler durant de longues années avec les plus grands créateurs de mode, actuellement elle travaille avec monsieur Karl Lagerfeld pour les nouvelles collections qui ne vont pas tardées à sortir. Alors ne vous inquiétez pas de voir le nom de ma très chère génitrice en bas de vos écrans. Mon père est un mafieux, qui à cessé ses activités il y a cela, quelques années, quand un plus jeune à pu prendre la relève. Actuellement il se consacre à la vie politique qui s’offre à lui, ainsi qu’à l’histoire, car c’est un mordu d’histoire malgré son passé pas très glorieux. Mine de rien être mafieux rapporte un gros paquet de tune, grâce à tout l’argent qu’il a amassé et le salaire plus qu’élevé de ma mère, nous vivons bien, même très bien.

J’ai trois grandes sœurs, dont une seule est ma véritable sœur, les autres sont issus des premiers mariages de mon père. La première de mes demi-sœur s’appelle Ashley H. McEssence, le H représentant le nom de famille de mon père Hippolyte, ma seconde demi-sœur est une célèbre star de cinéma qui à changé de nom pour continuer sa carrière sans qu’aucun journaliste puisse lire son passé, qu’elle à préféré oublier. Ainsi je me retrouve avec deux grandes sœurs totalement différentes l’unes de l’autre. Ma première grande sœur, me bichonne comme-ci j’étais son véritable frère et à toujours prit soin de moi malgré notre écart, 10 ans. Mon père c’est marié pour la première fois à l’âge de 18 ans, car sa copine est tombée enceinte et pour assumer ses responsabilités il a du l’épouser, mais quelques années plus tard, 2 ans, ils sont préféré divorcés et vivre leur vie chacun de leur côté, la mère de ma sœur ayant eu deux autres enfants de son deuxième mariage et mon père trois autres enfants de ses mariages suivant. Ma seconde demi-sœur m’ignore totalement me considèrent comme un moins que rien et c’est ainsi avec presque toute la famille. Malgré tout elle reste en contact régulier avec mon père et quelques fois avec sa mère. Les mères de mes deux grandes sœurs je les ai déjà rencontrés lorsque j’étais avec mon père plus jeune. Malgré leur âgé « avancé » elles restent de très belle femme, j’ai compris pourquoi mon père avait décidé, pour l’une, de les épouser ou de sortir avec elle. En ce qui concerne la mère de ma seconde sœur, cette dernière ne c’est jamais remariée mais a eu deux garçons avec son compagnons, qui eux sont rentrés dans de grande écoles, de politique et d’art.

Je vous parle de mon père, mais pas de ma mère. Pourtant c’est elle qui a eu le courage de me porter pendant 9 mois dans son ventre et de prendre du poids juste pour me mettre au monde. Mes parents ont 10 ans d’écart, ce qui pourrait en choquer certain, mais cela fait maintenant 22 ans qu’ils sont mariés l’un à l’autre, après je ne sais pas qui fait cocu qui. Mais je pense que mon père à réussit à trouver en ma mère, le cousin dans lequel il a pu poser sa gaine. Ma mère a eu ma « véritable » sœur à l’âge de 18 ans, alors que mon père en avait 28. C’est à 20 ans qu’ils ont décidés de ce marié, malgré la réticence de mon père pour les mariages et qu’ils mont eut. Mes parents se sont mariés à Washington la ville natale de mon père, ainsi qu’un autre mariage à Pusan la ville natale de ma mère. Ma génitrice est effectivement une coréenne qui tient de deux parents respectivement tout les deux issu d’un mariage typiquement coréen. Pusan est la deuxième plus grande ville de Corée du Sud, après la capitale, Séoul qui est la troisième plus grande mégalopole du monde. Ma mère à quitté la Corée du sud pour les Amériques quand ma sœur est née. Elle a ainsi pu continuer ses études dans des grandes écoles, malgré les très bonnes écoles de stylisme qu’offre Séoul. Ainsi elle fut diplômée et pu commencer à travailler en tant que « véritable styliste ». C’est ainsi qu’elle a collaboré avec les plus grands tel que Dior, Givenchy, Channel (pour qui elle travail actuellement), Louis Vuitton, Gucci et bien d’autres.

Comme je l’ai dit tout à l’heure, je suis né dans un petit pays de l’union européenne. C’est pour le travail de ma mère que j’ai du naitre là-bas et non dans l’état où je vis actuellement. Elle était partie travailler là-bas, car un des plus grands photographes du monde si était installé, dans le château de la ville, réputé pour sa magnifique architecture. C’est ainsi qu’une centaine de mannequin, ainsi que ma mère et moi (après évolution) partir pour Vaduz, pour les shooting qui ont duré plus d’un an et demi, pour les collections été-hiver et de nouveau l’été. Ma sœur quand a elle, a eut plus de chance que moi car elle est née à Tokyo, première plus grande mégalopole du monde, capitale du Japon. Mes parents venaient de quitter la Corée du sud que mon père a habité durant quelques années avant de rencontrés ma mère et de partir pour les Amériques. Elle est née le 14 juillet 1987, le jour de la fête nationale française. Nous avons été gâtés, elle et moi, pour nos prénoms, car ils sortent plutôt de l’ordinaire. J’ai eu la chance d’hérité de Hadès dieu de la mort et de l’enfer, qui représente pluton chez les romains, ainsi que d’Héphaïstos dieu du feu et de la métallurgie il fabriquait les armes pour les dieux de l’olympe mais il recherchait la paix, ce qui est très paradoxale. Quand à ma sœur elle a la chance de se prénommer Perséphone Calypso Athéna Hippolyte. Perséphone était la déesse des souterrains, autrement dit des enfers, comme moi. Calypso était une nymphe des mers, ainsi qu’Athéna la déesse de la guerre et de la sagesse, elle est identifiée par Minerve par les Romains. En comparaison à moi, ma sœur à prit les traits de mon père, c'est-à-dire occidentaux, quand à moi je suis typé comme ma mère, à la coréenne mais je ne m’en plein pas, il y aurait pu y avoir pire. Notre seul problème, à elle et à moi, nous avons un accent. Un petit accent coréen qui rappel que nous ne sommes pas totalement américains, mais pas totalement coréens. Nous avons la chance de savoir parler l’anglais couramment ainsi que le coréen. Mais grâce aux voyages de mes parents, ils ont acquis des compétences linguistiques hors du commun. Nous avons donc plusieurs langues parlées couramment à notre arc comme, l’espagnol de mon père, l’allemand de ma mère, le français quelques bases par mes deux parents, ainsi que le russe de mon père.

C’est ainsi que nous commencions notre vie à 4, mes parents ne souhaitant plus avoir d’enfant ou plutôt mon père n’étant plus en âge d’avoir des enfants. Je ne vais pas mentir, j’ai eu une très bonne vie, j’ai toujours eu tout ce que je voulais, eut des parents qui étaient là pour nos anniversaires et nos noël, mais pourtant nous n’avons jamais eu véritablement une vie de famille. C’est notre femme de ménage qui nous élevait quand nos parents partaient à droite et à gauche pour les affaires, c’est ainsi qu’à mes 15 ans, je décidais de partir vivre ailleurs. Avec tout l’argent que mes parents m’avaient donné j’avais de quoi m’acheter une villa pour moi tout seul, pourtant je préférais partir à l’aventure. Je n’avais jamais eu la chance de rencontré mes grands-parents coréens qui étaient contre l’union de mes parents. C’est ainsi que dans le livret de famille de ma mère je retrouvais les noms de mes grands-parents, ainsi que celui de ses frères et sœurs, dont une sœur qui était décédée. C’est comme ça que sac sur l’épaule, les poches pleines que je partis en Corée du sud à la rencontre mes grands-parents. Je ne suis pas très liens familiales, mais pourtant j’avais envi de connaitre un minimum ma famille. J’ai eu la chance de les rencontrés, cela n’avait pas été facile. Ils étaient contre au début, me traitant de « mauvais fils » « d’enfant maudit » et autres termes blessants. Pourtant avec acharnement et étant, tout de même, la chaire de la chaire de leur chaire ils acceptèrent de me recevoir dans leur maison et c’est ainsi que nous avons apprit à nous connaitre. Je suis resté chez eux durant deux années, dont ma sœur m’avait rejoins un an avant. Nous avions reprit nos études là-bas pour ne pas prendre du retard. Mais je ne bossais pas, comme je ne bosse toujours pas. J’ai cette facilitée a tout retenir quand une personne me parle, je suis d’une logique imparable, je suis surdoué, quoi ! J’ai aussi apprit là-bas à courir les filles et à les draguer, les coréennes sont plus mignonnes que vous le pensez. J’apprenais aussi à prendre soin de moi et à être beau, c’est pourquoi maintenant je suis irrésistible. Maintenant, je parle très souvent avec mes grands-parents maternels avec qui, moi et ma sœur, avons lié un étrange lien, mais indestructibles.

Ainsi après deux ans en Corée nous étions revenus ma sœur et moi. Les Amériques ne nous manquaient pas, mais nos parents si. Même si nous ne les voyions pas souvent, nous savions qu’ils fessaient leur possible pour être présent, c’est ainsi qu’après notre retour de Corée, nous étions partis tout les quatre en vacances en Floride, pour la première fois de ma vie j’avais réellement apprécié des vacances.

Malgré le fait que je suis un grand dragueur, j’ai quelque chose auquel je tiens énormément, ce sont mes livres. Je suis se que nous pouvons appeler, un rat de bibliothèque. Je pourrais passer des heures dans une bibliothèque sans me lasser. Après une année de lycée aux USA je pu finalement intégrer l’université d’Havard, alors que ma sœur, elle, avait été prise à Polytechnique a Paris. Son rêve avait toujours été de vivre en France, aujourd’hui son rêve c’est réalisé. Elle s’est mariée il y a deux ans et a eu un petit garçon qu’ils ont appelé, Louis. Son mari est un français qui étudiait aussi à polytechnique, c’est ainsi qu’ils se sont rencontrés. Ma demi-sœur, Ashley, c’est elle aussi marié il y a quelques années maintenant, avec un russe et a eu trois enfants, deux filles et un petit garçon qu’ils ont appelé, Regina, Elena et Desya, ils vivent actuellement a Moscou. Je leur rend visite régulièrement pour les vacances.

C’est ainsi que c’est passé ma vie, durant 22 ans … Palpitant, non ? » […]

Je suis pas encore mort, alors les « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfant », ne sont pas pour tout de suite !