there's no way that I could share you (calypso)

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La princesse Zéphyr n'était pas full of friends. Il faut dire qu'avec son caractère de camionneuse et ses manières de garçon élever dans un ranch, c'était assez dur pour être d'avoir des copines so girly. La personne de Palmyr avait été un miracle parce qu'elle arriver à la supporter sans rouler des yeux une seule fois, et celle de monsieur Calypso thomspers-Leroy également. C'était les deux seules filles dans tous ce vaste univers qui n'avait pas envie de dire : ta gueule, à la princesse dès lors ou elle prenait une bouffer d'air frais. D'ailleurs, pour remercier de cette gentillesse, Zéphyr avait offert un attrape rêve à Palmyr, afin qu'elle arrête de gigotter dans son someille et ce réveille en sursaut, tel Harry Potter après avoir vu les penser de Lord Voldemort. Et pour sa petite Calypso qui lui manquer énormément, elle avait invité à une soirée mexicaine entre fille. Ce soir là, t'avais un chapeau immense et une moustache de péruvien, ainsi que l'espère de poncho qui aller avec. Drôle d'idée lorsque la moitié des filles du restaurant était en robe tellement courte qu'en passant à côté d'elles, Zéphyr pouvait entendre leurs chattes miauler. T'avais demander à Caly de venir pour vingt trois heures, quand les Burito Hours sont passer et que l'ambiance était à son comble. Lorsque tu la voit arriver, tu lui tend son chapeau accompagner d'un sourire qui rendait tout de suite pervers pédophile avec cette moustique. « Hola Chica, prête pour une soiré gusta la banana ? » ton niveau d'espagnol laisse à désirer. Tu fait signe au serveur qui s'empresse de vous servir deux Margarita.

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Je venais à peine de rentrer de mon voyage en hôpital psychiatrique que je recevais un message de ma petite Zéphyr adorée. Elle ne m'en voulait pas de mon absence et je comptais bien la remercier même si au fond je n'y étais pour rien. Étais-je prête à lui annoncer ma maladie ? Honnêtement, je ne savais pas. J'en avais parlé à Leo avant, heureusement, je voulais qu'il soit le premier à savoir. C'était important pour moi de lui dire en premier, j'avais pas de famille à qui en parler, je ne parlais plus à Elizabeth alors il me restait mon copain et mes amis. Et Maxine mais elle était occupée de son côté, j'osais pas la déranger. J'étais pas l'amie idéale pour le coup mais j'essayais de garder le sourire, de continuer à m'amuser. Quitte à crever dans un an autant jouer le jeu à fond. J'avais déjà perdu à la roulette russe mais j'avais la chance d'avoir un sursis. Puis j'avais quelque chose à lui demander puisque Wade venait de me prévenir qu'il partait de la colocation, j'me voyais mal passer mon année en tête-à-tête avec Charlie même si je l'aimais bien. Il y avait toujours de l'ambiguïté entre lui et moi, je pouvais rien y faire, c'était comme ça depuis le début de notre relation. J'arrivais donc avec une jolie robe longue mais décontractée, repérant la jeune femme du premier coup d'oeil. Elle était mignonne avec son chapeau, au moins elle se démarquait. C'était ce que j'aimais chez elle : elle ne se prenait pas la tête mais en même temps, elle savait ce qu'elle voulait. Un petit bonhomme, comme moi. Je prenais le chapeau avant de tourner sur moi-même. Hola senora ! J'te répondrais bien espagnol mais j'suis une bouse alors… j'suis toujours prête pour une soirée gusta la banana dis-je en rigolant parce que malgré mon piètre niveau je savais que ça ne voulait strictement rien dire. Tu vas bien ma belle ? Tu m'as manqué dis-je avant de la serrer dans mes bras. J'étais en train de gigoter sur place. Après on danse hein ? Promis ?

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Un énorme sourire ce dessine alors que la belle Caly fait son entrée. Tu te redresse pour al serré fort dans tes bras, comme il se doit. Tu avais le cœur lourd lorsqu'elle t'avais annoncé qu'elle ne serais peut être pas là pour le Summer Camp, tu t'imagines mal passer tout l'été sans voir ta blonde préféré. J'veux dire, qui va être là pour tenir des cheveux pendant que tu vomit ? Ou encore quand vous allez attaquer les ben&jerry's tout parfum ? Et les shoots de téquilla à la fraise tagada ? Il te fallait ton acolyte, ta moitié ! « Je suis contente, contente, contente ! » dis-tu alors que tu prends place en face d'elle, pour boire un coup de margarita. Vous avez l'air ridicule avec vos chapeaux, et ta moustache, mais c'était ça non la jeunesse ? Faire n'importe quoi et le regretter quand on a 35 ans et plus un poil sur le cailloux. « ça peut aller. T'sais que j'avais nul part ou dormir quand je suis arriver en Arizona ? J'avais oublier de prendre une caravane, et c'était trop difficile pour moi de demander des colocs, du coup je suis aller dormir dans l'arrière boutique de l'épicerie. Et c'est Alexandre qui m'a trouver. » Ta phobie sociale t'empêcher de demander une caravane, alors tu préféré rester seul que de déranger les gens. Tu lèves un sourcils lorsque tu parles d'Alex, ton ex, le fameux, dont tu parles sans cesse parce que ô combien il était doué au piiiieu. « Et toi ? Ton mini trip, il était bien ? J'sais plus ou t'étais aller ? Et Léo ? J'lai surveiller t'inquiète, à part le bain de minuit avec Charlie, il a rien fait de grave. Elle était en kiff sur ce frère de toute façon, t'sais celui que t'as tabasser au bal. » PETIT MOMENT SKYZO DE ANGE KESKIA, RIP TOM HALBERSWAG. « Bien sûr qu'on va danser, par contre faut que je suis un peu plus bourrée que ça, sinon j'arriverais pas à faire le grand écart. » Oh bah oui, le moon walk c'est pas top quand on à les deux pieds sur terre, sinon ça serais appeler terre walk.

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Elle était super heureuse de me voir et le plaisir était plus que partagé. Si tu savais à quel point je le suis aussi ! dis-je à la jeune femme avec un sourire aux lèvres. C'était une petite ambulante Zéphyr et pourtant je l'adorais, enfin disons que ça me plaisait son petit côté foufou. Parce qu'à côté de ça elle savait être sérieuse, il ne fallait pas lui marcher sur les pieds et c'était tant mieux, je supportais de moins en moins les filles qui avaient besoin d'un homme pour se défendre, qui pleuraient pour un rien et qui vivaient avec l'argent de papa et maman sans réfléchir. Bref, j'aimais pas les pouffiasses quoi. Puis j'explosais de rire lorsqu'elle me racontait ses mésaventures ! Ça ne m'étonnait même pas. Sérieux ? T'es un boulet il fallait demander, comment tu as fait pour la fin du summer camp, tu vas pas me dire que tu as passé tout l'été à dormir là-dedans ? demandai-je toujours en rigolant. C'est qui Alexandre ? J'me demandais si elle parlait de Alexander que je connaissais mais ça devait être une autre personne puisque le « r » n'était pas au bon endroit. Elle me demandait où j'étais partie, sûrement qu'elle avait cru que je partais en vacances quand au début de l'été je lui avais souhaité bon voyage lui expliquant que je partais aussi. Je n'étais pas censée savoir qu'elle était inscrite au Summer Camp aussi puisqu'elle avait oublié de réserver une caravane. Zéphyr le boulet que j'aimais, as always. J'étais en vacances… dans une petite ville que tu connais pas. J'avais envie de tout lui dire au fond mais j'voulais pas cramer l'ambiance qui était cool. Plus tard. Ouais j'ai entendu ça, la douche avec la Quincy, j'te jure que je l'ai bien agressé par texto… elle fait sa petite sainte marie ni touche, mais j'y crois pas une seconde. Ah oui je vois. Décidément c'est une obsession pour elle les Halberstam, faudrait lui dire qu'ils sont pas riches hein ! Bref, elle me soûlait cette blonde qui ressemblait à une girafe. Je commandais des shooters afin de répondre aux exigences de la demoiselle. Et bien je vais essayer de te souler alors ! Sec ? J'attrapais le shooter avant de boire son contenu d'un seul trait. Mais avant que tu sois complètement à l'ouest j'aimerais te demander quelque chose… tu loges où l'année prochaine ?

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Vous vous êtes bien trouvez tout de même Caly et toi. Toi qui penser rester seule pendant toutes tes années universitaire, tu as finalement trouver chaussures à ton pied. D'ailleurs, c'est comme si vous vous êtiez jamais quitter, l'une à côté de l'autre, votre joie de vivre formant une bulle d'amour autour de vous. QUOI ? Tu lui a jamais parler d'Alexandre Hamilton ? Peut être tout compte fait, quand vous vous voyez tu préfères qu'elle te raconte sa vie c'était bien mieux. « Alexandre Hamilton, c'est le gars avec qui je suis sortit quand j'étais à Columbus avant d'arriver à Harvard, j'ai du faire six mois là bas à tout casser et j'ai tout casser. En parallèle je sortait avec Austin Da Silva, je sais que tu me juge mais j'étais ce genre de fille là en première année, celle qui enchaîner deux mecs en même temps, un le lundi et l'autre le mardi, j'ai honte. Mais entre Austin et moi ça a toujours été Calienté et ambiguë, comme si il avait toujours envie qu'on baise sauvagement sur une plage chaude ou dans des draps au parfum lila... ça m'émoustille rien que d'y penser. » BON, t'avais dix huit ans, le monde était grand, les mecs t'avaient jamais trouver jolie et d'un coup ils se retournent tous sur ton passage en te voyant arriver, normale que tu te sente comme Beyoncé et que tu décides de te la jouée catin des bois, mais c'est finit tout ça. « J'ai une nouvelle proie, Martin Pecek, Palmyr est déterminer à croire que je l'aime, mais il me soûle juste. Il a baiser une meuf la semaine dernière, et il en a embrasser une autre le jour suivant et j'étais juste en mode : je vais le tuée. Je sais que c'était un peu comme ça entre Léo et toi, mais il est pas assez attachant que Léo, il est attachiant. » tu hausses les épaules et bois le fond de ton verre de margerita, après avoir raconter ta vie, t'essaie de tirer les asticots du nez de Calypso. Un voyage seule, alors qu'elle n'aimais pas forcement la solitude, sans en parler, ni à Léo, ni à Elizabeth, ni même à Maxine, et revenir un mois plus tard un peu à l'incognito ça cacher beaucoup trop de chose pour que ce soit juste « un voyage », mais tu la bouscule pas, non faut jamais bousculer Caly, elle s'auras s'ouvrir quand il le faut. Alors vous changez de sujet, Léo, Charlie, oh Léo une vrais plait à suivre. « C'est une Quincy elle aurait fait, d'après son profil facebook elle est en couple avec son coloc, weird, je me verrais pas vivre avec mon copain. » quoi que t'as tout de même squatter la caravane de Martin pendant deux semaines. Quoi qu'il en soit, vous parlez de colocation justement, ton lieu de vie, c'est une grande question. Tu vivais un peu partout l'année dernière, t'avais pris une chambre dans lequel t'avais dormis deux fois à tout cassez et tes parents avaient insister pour que tu prennes l'appartement de mamie, mais ça sentait le vieux. « Je n'en ai aucune idée, pourquoi ? Tu veux enfin qu'on s’achète une maison dans le  New Jersey et qu'on ai un gros chien ? Depuis le temps que je te le demande. » dis-tu en riant, les téquila débarque et tu te dandine sur ta chaise avant d'en prendre un. Comme d'hab, un peu de sel sur la paume de ta main que tu lèches en vitesse, cul sec et le citroooon. « A TA SANTER BEBE ! »

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Elle m’expliquait qui était cet Alexandre et j’essayais de suivre ma chère amie qui parlait assez vite. J’avais déjà de l’alcool dans le sang quand même et c’était bien connu : Calypso ne tient pas l’alcool, niet, rien du tout. Je rigolais à ses paroles, ça ne m’étonnait même pas et je n’allais à la juger, j’étais pas irréprochable non plus et elle avait bien eu raison de profiter, c’était fait pour ça la vie : la vivre à fond afin de ne rien regretter. Puis lorsqu’elle parlait de ce deuxième jeune homme, Austin, elle ne semblait rien regretter alors je n’allais pas lui faire une remarque sur son comportement. Ah je vois, et tu revois encore cet Austin où il est pas à Harvard ? demandai-je puisque d’après ce que je venais de comprendre, le petit Alexandre lui il y était. C’est toujours bien un mec caliente quand on est jeune, ça permet de découvrir pas mal de trucs super cool ! dis-je avec un clin d’oeil à l’égard de la jeune femme. Puis elle me parlait de sa nouvelle proie et là je manquais de m’étouffer avec mon verre. Martin, c’était également, outre sa relation avec Zéphyr, le mec qui venait de rejoindre notre colocation. Celle que je voulais proposer à Zéphyr, et merde. D’un seul coup j’hésitais mais c’était trop tard j’avais déjà demandé où elle allait habiter l’année prochaine je ne pouvais pas revenir en arrière puis à choisir, je préférais prendre ma jolie brune plutôt qu’un mec que je ne connaissais pas du tout encore. Mais j’avais déjà dit oui, j’allais donc essayer de m’arranger. Il y avait une fille aussi, elle s’appelait Echo, j’espérais que de ce côté là c’était plus tranquille sinon je n’étais pas sortie de l’auberge avec toutes ces histoires. C’est un chaud quoi, j’vois le genre, mais tu es amoureuses ou pas ? Je disais rien sur le fait que je le connaissais pour l’instant. Ouais enfin Leo il va embrasser personne j’espère, sinon c’est terminé ! On est ensemble, on se trompe pas, c’était avant qu’il allait voir ailleurs. Et j’avais eu confirmation du fait qu’il n’avait rien fait lors de mon passage en Californie et je préférais le croire, de toute manière son comportement ne laissait pas penser à une quelconque tromperie de sa part. Elle ne me posait pas de questions sur mon voyage et pour l’instant j’étais contente de sa réaction, elle me connaissait par coeur et c’était sûrement pour cette raison qu’elle restait silencieuse. C’était pour ça que je l’aimais, elle savait me capter, me comprendre sans même me parler. Et franchement, dernièrement, j’avais besoin de ça. Ouais je sais avec Kol, l'ex de Elizabeth, mais bon j’suis sûre elle a déjà réussi à le tromper, c’est une chaudière ça se sent. Je rigolais avant de lui proposer ce que je voulais depuis le début même si ça allait être plus compliqué que prévu avec ces histoires de Martin, au pire ils étaient pas obligés de se parler hein. Moi j’voulais juste vivre avec ma meilleure amie tranquillement. Ah ça, ça serait mon plus grand rêve tu le sais bien, on fera ça un jour ! Je parlais au futur comme si j’en avais un, débile que j’étais. Non en fait je voulais te proposer de venir habiter chez moi, tu sais dans ma colocation, Wade part et il reste que Charlie, il y a donc de la place… beaucoup trop même. Le problème maintenant c’est que j’avais posté une annonce il y a deux jours et… ton cher Martin a proposé de venir habiter dans la colocation, j’suis désolée, je savais rien… dis-je avec un air désolé. Je l’étais vraiment en plus. Puis je prenais un shooter avec la jeune femme avant d’en recommander un en vitesse. Tu vas me retrouver par terre toi si on décide de faire ça toute la soirée !

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Amoureuse ? Ew, beurk, de ce mec là. Il est vraiment pas beau, genre physiquement, intellectuellement c'est le top, mais son visage est étrange et ses bras sont ramollie comme du beurre, c'est pas le top pour une fille au physique de déesse pour toi. Et puis, ce mot est vachement fort, c'est comme si tu pouvais pas vivre, respirer et que t'étais genre super obsédé par lui. Dans un sens c'est vrais, mais de là a dire que t'es amoureuse c'est peut être.. A débattre. « Je répondrais à cette question dans deux trois.. ans. » dis-tu en riant, t'as mis autant de temps à te rendre compte qu'Austin était un mec bien et qu'il aurait pu être le père de tes gosses, tes pauvres gosses qui seront élever dans la culture d'Harry  Potter et mangerons des ramens jusqu'à la fin de leurs jours. D'ailleurs si t'as des enfants avec Calypso, tu comptes bien les élever dans une grande maison ou ils peuvent gambader librement, sur le dos d'un gros chien qui s’appellera Marley. Tu seras ingénieur pour une fac et elle aura son propre cabiner de vétérinaire. Elle rentrez plus tôt étant donner qu'elle aura fait en sorte de prendre des gens pour la remplacer, joué avec mini Zéphyr et Calypso Jr et Marley, faut pas l'oubliée. Le dimanche ce seras poulet et frite, et dodo en face de la cheminée qui sera un plus beau spectacle que toutes les émissions de disney mélanger. « Ce serais le rêve, je nous imagine toi et moi, et le reste du monde à la poubelle. » dis-tu dans un sourire, en posant ta main sur la sienne, son annonce à l'air importante, tu faut de gros yeux en entendant sa proposition, mais déchante lorsque le nom de Pecek entre en jeu. OH NON VIVRE AVEC LUI CE SERAIS HORRIBLE, mais vivre avec Calypso c'est le rêve ultime, tu es torturer, totalement torturer, mais la réponse reste évidente, c'est ta meilleure amie après tout, ton âme sœur. « Ce serais un PLAISIR, de vivre avec Charlie et toi. On s'en fou de Pecek, il aura qu'à aller vivre chez sa meuf, t'sais que c'était une cliente à la base ? Elle s'appelle Echo je crois, ou un truc dans le style. - non tu savait très bien qu'elle s'appeler comme ça, t'as arpenter toutes les donner que tu as trouver sur les réseau sociaux, jusqu'à en savoir son signe astrologique. - Mais à une condition, je viens vivre chez toi si tu m'autorise à venir dans ton lit pour dormir en cuillère ? » owiii, c'est le keaf total ça. Les draps de Calypso sente si bon, et tu adores dormir avec quelqu'un coller sur ton dos, c'est comme si aucun monstre ne pouvait te manger. Tu prend un shoot et ris de plus belle avant de  portes ton attention sur les traits du visage de Calypso, elle avait quelque cerne – on en a tous en période de vacance, c'est genre je dors jamais, et je fait la fête, mes nuits sont courte – mais c'était pas ce genre là, c'était la fatigue, et elle remet constamment sa mèche derrière son oreille et ses yeux vague entre toi et le vide qui se trouve derrière toi. Instinctivement tu sors un : « Qu'est-ce qui va pas ? Tu me caches quelques chose. Quelques chose d'important. » autre chose que la demande de colocation, y avait autre chose, de plus personnelle comme.. OH MON DIEU. « Calypso t'es enceinte ? » dis-tu en faisant des gros yeux.

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