Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityÔ rage ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? ft Liz
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Ô rage ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? ft Liz

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Sur le reggaetón, le corps et l'esprit s'évadaient sans chercher où aller. Rendus libres pour quelques instants, on en oubliait presque ce sourire béat que l'on porte sur le visage, simple réaction à l'alcool en soit. Il souriait Eugene mais se sentait meurtri à l'intérieur. Il buvait alors, buvait comme un trou, se mettait un coup dans le nez, remplissait sa poche, tant d'expressions pouvaient être utiles ici pour décrire cet état d'ébriété. Grace n'était pas loin heureusement, mais il ne fallait pas compter sur elle pour qu'elle mette un ola au jeune homme sur ses consommations, tout comme il ne fallait qu'elle-même ne compte pas sur lui. C'était facile de mettre cet amour de l'alcool sur le fait qu'il soit Mather, donc impur et un déchet. Eugene avait bien souvent démontré sa classe et son intelligence dans son sens de la répartie. Tout comme il avait maintes fois montré cette addiction aux bonnes choses. Pouvait-on être un gosse de riche classe mais un gros alcoolique par amour ? Amour de la boisson d'abord, puis par simple amour. Par peine. La musique continuait à faire vibrer le jeune homme quand il fit tomber son verre par terre, le liquide vint le faire glisser et il se retint avec ses mains. Il ne le remarqua pas de suite, mais un bout de verre s'était incrusté dans sa paume. Aïe, aïe bordel ! Il se dirigea vers le bar, passa derrière le comptoir et se désinfecta à la vodka. Les clients le regardaient désabusés, les serveurs encore plus. Il se sentit saisi et fichu dehors. Très vite il se retrouva à l'extérieur, l'air frais lui redonnait à nouveau envie de respirer. Il regarda sa main, tiens, les videurs lui avaient quand même mit un pansement. Pourquoi ne l'avait-il pas senti ? Vous m'direz, là, Gégène ne ressentait rien, il était blessureproof. « Tsss » fit-il avant de s'en aller. Puis il retomba plus loin, se releva et retomba. Au bout d'un moment, l'herbe lui paraissait agréable, alors il resta là, à humer la rosée du petit matin. Grace viendra le chercher, il pouvait se reposer sur ce petit bout de pelouse. Il se sentait mieux, la tête ainsi fourrée dans l'herbe.
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Tu n’aurais pas dû boire autant. Bon ça va, tu n’es pas au point d’être ivre morte, mais on va dire que t’es bien pompette. Ce qui te rend plus joyeuse que la normale. Déjà que t’es joyeuse comme fille habituellement, là, c’est puissance mille. Je vous laisse imaginer. Tu pourrais sauter, crier, te rouler par terre de joie à la simple vue d’une étoile filante dans le ciel. Enfin bref. Tu étais sur le chemin de retour à ton chalet. Dans le noir et le peu de lumière qu’il y a autour de toi, vive les campings. T’arrive pas trop à retrouver ton chemin et tu as l’impression que tous les chalets se ressemblent. Great. Tu n’étais pas prête de retrouver ton lit. Non mais il est où chevalier Antwan pour sauver sa princesse ? Jamais là au bon moment lui. Les hommes, je vous jure, tous des lâches. CS l’a dit lui-même dans son article, pour une fois que tu es (presque) d’accord avec lui. Cela fait genre dix minutes que tu cherchais désespérement où était ton chalet quand soudainement, t’aperçois au sol, une silhouette allongée à terre. Paniquée que quelqu’un soit mort (ou tout simplement évanouie, ou allongée par terre, mais tu avais oublié cette hypothèse pompette, tu as tendance à tout exagéré.) Tu t’approches de l’ombre avant de tomber à genoux sur l’herbe « Youhouuu ! On est vivant iciiiiii ? » mais.. mais c’est Eugene, il a mauvaise mine dit donc « Eugene ? Ca va ? »
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Etait-ce une motte de terre ou une sécrétion animale qui trônait fièrement en face de son nez ? Que ce soit l'un ou l'autre, ça ne changeait rien au fait qu'Eugene y voyait à la place un beau gâteau au chocolat. Peut-être qu'avec quelques bougies il pourrait célébrer le jour de l'indépendance avec quelques journées de retard ? L'herbe était douce, lui enlevant toute envie de manger mais plutôt de dormir. Les paupières étaient lourdes, le coeur battait moins en moins vite, il était comme un serpent, il refroidissait son corps histoire d'être bien confortable pour faire la sieste. Grace viendra, elle vient toujours, ils sont reliés télépathiquement, surtout quand ils ont fumé et bien bu. Il se sentait bien allongé de cette manière mais ses poches le dérangeaient de plus en plus, elles étaient de toute évidence remplies d'objets divers et inutiles. Avec nonchalance, il roula sur sa gauche, face au ciel, histoire que ce soit plus simple de vider ses fouilles. Tiens un téléphone avec un fond d'écran cucul la praline de son homme lui faisant un bisou. Aux abonnés absents depuis un moment, Elio manquait à Eugene, et ce dernier s'en rendait malheureux. le mariage avec Calypso était toujours d'actualité il parait, et ça, ça frustrait Eugene. Allez, adios téléphone, il le jeta plus loin sur la route. Tiens, dans l'autre poche c'était son porte-feuille qui prenait toute la place et l'empêchait de sommeiller, allez, adios money. T'façon, son père lui refera ses cartes en espérant ne plus avoir de nouvelles de son échec de gamin. Il ferma les yeux quand il entendit du mouvement, on marchait à sa rencontre puis BOUM c'était comme si un éléphant venait de se faire abattre à ses côtés. Il ouvrit les yeux et entendit alors la voix alcoolisée d'Elizabeth. Les deux étaient amis même s'ils ne le manifestaient pas tout le temps dû à la rivalité les reliant à certains amis. Comme Calypso, toujours elle. « Tu es tombée car t'as bu ou pour me faire un câlin ? » demanda-t-il avec un sourire aux lèvres. Il était content de voir en général la rouquine mais l'alcool aidant, il était complètement aux anges là.
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Mon dieu. Tu ne sais pas si c’était l’effet de l’alcool sur toi, mais Eugene avait vraiment sa tête des mauvais jours. Pour quelle raison avait-il bu ? Toi, tu ne sais même pas pourquoi, il n’y avait pas de vraie raison, c’était juste l’effet vacances sur toi, puis quand il y avait l’alcool gratos ou tu t’en tirais toujours pour l’avoir sans rien payer, il y avait no limit. Enfin bref. On récapitule la situation. T’avais cru qu’un mec avait été mort par terre, tu t’étais jetée au sol tel un mammouth et tu avais découvert un Eugene éméché. Tu ne peux t’empêcher de rire à ses mots. Déjà que tu ris tout le temps, là, il t’en faut peu pour exploser en éclat de rire. Ta main se pose dans l’herbe pour faire office d’appui et tu regardes le mather. Tu fais mine de réfléchir quelques instants. « Peut-être les deux. » bourrée tu pouvais distribuer un nombre incalculable de free hug. C’était portes ouvertes, toi qui était de tendance généreuse, c’était pire que la normale. « Nan mais en fait, je m’entrainais pour la scène de mon futur film qui me rendra célèbre, le tombé de mammouth pour sauver un homme complètement bourré » tu ris de ta bêtise. « C’était réussi non ? » tu demande un sourire rayonnant sur ton visage.
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Se sentir aussi euphorique était libérateur, limite s'il tendait les mains vers le ciel il aurait l'impression d'y caresser les étoiles. Peut-être même d'en décrocher une et de la lancer tout droit sur la lune, faisant donc des ricochets, bouleversant même peut-être l'ordre interstellaire ! Des idées que seule la vodka en abondance pouvait mettre dans la tête d'un jeune homme perdu, sur une pelouse, qui venait d'accueillir à ses côtés une amie rouquine. Le fait qu'il puisse respirer le même air qu'Elizabeth relevait du succès, il détestait sa femme d'une force inimaginable et pourtant leur amitié en restait intact. C'était drôle comment pouvait être la force des choses, des fois il se disait que même avec Grace il pourrait réussir à s'embrouiller à cause d'un de ces mecs. La rouquine avait le don de faire rire son audience, et Eugene, imbibé d'alcool, n'était pas mauvais public. Il applaudit vite, comme pour souligner une véritable prouesse artistique. « Si avec ça on t'appelle pas Dumbo, je comprendrais pas ! » ricana-t-il ensuite, se reposant un peu. Déjà en quelques secondes elle avait réussi à lui faire soutirer plus de rire qu'à l'accoutumé. « Ouais, dommage que tu ne puisses écraser Calypso la prochaine fois » se désola-t-il, sachant qu'il n'était pas bon de parler d'elle dans cet état. Mais il n'y pouvait, elle était source de tant de problèmes cette fille-là. « Tu as quelque chose à célébrer ? » lui posa-t-il ensuite, tournant son visage vers la jeune femme. Avec la lune, ses tâches de rousseur se convertissaient en véritable petits ensemble d'astres. Très vite, il repensa à son délire d'étoile, de comète et de chamboulement du monde.
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