CHELSEA ♥ it's the night of a winning game

Hunter & Chelsea

« it's the night of a winning game »

La sueur me caressa le front avec abondance. Il fait chaud dans l'aréna et surtout que les Bruins vont jouer très bientôt. La partie est presque terminer et dois absolument faire trois points pour terminer cette partie. Notre entraîneur est vraiment à boue de nerf avec les arbitres qui non pas arrêté de commettre des erreurs pendant tout l'après-midi. Le découragement de plusieurs se fait entendre partout. On les voies partir et je devais prendre une décision très rapide. La seule chose que j'ai pu dire pour redonner une confiance à mon équipe était le mot : persévérance.
Il n'y avait pas plus inspirant qu'un mot comme celui-ci. Nous nous sommes replier un sur l'autre pour entamé notre cris de ralliement pour nous donner un brin d'encouragement. Marcus et Jayson se trouvais à côté de moi. Chacun de mes regards que je donnais à mes co-équipier m'indiquait qu'ils avaient un plan derrière la tête. Et s'est partie. J'ai gagner la mis au jeu pour donner le ballon à Marcus qui le donna à Jarvis un de mes défenseurs. Malcum demanda une passe et il la reçu avec justesse. Une punition se fit entendre pour les Rapteurs de Toronto. Enfin un geste d'honnêteté a été déposé et nous avions été choyer par l'arbitre. Nous avions gagner la partie un erreur qui à été vue juste. J'ai laissé un de mes co-équipier marqué les points gagnant de notre équipe et il me remercia pleinement. Nous avions quitté le terrain de jeu pour maintenant laissé les travailleurs enlever le planché pour laissé la place à la glace des Bruins. La douche m'attendais et honnêtement j'avais besoin de prendre un peu de fraîcheur. Nous avions parlé dans des entrevues rapides, mais tout ce qu'on voulait était d'aller fêté cela avec une grande fierté. J'enfila un jeans bien simple de couleur bleu pâle avec des chaussures sk8t que j'enfila le bas de mes jeans dans le soulier. J'entoura ma taille d'une ceinture en cuire noir et un chandail à colle V pour terminé le tout. J'enfila ma casquette Adidas sur ma tête qui n'a aucun cheveux. Chacun de nous avait sa propre voiture et j'embarqua trois de mes co-équipiers pour nous diriger vers le bar. Arrivé la-bas tout le monde sous félicitait et nous serra les mains pour signe d'encouragement pour la prochaine partie. Je me suis diriger vers le bar pour me prendre une bonne bière et je profita de cette belle soirée.

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Je m'étais décidé à aller regarde Hunter. Le match s'était révélé sérrée, ça avait mis du suspens et il n'y avait pas mieux que ça, quel bonheur de le voir faire ce qu'il aimait le plus. Hunter était le meilleur, tout du moins à mes yeux qui ne le quittaient pas, ce sourire béat que j'affichais lorsqu'il marquait, et même s'il représentait pour les amateurs de basket l'un des meilleurs joueurs du monde, pour moi il était Hunter, un ami avant tout.
C'était une surprise, je n'étais pas censée être présente mais plutôt réviser mes examens de fin d'année. Je n'étais pas étonnée des acclamations du public en leur faveur, ou des yeux illuminés des jeunes filles lorsqu'il leur accordé un vague regard, limite elle s’effondrait quand il souriait. Moi ça m'amusait plus qu'autre chose. Il semblait si concentré que je savais qu'il n'avait pas remarqué ma présence, et pourtant j'étais loin d'être invisible. J'avais opté pour une robe en soie Yves Saint Laurent a un prix aberrant, un peu de maquillage et des escarpins. Mes cheveux blonds étaient lâchés et m'arrivaient aux reins, j'avais envie de changer de couleur depuis un moment, je devais juste trouver le moment adéquate pour le faire. Le match venait de se terminé, et on m'avait informé que les joueurs comptaient prendre un verre et faire la fête dans un bar du coin. Une amie que j'avais emmené avec moi -ce qui autant dire est rare que j’emploie le mot "amie"- m'avait supplié d'y aller pour rencontrer Hunter qu'elle idolâtrait mais aussi essayait de s'amuser avec l'équipe. Je ne comptais pas raté cette occasion de le voir, d'autant plus qu'avec les révisions et lui ses entraînements j'avais l'impression qu'on ne s'était pas vu depuis une éternité. Et puis ça ne comptait pas, moi je l'avais vu, mais pas lui. J'acceptais alors que ma décision avait été bien prise avant et me dépêcha de me rendre au bar où l'équipe devait être arrivé depuis un moment.
Arrivé à l'endroit indiqué, j'entrais d'un pas assurant et me dirigeais vers Hunter que j'avais repéré au loin au bar. Mon amie s'était dirigée vers l'un des joueurs dont elle désirait un autographe.

"Félicitation champion."

lançais-je tout près de lui. Je déposais un baiser sur sa joue et m'asseyais à côté de lui en commandant une téquila.

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Hunter & Chelsea

« it's the night of a winning game »

S'était incroyable. La victoire était à nous et il nous manque plus d'une seule partie pour éliminé les Raptors de Toronto pour se prendre contre les Heats de Miami. La joie qui submergea mon corps était énorme et j'ignore comment l'exprimé aussi facilement. Malcum, Marcus et Jarvis on embarquer avec moi dans mon camion Ford que je me suis procurer il n'y a pas longtemps. Ma voiture était complètement devenue une simple dépouille à cause d'un crétin qui s'est endormi au volant. Par chance que je ne me suis pas trop fait mal et je porte depuis cette soirée là un bandage à l'entour de mon coude pour cacher mon bleu. Je n'ai pas mal, mais le bleu me gêne beaucoup et cela pourrai faire parlé les médias s'ils me verrait avec ça. Lorsque nous sommes arrivés, la fête pouvait commencer avec la diffusion des Bruins qui se prenne contre les Devils du New Jersey. Par contre, cela n'a jamais été mon équipe et même si vous croyez que l'Avalanche du Colorado est mon équipe, vous vous trompez. Les flyers de Philadelphie est mon équipe et je garde cela comme une explication personnelle. Je pris une gorgé de ma bière et j'entendis des mots qui provenait d'une voie douce et familière. La belle Chelsea était la et je crois bien l'avoir vue assis dans les estrades. Elle me donna un baisé sur la joue et moi je lui donna un regard remplis d'attention avec un sourire qui ne laissa rien cacher. Elle est magnifique ce soir. Je passa mes doigts dans ses longs cheveux blonds et je pencha ma tête un peu sur le côté gauche pour l'admiré.

« Tu sais qu'en ce moment, tu fais ma soirée ? » Lui dis-je en lui donnant à mon tour un baisé sur sa joue.

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La fête battait son plein et le bar commençait à être remplie de fan qui forçait l'entrée pour pouvoir rencontrer leur héros. C'était fou. J'aimais ce sentiment de puissance, de supériorité, d'être adorer et idolâtrer mais également redouté par ses ennemis. Ce n'était pas pour moi, ce n'était pas ma victoire et j'avais rien d'un héros. J'étais l'une des filles du campus qui était insupporté des bimbos et qui leur faisait voir l'Enfer le mieux que je pouvais. Ca faisait passé le temps, c'était déjà ça. Je pratiquais peu de sport. J'aimais le basket, mais ma petite taille m'empêchait d'en faire, j'étais carrément une feuille à coté d'Hunter, et d'autres sports collectifs mais par dessus tout le tennis. Le bruit de la balle, le fait de courir durant des heures pour ne laisser aucun point passé, j'sais pas c'est ma drogue dure. C'est ce sport depuis petit que je pratique, y'a rien d'étonnant là-dedans, les parents aisés inscrits en général leur enfant dans des sports comme ceux-là. Je le pratiquais à petite dose, car non merci pour me retrouver avec des épaules larges et carrés, y'a pas moins sexy que ça mais surtout lorsque j'avais le temps. Et puis je supporte pas le tennis féminin, elle hurle à chaque fois qu'elle touche la balle, et qu'est-ce que c'est mou !
Visiblement ma venue fait plaisir à Hunter, je le devine à son large sourire et son regard qui me dévisage. Une fois la téquila servit j'en bois de petite gorgée. Le geste attentionné d'Hunter me donne le sourire, d'autant plus la réponse qu'il me dit.

" Je me disais bien qu'il fallait un peu de folie à cette soirée. "

il se penche et m'offre un baiser sur la joue. Je souris, encore. Sa présence m'enchante, Hunter le sait qu'il a une place importante à mes yeux. J'ai peur de me faire tuer par ses fans. Ce serait bête, non ?

" Je dois en faire des jalouses Mr Novak. "

dis-je sans quitté mon sourire. J'ai l'impression que sa victoire change quelque chose entre nous, certes, j'ai toujours été très câline avec lui, j'ai jamais caché qu'il était très, très charmant, mais tout me fait penser que cette soirée risque de se terminer d'une manière inattendu.

" Tu as été génial, tu l'sais ça ? Je suppose que oui."

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Hunter & Chelsea

« it's the night of a winning game »

Bien que je ne peux pas m'offrir à tout le monde, Chelsea et bien la fille que j'aime me confier parce qu'elle est la première personne que j'ai rencontrer lorsque j'ai mis les pieds sur le campus pour aller porté mes travaux. Oui, je fais mes études en ligne à cause de basket, mais cela me donne une belle image parce que je n'ai jamais laissé tombé mes études. Elle m'a aidé pour trouvé mon chemin vers les bureaux d'administration de l'université. Nous nous sommes rapprocher avec le temps et aussi que beaucoup de jalousie se trouve à l'entour de nous, mais je me fou de ce que tout le monde peut bien me dire. Les gars me donna tous un regard avec un sourire pour me niaisé un peu, mais bon je fais la même chose avec eux. Je ne me gêne pas quand j'impose des gestes envers quelqu'un et surtout quand on commence à parler de ma soeur d'une manière très déplacé. Je viens extrêmement furieux. Ma soeur et ma mère sont les dernières personnes qui me reste et normal parce qu'elles sont très importante dans ma vie.

« Mr. Novak. Voilà qui est intéressant. On ne m'a jamais appeler comme ça avant. J'aime bien. Cela donne comme un charme... » Dis-je en souriant.

Je sais que Chelsea peut être une vrai lionne quand elle veut pour se défendre et aussi pour démontrer que cela est bien sa personnalité de tous les jours. Tout comme moi, nous étions toujours collé l'un à l'autre et même si notre relation était simplement que de l'amitié, ce soir s'était un scénario complètement différent. Je pris une deuxième gorgé qui descendit avec fraîcheur le long de ma gorge. Je lui donna un regard attirant, car ce soir elle me donna une attirance que je ne peux pas expliqué.

« Ce n'est pas mon genre de me venté quand c'est simplement mon travail que je fais. »

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Ce fin sourire ne me quitte pas. Décidément j'ai mieux fait de le rejoindre que de travailler. Et pourtant je ne préfère pas penser à ce qui nous attend même si je l'appréhende. Où allons-nous à se chercher du regard de cette sorte ? Avec ces gestes tendre à la vu de tous ?Il sait très bien que je ne suis pas sérieuse, je sais très bien qu'il collectionne les femmes. Est-ce que je serais la récompense de cette magique victoire ? Le mieux est de ne pas y songer, je ne me pose pas des questions qui sont difficiles à obtenir des réponses. Je vis le jour au jour, et ce soir qui sait comment va tourner notre relation platonique. Hunter a toujours été très câlin, affectueux à mon égard, ses gestes ne m'étonnent plus, mais c'est l'ambiance qui règne qui est tout autre. Ce n'est plus une amitié comme une autre, on s'enfonce dans de l'ambigu. Je bois une gorgée de ma téquila qui n'a pas un bon effet sur moi. L'alcool je ne supporte pas, c'est simple, quelques verres suffisent à ce que je danse sur la table et chante à haute voix. Mais pas question que ce soir ça se produit, et pourtant j'entame déjà mon second verre de téquila. Je ris, une fois de plus.

"Et en plus tu es modeste. Serais-tu l'homme parfait ? "

demandais-je doucement. Non, il ne l'était pas. Aucun homme ne l'était, et la perfection serait bien trop ennuyante. C'est les défauts de chacun qui attisent la passion bien qu'elle peut finir par l'éteindre. On pourrait dire que je suis jalouse, ce soir non, en aucun cas. C'est elles qui le sont quand elles le voient à mes côtés. Notre relation fait jasé, mais je m'y suis habituée. Ce n'est pas nouveau, toutes les relations font parler. Et disons qu'Hunter représente plus un grand-frère, sauf ce soir, il est devenu mon défi.

"Alors Hunter, que comptes-tu faire de moi ? "

dis-je en toute innocence, bien que ça semblait ne pas l'être et que clairement j'étais trop une féministe (quoi que j'étais pas vraiment les filles de la fac) pour laisser la chance à un homme de faire ce qu'il voulait de moi.

[HJ : excuse-moi de mon post à chier et du temps que j'ai mise à te répondre, je me rattraperais]

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