∟LA FRONTIERE ENTRE NOUS, C'EST TOI ▬ leyhan

∟LA FRONTIERE ENTRE NOUS, C'EST TOI✗ C’est vrai que depuis que j’étais chez les Quincy je passais la plupart de mon temps avec la même personne, le même garçon, le même rayon de soleil, Leyhan. Lui et moi, c’était le ying et le yang, je pouvais pas me passer de sa présence, on ne s’était plus quitté depuis que j’avais vu ce jeune homme m’aborder chez les Quincy. Etant du même âge, on avait les même délires, je me souviens de tout ce qu’on pouvait faire, des batailles de mousses à raser, des crêpes à trois heures du matin, un appel dans la nuit juste parce qu’on voulait dormir tous les deux. Seulement voilà l’été était bien présent et on s’était un peu perdue de vue, j’avais du travaillé avant d’allé au Summer Camp. Mais à présent j’étais bel et bien là et il m’avait manqué, j’avais donc foncé au coin des caravanes pour pouvoir le rejoindre et lui faire la surprise. Je comptais bien dormir avec lui ce soir, rattrapant le temps perdu avec le jeune homme ! Je m’étais taper l’incruste dans la caravane, alors qu’elle semblait déserte je l’avais trouvé de dos, entrain de se faire à manger. J’entourais sa taille de mes bras et je glissais mes lèvres dans son cou. Bonsoir, jeune homme. Murmurais je un large sourire sur mes lèvres.

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La frontière entre nous, c'est toi

Cela faisait quelques jours pour ne pas dire semaines que le Summer Camp avait commencé. Lors de la dernière semaine de cours, tu avais enchaîné les gardes à la caserne - même si tu n'as pas vraiment besoin de gagner ta vie grâce à ton papi - mais tu avais besoin de te rendre utile d'une façon ou d'une autre en étant pompier. Ton côté Quincy qui prenait le dessus. Tu étais dans ta caravane en train de mijoter un bon plat à manger. Il n'y avait pire et mieux que toi en tant que cuisiner, mais ça allait faire l'affaire. Quand tu sais tes bras autour de toi. Rien qu'à sentir le parfum de la demoiselle, tu avais reconnu cette dernière. Trop absorbé par tes tâches, tu ne l'avais pas entendu rentrer dans ta caravane. Bordel, Arwën t'avait manqué. Tu l'avais rencontré grâce à ta maison puisque la jeune femme de vingt-deux ans était toujours seule dans ton coin. Les bisous dans le cou te donner des frissons. Tu te retournes en posant ta serviette qui était posée sur ton épaule pour la poser sur la rambarde de la cuisine déposant un baiser sur la joue de mademoiselle Sixten en prenant soin de t'abaisser vu que tu étais grand du haut de tes un mètre quatre-vingt-huit. « Bonsoir, tu restes manger avec moi ce soir ? J'ai préparé des pâtes à la carbonara. » Espérant que ça soit au moins mangeable.

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∟LA FRONTIERE ENTRE NOUS, C'EST TOI✗ Une fois que j’étais près de lui, je me sentais tout de suite bien, il faut dire qu’on avait pas l’habitude d’être séparé aussi longtemps, alors j’étais vraiment ravie. Je caressais son torse avant de sourire lorsqu’il me fit face et qu’il embrasse ma joue. « Bonsoir, tu restes manger avec moi ce soir ? J'ai préparé des pâtes à la carbonara. » Je lui souriais avec tendresse. Evidemment, d’ailleurs, je comptais même squaté ton lit, si ça te dérange pas. Je le regardais avec malice, tandis que je tournais sa sauce carbonara qui s’impatientait d’avoir perdu l’attention de Leyhan. Je le regardais alors que je comptais l’aidé, j’allais pas rester à le regarder simplement. Tu sais que tu m’as vraiment manqué, mon chat. Je le regardais dans les yeux quelques secondes tandis que je pouvais pas m’empêcher de penser à tout ce que j’avais gagner en faisant la connaissance de Leyhan, je me pinçais les lèvres tandis que je savais que je pourrais toujours compté sur lui, je tenais à Leyhan énormément, c’était aussi un très bel homme et puis nous avions les mêmes envie d’aider les autres. Alors comment tu vas ? .

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La frontière entre nous, c'est toi

Malheureusement, les deux amis ont dû être séparés pendant un long moment à cause des examens de fin d'année, mais aussi à cause de vos boulots – surtout le tien – qui est assez prenant puisque tu préférais travailler la nuit pour t'endormir au levé du soleil lorsque tu n'avais pas cours. Quelquefois, vous, vous croisez seulement en coup de vent. Maintenant que c'est les vacances, tu as tout le temps nécessaire pour profiter d'Arwën. Sentant les mains de la brunette aux yeux bleus sur ton torse, tu ne pouvais pas t'empêcher de bomber ce dernier. Tu n'étais pas le mec le plus musclé de la terre, mais tu avais tout ce qu'il faut sans en faire trop. En entendant le « Je comptais même squaté ton lit » Tu ne pouvais pas t'empêcher de te mettre à rire. Plongeant tes yeux verts, tu te plantes devant la femme de vingt-deux ans répliquant. « Qui a dit que je voulais de toi ?? » Tu étais bien en train de la charrier. Fallait reconnaître que tu dormais mieux quand la Quincy était à tes côtés. Te mettant à l'observer avec un regard taquin, tu viens la prendre dans tes bras pendant quelques secondes avant de dire. « Tu m'as manqué aussi. Je crois que c'est prêt. Espérons que ça soit bon. » Tout en disant cela, tu t'étais détaché de la demoiselle afin d'attraper deux assiettes, des couverts, deux verres, des sodas et de l'eau pour aller mettre la table dehors. C'était toujours plus agréable de manger dehors avec le petit air frais que dedans et crever de chaud. Après avoir installé tous les ustensiles, tu mets le plat préparé au centre de la table. Tout en te dirigeant vers l’extérieur de la caravane. « J'ai eu beaucoup de travail avant de partir au Summer Camp. Il n'y avait beaucoup d'incendies dû à la chaleur, mégot de cigarette. Je te sers ?? » Sans attendre la réponse d'Arwën, tu attrapes son assiette et attends qu'elle te dise stop pour que tu arrêtes de la servir, une fois la quantité voulue. « Et toi ça va ?? »

{ HJ : Pardon pour le retard

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La frontière entre nous, c’est toi.
Je faisais partie de la classe sociale qui à besoin de travailler pour ce payer des études dans la prestigieuse école de Cambridge, alors entre les cours, je filais souvent au bar pour travailler une grande partie de la nuit. Même cet été j’étais arrivée plus tard que les autres devant travailler. Maintenant, j’y étais et je comptais bien en profiter un maximum même si j’avais ce job de baby-sitting pour Matthew. Je me sentais tellement bien maintenant que j’avais de nouveau le brun face à moi, il représentait tellement depuis mon entrée chez les Quincy, ma vie d’étudiante ne serait sûrement pas la même sans lui. Mes mains caressant son torse, que je pouvais sentir musclé lorsqu’il le bomba, je ne quittais pas ces yeux du regard. « Qui a dit que je voulais de toi ?? . » Je me pince les lèvres en souriant finalement, en effet je sais qu’il se moque de moi parce qu’il est clair que lui comme moi, nous aimons dormir l’un contre l’autre, il a fallut que la première nuit, nous nous endormions dans le sofa des Quincy pour que ça se répète à plusieurs reprises. Je venais glisser mes lèvres près de son oreille. « Dommage, j’aurais pu m’occuper de toi. » Murmurais je, le taquinant. Je le regardais de nouveau et je me mordais la lèvre avant de le serrer doucement contre moi. « Tu m'as manqué aussi. Je crois que c'est prêt. Espérons que ça soit bon. » Je hoche la tête alors que je le suivais à l’extérieur, l’air caressa mon visage, c’était une sensation très agréable, je prenais place à la table, attendant qu’il revienne vers moi et qu’il prenne place à son tour. « J'ai eu beaucoup de travail avant de partir au Summer Camp. Il n'y avait beaucoup d'incendies dû à la chaleur, mégot de cigarette. Je te sers ??. » De nouveau j’hoche la tête pour qu’il me serve, alors que j’avais entendu parlé de plusieurs incendies, à chaque fois qu’il allait en intervention, mon coeur se serrait de peur qu’il ne revienne pas. « Merci. Tu as donc bien raison de profiter de ces vacances au Summer Camp. En ce qui me concerne et bien j’ai travailler au bar, puis là je viens garder la fille d’un ami tout en profitant du temps qu’il fait ici. Puis ça me laisse du temps pour te voir. » Je portais une bouchée de ces pates à mes lèvres et je dégustais finissant par sourire doucement. « Délicieux. »

Spoiler:

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La frontière entre nous, c'est toi

Quant à toi, tu faisais partie de la classe très aisée qui n'avait pas besoin de travailler. En effet, tu étais le petit-fils de Georgio Armani et bien sûr le prochain successeur est toi. Tu étais déjà riche, mais tu ne le montrais pas et garder les pieds sur terre. La preuve, tu tenais à aider les autres en exerçant le métier de Pompier. Tu avais ce besoin vital d'aider les gens, les plus démunis. Avec Arwën, tu faisais la paire en retombant en enfance, faisant les idiots même si tu ne pouvais pas nier qu'il y a une attirance entre vous et que vous n'avez pas encore franchi la ligne. Tu ne pouvais pas t'empêcher de la taquiner en te mettant à rire légèrement tout en bombant toujours le torse pendant que la brunette caressait ce dernier. Tu souris en sentant la longue chevelure noire qui chatouillait ton oreille. « Ah et je me demande comment. » Tu te retournes avant de plonger tes yeux verts dans ceux de la Quincy tout en la gardant contre toi. En tout cas, le repas avait l'air bon d'après l'odeur qui se dégageait. Une fois que tu avais servi Mademoiselle Sixten ainsi que ton assiette, tu commences à manger ton assiette assez vite, ne pouvant pas résister plus longtemps à la gourmandise du plat. Hors de question de rater ce plat qui vient de ton pays, c'est-à-dire l'Italie. C'est normal que la femme de vingt-deux ait peur lors de tes interventions, tu n'es jamais sûr de revenir sain et sauf. « Merci pour le plat, mais fait attention à ce qu'il ne t'arrive rien à cause du surmenage. » Tu regardes intensément la jolie brunette en mettant ton coude sur le bord de la chaise, tandis que ton menton était posé sur tes doigts. Tu sentais une sensation bizarre dans ton corps que tu ne pouvais pas expliquer. Observant chaque fait et geste de la demoiselle, te sentant comme hypnotisé par cette beauté. « Tu as encore faim, tu veux un dessert, un yaourt, peut-être du fromage ? » En disant ces mots, tu t'étais levé pour te mettre à la hauteur de la brunette afin de la chercher physiquement en déposant ton souffle contre sa peau douce que tu as pu toucher en la serrant contre toi. On dit souvent pour échapper à la tentation, il faut y céder. Puis part dans la cuisine comme si rien n'était. Il est vrai que tu aimais dormir en sa compagnie, cela t'éviter de repenser aux moments où tu étais militaire, tes coéquipiers morts au front; Et puis, il y a eu ces rumeurs comme quoi Arwën et toi formiez un couple à la Quincy House, ce qui est totalement faux.

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