Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityConcours d'écriture : Inversion des Rôles #2
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Concours d'écriture : Inversion des Rôles #2

Quel est votre texte favori ?

Texte 1
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Texte 2
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Texte 3
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Texte 4
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Texte 5
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Texte 6
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Texte 7
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Texte 8
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Texte 9
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Texte 10
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Texte 11
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Texte 12
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Texte 13
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Total des votes : 48 

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Inversion des Rôles #2 : Sondage



Coucou mes jolis chérubins d'ILH,

Le voici, le voilà, avec du retard et sachez que nous en sommes désolés, mais nous tenions à avoir le plus de textes possibles sachant que nous avions énormément d'inscrits, sans compter les nombreuses personnes qui ont passé leurs exams. De plus avec l'accord de notre précieux Staff, les points seront attribués à la rentrée et contribueront à la compétition des maisons comme les points du CAP OU PAS CAP 5.0 !

Par ailleurs, comme nous avions précisé dans le post de lancement du concours ici, les notes de fidélité ne seront dévoilées qu'à l'issue du Sondage. Et petit rappel, il y aura bel et bien deux gagnants pour ce concours :

- le texte vainqueur du sondage
- le texte le plus fidèle.


LES POINTS :

- 1er: 500 pts
- 2eme: 250 pts
- 3eme: 100pts


Et pour tout ceux hors du podium qui nous ont envoyé un texte : 50pts.


Enfin, à compter de ce jour - nous sommes très exactement le Samedi 1er Août 2015, le sondage sera effectif jusqu'à la prochaine maintenance du forum !

Nous vous laissons maintenant découvrir la totalité des textes que nous avons reçus et choisir celui qui vous plait le plus.

Puisse le sort vous être favorable !


C'étaient les Animateurs d'ILH, en direct de leur planète, qui vous disent SAYONAAAAAAAAAARAAAAAAAA 👋

PS : Pour que ce soit équitable, les personnes ayant des Mutlicomptes (MC) ne pourront voter qu'avec un seul de leurs persos.



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Le Sondage


 


Voilà les premiers textes du sondage mes amis :


Texte 1: Ce texte représente Irina Dostoïevskaïa


Le supermarché ? Ce n'est vraiment mais alors vraiment pas mon truc et pourtant il y a bien des fois où on n'a pas d'autre choix que d'y aller. Aujourd'hui c'était mon cas. Petite soirée à l'improviste avec des amis, je m'étais vue confier la lourde tâche que d'aller faire quelques courses pour nous nourir. J'avais vu cela comme un défi et comme je déteste échouer quand on me lance un défi j'avais filé vers le supermarché du coin. Un frisson avait parcouru l'ensemble de mon corps en entrant dans l'établissement, il faisait toujours froid là-dedans, c'était un peu comme dans l'un de mes pays d'origine, la Russie. Entendant rapidement la musique en fond sonore, je me mis à faire quelques pas de danse, comme à mon habitude, impossible de réprimander cette manie. J'allais et venais dans les rayons en prenant ce qui me faisait envie pour le mettre dans le petit chariot à roulette qui me suivait jusque là. Arrivée au rayon des aliments conservés en bocaux en verre, l'envie d'acheter des olives fourrés au piment me vint. Je les cherchais partout allant et venant dans le rayon toujours en dansant jusqu'à les trouver. Il n'en restait plus beaucoup, jusque quelques pots au fin fond du rayon. Je tendis le bras, me mis sur la pointe des pieds et tentais de l'attraper, je m'appuyais sur le rayon pour tentais de me grandir, sautillais presque mais rien n'y fit, je n'arrivais pas à l'attraper. Puis je sentis le rayon basculer dans ma direction, j'allais tout prendre sur la tête si je ne m'éloignais pas très vite. Je reculais donc sortant du rayon assez vite pour voir l'étagère s'écraser sur le sol et tous les produits qui étaient dessus faisant de même dans un bruit du tonnerre. Oh mon dieu ! Ma bouche prit la forme d'un O, ma main vint se mettre devant. Je suis désolée, je vais tout vous payer s'il faut... L'argent n'est pas ce qu'il me manque, loin de là même si je n'aime pas le faire savoir, là il faut bien que je rattrape ma boulette quand même. Quand la caissière s'approche plus près de moi pour constater les dégâts, et mon dieu ce qu'il y en a, je ne peux m'empêcher d'ajouter avec humour : Au moins on peut faire un apéro géant ici, tout est déjà sorti ! L'humour est mon meilleur ami lorsqu'il s'agit de me sortir des situations gênantes, et c'est une situation gênante, il faut juste que je tombe sur une fille qui ne va pas avoir peur de se faire démonter par son patron pour qu'elle entre dans mon jeu. Je peux vous aider à ramasser, enfin tout remettre en ordre aussi, enfin vous pouvez me dire ce que je dois faire... Mal à l'aise et les joues rougies malgré la pointe d'humour que j'ai osé faire, le flot de mots est ma seconde arme pour montrer que je suis vraiment désolée, et oui bavarde je suis, barvarde je resterais mais malgré toutes mes qualités je ne sais pas comment l'une d'entre elle pourra me sortir de cette situation. Vraiment, les supermarchés, ce n'est pas fait pour moi.
AVENGEDINCHAINS



Texte 2: Ce texte représente Solveig O. Blackbird

Café à la main, j'observais mon reflet dans le miroir constatant les dégâts. Les longues nuits à pleurer pour cette rupture n'aidaient en rien. De grandes cernes violacés venaient cerner mes yeux contrastant parfaitement avec l'éclat de feu de mes cheveux. Le teint livide, la gorge encore nouée, j'avais l'air d'une poupée brisée par le temps et l'amour. Une chute dans le vide sans rien autour à quoi me raccrocher. Soupir. Un anti cerne, un peu de fond de teint et je misais sur l'apparence pour montrer au monde extérieur que tout allait bien. Que rien ne m'atteignait, que j'aurais toujours ce sourire représentant si bien ma personnalité. La sonnerie du téléphone me sortait de mes pensées et après une énième gorgée de ce café amer constituant ma drogue la plus tenace, j'attrapais mon sac à main prête à partir. Aussitôt, la porte fermée, un sourire rayonnant venait prendre place sur mes lèvres adressant au monde un magistral tout va bien alors que la réalité était tout autre. Peu importe, je devais penser à ma mère, au temps que j'allais passer avec elle et une fois le soir venu, peut être pourrais-je à nouveau sombrer dans les limbes de mon propre désespoir. Mais pas devant tout le monde. Un coup d'œil à la montre ornant mon poignet et je constatais être un peu trop en avance, l'heure des visites n'avait probablement pas commencé. Tant pis, j'attendrais. Et dans le comble de cette malchance qui semblait me suivre à chaque instant, les escaliers étaient interdits d'accès m'obligeant à passer par la case ascenseur. Respire Sol', ce n'est qu'un ascenseur. Tentant de ne rien laisser paraître, j'appuyais sur le bouton de la machine infernale montant dedans non sans hésitation. Un, deux, trois, quatre. Plus que trois. BAM. Un bruit sourd, un arrêt soudain. « Non, non, non, non. » Les mots sonnaient drôlement comme une plainte, mais pour tout dire, j'étais à une seconde de la crise de panique. Respire. Un inconnu appuyait sur le bouton d'alarme réclamant une aide qui tarderait probablement à arriver et moi, les mains agrippées sur une des barres de l'endroit, je contrôlais du mieux ma respiration. Claustrophobie. Une goutte de sueur perlait sur mon front alors que je sentais l'angoisse oppresser ma poitrine avec force. « Penses à l'extérieur. Un vaste terrain, le vent soufflant dans tes cheveux et le soleil réchauffant ta peau. » Avais-je parlé à voix haute ? Peu importe. Penses-y. L'imagination était peut-être la seule chose qui pourrait m'empêcher de frôler l'hystérie. Pitié, pense à l'extérieur. Je forçais tant bien que mal mon cerveau à s'orienter sur tout ce qui était grand et empreint de liberté. Tout ce qui s'éloignait au mieux des pièces closes. Une larme roulait sur ma joue bien vite écrasée par ma main qui venait la chasser. Une des personnes présente ici remarquait sûrement le mal-être dont je faisais preuve puisque sa main chaude venait s'emparer de la mienne cherchant certainement à me donner un tant soit peu de consistance pour affronter ce moment. Un « merci » tel un murmure s'échappait de mes lèvres et malgré toute la bonne volonté dont j'aurais voulu faire preuve, je n'étais pas capable de plus. Continue à respirer Sol. Imagine un parc verdoyant, les enfants courants devant toi. Imagine l'air encore une fois. Ma respiration bien trop saccadée quelques secondes auparavant laissait place à quelque chose de plus calme sans pour autant devenir serein. C'est bien, tu le fais. BAM « Aargh.. » Les paupières fermées, je me mords la lèvre. Pour me faire taire, pour ne pas hurler alors que la main se resserre sur la mienne. Ça bouge, mais j'suis plus là, perdu dans l'imagination d'un autre endroit. Pourtant, malgré mes yeux fermés, je peux sentir que l'endroit devient plus clair. Une voix résonne dans l'appareil s'excusant du désagrément et les portes s'ouvrent. Je titube légèrement sans doute un peu trop pressé de gagner la sortie me laissant tomber sur le premier fauteuil à porté de main. Respire Sol, tout va bien.


Texte 3: Ce texte représente Ezio Salvadore

Ezio était plus qu’occuper aujourd’hui, déjà, il avait mal dormi parce son fils avait décidé qu’il n’avait pas envie de dormir, enfin, non, il semblait commencer un rhume et jamais Ezio ne pourrait vraiment lui en vouloir, mais il n’en restait pas moins qu’il était totalement crevé. Le jeune homme était bien heureux d’avoir fini sa session, au moins, il n’aurait pas besoin d’étudier, mais son appart était en grand bordel et il se devait de ramasser. Son fils s’était finalement endormi et il en profita pour commencer à ramasser le salon qui était plein de jouet et de quelques tasses de café vide. Le divan l’attirait plus que tout et alors qu’il s’y serait bien laisser tomber on cogna à sa porte. Il alla ouvrir doucement et se retrouva face à la pire garce de l’univers. La mère de Léonardo, normalement, Ezio était un amour avec les femmes, du genre qui ouvre les porte, tire la chaise, mais pas là. «  Qu’est-ce tu fou là ?! » Il était abasourdi, mais surtout furieux, cette fille n’augurait jamais rien de bon, ça s’était certains. Biensûr, elle s’insurgea de son manque de politesse et lui annonça qu’elle comptait avoir la garde de Leo. Ezio n’en croyait pas ses oreilles elle gardait son ton mielleux comme si cette nouvelle en était une bonne. « Non, pas question, c’est quoi ton problème ? Tu tombes enceinte, tu abandonnes mon fils et tu penses pouvoir revenir comme ça ? Oubli ça ma grande! » Il lui claqua la porte au nez avant même qu’elle ne puisse lui répondre, non mais ça va pas la tête. Il avait falli lui étamper la porte sur le bout du nez, mais elle l’avait surement vu venir et elle avait reculé. Tant pis pour elle, jamais il ne la laisserait toucher à son fils, jamais.


Texte 4: Ce texte représente Salomée M-Glücksbourg

Regarde à droite, à gauche la brunette vérifie une nouvelle fois que personne n’est dans la couloir où se trouve la chambre de son ex pour qu’il ne soit pas courant qu’elle s’est introduit par effraction dans sa chambre, quoi que, avec le petit objet qu’elle a dans sa main –la clé de la chambre du président- c’est peut-être pas une effraction. Mais de toutes façons, que quelqu’un la voit ou pas, il faut qu’elle récupère ce bracelet qu’elle a oublié l’autre jour.  Elle se sent l’âme d’un ninja avec ses converses au pied, qui ont remplacés ses talons depuis quelques temps maintenant, c’est vrai que les jeans c’est plus confortable que les robes. Insérant la clé dans la serrure, elle la tourne rapidement et pénètre dans la chambre d’un pas rapide avant de claquer la porte derrière elle. Elle regarde autour d’elle à la recherche de son bracelet, elle se rapproche du lit et se baisse pour regarder s’il n’est pas sous le matelas, et lorsqu’elle se redresse, elle le voit poser sur la table de nuit « Ah te voilà toi ! » Elle sourit en se relevant, remettant le bracelet autour de son poignet. Rebroussant chemin, elle pose une main sur la poignée s’apprêtant à sortir quand elle regarde une dernière fois derrière elle Peut-être que je devrais lui rendre sa clé.. Son regard se pose sur l’ordinateur fermé sur le bureau, un sourire machiavélique sur le visage elle s’approche de l’ordinateur « Voyons voir si tu me stalkes toujours M. Ellington. » Elle ouvre alors le laptop avant de taper le mot de passe, peu sûre d’elle, peut-être qu’il l’a changé. Elle n’espère pas. Quand l’écran s’affiche, elle ouvre grand les yeux, choquée, devant les images qui se tiennent devant elle et le bruit qui provient des enceintes de l’ordinateur. Elle appuie alors rapidement sur la barre espace avant d’entendre un petit bruit derrière elle. Oups…. Elle ferme rapidement l’ordinateur et fait pivoter la chaise, manque plus que le chat et on dirait le parrain. « Jasper.. Hm.. Toi ici ? » C’est sa chambre imbécile Elle sourit avant de se lever et de lui montrer son poignet. « Je suis venue récupérer ça ! Ta porte était ouverte et euh.. » Elle regarde autour d’elle à la recherche d’une échappatoire quelconque mais visiblement, il n’y en a pas. Elle se jette alors sur la petite clé et l’enfonce dans sa poche. Comme s’il n’allait pas te voir. Cherche quelque chose de plus intelligent à faire. Elle lui sourit alors une nouvelle fois avant de tourner sur elle-même « Tu aimes comment je suis habillée ? » Il faut dire qu’elle a un peu changé de style vestimentaire depuis la dernière fois qu’ils se sont vus. « Moi j’aime particulièrement mes chaussures ! » Jasper ne semble pas avoir envie de répondre et attend plutôt des explications à son intrusion dans sa chambre « Roh ! T’es énervant tu ne peux pas répondre quand je te pose une question ? » Il tape du pied la fixant toujours « Qu’est-ce que tu fais ici Lomée ? » La brunette lève les yeux au ciel avant d’attraper la clé dans sa poche et de s’approcher de lui. « Bon c’est bon, j’avais ta clé, j’voulais récupérer mon bracelet et voir si tu me stalkais toujours ! Maintenant, je sais que non, et la prochaine fois, ferme le navigateur internet avant de partir ! Ca m’évitera des surprises ! Allez bisous ! » Et elle contourne Jasper en riant avant de s’éloigner de sa chambre pour retrouver la sienne, mais avant, une pause cigarette s’impose. Sortant son paquet de la poche de sa veste, elle sort à l’extérieur et allume une cigarette. Quel moment amusant !


Texte 5: Ce texte représente Tom Halberstam

Spoiler:


La suite plus bas Concours d'écriture : Inversion des Rôles #2 1365124802


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Le sondage


 

La suite :

Texte 6 : Ce texte représente D. Rosalia De Santis

J'ai pas envie d'aller à l'hôpital, surtout pour vérifier que ce bébé se portait bien. Pas besoin de faire des examens, ce n'est qu'une perte de temps, je sais que mon bébé est en parfaite santé. Mais bon, je devais quand même y aller pour m'en assurer, et puis, on sait jamais que le médecin m'apprenne une bonne ou une mauvaise nouvelle. J'arrivais à l'hôpital à l'heure de rendez-vous qu'on m'avait fixé et je décidais de prendre l'ascenseur. Je vais tout de même pas monter les escaliers! C'est dangereux pour une femme enceinte, et puis ça prenait trop de temps. Vivement que tout ça se termine pour que je puisse rentrer chez moi. Je prenais ensuite l'ascenseur et je faisais une grimace jusque par terre en croisant le regard de Valentin. Mon ex. Arg, qu'est-ce qu'il foutait là lui? Il allait aussi faire une échographie? Je ne crois pas. Bref, je devais garder mon calme et tout ira bien. Je lui faisais à peine un sourire lorsque tout à coup, il y eut une petite secousse dans l'ascenseur. Un bouton clignotait, nous signalant qu'il s'était arrêté. Non non non! Quelle horreur. J'avais aucune envie de rester coincer ici, j'avais d'autres choses à faire. Je faisais rouler mes yeux et je regardais Valentin qui n'avait pas l'air très paniqué. Ça va? La vie est belle? T'as pas envie d'appeler de l'aide? Tu vois pas qu'on est coincé! je m'énervais sur lui car j'étais comme ça, dès que quelque chose n'allait pas, je devenais méchante. Je ne me sentais pas très bien, je manquais d'air et mes hormones me jouaient des tours. Je pouvais pas rester ici ou j'allais faire une crise d'angoisse. Sors moi de là ou je vais mourir. soufflai-je en faisant de l'air avec ma main. J'avais pas envie de lui expliquer que j'étais enceinte, c'est pour ça qu'il fallait absolument que je sorte avant qu'il ne s'en rende compte.



Texte 7 : Ce texte représente Emma J. Müller

Un matin comme un autre dans la vie d'Emma Jona Müller. Bouche pâteuse, soleil trop violent, corps en miette, tête qui tourne comme si j'avais fait une dizaine de fois le space mountain et inévitablement nue sous les draps. Je soulève tout de même le tissue, pour vérifier, si oui non je suis nue, et effectivement, j'ai mes petits seins à l'air, et le reste qui va avec. Aucun souvenir de mon hôte pour le moment, parfois, ça me revient dans la journée, parfois ça attend carrément la cuite précédente pour se faufiler entre deux verre de sex on the beach. Mais je ne regrette jamais, j'aime faire la fête, j'aime sentir le souffle chaud d'un inconnue me désirant plus que tout, j'aime sentir ma tête déraille dans tous les sens en me disant : merde Emma, t'as vivante, tu vis, tu respires, t'es jeune, canon, et d'autre non pas cette chance. Je ne parle pas des laiderons, mais plus des jeunes qui ont trop de soucis à se faire entre ce que papa veut, et ce que maman désire, pour penser à leurs propres bonheurs, et mon bonheur, c'est ça : me perdre dans la nuit, dans les gens sauvage qui m’entoure, dans la musique qui entraîne mon corps à se déhancher sans relâche, et je compte arrêter un jour bien sûr, mais tant que mon corps ne me met pas de stop, j'irais danser jusqu'à en flancher. Quoi qu'il en soit, j'me redresse, le soleil m'aveugle et me rappel que la nuit dernière n'a pas était facile, mon pied écrase une capote usager au sol, je souffle en me disant que je ne tomberais pas enceinte, que je n'attraperais pas de mst, mais en même temps je trouve ça répugnant qu'il est laisse ça par terre, sa descendance au sol tout de même, faut respecter ça. « ça se met à la poubelle, ce genre de chose. » dis-je un peu écœurer. « Emma ? » une voix masculine m'interpelle, ça doit être lui. J'examine encore un peu les alentour, des trophée orne une étagère, des diplômes également, une photo de ses parents et lui au sont au sol, et son armoire est très bien ranger, le seul désordre que l'ont trouve et ce qui m’entoure, comme c'est symbolique. Je porte mon attention sur lui : grand, blond, baraquer, il porte un jogging mais ça ne le rend même pas vulgaire, et il promène ses tablettes à nu, je lui adresse un sourire, un peu dans les vapes, et me rend vite compte du bordel dans lequel j'me suis fourré. Derrière lui une table à repasser, et dans ses bras un gilet bleu foncé avec les lettres « EH » broder au fil d'or. Je fais de gros yeux, et me précipite à la fenêtre pour me rendre compte que la Mather House se trouve juste en face, je regarde une nouvelle fois autour de moi, une photo de groupe prise juste devant l'établissement dans leurs beaux et simples petits blazers, et leurs sourires, niais, est-ce que je vomis par terre, ou est-ce que je me contente de faire de cet appartement un bordel si immense qu'on penserait qu'une personne s'est battu avec un cochon hanté par des mauvais esprits. J'ramasse mes affaires, et me rhabille en trois secondes, m'apprête à partir lorsqu'il se met entre la porte et moi un sourire satisfait aux lèvres. « Alors comme ça, la grande et fabuleuse Emma a céder à un bleu ? Qu'est-ce que les alcoolos qui se servent de président vont dire face à ta trahison Müller ? » quel fils de chien celui-là, je cogne dans son ventre, ça ne lui fait ni chaud ni froid, mais je cogne une deuxième fois un peu plus bas cette fois-ci, il se tord par terre et je lui redonne un coup dans le ventre, mes cheveux virole lentement, et j'me sent comme Lara Croft. « Qu'est-ce que les tiens vont dire que je t'aurais écrasé avec ma voiture ? Va pleurer chez papa, maman, je n'ai pas le temps pour tes connerie.  » je passe par-dessus son corps en feotus, il a vraiment crus qu'on pouvait menacer Emma Müller sans subir sa foudre ? « J'vais faire de ta vie un enfer. » dis-t-il en soupirant, se redressant de sa position feotus. Je me retourne, hésite à aller lui en coller une droite qu'il apprenne ce que c'est que d'avoir une vrais mather devant les yeux, mais je lèves les yeux au ciel, et lui balancer un coussin à lui dans la face, pour le faire reculer de deux mètres, la tête la première contre le sol. Est-ce que je l'ai tué ? Ce serait dommage, il est vraiment canon tout de même. J'me rappel soudainement de la soiré passer, j'étais totalement dans les vapes quand on a décidé d'aller chez lui, j'me suis assoupie sur la banquette arrière ne me rappelant pas avoir était entraîner jusque dans l'entre de satan. Et sans me rendre conte, j'ai fécondé avec un fils du diable. Bowdel, il me connaît pourtant ce crétin, il savait qu'en temps normal, j'aurais jamais cédé à un fils de bourge. J'suis en rogne, et j'me décide à quitter les lieux. Sur le chemin, je vide mon sac rempli de petite poubelle comme des flyers, des paquets de clopes finit ou des sachets de fraises tagada que je balance un peu partout dans les couloirs, ils ont assez de fric pour avoir des femmes de ménage non ? Et puis merde, je devrais pisser sur les plantes de ce crétin de Blake, mais j'ai pas le temps pour ça. J'appel Chrysta pour lui proposer un petit déj au mcdo et allume une clope jusqu'à la sainte maison : Mather House, mon paradis.


Texte 8 : Ce texte représente Talya V. Blackburn

J'étais tranquillement assise dans le salon, attendant que l'homme rencontré sur le site de Mackenzie arrive. J'étais prête et tout de même un peu nerveuse. L'avantage avec cet homme c'était qu'il ne connaissait pas. Il ne va pas me voir comme la grande méchante comme les trois quarts des étudiants d'Harvard. Il fallait se rendre à l'évidence que ce rendez-vous allait peut être être sympathique au final. L'homme sonna à ma porte et il ne me fallut pas beaucoup de temps pour lui ouvrir et partir avec lui. J'avais bien vu ses regards furtifs vers mon ventre. En même temps, il ne passe pas inaperçu j'en conviens. Arrivés au restaurant, il ouvrit la porte pour me laisser entrer en première puis tira ma chaise quand je devais m'assoir. Il était un vrai gentleman. Chacune de ses actions faisait baisser ma nervosité et je me sentais de plus en plus à l'aise. Je n'irais pas à comparer ce rendez-vous à une sortie avec un ami mais il me mettait à l'aise. « C'est un très bel endroit ici. » J'essayais de relancer la conversation, pour lui montrer que j'étais sociable. Et puis, même si j'étais venue avec quelques appréhensions au départ à cause de tout ce qu'il s'était passé, je pouvais tout de même passer une bonne soirée. J'en avais besoin d'ailleurs. « Merci d'avoir accepté mon invitation. » Il devait surtout se dire qu'enfin j'avais accepté. Un sourire s'afficha doucement sur mon visage tandis que nous recevions le menu. Mes yeux se baladaient dessus, histoire de me trouver un bon petit plat et pas très cher non plus, je ne voulais pas ruiner le jeune homme. Par pure courtoisie, il m'avait dit avant de venir que je pouvais prendre ce qu'il me plaisait. J'avais raison, un vrai gentleman. Une fois les plats choisis et prêts, je pris mes couverts pour commencer à manger en même temps que le garçon en face de moi. « C'est très bon ! » disais-je avec beaucoup, peut être trop, d’enthousiasme ce qui fit rire le jeune homme. « Je suis content que ça te plaise, Talya. Vraiment ! » La soirée continuait et nous étions plus détendus, nous riions plus facilement. C'était un plaisir d'échanger avec lui même si j'avais l'impression que ma fille voulait participer à l'échange. Malheureusement, la soirée passait bien trop vite, beaucoup trop vite. Pour une fois que je pensais à autre chose qu'aux derniers évènements. Evan arrivait à me faire sourire, et puis il était si gentil. Il était très prévenant quand il me ramena chez moi. Je lui fis la bise et le remercia pour cette soirée avant de le laisser s'en aller. J'entrais alors chez moi, posant mes clés et mon sac dans l'entrée avant de découvrir quatre jeunes filles dans mon salon. Sourires aux lèvres, Sienna, Andrea, Nina et Mackenzie me regardaient. « Alors comment s'était ?! » demandèrent les quatre filles en même temps. Nous riions toutes ensembles puis je me dirigeais sur le canapé pour m'asseoir entre elles pour leur raconter toute la soirée. « Tu vois ? On avait raison ! » déclara Mackenzie pour conclure cette soirée. Oui, au fond, je commençais à croire qu'elle avait raison.


Texte 9 : Ce texte représente Maxine E-G. Monroe

Aujourd’hui, la jeune cabot s’était faite particulièrement belle. Une jolie robe d’été, une paire de sandale talonnée, une veste et voilà qu’elle était prête pour son rendez-vous. Un dernier coup de rouge à lèvres et un regard dans le miroir pour s’assurer qu’elle était parfaite. Elle sortait de sa chambre afin de rejoindre Mickael qui l’attendait devant la porte de sa maison. Elle ne l’avait pas fait attendre trop longtemps, mais elle avait tout de même dû s’assurer qu’elle était belle pour son rendez-vous. « Excuse-moi du temps d’attente. » Cela faisait quelques temps que la jeune blonde n’avait pas eu de rendez-vous, elle était bien contente et impatiente de voir quel restaurant son jeune cavalier avait choisi. Elle lui avait dit vouloir être surprise.  « Alors dis-moi, où allons-nous manger ? » Bien sûre, Maxine était curieuse de savoir où le jeune homme allait l’emmener. « Il s’agit d’un petit restaurant italien dans le Centre Commercial. Il est sympa. » Avoua le jeune homme alors qu’il m’ouvrit la porte de sa voiture. Maxine était impressionnée par les bonnes manières du Mickael. Le monde manquait de ce genre d’hommes. Elle le voyait dans beaucoup d’hommes qu’elle rencontrait qui avait perdu leur galanterie au fil des années. Les deux étudiants discutaient de tout et de rien sur le chemin jusqu’au centre commercial. Tout se déroulait très bien. Maxine appréciait Mickael et leur conversation, mais elle ne se doutait en rien qu’elle allait se retrouver nez à nez avec son pire cauchemar : des portes coulissantes. Elle la voyait déjà, la honte que la présidente aurait devant Mickael quand elle ne voudrait pas traverser les portes. Elle ne savait pas quoi faire. Elle se figeait quasiment instantanément devant, laissant le jeune homme traverser seul. Elle lui adressait un petit sourire timide. « Je crois que j’ai oublié quelque chose dans la voiture. Tu peux me passer tes clés ? Je vais regarder. » Lui demanda-t-elle, feintant de regarder dans son sac comme si elle avait oublié quelque chose. Mickael lui passait ses clés et elle se mit en direction de la voiture, inspirant un grand coup. Il fallait que Maxine se reprenne en main, elle ne pouvait pas laisser son rendez-vous gâché à cause des quelques minables portes. Toutes fois, et si elle se les prenait en plein visage, elle aurait honte et le jeune homme rirait d’elle, ce qui n’était pas beaucoup mieux.  Elle essayait de se reprendre en main, de se convaincre qu’elle pourrait surmonter cette épreuve aussi dure soit elle. Maxine ne s’était pas faite si jolie pour passer sa soirée dans le parking du centre commercial à se demander si oui ou non elle devait traverser ses portes coulissantes. Elle inspirait, prenant finalement son courage à deux mains et traversa ses stupides portes, rejoignant Mickael dans le hall du centre.


Texte 10 : Ce texte représente Feldt K.-T. Crossroad

Tu arrivais à l'aéroport, tes mains agrippées à celles de tes enfants, ton coeur battant déjà fortement face à l'appréhension. Tu ne t'étais pas demandé si tu allais bien ou mal faire lorsque tu avais attrapé ton téléphone pour lui demander de récupérer vos enfants, t'avais juste pensé à ce qu'étaient devenues tes journées, trop chargées, trop lourdes, avec l'impression de ne pas avoir assez de temps pour ni assez bien t'occuper des jumeaux, ni assez bien gérer les cours et les révisions. Et maintenant, tu te retrouvais à attendre l'arrivée de cet avion, les émotions chamboulées avant même de le retrouver.

Tu l'aperçus rapidement parmi la foule, ses yeux fatigués par le trajet, sa petite barbe de trois jours sur le menton, et son regard noisette qui balayait l'aéroport, avant qu'il ne se pose sur toi. Tu déglutissais, maudissant le fait qu'après ces mois sans l'avoir vu, sans avoir eu aucun contact avec lui, il réussissait toujours à te donner ces sensations de jambes en coton et de mains qui tremblotent. « Elios... » Tu murmurais alors qu'il s'approchait de toi, et les bons moments comme les mauvaises décisions te revenaient en tête. Les mois passés ensemble, à partager, à s'aimer, à t'aider à te relever, et puis ceux plus dévastateurs lorsqu'il t'a laissé esseulée à Tokyo en février, ou lorsque t'as fait l'erreur de ta vie, cette erreur-même que tu savais qu'il n'arriverait jamais à pardonner avec tous les troubles et la misère que Wyatt t'avait fait endurer, et qui pourtant ne t'as pas fait reculer quand bien même tu étais consciente du mal que ça allait lui faire quand il l'apprendrait. Mais tu souhaitais pas repenser à ça, tu voulais plus te rappeler du fait que tu avais perdu l'amour de ta vie pour une partie de jambe en l'air avec un homme que t'aurais jamais du revoir, un mec qui ne méritait pas que tu sois malheureuse à cause de ses actes. Tu passais nerveusement ta langue sur tes lèvres, te demandant ce que t'allais bien pouvoir lui dire. Il semblait le même, avec ses beaux cheveux bruns et son allure de prince charmeur, mais depuis novembre, tu te doutais bien qu'il n'était peut-être plus l'homme que tu avais aimé. « Ça fait longtemps... » Tu laissais échapper de ta bouche, et vraiment, c'était par ça que tu souhaitais commencer vos retrouvailles ? En observant son regard, ses yeux quelques secondes blessés avant qu'ils redeviennent plus froids, tu compris sans mal que ce n'était définitivement pas les bons mots, et t'avais envie de te flageller sur le moment. « Tu comptes rester ici jusqu'à quand ? » Il préférait demander, allant droit au but, alors qu'il venait s'accroupir et enlacer les jumeaux contre lui, leur offrant un sourire qui ne t'était plus destiné. Tu haussais les épaules, prenant une petite inspiration. « J'sais pas trop, jusqu'à la fin du semestre surement. » Après tout, t'avais pas réellement de date butoir, t'étais partie sans rien dire, sans prévenir personne, retrouvant ce pays que tu aimais tant et que tu connaissais si bien, qui t'aidait à te ressourcer. Il hochait doucement sa tête à ta réponse, puis se relevait, reposant ses yeux perçants sur ton visage. « Envoie-moi un message quand tu veux les récupérer alors. » Et ton coeur faisait un petit soubresaut, alors que tu avais l'impression que la situation t'échappait. Ça allait être comme cela maintenant ? Vous vous parlerez par sms interposé et le seul sujet de conversation que tous deux vous tolèrerez serait celui de vos enfants ? T'en avais aucune envie et pourtant, alors que tu t'accroupissais à ton tour pour dire au revoir à tes chers amours, t'avais cette malheureuse sensation dans tes tripes, comme si t'avais bêtement laissé passer ta chance, comme si t'avais même pas eu l'occasion de prendre ton courage à deux mains pour quoi que ce soit. Et en même temps, parler de vous et de votre relation en plein aéroport avec vos gosses à côté n'était peut-être pas le moment idéal. Alors tu les regardais s'éloigner, insatisfaite, regrettant le trop court rendez-vous et la manière dont il semblait avoir changé en Italie, te promettant que la prochaine fois, tu prendrais les devants, tu parlerais plus. Il semblait loin le temps, où il embrassait ton front en signe d'amour et d'adieu.
© LOYALS.


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C'est pas fini :

Texte 11 : Ce texte représente Hugo N.-L. De La Rose

L’homme se tenait là, devant moi. Je n’avais aucune idée de ce qu’il voulait et son visage.. Son visage me semblait indescriptible. Sourire sur les lèvres, le bras tendu pour montrer la politesse qu’on m’avait inculqué, j’attendais un signe de sa part. Mais non, rien. Son visage devenait encore plus indescriptible, mais je n’y faisais pas vraiment gaffe. Si j’avais un certain quotient intellectuel, il n’en était rien de mes relations sociales. « C’est toi qui veut t’taper ma meuf ? » Je fronçais les sourcils, n’étant pas vraiment conscient de ce qu’il était en train de dire. Taper sa meuf ? Non, je veux taper personne, au contraire. Je suis plutôt du genre à vouloir aider et porter secours. « Non, c’est pas moi, je veux taper personne » Ouais bon, maintenant son visage faisait encore une autre expression qui m’échappait. « Elle m’a dit tu l’as pelotée. Tu veux te la taper alors, t’es con ou quoi ? » Je suis con ? Je ne crois pas, pas à ce que je sache. Je ne suis pas idiot, sinon je ne serai pas à Harvard. Fronçant les sourcils, j’avais du mal à comprendre pourquoi il était si agressif envers moi, moi qui n’avait rien fait, qui n’avait rien cherché à faire. « Je suis à Harvard donc je suis pas con. Je dois y aller, au revoir » Esquissant un dernier sourire, je l’esquivais pour pouvoir rentrer dans mon garage. C’était sans compter le monsieur qui posait sa main sur mon torse pour me stopper dans mon élan. Je déglutissais, posant mon regard sur sa main, puis je le relevais sur son visage. J’avais toujours aucune facilité à comprendre mais j’essayais quand même. « Me prends pas pour un con, putain. D’où tu veux t’taper ma meuf là ? » Et là, je sentais la colère qui émanait de sa bouche. « Je vois pas de quoi tu parles » Et là, la ligne de potes qu’il avait ramené avec lui se ramenait, m’encerclant d’un coup. Si j’avais été claustrophobe, j’aurais pu me sentir mal. Heureusement, ce n’était pas le cas. « J’te jure, il m’a pelotée dans un coin là! Genre il voulait m’baiser comme un malade! » Je fronçais les sourcils, comprenant de quoi il s'agissait. Enfin, plus ou moins. C'était la fille de tout à l'heure, qui m'a offert un verre. Je ne comprenais pas tellement pourquoi elle disait ça, puisque ce n'était pas vrai. « Quoi ? » Ce qui était en train de se passer m'échappait totalement et plus j'essayais de comprendre, moins je discernais les faits. « J'ai rien fait de tel, j'ai rien fait du tout » disais-je impassible. La situation m'échappait et c'en était perturbant quand même. Mais je disais la vérité, j'étais incapable de faire quoique ce soit, tant la peur m'avait pris d'être seul ici dans ce simple endroit rempli de monde. Dans ces moments là, j'aurais aimé que Jayan soit là. C'est plus simple quand il est là. Tellement plus simple. « Arrête, tu crois vraiment que ce mec aurait dit ça à Angie ? Il est aussi simplet que le nain de Blanche-Neige. Sérieux, arrête de prendre au mot ce qu’elle te dit à chaque fois, tu tombes dans le panneau mon vieux! » Un gars qui se trouvait un peu plus loin venait à notre approche en s'adressant directement à celui qui n'arrêtait pas de me parler tout à l'heure. Je tournais la tête pour le regarder, lui qui avait un sourire satisfait sur les lèvres et une attitude de winner. Il avait très certainement confiance en lui. Du coup, mon interlocuteur me dévisageait - je crois - alors que je restais là à les regarder tous, sans réagir. « C'est bon on s'barre » Voilà que tout le monde se barrait chacun dans son coin, principalement pour rejoindre l'intérieur du bar huppé. Note à moi-même : ne jamais revenir. Ni seul, ni accompagné. Au final, je me retrouvais seul. Sauf le mec qui est intervenu était encore là, un peu plus loin, se mettant alors à rire avant de retourner à ses occupations.


Texte 12 : Ce texte représente Aaliyah D. Kovalevski

Si cela me choquait d'avoir surpris Andrew en compagnie de Delilah, plutôt très proche l’un de l’autre et ce qui semblait être en cachette? Inévitablement. Je ne comprenais pas ce qui se déroulait devant mes yeux, la logique des actes qui se passaient juste devant mon nez. J'avais l'impression de rêver et d'avoir surpris quelque chose qui ne devait exister, quelque chose de mal. Pourtant, Andrew était droit devant moi, en train de commettre cet interdit. J'avais toujours imaginé mon fiancé comme une personne droite, respectueuse des mœurs et règles. Ceci était-il l'exception ? Ou ma vision des choses se heurtait-elle à des bornes ? Mes yeux s'arrêtaient sur lui, l’homme avec qui je partageais ma vie, bien que mon corps n’osait effectuer le moindre geste. Je repensais à cette conversation que nous avions eue quelques semaines auparavant à propos d’Ashton et de ce que j’avais osé commettre. Andrew le haïssait, et malgré l’amour inconditionnel qu’il éprouvait pour moi je savais qu’il me détestait aussi. Les choses étaient tout simplement allées trop vite, mes lèvres se retrouvant sur la peau du mather sans que je comprenne vraiment pourquoi. J’étais la méchante de l’histoire et ce aux yeux de tout le monde, la pétasse câtin de service. Est-ce que je m’en voulais ? Définitivement, mais bizarrement je ne regrettais pas non plus ce geste. Mon cœur battait tout aussi fort quand je pensais à Ashton et je culpabilisais. Sauf que maintenant, alors que j’étais témoin du début d’infidélité de mon fiancé, celui qui m’avait défendu de revoir Ashton,  ses mots me paraissaient hautement hypocrites. Comment Andrew avait-il pu refuser de me comprendre, avait-il pu juger mes sentiments secrets à l’égard d’Ashton, alors que par derrière, il était épris de Délilah, et que visiblement, cela était réciproque  Je commençais à voir rouge. C’était mon fiancé, et que dieu m’en préserve mais nous avons fait des gosses ensemble ! J’étais définitivement égoiste de voir les choses comme ça mais il m’appartenait, surtout après tout ce que nous avions vécu. Mon regard se posa à nouveau sur Andrew, puis sur Delillah, et tout d'un coup, les choses me parurent plus simples. Ou plutôt, plus dramatiques. Ce genre de vision du futur, vous voyez toute la suite des événements et vous vous stoppez au point culminant, au point affreux, à la fin de tout. Je m’avançais vers eux , adoptant une attitude féline, ne pouvant tout simplement plus retenir ma colère. Je sentais cette dernière parcourir mes veines et ça faisait un bien fou.  Moi qui l’avait trompé, moi qui avais frappé sa sœur, moi la mauvaise mère de ses enfants j’étais toujours là pour l’empêcher de se mettre avec Delilah. C’était tout simplement plus fort que moi, mes sentiments étaient beaucoup trop profonds. Mes yeux étaient ceux d’une folle avec une case en moins, je me jetais tout simplement sur elle le poing direction son joli minois. C’était devenu un de mes trucs, taper les gens. Encore et encore. Je  sentais la petite se débattre sous moi, puis des mains que je ne connaissais trop bien m’arracher au loin. J’affichais un sourire satisfait en voyant du sang le long de mes mains, et ce n’était pas le mien. Je vis aussi le visage plus que fermé et déçu de mon fiancé, ne pouvant néanmoins m’empêcher de crier. « TU ES MORTE , JE VAIS TE BUTER TU ENTENDS. » Je m’époumonais. « Tu te dis ouverte d'esprit, tout ce qu'il y a d'ouvert c'est tes cuisses connasse. » Je m’esclaffais, alors qu’Andrew me lançait un regard noir, ce précipitant vers elle pour l’aider. Elle. Pas moi. Alors c’était comme ça que les choses allaient se terminer entre nous deux ?


Texte 13 : Ce texte représente Brynn W-Glücksbourg

Enfin les vacances !
Les examens passés, tu vas pouvoir te reposer. Tu allais passer en septième année de dentisterie. Tu te voyais déjà dans un cabinet de dentiste. Bien sûre, tout le monde t'acceptait parce que tu étais la princesse de Danemark. Les gens étaient bêtes pour te juger sur ton statut. Si tu possédais une autre identité, peut-être que les gens te regarderaient différemment et tu aurais pu vivre ta vie avec tes propres choix. Mais tu n'aurais sans doute pas connu ta famille.
Ça faisait deux jours que tu te trouvais dans le camping pour passer un bel été. Tu avais appelé Megara parce que tu as croisé la route d'un serpent à sonnette. T'étais tellement paniquée que tu n'as pas dormi de la nuit. Heureusement qu'elle répondait à son téléphone, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Tu croyais que tu allais mourir, mais tu n'as rien dit aux autres. Il fallait montrer aux gens que tu n'étais pas seulement une princesse. Tu étais une femme, ouais ! Tu étais prête à sortir de ta tente et à brandir ton rouleau de papier toilettes. Tu rêvais de scander le mot Liberté ! Mais non, ce n'était pas toi. Tu étais toute douce, toute gentille... Ou cassante envers les inconnus.

Tu sortis de ton trou pour aller au petit coin. Un homme aux cheveux cracra croisa ta route et tu lui offris ton sourire Colgate ! Qu'est-ce qu'il était sale ! Tu avais juste envie d'aller aux toilettes pour faire tes besoins, mais le voir... C'était pire que tes envies ! T'attrapais des hauts le cœur ! Mais personne n'était parfait !
Tu tournas ta tête et tu aperçus les toilettes communs. Tu devais te dépêcher parce que le monde arrivait. Tu étais si pressée que tu courrais presque pour éviter le raz-de-marée dans ta culotte ! On allait t'appeler l'ouragan Briny si ça arrivait !

Hallelujah ! Tu arrivas devant la porte que tu entras et t'enfermas à l'intérieur pour déposer ton cul sur le trône ! Aaaah, c'était agréable ! Tu avais vraiment cette envie pressante depuis une bonne dizaine de minutes. Tu souris comme une idiote. Tu t'apprêtais à t'essuyer quand tu t'aperçus que tu n'avais pas assez de papiers. Tu te frappas le front et secouas la tête. Tu es blonde ma fille ! Plusieurs questions tournaient dans ton esprit. Tu étais intelligente, tu pouvais survivre !

Quelqu'un frappa la porte.
« Avez-vous bientôt finit ? ! Ma vessie va exploser ! »
Tes joues roussirent à cause de la gêne. Mon dieu ! Comment allais-tu t'en sortir ?Soudain, la lumière de ta cervelle de blonde s'alluma. Un sourire simplet sur les lèvres et tu annonças d'une voix froide :
« Je sortirai des toilettes, seulement si vous déposiez votre rouleau de papiers sur le sol et que vous tourniez le dos à la porte, merci ! »
« Ça va ! Ça va ! Je vais le faire ! »
Un moment de pause.
« Vous pouvez sortir ! »
La peur au ventre, tu te levas et tu ouvris la porte faiblement et tu attrapas le rouleau comme une rapace ! Tu t'enfermas et t'essuyas. Ouf ! Tu te rhabillas et sortis des toilettes. Oops... La personne qui a frappé se trouvait être un beau jeune homme. Oh oh... Tu lui tendis gentiment ton papier toilette et tu te sauvas...Oh la honte !


Texte 14 : Ce texte représente N. Jude S-Montgomery

Balayé, astiquer, et pas que le sol de ma chambre, oui je voulais le revoir, oui je voulais le reprendre à mes côtés, si je pouvais me raccrocher à une lueur d'espoir pour ma vie futur c'est bien lui, il est peut être la seul raison pour lequel j'ai envie de vivre. Leandra avait plus ou moins réussis à m'ouvrir les yeux, à me motiver mais, je le savais c'est comme tout le reste, j'pouvais toujours essayer de me battre à un moment je lâcherai le truc, mais j'avais quand même envie de faire un minimum. "Pensées positives, pensées positives" C'est ce que je me suis dit toute la journée pendant que je faisais le tris, le tout m'avais tellement occupé, que je n'avais rien touché de la journée, comme si j'avais pris une bouffé d'adré naturelle, mais le chimique me manqué, maintenant que je n'avais plus rien à faire, les fiches rangés, les feuilles elles même étaient triées, j'étais quand même fière de moi faut dire. J'étais posé dans le fauteuil qui pour une fois était visible et je pouvais l'utilisé, je me demandais comment j'avais pus me laisser aller aussi longtemps. Je soupirai et machinalement je pris ce que je laissais toujours sur la table de nuit.  Je préparais le tout sans m'en rendre compte, sauf qu'au moment fatidique, je me mis à hésiter. J'avais pas fait tout ses efforts aujourd'hui pour rien, des effort dont je ne me sentais pas forcement capable. Et là j'allais mettre tout en péril. Mais j'en avait tellement envie, ça faisait prés de 15 heures que je n'avais rien touché, et sur le coup j'avais impression d'avoir un hallucination, comme si l'objet de mon démon s'animait, la poudre blanche sur ma main, elle glissait le long de mes doigts, comme un blob extraterrestre venu pour m'attaquer. C'était bien la première fois que j'avais ce genre d'alu complètement à jeun et il faut dire que ça fait vraiment flipper. Ni une, ni deux je balayais le truc d'un revers de main, avant de comprendre de je délirais, la quasi totalité de la poudre était au sol. "Mais nan putaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin." Après mon mouvement de recule qui m'avais fait mettre accroupis sur mon fauteuil, je me retrouvais par terre, le visage face au sol, prés à lécher le sol, pour pas en laisser une miette. J'étais pitoyable comme à mon habitude mais là peut être encore plus. Avant d'inspirer quoi que ce soit, je m'assied sur mes chevilles, dos au bas du fauteuil, et j'avais l'attitude d'un autiste. Je ne savais pas quoi faire. Je voulais Leandra, je voulais mon fils, je voulais ne pas être malade, pas de leucémie, pas dépendance. Je jetais un regard mauvais sur la poudre, une sorte de sourire sadique se dessinais. J'me prenais ma tête avec mes mains, tout en fermant les yeux. "Cassez vous, barrez vous." murmurais je. J'voulais tirer un trait sur tout ça.


Texte 15 : Ce texte représente Alicia E. Johnson

Je ressemblais vraiment de plus en plus à Carrie. Ou alors à la nana d'Evil Dead. A choisir je préférais encore ressembler à Carrie. Le nez qui n'était plus à sa place et ma robe limite devenue rouge : parfaite. Je rigolais comme une débile avant de détacher mon regard du miroir des toilettes pour observer les filles qui entraient dans la pièce : un instant toute joyeuse et puis, dès qu'elles me voyaient, le visage dégouté. Je me retournais en leur souriant de la manière la plus flippante possible et leur parlais : "Vous voulez ma photo ?" Elles partaient toujours le plus vite possible des toilettes et moi j'affichais le sourire et le rire de la victoire. AHAHAHAHAHA fallait pas me chercher moi. Je perdais alors l'équilibre et me rattrapais à l'évier. Pfiooou j'avais peut-être un peu trop bu moi. Je repensais alors au déroulement de la soirée et de la façon dont j'avais attrapé les couilles de Sergueï. Le pauvre, j'avais peut-être un peu mal agis avec lui. Quoi que .. tant pis pour lui, il n'avait qu'à pas ressembler autant à Travis. Rien que de penser à lui me faisais rougir de colère. Connard. Bien sûr maintenant je n'avais plus que Travis en tête. Je soufflais avant de me passer un coup d'eau sur le visage, comme si c'était le remède miracle qui allait faire que j'arrête de penser à lui. Je rigolais une nouvelle fois bêtement. Je me séchais donc les mains avant de sortir des toilettes et de me prendre un mur de chair. Je levais la tête et croisais le regard de cet homme que j'avais tant détesté, sur qui lequel j'ai limite fait du vaudou pour me venger. Il y a 2 ans, il m'avait laissé tombé comme une vieille chaussette pour aller au bal avec quelqu'un d'autre. Je me souviens encore de toute la colère que j'avais ressenti contre lui à ce moment là, au moment où il m’annonçait qu'il n'y allait pas avec moi. Il m'avait laissé plantée là. Toute seule. Je lui aurais bien mis une bonne grosse claque et un coup bien placé là ou je pense. Quoi que je l'aurais peut-être aussi attraper par les couilles pour le faire plier un peu sous mes ordres. J'étais peut-être une dominatrice dans l'âme qui sait ? Après tout gérer mon petit commerce de drogue m'en faisait devenir une ! Les savoir tous dépendants et perdu sans moi .. je ne savais pas vraiment si ça me plaisait ou me blasait. Après ces quelques secondes de silence assez gênant entre Travis et moi-même, je me décidais à agir. Quitte à ressembler à une nana sortie d'un film d'horreur, autant m'en faire passer pour une. Il ne m'aura peut-être pas reconnu ? Je riais aussi fort que possible et avançais sans le regarder. Je l'entendais alors m'appeler par mon prénom. Merde, tant pis, plus qu'à partir sans me retourner, et le plus vite possible. Sauf qu'il m'attrapait pas le poignet. Supeeeer ! "Bon quoi Travis ? Qu'est-ce que tu as à me dire ? Tu te fous de ma gueule là non ? Revenir me voir, ce soir ? Et me parler ? Alors que je suis dans cet état là ?" Il m'avait foutu en rogne. Qu'avait-il bien pouvoir à me dire de si important pour avoir à me le dire maintenant ? "T'es parti. J'te vois plus pendant j'sais pas combien de temps et tu reviens comme une fleur pour me parler ? T'as un problème mon gars. Un sérieux problème." Nous avions couché ensemble comme je ne l'avais jamais fait avec personne. Pendant des heures et des heures nous étions resté dans les bras l'un de l'autre. Il n'y avait pas d'amour, juste du sexe. Mais cette relation me plaisait. Sauf qu'il m'avait planté comme un lâche. Je sentais alors l'une de ses mains venir sur moi et sans vraiment réfléchir, je lui enfonçais mon point dans la gueule et un coup dans les couilles. La vache, ça faisait du bieeeeen. J'en  avais envie depuis teeellement longtemps. Je lui souriais avant de lui dire : "Sur ce, passe une bonne soirée Travis." avant de partie tranquillement. Il était revenu. Travis était revenu. Ce n'étais pas dit que je soit aussi forte la prochaine fois que je le verrais.



Allez encore un petit effort Concours d'écriture : Inversion des Rôles #2 3997999705


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Vous y êtes presque Concours d'écriture : Inversion des Rôles #2 73120010

Texte 16 : Ce texte représente Babylone A. Diaz

Fin de l’année ! Rien à ajouter de plus. Tu te dis que c’est le moment parfait pour célébrer tout cela avant que le Summer Camp n’arrive. Tu as de toute façon décidé de ne pas y aller mais la plupart des habitants de Cambridge eux y vont oui, alors tu embarques quelques amis avec toi après avoir enfilé ta plus belle robe et fait ta plus belle coupe de cheveux. Après tout, tu sais mieux que personne que tout te va alors bon, t’en qu’à faire… Tu es une Cabot et une Diaz qui plus est. Tu prends la route direction le bar du coin. Tu ne veux pas fréquenter le nightclub ce soir car trop de monde, tu ne pourrais pas profiter comme tu le désires de ta soirée et de tes amis. Arrivée sur les lieux, tu demandes un verre au barman particulièrement beau. Au départ, tu le séduis à coup de regard langoureux, en jouant avec tes cheveux, tes atouts tels que ton physique parfait ou ton franc parlé, mais, au fil du temps, tu enchaînes les verres et ne fait plus attention à lui, hormis pour lui demander un verre supplémentaire. Tu te lèves de la chaise de bar sur laquelle tu t’étais installée en enfilant les verres, mais tu manques de tomber car tout tourne autour de toi. Oui, ce n’est pas toi qui est pompette mais le bar lui-même qui tourne et tu aimerais d’ailleurs qu’il cesse cela. Tu regardes ton amie et tu pouffes de rire sans en connaître la réelle raison. Tu as envie de rire, c’est tout ce que tu sais. Tu te raccroches à elle, à ses bras et regarde par-dessus son épaule, une fois, puis deux. Tu crois voir Valentin… Un sourire se dessine sur tes lèvres quand tu te rends compte que c’est bien lui, seulement, il s’efface quand tu remarques la blonde à ses bras. Mais merde alors, c’est toi sa blonde. Le pire dans tout cela est qu’elle n’a rien de déplaisant. « Merde, c’est pas vrai ! ». Tu aimerais que tout cela ne soit qu’une hallucination, mais ce n’est malheureusement pas le cas, alors tu lâches ton amie et manque de la bousculer en passant à côté d’elle pour aller à la rencontre de Valentin, ton Valentin. Tu as une démarche déterminée, tu vois noir, mais en même temps, ça tangue autour de toi, comme si tu étais à bord d’un bateau mais en beaucoup plus nauséeux donc t’as pas l’air si sérieuse que ça, même si dans ton fort intérieur, tu l’es plus que jamais. Tu passes ton index sur sa joue et tu le descends jusqu’à sa lèvre inférieure. « Alors, on vient s’amuser sans moi ? ». Tu tournes la tête vers cette pimbêche qui sort d’on ne sait où et tu la dévisages. Tu la regardes des orteils jusqu’à la racine de ses cheveux afin d’inspecter le moindre défaut qu’elle pourrait avoir et sur lequel tu pourrais la descendre, mais c’est trop flou et il fait trop sombre dans ce bar alors tu ne trouves rien de concret… Et tu abandonnes. Tu regardes la main qu’elle a posée sur le bras de Valentin et tu tapes dessus. « Tu savais pas qu’il m’appartenait ? Il te l’a pas dit ? Enlève ta main ! ». Tu parles particulièrement gentiment pour le moment mais la moutarde et la colère commencent à te monter au nez. Tu vois rouge en un quart de seconde et tu tournes la tête vers l’ancien Winthrop. « Je ne mérites pas ça Valentin ! Je ne mérite pas que tu t’affiches devant moi avec une autre fille, tu me fous la honte avec ta blonde décolorée là, c’est pas normal tu comprends ? ». Ce que tu disais n’avait aucun sens mais tu étais excusable à cause du taux d’alcool dans ton sang. Sauf que l’alcool n’a rien d’excusable, mais c’est secondaire ça. Tu commences à sentir les larmes te monter aux yeux à cause de la colère mais tu ne sais pas si tu souhaites vraiment pleurer car tu n’es pas triste dans le fond. Il ne savait pas que tu comptais passer la soirée dans ce bar et pourtant tu lui en veux horriblement. « Dégage de là toi, je vais pas te le répéter ! ». Tu la vois reculer, s’en aller jusqu’à la porte d’entrée qui pour elle sera la porte de sortie et tu t’approches de Valentin, des étoiles dans les yeux, tu attrapes ses mains et le regarde avec un petit sourire timide aux lèvres, attendant sa réponse, sa réaction.


Texte 17 : Ce texte représente Lenaïs J. Brooks

J’ai toujours adoré fouiller dans la tête des gens mais pas physiquement. La chirurgie ce n’est pas fait pour moi. Non, je préfère y avoir accès avec les mots et les oreilles. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’étudie la psychologie. Pour pouvoir entrer dans la tête de tous ceux qui m’entourent mais également afin de les écouter, de les aider et surtout de les épauler. Ma mère dit que ça vient de mon frère. Que dans un sens, si je suis ainsi, c’est à cause de tout ce que mon frère a vécu. En aidant les autres, c’est comme si je l’aidais également. Je trouve ça assez étrange comme concept mais en même temps, tellement vrai. Puis, ça sort de la bouche de ma mère donc c’est censé dans le fond. Je pensais à tout ce qui m’avait conduit à emprunter cette voie tout en allant à mon stage. Je le faisais dans le cabinet d’une psychologue assez réputée. Elle s’occupait apparemment d’un ami à moi. J’avais fouillé dans quelques dossiers en son absence, mais ça, elle ne le savait pas, elle m’aurait viré sinon. C’est ainsi que j’en avais appris beaucoup sur le cas Hudson. Et une fois de plus, je me retrouvais seule dans son cabinet. Je l’avais compris en enfonçant ma clé dans la serrure de la porte de son cabinet. C’était fermé et à double tour. Je m’apprêtais à entrer et la refermer mais un patient fit son entrée. Il avait apparemment rendez-vous. « Je… Je ne sais pas si je peux vous prendre avant qu’elle n’arrive. Attendez dans la salle d’attente si vous le souhaitez ! ». Il n’était apparemment pas d’accord. L’heure c’est l’heure selon lui. Il n’avait pas tort à ce propos mais, je me voyais mal lui faire la consultation seule. J’avais déjà assisté à l’une de ses séances, mais avec la psychologue et il était franchement atteint. Je ne voulais pas le contrarier alors je lui demandais de passer dans la salle de consultation. Je m’empressais de déposer toutes mes affaires sur mon bureau et de chercher son dossier parmi tous ceux qu’il y avait dans la pile de dossiers des patients du jour. On les avait préparés la veille. Heureusement pour moi d’ailleurs. « Il est là ! », chuchotais-je avant de me retourner vers lui. « Installez-vous hein, je vous écoute ! ». Je m’installais à mon tour sur ma chaise et je l’écoutais attentivement. Jusqu’à ce qu’il arrive à ce passage sombre… J’ai ces voix dans ma tête… Elles m’empêchent de dormir. Elles veulent que je fasse du mal, mais je veux pas et en même temps, c’est si tentant… Je le vois se lever et pencher la tête sur le côté, les larmes commençant à couler le long de ses joues, Aidez-moi, je suis vraiment perdu… J’étais désarmée. Si j’étudiais, c’était justement pour faire face à ce genre de situation, mais pour le moment, je n’étais pas prête et je me sentais désarmée. Je restais sans voix. Vous ne savez plus parler ? Je haussais les épaules, la peur commençant à me gagner, complètement. « Je… Je ne sais pas ! ». Je le voyais plisser les yeux et frapper sur le coussin du canapé, violemment avant de se lever, Putain mais tu sers vraiment à rien pauvre conne ! Je baissais la tête pour ne pas croiser son regard. J’avais beaucoup trop peur qu’il devienne fou ou du moins, bien plus fou qu’il ne l’était déjà. « Calmez-vous s’il vous plaît et… Regagnez votre place ! ». Je me demandais s’il avait entendu l’ordre que je lui avais gentiment demandé étant donné que j’avais parlé d’une voix à peine audible. Ne me dis pas de me calmer petite idiote incompétente ! Heureusement que tu es jolie parce qu’appart ça, tu ne sers vraiment à rien ! Au lieu de retourner à sa place, il s’approche de moi et renifle mes cheveux tel un animal. La peur et la colère me gagnent et je lâche son dossier pour m’agripper aux accoudoirs du siège où j’étais assise et lui foutre un magnifique coup de genoux dans les testicules. Je le vois s’attraper ses parties génitales et tomber au sol en m’hurlant des insultes. Je me lève et je cours vers la sortie. C’est à cet instant que je tombe sur la psychologue qui me demande ce qui ne va pas en me prenant dans ses bras. Je me contente de m’y blottir sans dire un mot. Je respirais beaucoup trop vite. J’étais beaucoup trop paniquée pour dire quoique ce soit.


Texte 18 : Ce texte représente Beezus Darling

S'il y a bien quelque chose que tu ne regrettes pas, c'est d'avoir été à ce voyage avec les Dunsters. C'est quand on voit à quel point cet évènement a été bien organisé que tu es fière de faire partie de cette maison. C'est vrai quoi, toi, Bee qui au départ n'était pas forcément destinée à faire partie de l'élite en fait aujourd'hui partie. Mais pas grâce à l'argent comme les Eliot. Oh non, certainement pas grâce à l'argent. Grâce à ton intelligence. Tu peux faire quelque chose de bien dans ta vie grâce à toi et uniquement à toi. Assise dans la salle commune des Serpentards en train de discuter avec des compagnons de maison, tu regardes d'un coup autour de toi et tu sens la panique te gagner. Oh non, Lily-Rose. Ayant l'habitude de la faire garder lorsque tu sors, tu avais complètement zappé que tu as emmené ta fille avec toi en Écosse. D'un bond, tu te lèves et tu regardes autour de toi. Il faut que tu reconstitue ton emploi du temps d'aujourd'hui pour savoir où tu l'as laissé. Est-ce que tu te sens honteuse ? Oh oui. Mais ça peut arriver à tout le monde, non ? Tu n'es maman que depuis 4 mois, c'est un métier qui s'apprend d'être maman. Surtout une maman étudiante. Lorsque tu te diriges vers la porte d'entrée de la salle commune, tu croises quelqu'un qui te dit avoir vu ton bébé dans la grande salle. Mais oui, tu étais en train de manger quand tu as du aller aux toilettes rapidement, et tu as ensuite oublié de retourner la chercher avant d'aller dans la salle commune. Tu soupires de soulagement et tu cours vers la grande salle, sentant ton coeur battre à la chamade en voyant ton petit bout de chou endormi dans son siège bébé portable. Une chose est sûre, tu ne la quitteras plus d'une semelle maintenant.


Texte 19 : Ce texte représente Alexia R. Dickins

Un cours de potions, voilà qui serait cool. Ils pourraient mélanger des mixtures bizarres avec des effets rigolos, façon classe de chimie. Sauf qu'au lieu de citer des produits aux noms imprononçables, on n'aurait qu'à parler de bave de crapaud ou d'yeux de scarabée. Peut-être que quelqu'un ferait fondre son chaudron comme Neville ! Ou provoquerait une explosion. Oh oui, ce serait drôle à organiser : il faudrait se renseigner sur les divers produits à utiliser pour avoir des effets marrants, mais pas trop dangereux, et puis...

BOUM !

Alexia se sentit projetée en avant. Elle vit avec terreur le pare-brise s'approcher à vitesse grand V de son délicat petit crâne, mais sa ceinture de sécurité lui sauva la vie - brave ceinture ! Elle fixa la route, effarée. Son 4x4 était en train de faire l'amour à une autre voiture. Et le propriétaire qui en sortait n'avait vraiment pas l'air très content. Merde merde merde merde merde ! La Dunster se composa son plus beau sourire spécial je-suis-gentille-aimez-moi-c'est-pas-ma-faute et baissa sa vitre.

- Vous savez, on aurait été dans Harry Potter, on se serait déplacé en poudre de Cheminette et rien de tout ça ne serait arrivé !

Bon OK, c'était pas top comme réplique pour ne pas énerver davantage le vilain monsieur. Surtout qu'il n'avait pas l'air de faire semblant. Pas étonnant vue la gueule de sa voiture. Mais faut pas faire les étonnés quand on conduit une petite caisse comme ça et qu'un 4x4 vous rentre dedans, aussi !

- Vous vous foutez de ma gueule ?

Le sourire d'Alexia disparut plus vite que les rubis du sablier Gryffondor quand Rogue donne un cours aux rouges et ors.

- Pas-pas du tout, balbutia-t-elle. Mais j'étais distraite parce que je pensais à Harry Potter, vous voyez, c'est la première chose qui m'est venu à l'esprit et...

- Et vous trouvez ça malin ? rugit sa victime. Vous avez vu l'état de ma bagnole ! Donnez le permis à des femmes, tiens ! Voilà ce que ça donne !

Alexia voulait bien qu'on lui reproche sa maladresse. Elle voulait bien qu'on lui en veuille pour sa distraction. Et quoique ce n'était jamais agréable, elle n'avait rien contre le fait de se faire bousculer un peu par un conducteur dont elle avait malencontreusement embouti la voiture. Mais ce genre de remarque générique et mysogyne, là, non, fallait pas déconner non plus !

- Eh, vous ! Je vous signale que je connais plein de femmes qui conduisent très bien ! Et je suis peut-être pas douée, mais ça n'a rien à voir avec mon sexe ! Alors maintenant vous vous calmez... et... et...

Allez, réfléchis, Alexia ! songea-t-elle. Trouve comment lui clouer efficacement le bec à ce fichu macho !

- Et puis, donnez-moi votre nom et vos coordonnées, quoi, que je puisse donner les infos à mon assurance, termina-t-elle piteusement.

Un jour, oui, un jour elle développerait une intelligence artificielle capable de riposter à sa place. ET À DATER DE CE JOUR, PERSONNE NE POURRA JAMAIS PLUS LUI FAIRE DE REPROCHES !


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Et voilà chers membres, c'est à vous ! Vous avez un sacré choix à faire à présent alors que le meilleur gagne Concours d'écriture : Inversion des Rôles #2 1365124802




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