Invité
est en ligne
Invité
Caleb Richard Blake fiche; terminée C'est le 25/12/1987 à New York, que la famille Blake m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Caleb Richard. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis limite assexué et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en littérature anglaise, je suis maintenant en année d'étude. OU Depuis maintenant 7ième année je travaille comme assistant bibliothécaire. Et pour terminer, je voudrais intégrer les student ou les student. |
Études Ah. Il n’y a rien de tel que la littérature pour vous faire travailler l’esprit même si je préfère celle provenant de cette bonne vieille Angleterre. C’est pourquoi je suis en train d’essayer d’avoir un doctorat en littérature anglaise. Ma spécialité est celle du XVIIIe siècle mais j’apprécie aussi les écrivains contemporains. Je ne peux pas dire que je connais Harvard comme ma poche étant donné que je passe mon temps entre mes études, mon appartement et la bibliothèque. Les fêtes et autres confréries ne m’intéressent guère. Je n’ai pas le temps à perdre et encore moins l’envie d’abimer mon cerveau avec les drogues, la musique bruyante et autre ânerie de ce genre. Non, je préfère de loin le calme, le silence et être tenu à l’écart de toute tentation. Certains me donnent de surnoms peu flatteurs mais qu’importe. Rien ni personne ne me fera dévier de ma route. Toutefois, n’étant pas riche, je me dois de travailler. Heureusement, j’ai réussi à dénicher le poste d’assistant à la bibliothèque me permettant ainsi de payer mon loyer et mes frais généraux. Actuellement, du moins à la rentrée, je débuterai ma septième année : l’année de l’obtention de ma maitrise. | Caractère Comme tous les êtres humains, Caleb est complexe et souvent contradictoire, à la fois dans sa personnalité et dans ses attitudes. Il apparaît comme sans émotion et replié sur lui-même. Il ne se range pas parmi les gens qui placent la modestie au nombre des vertus. Pour le littéraire, les choses sont ce qu'elles sont, et se sous-estimer est, tout autant que se surestimer, une altération de la réalité. "Ce que l'on fait en ce monde importe peu. La question, c'est ce que vous pouvez faire croire que vous avez fait." Il est égotiste et didactique et on dit de lui qu'il est aussi sensible à la flatterie, quand il s'agit de ses connaissances littéraires, que n'importe quelle femme quand il s'agit de sa beauté. Une de ses plus grandes faiblesses c'est qu'il supporte mal les intelligences moins vives que la sienne et il peut être franchement méprisant pour ceux qui lui sont inférieurs mentalement, et pour ceux avec qui il n'est pas d'accord. S'il est dur avec les autres, il ne s'épargne pas lui-même. Il n’admet aucun échec et si ses notes ne sont pas à la hauteur de ses attentes, il risquera jusqu’à sa santé pour améliorer cet inconvénient. Il montre une réticence à nouer de nouvelles amitiés et préfère vivre dans la solitude et l'isolement. Il fait preuve d'insouciance et d'une veine mi-cynique, mi-humoristique mais la dureté n'est pas dans sa nature première. Il a toujours besoin que son cerveau soit en action. C’est pourquoi, il a toujours un livre ou un jeu de lettre près de lui. Seul son violon semble le calmer quand son cerveau n’en peut plus. Ses passion sont donc : la lecture, l’écriture, l’Art, la musique classique, son violon. Il ne croit pas en Dieu ni même en l’amour. Les femmes l’indifférent et s’il arrive qu’il partage de temps à autre la couche de l’une d’entre-elles, c’est toujours quelque chose de fondamentalement provisoire. Il semble incapable de développer des sentiments amoureux. |
Everyone Has Their Own Story
« Madame Blake, votre fils souffre d’un profond traumatisme suite aux meurtres de votre mari. Le faire sortir de notre établissement serait grandement préjudiciable pour lui. Il est dangereux pour lui-même et pour les autres.» racontait le toubib à ma mère. Elle, elle le regardait sans trop le voir tandis que je les observais, imperturbable. Cela faisait trois mois que mon père avait été assassiné sous mes yeux. Trois longs mois où je n’avais pas dit un seul mot mise à part pour grogner ou hurler. Je ne faisais plus que me battre pour faire sortir cette foutue colère en moi. Toi, tu restais-là avec ton air de chien battu. Je faisais peur à tout le monde même aux médecins que tu me forçais à voir. Psychopathe en puissance selon eux. Toi, tu continuais de pleurer dans ton lit comme la misérable femme que tu étais devenue. Je n’avais que quatorze ans, j’étais jeune. Une mauvaise passe comme tu le clamais à qui voulait bien l’entendre.
« Tu sais Caleb, tu restes mon fils. Tu n’es pas un monstre, tu es mon fils ! Ils ont peur de toi, moi je n’ai pas peur mon enfant. Je t’aime mon fils » m’avais-tu dit un soir. Un ramassis de mensonge. Tu étais la plus terrifiée par moi. Tu vérifiais jour après jour que je prenais bien mon traitement sensé me calmer. Tu vérifiais toujours si la porte de ta chambre était verrouillée puis tu as fini par te suicider en lâche que tu étais. Ton cerveau n’allait pas plus loin que ces petites réflexions, cette misérable auto-persuasion. On m’a confié à cet oncle. Il habitait dans le Massachusetts. Etrangement, c’est l’homme que j’ai le plus admiré et le plus redouté. Vivre avec lui était un challenge continuel. Il ne me demandait rien si ce n’est d’obéir à des règles strictes. Tout était réglé à la seconde près chez lui. Il me forçait même à lui faire son thé à une température bien précise. D’après lui, il s’agissait de l’infusion parfaite. Avec le recul, tout était parfait chez lui : son savoir, ses manières, sa vie. Je crois que la première fois que j’ai vu la déception dans son regard, mon cœur s’est arrêté de battre. Rien ne comptait plus pour moi que de l’impressionner. Cet homme, cette intelligence plus aboutie que la mienne. Alors du haut de mes quinze printemps, j’ai commencé à étudier, oubliant petit à petit cette violence destructrice. Je connaissais toute la littérature anglaise sur le bout des doigts. Je savais parler le français, l’espagnol et l’italien à dix-sept ans. J’étais le premier partout, dans tous les domaines. Sauf en sport. Du moins, cela dépendait des sports. J’étais bon en endurance, en lutte. Les sports collectifs ne m’intéressaient guère. Je n’avais pas le temps à consacrer à des futilités. Tout mon être se tendait vers cette connaissance. A dix-huit ans, j’entrais à Harvard. Mon Oncle m’avait payé mes études. Sans un mot, sans rien attendre. Il savait qu’à présent, j’étais comme lui. Un jeune homme avide de connaissance, n’ayant aucunement le besoin de perdre mon temps dans la sentimentalité. De toute de manière, cela ne faisait que nuire à mon cerveau. Retenir l’essentiel, effacer le superflu. J’étais devenu indifférent à la norme sociale, aux convenances. Seul importait le résultat et la connaissance.
Les années ont passé. La mort de mon père me hantait toujours, me réveillant parfois en nage mais dès que mon cerveau prenait le pas, tout redevenait calme et sérénité. On disait de moi que je n’étais qu’une machine sans émotion. Peut-être mais en attendant, ils étaient bien forcés d’admettre mon génie. Peu importait le reste. Il y a trois ans, j’ai déniché un petit boulot d’assistant bibliothécaire qui m’assurait une petite rente personnelle non négligeable malgré cela, j’avais été forcé de prendre un(e) colocataire pour pouvoir vivre un peu en dehors du campus et ainsi m’éloigner de cette bande de primate qui se fourfoyait dans leur soi-disant intelligence. Misérable. Pathétique. L’être humain était pathétique. On dit de moi que je suis insensible et pas en fait avec la réalité. Au contraire, je la voyais telle qu’elle était sans fioriture aucune. Je suis Caleb Blake. Le sociopathe d’Harvard, pour vous servir.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Sushi. ↬ ÂGE - 26a. ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Top partenaire sur un forum. ↬ TES IMPRESSIONS - Pour le moment bonne. ↬ CRÉDIT(S) - f.deneige. ↬ AVATAR - Luke Grimes. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
(Invité)