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BAYLOR ► WAKE UP LIKE A … BLOW FISH ?

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Le summer camp. Où plutôt, le moment où on peut enfin respirer et construire sa propre opinion des choses. Je ne savais pas trop quoi faire depuis que j’avais fermé la porte de mon chalet pour prendre un peu l’air. J’habitais avec deux personnes pour les vacances, et les deux me tenaient vraiment à cœur, même si parfois ça pouvait être électrique. Puis, d’un seul coup, je pensais au fait que Taylor aussi était aux chalets cet été, et qu’ainsi je pouvais aller lui rendre visite. Sans grands efforts. Je commençais à marcher, sortant un joint de mon paquet de cigarette pour le glisser entre mes lèvres. L’allumant, je prenais une bouffée dessus. Me dirigeant toujours vers le chalet de ma petite poute préférée, je quittais de temps à autre le chemin tracé pour. « fuck, c’est quoi ça. » Oui, il m’arrivait de ne même pas reconnaître une feuille et de fuir en courant parce que la trouille me remplissait le ventre. Pourtant ce n’était pas qu’une mauvaise chose, car j’étais enfin arrivée devant son chalet, et ça promettait de me mettre le sourire aux lèvres en même pas six minutes top chrono. Je terminais mon joint, fumant plusieurs lattes de suite afin de l’écraser par terre pour arriver à toquer à la porte. J’attendais de voir mon amie depuis deux jours maintenant, et j’avais tellement de choses à lui raconter que je ne pouvais même plus me contenir. « TAYLOR OUVRE CETTE PORTE, SINON LE SERPEND QUI EST DERRIÈRE MOI VA ME MANGER ET TU VAS PLEURER MA DISPARITION ! » Je rigolais bien sûr. La seule bête qui était derrière moi était un pauvre lézard pas plus grand que ma main et qui ne pouvait même pas mettre un de mes orteils dans sa bouche. Il n’irait donc pas très loin en besogne. Je frappais encore une fois avant de voir la porte s’ouvrir petit à petit. C’était une blague où elle était entrain de vérifier qu’il n’y avait pas de serpent avant d’ouvrir cette porte et de me sauver la vie ? Je voyais peut-être trouble en fin de compte, mais elle allait quand même me le payer. Parole d’une scoute.
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Lendemain de soirée, t'étais encore dans les vapes et tes jambes avaient tendances à te dire "non, tu vas à droite pas à gauche bitch". La violence des maux de têtes en plus de cela, t'avais prit tes cachets destinés à tes gros maux de tête lié à ta tumeur. Certes, c'était un peu de la triche mais au moins, t'étais sûre de plus avoir mal à la tête et c'était le plus important non ? Y'avait intérêt en fait que t'es plus mal à la tête, t'allais pas supporter ça longtemps. T'étais en train de ranger tes affaires, parce que c'était le bordel et comme ça Lincoln il avait pas besoin de savoir ou voir où tu rangeais telles et telles affaires. Or, avant que tu puisses ranger ton traitement pour ta tumeur, voilà que t'entend la porte frapper et reconnaître entre mille la voix de ta meilleure amie. MA POUUUUUUULE ATTEND JE T'OUVRE, MAIS FAIT GAFFE QUE SERPENTARD Y RENTRE PAS, J'VEUX PAS FAIRE MON HARRY POTTER MOI ! ouais, tu venais de gueuler ça avant d'ouvrir la porte et faire rentrer ta meilleure amie en mode rapidos. Bah ouais, t'aime pas les serpents et même si y'en avait pas un, ça te foutait la trouille ces trucs ! Comment tu vas Baba, avoue j'te manquais trop, tu voulais voir mon boule alors t'as débarqué parce que t'étais en manque du visuel magnifique hein hein !  
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Je rendais visite à la femme de ma vie. Ma meilleure amie. En tout innocence bien sûr. Enfin, ça l’était presque. Je savais bien qu’on allait s’amuser ensemble, qu’on allait faire les folles et ne surtout pas risquer de s’ennuyer plus de deux minutes. Elle était la personne qui comptait le plus pour moi à l’heure actuelle. Même si j’aurais bien aimée avoir une compagnie masculine. Je pouvais tout lui dire. Je le savais. Quand j’arrivais en face de sa porte, j’hurlais le plus possible pour la faire ouvrir. J’utilisais même le prétexte du serpent derrière moi et elle arrivait ainsi à placer une allusion au film culte d’Harry Potter. « OKAY PROMIS MA POUUUTE ! » Je la voyais enfin à travers le trou de la porte, elle me tirait d’un seul coup pour que je rentre le plus rapidement possible, et je commençais à rire quand elle refermait la porte derrière moi. Elle me demandait comme j’allais, et je la regardais avec un grand sourire sur mon visage. Elle croyait qu’elle m’avait manqué, ce qui n’était absolument pas faux. Je la regardais avec un sourire en coin, et je commençais à faire sortir se regard pervers qui m’avait value une bonne dizaine de prix à Londres. ( BAYLOR ► WAKE UP LIKE A … BLOW FISH ? 387742012 ) « Je vais au top et toi Tay ? » Je rigolais. « Hoo, tu sais tu ne m’as pas tant manqué que ça, je passais juste comme ça, voir si tu étais toujours en vie après la cuite que tu as dû te prendre hier soir. » Je souriais et je me retournais, voyant un satané désordre face à moi. « Il y a eu une tornade ici ou quoi ? » Je me retournais vers elle, vicieusement. « Il s’appelait comment ce coquin ? » Curiosité, quand tu nous tient.[/b]
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Ouais, vous aviez l'air hystérique et folle à deux mais vous vous en cariez complètement en fait. T'étais bien avec elle, tu pouvais tout lui dire enfin presque. Tu t'étais gardée de lui dire pour ton état de santé car t'avais pas envie de lui faire du mal. Certes, tu l'avais apprit lorsque vous vous étiez rencontrez mais t'avais pas envie de tout gâcher pour une stupide tumeur. Du coup, tu fermais ta gueule pour pas gâcher tout ça, pour pas attrister l'une des plus proches amies que tu avais pour ne pas dire LA plus proche. Ca irait mieux sans ce mal de tête que j'me tape !  dis-tu en souriant. Bah nan, tu vois là j'ai mouru c'est le double de moi qui est en vie t'as vuuuuu !  Comment ça, tu disais de la merde ? Mais pas du tout voyons. Remarquant que t'avais tes médicaments encore sur la table, tu t'apprêtais à les ranger quand Bane te posa la question fatidique. NAAAAN, y'a personne qui est venu dépuceler Taylor Chloé Winston. Bah nan, toujours pas ! A croire que tu repousses les mecs hein ! Il s'appelait néant, tu sais ce fameux gars qui n'existe pas et qui te pousse à rentrer seule dans ta caravane et dormir complètement bourré et nauséeuse ?  tu lâchas un rire avant de ranger tes médicaments. Enfin, c'est sans compter que t'as fait tomber ta boite de médicament et ces derniers avec. ET MEEEEEERDE, ils me font chier ces putains de trucs !   
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Taylor et moi, on était tout simplement assez bizarre. Je la comptais comme une de mes meilleures amies, voir même ma moitié, simplement parce que quand je suis avec elle, je peux respirer un bon coup et être moi pour plus qu’une minute. Alors oui, j’étais rentrée dans sa caravane en mode tranquille, et oui j’allais sans doute regretter de ne pas l’avoir laisser ranger le petit bazar qui s’y trouvait. Mais qu’importe, ça ne comptait pas pour moi. « Les maux de tête c’est des putes, sérieux. » Je disais ça avec toute la compassion du monde et le plus fameux sourire possible. « Ben va chercher la morte et ramène-la-moi please. Je la préfère, sans te vexer. » Je me tournais vers le désordre et je lui notifiais tout ce que je voyais par le biais du peut-être inconnu qui aurait passé la nuit ici avec elle. Sauf qu’elle me remettait vite les pieds sur terre en me précisant plus que bien que personne n’avait eu la joie de jouer avec ma meilleure amie. Je faisais une mine boudeuse. Je ne comprenais pas pourquoi elle se saoulait autant si elle revenait bredouille à la fin de la soirée. « Non je ne le connais pas, j’ai toujours quelqu’un avec moi après une cuite. Que ça soit une amie ou… Un futur ami. » Je rigolais à cette blague assez foireuse, mais bon, je n’allais pas pleurer en lui disant à quel point c’était nul qu’elle soit toujours seule. Bref, je la voyais se diriger vers le bordel pour attraper une boîte de médicaments, et pour couronner le tout, elle avait bien sûr fait tomber cette dernière. « Fais gaffe tes pilules s’échappent. » Je m’accroupissais pour en ramasser quelques unes, prenant la boîte au sol pour y ranger ces dernières. En lisant le nom du médicament, je me relevais assez rapidement, surprise. « C’est super fort ! Pourquoi tu prends ses merdes ? Ça va te détruire l’estomac mafia ! » Sourire aux lèvres, je lui disais ça pour rigoler, parce qu’après tout, j’avais rien à lui dire sur ce qu’elle prenait. J’aimais me défoncer et peut-être qu’elle l’avait fait avec ceux-là. Ce n’était en rien mon problème. Je me devais d’être une bonne amie et de ne pas la juger, elle faisait ce qu’elle voulait et moi de même. « Enfin, je dis ça mais je dis rien honey. » Je lui souriais, lui rendant sa boîte de médicaments.
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Les maux de têtes c'était la merde. T'y étais habitué pourtant mais ça ne faisait que renforcer la douleur. A croire que ta tumeur ne pouvait pas se mêler de son cul pour une fois de sa vie.  Je te le fais pas dire ! lâchas-tu simplement. Si tu pouvais t'épargner ces maux de têtes, tu le ferais volontiers ! Le truc c'est que t'avais pas le choix. Tu endures et tu fermes ta gueule parce que de tout de façon, ça ne changera rien de te plaindre. Sale bitch ingrate va ! J'aurais du te laisser faire ton Harry Potter dehors tiens ! dis-tu avec un rire. Nan mais c'était vraiment le bordel dans ta caravane. Heureusement que Lincoln n'avait pas vu ça, t'avais toi-même honte du bordel que tu avais pu mettre. Et bien, t'en as le de chance toi, petite veinarde ! Tu lui souris avant de ranger tes pilules. Mais, comme t'es un boulet sur patte t'es même pas capable de fermer une boîte de médicament sans en foutre partout. Bah nan, maladroite un jour, maladroite toujours, hein ! Et puis, ce que tu redoutas arriva. Bane vint t'aider, trouvant alors le nom de tes médicaments. Bien sûr, elle prit ça avec le sourire mais, toi tu souriais pas tellement. Devoir mentir à sa meilleure amie ce n'était pas le truc dont tu étais la plus fière, loin de là ! Ouais mais... Tu comprends, on est des migraineux dans ma famille et forcément fallait que ça tombe sur moi aussi dis-tu avec un léger sourire. Du coup, y'a que ces merdes qui font effets, et encore ça dépend des jours... Tu ramassas ensuite l'intégralité des médicaments avant de les ranger dans l'une des armoires où se trouvaient tes autres médicaments. D'ailleurs, tu les prenais plus. C'était le sois disant traitement qui pouvait te stabiliser et te faire tenir quelques mois ou années de plus, mais t'y croyais pas vraiment. Si tu devais mourir, tu mourrais que ce soit aujourd'hui ou dans trois ans. Ce n'était pas des foutus médocs qui te donneraient de l'espoir. L'espoir, c'est pour ceux qui ont vraiment une chance de survivre, pas toi donc ! Et toi sinon, ta soirée ? T'as fait quoi hier ? T'as ramené un beau gosse dans ton lit, ou bien ? dis-tu légèrement. Ouais, penser à ton traitement ça t'avais un peu cassé dans ton trip, mais t'allais t'y remettre.
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Je n’arrivais pas à croire que j’étais enfin en face de Taylor. Elle m’avait manqué. Beaucoup manqué en fait. Cette petite boule de poile rousse était mon occupation préférée depuis que je la connaissais. Et j’étais en quelque sorte la sienne. Sauf que je ne suis pas rousse… Mais brune. Ouais, j’étais une brune, une vraie, une forte brune. « Après, faut pas t’en occuper, ça passe tout seul. » Les maux de tête, je connaissais bien ça. J’en avais tout le temps après une soirée trop arrosée et je détestais carrément ça. Après, personne n’aimait vraiment sentir ses tympans lui exclamer leur mécontentement en tambourinant sans cesse durant une journée. Elle m’insultait, simplement parce que j’avais dit préférer la Taylor morte, ce qui n’était pas du tout vrai. Je l’aimais tout simplement. Tout entière. Vivante. « Ho mais ça va, je rigolais, relax petit ours. » J’aimais bien lui donner des surnoms, ça rendait notre relation plus bizarre et incompréhensible. Ce n’était jamais le même, mais au moins on ne pouvait pas dire qu’on rentrait dans une routine merdique. « Je suis la fille la plus chanceuse du monde. » Je souriais de toute mes dents en disant cette phrase, très ironique. Quand on connaissait mon histoire, on comprenait vite que j’en avais vécu des choses et que j’étais forte pour tout encaisser, enfin, je crois. Ses pilules de migraine tombaient toutes par terre, alors qu’elle essayait juste de les ranger, et pour l’aider je m’étais presque précipité par terre pour les ramasser. Je lui expliquais que ces choses étaient vachement forte et que ça pouvait détruire son estomac, mais au final elle faisait ce qu’elle voulait. Je n’allais pas l’obliger à prendre des trucs moins fort, ça ne me concernait pas. Je lui souriais en les lui rendant. Et je la sentais un peu frustré. J’avais peut-être fait une gaffe dans mes paroles, allons savoir. Je la regardais suggestive pendant qu’elle reprenait la parole. Les problèmes de migraine se passaient dans sa famille d’après elle et c’était bizarre, mais je ne connaissais pas vraiment sa famille. Ils avaient peut-être tous des grands besoins de se guérir, ha. « Ouais mais, c’est quand même super fort. Tu devrais diminuer ! J’espère que tu n’en prends qu’une par migraine hein ! » Je faisais ma maman poule mais ma voix se voulait rassurante. J’étais là pour elle si elle voulait parler, elle pouvait m’avouer qu’elle se droguait avec, ça n’allait pas m’atteindre. Quoi que, Taylor n’était pas vraiment ce genre de filles. Elle n’était pas comme moi, elle touchait pas à ces choses-là. Je m’asseyais sur une chaise libre, par chance. Et je la regardais, interrogateur jusqu’à ce qu’elle me demande ce que j’avais fait hier soir. Je souriais au mot beau gosse, c’était marrant de l’entendre dire ça. « Je suis sortie, j’ai bu, j’ai fumé, j’ai drivaillée. Et ouais, je me suis tapé un gars, je me rappelle même pas de son prénom, c’est pour te dire comment il était canon, ha. » J’éclatais de rire mais je m’arrêtais en même pas deux secondes. L’idée qu’elle se drogue refaisait surface dans ma tête. Et ça m’énervait en fait. J’y croyait pas. Je ne voulais pas y croire. Et pourtant j’avais comme l’impression que je devais lui demander, que je devais savoir. Alors je prenais un ton assez accusateur sans faire exprès. « Tu n’as rien à m’avouer Taylor ? » Je la regardais dans le blanc des yeux. Je la connaissais assez pour savoir si elle avait peur ou non. Et je voulais savoir si elle me cachait une nouvelle lubie ou pas.
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Si ces migraines pouvaient passer toute seule comme le disait si bien Bane. Pourtant, tu savais que ça n'était pas le cas. Et encore heureux que tu ne subissais pas les nausées ou encore les étourdissements que tu pouvais parfois subir. C'était affreux, bien plus terrible qu'une grosse gueule de bois. Ouais, ouais c'est ça petit canard ! Ouais, plus ringard tu meurs mais tu t'en foutais, c'était un truc entre vous les surnoms. De la galaxie même ! ajoutas-tu à la remarque de ton amie. Bah ouais, tu sentais plus tes chevilles et alors ? C'était sans compter que t'étais incapable d'aligner tes deux mains et que t'étais assez boulet pour faire tomber tes pilules que tu t'étais empressée de ramasser. Bien sûr, niveau discrétion c'était à revoir et ton amie n'avait pas pu s'empêcher de jeter un coup d'oeil sur quel type de médicament c'était. Alors, tu lui mentais une nouvelle fois. T'aimais pas ça et le pire c'est que tu savais pas vraiment mentir. Surtout à Bane. Elle te connaissait comme un livre ouvert mais t'avais persisté à cacher ça. T'avais pas envie de lui dire, t'avais pas envie de lui faire de la peine. Et t'avais pas envie qu'elle te regarde autrement. Vous savez, ce regard compatissant, cet esprit qui change. Tu pourrais plus t'amuser comme avant car tu te sentirais coupable de rendre triste Bane. Déjà que c'est le cas. Or, là c'est moins dur parce qu'elle ne sait pas. Et qu'elle ne doit pas savoir. Non non, c'est mieux ainsi, te dis-tu. Un à deux maximum, parfois ça me shoote, parfois ça fait rien, ça dépend des migraines et de l'intensité aussi. Faux, en réalité t'en prenais deux, en complément de tes autres médocs qui étaient cachés dans une des armoires. Parce que, déjà que t'avais Lincoln qui était assez curieux mais tu savais que par inadvertance quelqu'un pouvait ouvrir une armoire et les trouver. T'aurais du écrire son nom sur ta main, c'est pratique on m'a dit ! Bah oui, ça pouvait pas être toi qui ferait ça, faudrait déjà que quelqu'un veuille de toi. Enfin, pas que t'es pas désirable, tu l'es juste visiblement pas assez pour finir dans le lit de quelqu'un. En même temps, t'as pas non plus envie de te faire dépuceler par le premier connard de service ! Et alors que tu pensais que ton amie avait complètement oublié l'histoire des pilules qui étaient désormais ranger, voilà qu'elle en remit une couche. Si t'avais essayé de changer de sujet, visiblement t'avais lamentablement échoué ! Nan, nan t'inquiète... Si j'avais quelque chose à te dire je te l'aurais déjà dit. T'es bien la seule personne à qui je pourrais tout te dire. Fallait que t'arrêtes. Parce que là, tu mentais comme tu respirais. Bien que c'était vrai ce que tu lui avais dit mais si c'était la seule personne avec qui tu pouvais tout lui dire, pourquoi t'avais pas les ovaires de tout lui dire hein ? Bah nan, t'étais trop conne mais en même temps tu préférais souffrir en silence que transmettre cette douleur aux autres.
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Canard. Quand vous entendez ça, vous pensez à cette misérable petite bestiole qui patauge dans les mares et qui se gratte les plumes quand l’envie lui prend. Moi je pensais au fait qu’elle avait fait un gros effort pour trouver ça et le sortir d’un seul coup. C’était amusant. Et loin de toutes mauvaises pensées, je savais bien qu’elle l’avait dit pour me faire plaisir. On avait ce jeu de surnoms et ça nous correspondait tellement bien que je ne savais même pas comment rétorquer pour le moment. Beaucoup de personnes pouvait nous voir comme deux vilains petits canards quand nous étions ensemble. Moi ? Je nous voyais comme deux cygnes à la recherche de notre lumière flamboyante. Après l’accident des médicaments, je lui disais ce que je pensais de tout ça, et elle m’annonçait qu’elle en prenait maximum deux par mal de tête. Ça m’effrayait un peu parce qu’après tout ce n’était pas tellement conseillé de faire ça. Je veux dire, quand on en prend un, c’est normalement suffisant, on n’a pas besoin d’en rajouter ou quoi que ce soit. Mais je me taisais, je souriais idiotement pour laisser passer le truc. Je pourrais revenir dessus par la suite au pire. « Mouais. » je n’étais pas totalement convaincue de sa négociation ni même de ses arguments mais je n’allais pas la réprimander le jour de nos retrouvailles au summer camp tout de même. Elle changeait rapidement de sujet et je lui annonçais que oui, j’avais bel et bien eu une aventure d’un soir. Ça ne comptait tellement pas pour moi ce genre de choses. Quand je buvais j’étais atrocement libre de faire n’importe quoi. Elle me donnait comme conseil d’écrire le prénom des prochains sur ma main pour m’en souvenir, et je faisais une mine interrogatrice. « Faut-il déjà que j’ai un feutre sous la main… Si tu crois que je vais stopper le moment magique qui se passe pour fouiller mes placards tu es folle ! » Je souriais en rigolant. Je savais bien que je devrais faire un minimum attention si je ne voulais pas avoir une maladie ou encore tomber enceinte, mais jusqu’à maintenant l’alcool me faisait faire les bons gestes. Une protection voir deux étaient toujours prise en compte. Alors oui, j’arrêtais l’action pour être sûr de ma sécurité, mais certainement pas pour autre chose. Je revenais sur les médicaments, en lui posant une question assez rhétorique. Je la mettais dans le doute en laissant vaguement mon idée de base s’enfouir. Je voulais savoir si elle était passée du mauvais côté de la force. Je voulais savoir si elle commençait à se droguer avec ces choses. Je voulais savoir si elle me disait la vérité. Je voulais simplement savoir si je devais m’inquiéter pour ma meilleure amie. Elle m’assurait que non en m’avouant que j’étais la seule personne pratiquement à qui elle dirait tout. Je me rassurais alors. Elle ne me mentirais jamais comme je ne lui mentirais jamais. On était comme ça aussi. Honnête l’une envers l’autre. « Tant mieux alors, parce que si jamais j’apprends que tu m’as menti aujourd’hui, je crois que … Ben je te le pardonnerais jamais. » Je partais dans un éclat de rire avant de me lever pour me diriger vers sa cuisine miniature. Je prenais un verre pour y faire couler de l’eau. J’indiquais à mon amie que je me servais à boire et je faisais des gestes suffisant pour lui demander si elle en voulait un aussi. Avant de lui laisser la chance de me répondre, j’ouvrais la bouche rapidement. « Surtout si tu es enceinte ! Alors là je pique ma crise, je te frappe, je t’enterre, je danse puis je te déterre pour être marraine. Mais n’oublie pas la crise de nerf qui t’attend surtout ! » Je la pointais du doigt avec un regard accusateur avec de reprendre un visage doux et un sourire énorme sur le visage. J’engloutissais mon verre et je la regardais de nouveau en le remuant à côté de ma tête, style " tu en veuuuux ? ".
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Parfois, t'avais juste envie d'exploser. De gueuler au monde entier que oui, tu vas crever, que t'es malade, et que merde ouais tu prends des médocs. Mais, dans ce rêve improvisé où tu dévoilerais tout il n'y a pas d'ami. Aucun. Car, dans ce rêve improvisé, tu pourrais exploser sans craindre les diverses réactions de tes amis, des gens que tu aimes le plus. Dans ce rêve improvisé, tu t'en foutrais de mourir, tu pourrais juste profiter sans craindre de faire pitié, ou d'avoir menti à quelqu'un. Bien sûr, ce rêve improvisé il n'arrivera jamais. Car, dans le monde réel c'est différent. Dans le monde réel, tu dois faire face aux regards, aux intentions gentilles (mais parfois hypocrite ou faite par pitié), aux paroles mielleuses et les "t'es sûre que tu vas bien ?". Et puis, t'auras affaire à Bane ou encore Alie-Jane. Sans oublier Oksanna. Tes plus proches amies, celles que tu mentais comme tu respirais. Celles dont tu leur disais tout sauf ta maladie pour ne pas les blesser. Et tu sais que ça les blesseraient de savoir que tu pourrais mourir d'un moment à un autre. Nuuul, j'aurais fait une liste moi de prénom après ! dis-tu en faisant semblant d'avoir une mine boudeuse. Bah ouais, ça aurait été marrant de rédiger un carnet de toutes les conquêtes de Bane à défaut de pouvoir écrire les tiennes. Faut dire que niveau conquête, c'était le point mort de ton côté. Peut-être que y'avait un panneau sur ta gueule écrit "fuyez, elle va mourir" ! Ça serait énormément ironique d'ailleurs, tu mourrais vierge et sans avoir eu un mec. Ou une nana, sait-on jamais hein ! En vrai, tu serais pas capable de m'en vouloir plus d'une semaine vazy, tu m'aimes trop. Enfin nan, t'aimes trop mon boule ! dis-tu en rigolant avec elle même si, en réalité t'espérais vraiment qu'elle ne t'en veuille pas si elle devait découvrir ta maladie tôt ou tard. Enfin, avant que tu quittes ce monde en tout cas ! Et puis là, gros éclat de rire. Toi, enceinte ? Faudrait déjà que quelqu'un décide de s'intéresser à toi ! Bah oui, t'as découvert mon secret Bane... J'suis comme Jane the Virgin, j'suis tombée enceinte par le St esprit... C'est con, hein ? Et oui, sers-moi un verre s'il-te-plaît nounours !
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