SIRIAM&HELIAS ► You are a monkey.

Lundi matin, Hélias se réveilla en douceur après avoir participé à la soirée mousse de la veille en compagnie de ces acolytes et avoir ramené tout le monde en vie au chalet. Il enfila son short, un teeshirt blanc et des converses pour se préparer à la belle journée qu'ils avaient tous prévus. Bon ça c'étais avant que tout le monde reviennent avec 2 grammes de vodka dans le sang. Il toqua aux portes des chambres des ses coloc's, personne répond - Je me casse, je vais au ZOO, à toutes les asticots - cria t'il dans le chalet, vraiment aucune réaction. Bon après avoir pris un bon café, il prit le chemin du bus qui emmenait à Phoenix, aujourd'hui c'était visite du ZOO! Il se dirigea vers l'enclos des singes, et c'est là qu'il aperçu une silhouette familière accroupi et qui donnait de la nourriture aux singes. Il se rapprocha et d'un ton méprisant - Tu veux les intoxiquer sorcière ? -

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Le summer camp est pour moi un bon moyen d’avoir des vacances. Mes parents ont pris les précautions pour que je ne sois pas embêtée par les journalistes. Je dois dire que pour le moment, je profite surtout du zoo ! J’aime les animaux, ils sont gentils. Et surtout je peux aussi essayer de les connaître un peu plus. En art, il est important d’aller les dessiner et les observer le plus possible afin que cela soit une progression artistique. J’ai mon carnet bien entendu, et pour que les animaux profite aussi un peu de nourriture que j’ai acheté à l’entrée du zoo. Je dessine, cela fait trois heures que je suis là. Mon premier carnet commence à être rempli. Je sais que je pourrais en acheter un autre à la boutique du zoo à ma sortie pour ma prochaine visite. Je me repose un peu le cerveau en donnant un peu de nourriture aux singes que j’ai dessiné avant. Une voix… Hélias… Me parle sur un ton assez méprisant. Froide et distante, je lui réponds : « C’est ta connerie que l’on devrait empoisonnée….. » Je ne prends pas la peine de le regarder. Je souris aux singes. Au moins eux, ils ne te jugent pas…

« C’est ta connerie que l’on devrait empoisonnée….. » lui repliqua t'elle d'un ton trop méprisant à son gout, Hélias la considérait comme une vrai pimbeche, mais pas celle qui couche avec n'importe qui et qui porte des robes sexy à longueur de journée, mais du groupe qui joue la fille prude et coincée, meilleure que tout le monde, madame je-sais-tout... enfin bref, sa remarque le fit rire et il décida par fierté de continuer ce petit jeu. - Ma connerie est supérieur à la tienne donc je suis plutôt assez fière, tu rigoles jamais ? -, puis venant s'installer sur le banc situé à coté d'elle, il se permit de lui piquer son carnet de dessins des mains. - Fais voir tes dessins d'enfants - il feuilleta le carnet, même si les croquis étaient plutôt bien réussi, il n'allait pas lui faire de compliments, les chevilles de la jeune fille aurait gonflé! - Pas mal pour des dessins d'enfants! Passe moi ton crayon, je vais en faire un aussi - Helias tendit la main comme un prince et attendait que la jeune femme lui refile le stylo.

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« Ta connerie frôle le sommet de ton immense ego surdimensionné. » Je le vois me prendre mon carnet, je lui dis : « Ça va, ne te gêne pas surtout... » Je me lève pour retourner m’asseoir sur le banc, et je le lui reprend gentiment des mains. Je ne sais pas trop quoi dire, mais bon, je l’observe gentiment, je lui dis tout en rangeant mon carnet dans mon sac. « Tu es un enfant pourri gâté c’est ça ? Tu ne veux pas que l’on te dise non ? Et bien, malheureusement pour toi, je te dis non. » Je sais qu’il est riche tout comme ma famille. Qu’on a du déjà se croiser avant son accident mais qu’il est devenu un vrai crétin parce qu’on a pas su lui dire comme il faut et donc qu’il n’a pas accepté un mensonge ce que je peux comprendre totalement. Je le regarde attentivement, je ne sais pas s’il va se vexer ou pas, en tous les cas, il est là assis à attendre comme un prince, je lui dis : « On ne dessine pas sur le carnet des autres. Si veux apprendre, je peux t’aider. Mais là, tu n’es pas en état de le faire. Tu en veux à la Terre entière… »

Hélias passait des journées à ne rien faire au summer camp, et l'université ainsi que l'environnement familiale commençait à lui manquer, et puis habiter dans un chalet avec 5 autres personnes n'étaient pas chose facile. Surtout qu'Hélias avait un peu le rôle de nounou, il ne pouvait s'en empêcher, étant un eliot, il ne s'amusait pas à boire tout les soirs, il trouvait certes des occupations avec des femmes mais rien de bien palpitant. Et voila que pour se détendre, la où il excellé le plus, c'était d'embêtera les autres. Et puis elle tombait bien Siriam,, elle avait toujours le dernier mot, enfin elle le voulait toujours, elle réussissait rarement. - Mon égo ? C'est bien à toi de dire ça. - certes Hélias avait un égo surdimensionné mais comme tout enfant provenant d'une famille aisée et elle en fessait partie de ce milieu. - Arrête de renier d'où tu viens, t'es aussi pimbêche que toutes ces bourgeoises. - . Pourri gâté ? c'est sur jusqu'à la moelle! - Je vais pas cracher sur ma fortune et tu sais très bien que l'argent fais le bonheur. - Puis la regardant de haut en bas, il fit un geste montrant les vêtements qu'elle portait. - Sinon tu n'arriverais même pas à t'acheter des vêtements de qualités. -. Elle lui proposait son aide pour dessiner, il allait pas faire carrière en sachant dessiner des singes. - Ca sert à rien de dessiner, à part pour te refaire un vrai portrait ! - . Hélias refoulait beaucoup de sentiments depuis son accident et il ne supportait pas quelqu'un s'oppose à ses opinions et surtout essaye de le comprendre.

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J’observe Hélias et je l’écoute tout en soupirant, il a vraiment du avoir un sacré coup sur la tête durant son accident. Je lui dis : « Ce n’est pas moi qui m’agresse froidement pour que je lui prête soit-disant un crayon. Et puis quoi encore, je ne suis pas le supermarché, si tu en veux un va-t’en acheté un au magasin du zoo. » Je me dis que je ne peux pas non plus trop le brusquer mais bon, je préfère une nouvelle fois lui dire : « Aussi Pimbèche que ses bourgeoises…. ?   » Je l’observe et je lui dis : « J’ai été adopté, et j’ai eu une éducation dans le  respect d’autrui, c’est certains que contrairement à toi, je suis vraiment tout l’opposé.  »

Je ne veux pas me disputer avec lui, mais bon, je lui demande : « Es-tu certains que tes parents t’ont tout dit à propos de l’accident que tu as eu…. Parce qu’avant tu étais vraiment moins con….  » Voilà, je viens de lui dire tout simplement les choses qu’il ne veut certainement pas entendre, mais bon, je me dis qu’à la longue il va bien finir par s’y faire… « Ce que je porte ne pourra en rien être tâché par ton sale venin, pare que vois-tu au moins moi, je suis en paix avec ma conscience.  » Je souris, je sais que cela va surement le mettre en colère mais bon, j’aime bien ne pas mentir, et je sais qu’Hélias en bien besoin en ce moment. « Hélias, tu es vraiment con, ou tu penses qu’en l’étant les gens vont continuer à t’apprécier pour ton argent ou pour ton attitude dignes des toilettes… ?  »