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Banima -- déconnectées.

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c'était l'été. J'avais décidé de participer au summer camp en compagnie de Bane. Elle était comme la soeur que je n'avais jamais eue et alors que le summer camp s'organisait, on avait eu envie de partir et de changer d'air. De plus, nous avions eu l'occasion de réserver un chalet à deux, histoire d'être tranquille et de pouvoir s'amuser toutes les deux comme des petites folles. J'avais donc préparé un sac pour partir et une fois que nous étions prêtes, nous nous étions rendues au summer camp avec une impatience peu commune. Avec Bane, on avait toujours fait les 400 coups ensemble et là, c'était l'occasion de faire quelque chose de nouveau et d'excitant. Fallait bien le dire ... En arrivant au chalet, je devenais intenable, montrant à Bane du doigt le chalet que nous allions occuper, après en avoir récupéré la clef, bane et moi retournions jusqu'au chalet pour y déposer nos valises. J'en profitais pour poser mes fesses sur le matelas en soupirant finalement d'aise, ajoutant « on y est enfin ! » alors que je lui offrais un grand sourire amusé. Qui disait summer camp, disait amusement, déconne et détente. C'était l'été, j'avais envie de profiter et qui de mieux que Bane pour partager ce moment avec moi ? Personne. Je jetais un coup d'oeil rapide à mon téléphone avant de l'éteindre et d'ajouter « c'est parti pour des vacances de folies » alors que j'allumais la radio en me mettant à danser sur un rythme ensoleillé et endiablé. Tout promettait. Le soleil, la chaleur, la piscine et les activités de plein air ... On avait bien fait de choisir le summer camp elle & moi. Cela allait nous permettre de nous évader un peu du quotidien et ça me permettrait aussi d'attendre le retour de mon père plus sereinement.
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Savoir qu’avant de pouvoir rentrer dans l’université de mes rêves, j’allais me retrouver dans un chalet avec la fille la plus cool du monde, me rendait tout bonnement heureuse. Naima et moi-même on s’adorait de plus en plus chaque jour, parce que bien qu’on avait des histoires différentes, elle arrivait plutôt bien à me comprendre, et vice versa. Je ne m’ennuyais jamais avec elle, la distraction était toujours présente et les rires aussi. On se comprenait en un regard, ou du moins, pour faire des conneries, on était plutôt sur la même longueur d’onde. Je n’étais pas arrivée depuis très longtemps, et je m’étais à demi intégrée, mais Naima faisait déjà partie de mes amis les plus fidèles. Quand, enfin, le chalet se dessinait en face de nous, je voyais la joie se dessiner sur son visage. Elle me le montrait du doigt, et j’esquissais simplement un grand sourire quand finalement elle prenait la parole. « Oh oui, enfin. Mes valises commençaient à peser lourd ! » Non d’un raton laveur. What ? Rien. Je lâchais mes bagages sur le parquet tout neuf, et je la voyais se prélasser sur le matelas qui donnait l’impression d’être extrêmement moelleux. Elle parlait de nouveau, désignant ces vacances comme celles de la folie, et je souriais bêtement à ses mots, parce que j’avais le meilleur de tout les pressentiments possibles. On allait passer un été de rêve, personne ne pourrait nous le détruire. On était ensemble, jusqu’au bout du monde. Quand elle allumait la radio, je commençais à me déchainer sur la musique de cette dernière, sautant sur le lit pour danser de plus belle, regardant mon amie d’un œil amusé. « SUMMER CAMP BABE ! ON VA S’ÉCLATER ! WOUUUUH ! » Je savais que nous n’allions jamais regretter cette expérience, parce que personne ne regrette jamais de partir en vacance.
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tandis que nous venions d'entrer dans notre chalet, nous avions laissé tomber nos valises trop lourdes et on avait déjà commencé à s'installer, testant les matelas mais aussi les armoires et la chaîne hifi. Ça sentait les bonnes vacances à plein nez. Alors que je ne connaissais Bane que depuis peu, elle était déjà très importante pour moi. Je pouvais tout lui dire, je pouvais aussi lui faire confiance et lui raconter tous mes états d'âme, toutes mes histoires de coeur sans qu'elle ne me juge ou quoi que ce soit d'autre. Je savais que mon père était plutôt ouvert et qu'il ne voyait pas d'un mauvais oeil mes relations avec des hommes mais de mon côté, je me sentais plus à l'aise d'en parler avec une copine plutôt qu'avec lui. Et lorsque j'étais arrivée à Harvard, j'étais tombée sur Bane un peu par hasard. Un heureux hasard je dirais même ... Et depuis, on ne se quittait plus jusqu'à même s'inscrire au Summer Camp ensemble. J'avais hâte de faire pleins d'activités en sa compagnie et surtout de profiter à fond de cette occasion d'avoir de belles vacances paisibles et festives.alors que nous commençions à danser sur les lits en faisant la fiesta, je me rendais compte que cette liberté m'avait manquée pendant deux ans. Je descendais alors du lit, mettant ma valise sur le matelas, j'en sortis un bikini avant de le secouer énergiquement devant ma coloc', ajoutant un « je sais quelle va être notre première activité » sur un ton espiègle tandis que je frétillais d'impatience. À peine ayant dit cela, je me retrouvais dans la salle de bain à enfiler ma tenue de plage avec une vitesse déconcertante, j'avais tellement hâte ... La piscine, l'eau, les beaux mecs à mater ... Une bonne recette pour une après midi farniente. Après tout on venait tout juste de débarquer. Je lui disais donc un « c'est bon t'es okay ? » avant de lui sourire largement.
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Les vacances, ce n’est pas toujours ce dont on rêve à la base. Sauf quand on intègre une petite troupe de joyeux fêtard super intéressant. Alors là, je peux vous promettre que jamais au grand jamais vous ne pourrez regretter les moments passés avec eux. Naima, elle faisait partie de mes amis les plus proches. Et même si pour une petite nouvelle j’étais très sociable et avec un carnet d’adresse assez rempli, je n’oublierais jamais les premières personnes qui ont été là pour moi. Et bien sûr, elle en fait partie. On fait tout ensemble, limite si on n’a pas le même cerveau pour nous deux. C’est tellement impressionnant de voir à quel point nous sommes connectées. J’en ai peur de temps en temps. Parce que je n’aurais jamais cru qu’une fille comme elle voudrait passer du temps avec moi. En dansant sur le lit, j’allumais ma première clope dans cette endroit, respirant à plein poumons la fumer qui s’en échappait. Relâchant doucement en voyant mon amie ouvrir sa valise pour en sortir un merveilleux bikini très chaud pour l’été. Elle allait en briser des cœurs. « Si tu veux aller bronzer ton petit cul, je suis partante, même s’il est déjà bien comme il faut le mien. » Je rigolais bien sûr. J’avais la peau déjà bronzée sans même avoir fait beaucoup d’efforts, mais la sienne était définitivement plus matte que la mienne, et elle était loin d’être blanche comme une boule de neige, mais je voulais m’amuser et pourquoi pas la faire péter un câble avec mes réflexions assez emmerdantes. Mais bien sûr, mes petites blagues la faisaient plus rire qu’autre chose. Je la voyais se rendre dans les toilettes, et comme j’étais une personne assez prévoyante, j’avais déjà mon maillot brésilien sur moi, enlevant mon débardeur insignifiant, laissant juste mon mini short en jean. Elle réapparaissait comme une fleur et je souriais quand elle rentrait dans la pièce. Moi ? Je pensais déjà aux millions de garçons à draguer cet été, et je ferais tout pour repartir avec au moins une conquête très alléchante. « Parce que tu as franchement cru que j’allais te dire, non on reste ici, la plage ça pue ? Soit sérieuse un peu ! » Je sautais du lit pour revenir au même pied d’estale qu’elle, prenant mon téléphone portable et ma serviette de bain. Lui souriant tout en avançant vers la porte de sortie. Je savais bien qu’on allait s’amuser toute les deux. « C’est partie ma vielle, allons faire un premier repérage post-garçons craquant ! » J’ouvrais grand la porte, me tournant vers elle une dernière fois, en l’attendant gentiment.
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tandis que j'arborais mon bikini noir ultra sexy, j'entendis Bane me dire que si je voulais aller bronzer mon petit cul, elle était partante même si le sien lui suffisait comme cela. Je souriais alors que je la regardais fumer tranquillement. Le mien était déjà bien assez bronzé ... Après tout, je revenais de deux merveilleuses années passées sous le soleil de méditerranée alors je n'avais pas besoin de prendre plus le soleil, non non. Je pensais à autre chose de plus disons ... Agréable à l'oeil. Je lui lâchais donc « j'ai une autre idée en tête ... Comme aller mater des beaux mâles à moitié nus par exemple » avant de lui sourire d'un air espiègle et impatient. Je me rendis alors dans la salle de bains pour enfiler mon maillot et tandis que j'en ressortais plus que rapidement, elle me confirmait son envie d'aller se baigner et moi ? J'en étais plus que ravie. Je la reconnaissais bien là, ma pote. Toujours à me conforter dans mes choix, même quand il s'agissait des plus dingues. Je pris un paréo que j'enfilais rapidement au dessus de mon maillot, m'équipant d'une paire de raybans et de mes claquettes de plage, j'étais enfin prête à partir. Elle avançait vers la porte, un sourire aux lèvres tandis qu'elle me hélait pour un premier repérage de beaux gosses. Je lui souriais, enfilant les lunettes avant de lui entamer le pas puis, après avoir fermé la porte du chalet à clef, j'ajoutais un « ouais, faut bien qu'on s'amuse un peu après tout » alors que je lui offrais un nouveau sourire amusé. Tandis que nous nous dirigions vers la plage, nous croisions quelques beaux mecs, parfois peu vêtus ce qui nous faisaient beaucoup rire. Puis, arrivant à la plage, je déposais ma serviette sur le sol avant de me laisser tomber dessus, ajoutant un « ça y est, vive le farniente ! » avant de m'étirer longuement. Ça y est, plus de soucis, les vacances sont là !
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L’été, le soleil, les amis. Il restait quinze jours à passer au summer camp et bizarrement, j’étais un peu déçue d’y avoir été en retard. Documentation d’inscription oblige qu’on s’y prête un minimum. Naima comme moi, on recherchait simplement l’amusement pendant notre séjour. Je la regardais avec de grands yeux quand elle m’avait montré son maillot, mais j’en avais un tout aussi sexy alors, ça ne me gênait pas du tout. « Parce que tu crois que je cherche à draguer les plaquettes de thon bedonnant ? Non… MERCI ! » Elle partait se changer et moi j’en faisais de même en enlevant mon haut trop prenant sur mon corps. Mon short était complètement nouveau, parce que je venais de l’acheter dans un magasin de haut standing. Oui, chanel et dior font parties de ma vie jusqu’à la fin de mes jours. Je la voyais revenir et je me dirigeais vers la sortie, souriant sans cesse. « Un peu ? Beaucoup. » Je devais m’amuser à fond avant de reprendre les cours et de revoir celui qui hantait mes pensées. Ouais, j’avais des vues sur quelqu’un, et je ne savais pas comment l’annoncer à Naima. Parce que c’était quand même délicat de dire ses sentiments, même quand c’est à une personne non concernée. Elle et moi sortions du chalet et nous rendions à la plage. Je sentais l’odeur de l’eau salée à des kilomètres et je n’avais qu’une seule envie, que mes pieds se baladent le long de la plage dans le sable fin. Quand le rivage arrivait enfin sous nos yeux, et me tournait vers Naima qui avait déjà posée ses affaires sur le sable chaud. Je rigolais en faisant de même. « Vive la liberté, le soleil, la chaleur, les beaux mecs. Mais surtout… VIVE NOUS MAFIA ! » Je rigolais en m’allongeant sur ma serviette, prenant mon huile solaire pour la passer sur mon corps. « D’ailleurs, tu as pas un peu peur de notre future rentrée à Harvard ? Moi je flippe à mort ! » Je me tournais vers elle, descendant mes lunettes sur le bout de mon nez. Sortant mes dents comme si on venait de m’annoncer une super bonne nouvelle.
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Oula des thons bedonnants, très peu pour moi. j’étais pas le genre de fille à draguer comme ça, le premier venu, non. Surtout que si je m’écoutais, je savais que mon cœur appartenait déjà à quelqu’un depuis quelques années. Je soupirais doucement avant d’aller m’habiller dans la salle de bain, affichant un bikini assez sexy. Puis nous étions parties à la plage, marchant quelques minutes pour rejoindre le sable fin. Une fois arrivées, je déposais mes affaires tout en regardant Bane poser les siennes non loin de moi. tandis qu’elle me mettait l’eau à la bouche, je souriais, éclatant d’un rire franc tandis que je posais mes fesses sur la serviette que j’avais ramenée. Je la regardais se passer de l’huile solaire sur le corps tandis que je me contentais de m’allonger directement. Avec ma peau mate, je n’avais pas forcément besoin de me prendre la tête avec le soleil du coup, je me sentais quelque peu chanceuse. Tandis que je matais mon téléphone, Bane me demandait si je n’avais pas un peu peur de notre rentrée à Harvard. Je souriais tandis que je l’entendais me dire qu’elle flippait un peu. Je me souvenais de ma première année ici. J’étais comme elle. Stressée, méfiante mais au final j’avais trouvé des amis formidables et je m’étais mieux intégrée que je ne l’aurais souhaité. J’ajoutais donc un « non, perso ce qui me fait le plus peur c’est de retourner chez moi, avec ma daronne » alors que je souriais d’un air nerveux. Les cours, je pourrais supporter. La vie chez ma mère, j’en souffrirais rien que d’y penser. Je trouverais bien le moyen d’y échapper d’une façon ou d’une autre mais bon. Je verrais tout cela en temps voulu, rien ne pressait. Alors que je me raclais la gorge, je lui répondis ensuite « et puis OH ! t’as peur de t’y retrouver mais t’as oublié que t’avais Super Naima pour t’aider, non ? » avant de sourire plus largement. C’est vrai que j’étais parfois un peu trop froide ou distante avec mes potes. Surtout quand je retrouvais ma mère … mais j’avais au moins une qualité, j’étais fidèle en amitié et je ne la laisserais sûrement pas tomber de si tôt.
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La plage, le soleil, le vent. Il me fallait tout ceci au moins une fois par an pour être sûr que mon moral ne touche pas le fond. Naima et moi étions donc allée nous rafraîchir avec nos maillots super sexy. Je l’aimais pour tout ce qu’elle pouvait m’apporter mais aussi pour tout ce que j’avais encore à lui offrir. On était comme ça nous. Des filles super adorables mais avec un penchant hors du commun pour les corps musclés et appétissants. Je savais que je n’allais pas draguer aujourd’hui, mais quitte à pouvoir regarder de temps à autre, ça ne coûtait rien du tout. Elle m’avouait que ça plus grande peur était de retourner chez elle avec sa mère et ça me faisait quelque peu pouffer de rire. Sans méchanceté bien sûr, parce que je ne me permettrais jamais de juger quelqu’un comme elle. Mais je n’imaginais pas qu’on ne veuille pas passer du temps avec ses parents. « Personnellement ma plus grande peur c’est d’être cette fille invisible que je n’ai jamais cessé d’être. » Je souriais en coin, repensant à toutes mes années au lycée où je n’étais que cette fille adoptée à problèmes. Je n’avais jamais fait un seul pas de travers mais les gens étaient tous du genre à regarder la couverture plutôt que ce qui se cache dans les pages du livre. Je savais bien que j’avais encore beaucoup de choses à écrire dedans. C’était clair que je le devais. Pourtant je me devais de faire comme s’il était presque plein. Je me devais de cacher la vérité quelque fois. « Enfin, en plus de la rentrée bien sûr. » Je rigolais pour rattraper la façade et je penchais ma tête vers elle. Elle me confiait que qu’importe ce qui se passerait il y aurait toujours super Naima avec moi. Telle une héroïne qui me sauverait la mise. Je rigolais une nouvelle fois, parce qu’elle était plutôt convaincante avec son sourire espièglement élargie. Elle serait là pour moi. C’était la seule chose que je retenais. « Sbire Bane sera toujours là pour toi aussi, pas de stress babe ! » Je rigolais encore et toujours. J’étais sérieuse en lui disant ceci. Je ne voulais même pas imaginer un mois sans lui parler. Elle saurait tout mes secrets. Sans exceptions à partir de maintenant. Entre copines on se dit tout, non ?
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Une fille effacée, Bane ? je la regardais d’un air un étonné tandis que je n’osais pas poser de question. Chacun avait ses soucis personnels et personne n’était obligé d’en parler pas même elle. Je ne voulais pas qu’elle ait particulièrement peur de moi. je préférais qu’elle croit en moi et qu’elle n’ai pas besoin de se justifier en ma présence. Moi-même j’avais vécu certaines choses dont je ne voulais pas particulièrement parler et je me disais que ce n’était peut-être pas non plus le bon moment pour essayer de parler de ce genre de choses. on était là pour s’amuser, on avait le soleil et les beaux mecs, pourquoi s’en priver ? même si je n’étais qu’une sale gosse de riche, j’avais quand même hérité des valeurs de mon paternel et pour lui, les plus belles choses n’avaient pas de prix. Et puis elle ajoutait qu’elle avait aussi peur de la rentrée et cela me fit sourire légèrement. Qui n’avait jamais eu peur de la rentrée ? moi-même je n’étais pas rassurée quant à l’idée de retourner à Harvard mais il y’avait un temps pour tout. L’amusement c’est maintenant et le boulot c’était à la rentrée. Je me contentais simplement de lui dire « ça se passera bien, tu verras » tandis que je prenais mes aises sur ma serviette, mettant mes lunettes de soleil alors que je lui balançais une nouvelle connerie. Ouais, supernaima. Bon pas aussi douée que superman mais j’essayerais de faire en sorte qu’elle se sente bien à harvard et puis, lorsqu’elle me répondit, je ne pus que sourire plus largement encore. Ça ressemblait à une promesse entre nous, à quelque chose de secret qui nous relierait et j’aimais ça. J’aimais l’idée qu’on allait rester proche et dans un rire amusé, je lui avouais « je te crois sans soucis » avant de jeter un œil aux vagues qui se fracassaient sur la plage de sable fin. Un sourire espiègle aux lèvres, je lui demandais alors « on va se baigner un coup ? » tandis que je me levais comme si je ne lui laissais pas le choix. On était là pour s’amuser, autant en profiter non ?
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