Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWe eat the night, we drink the time | Andrew | Flashback
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We eat the night, we drink the time | Andrew | Flashback

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D'habitude tu vas pas tagger quand t'es défoncée, parce que c'est trop dangereux si tu te fais ramasser par les flics. Mais cette fois putain, c'était trop beau c'que tu voyais, tu avais besoin d'le faire quelque part, et pas envie de peindre par-dessus les derniers tags qui ornent ta chambre. Alors t'as pris ton sac, balancé des bombes en vrac dedans, et t'es partie à la recherche du coin parfait.

T'as trouvé un mur cool et ça doit bien faire une heure que tu tripes avec tes couleurs arc-en-ciel en écoutant de la musique qui pulse de tes écouteurs tellement tu l'as mise forte. Mais te faut bien ça pour percer le brouillard de ta surdité. Ça te permet au moins de te foutre de la gueule de ceux qui te disent avec un regard dédaigneux « Tu vas te rendre sourde ! » en ripostant « Je l'suis déjà, connard ! »

Et t'es là, à essayer de faire un tag correct sous les fractales qui te défoncent les pupilles et t'hypnotisent, sans te rendre compte que t'as un prince d'Angleterre dans le dos en train de te regarder dégrader son mur.
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Arunthia Aviation ? C'était ainsi que se nommait ma société aéronautique, spécialisée dans la construction de jets privés d'affaires sur mesure quand même et j'étais extrêmement fier de ma société parce qu'elle faisait partie des plus florissantes du moment. Au départ, elle appartenait à mon Parrain, le Duc de Westminster ou de son nom Lord Grosvenor mais aujourd'hui elle m'appartenait parce que j'avais 58 % des actions de l'Entreprise tandis que les membres les plus influents qui siégeaient dans le Conseil d'administration ne possédaient qu'une infime partie désormais. Néanmoins j'étais du genre à partager le travail et en tant que PDG, je déléguais beaucoup de taffs à mes adjoints et tout pour que je puisse me consacrer à ma petite famille qui allait bientôt s'agrandir d'ailleurs puisque mon ex-petite amie était enceinte de jumeaux… Oui ex parce que récemment alors qu'il y avait eu la fameuse manifestation contre la fermeture des confréries début du mois, j'avais fait une énorme bêtise en frappant l'ex de ma fiancée… Malheureusement cela n'avait fait que confirmer la chute de notre couple et aujourd'hui j'étais de nouveau l'un des célibataires de l'université. Qu'importe aujourd'hui je devais visiter l'une de mes plus grandes usines aux Etats-Unis mais alors que je venais de sortir de ma voiture de sport, ma Pagani Huyara, je constatai avec effarement qu'une jeune femme semblait être en pleine activité de taguage… « Pourrais-je savoir ce que tu es en train de faire Miss? » demandai-je d'une voix posée mais légèrement menaçante comme celle que j'employais le plus en affaires.
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Évidemment, tu n'entends pas qu'on te parle. En fait, même si tu avais eu une audition parfaite, avec la musique, tu n'aurais probablement rien entendu. Pourtant, tu sens bien une gêne quelque part au niveau de ta nuque, comme si quelqu'un te fixait, t'observait, te voyait défoncée en train de tagger un mur dont tu ignores qu'il appartient à l'un des plus grands hommes d'affaires américains.

Tu te frottes la nuque, mal à l'aise, tu as l'impression qu'un million d'insectes te courent dessus. Et puis tu te retournes pour jeter une bombe vide par terre et en saisir une neuve dans ton sac, mais tu te figes, la main en l'air, la bombe vide à la main, comme une idiote. À peine t'es-tu retournée que tes yeux ont croisé les siens et tu t'es immobilisée, prise en flagrant délit, telle une mouche prise au piège. Tu jettes des coups d'oeil autour de toi, réflexe de parkour pour bien cerner ton environnement. Il est seul - tu n'as pas de quoi fuir plus rapidement qu'en courant - t'es pas en état de courir anyway. Ce sont les trois informations que tu notes instantanément. Puis tu remarques que s'il n'a pas l'air très content, il n'a pas d'attitude agressive non plus. Alors tu te détends un peu et lâches ta bombe qui roule au sol dans un grand fracas.

- Salut. Le costard c'est pas la tenue idéale pour tagger, tu vas le tacher.

T'as lancé ça sur un ton frondeur, insolent, sans gêne. On dirait que tu mâches un chewing-gum trop gros pour toi, quand t'es défoncée ton articulation est pire que pâteuse. Mais tu t'en rends pas compte et tu t'en fous un peu, c'est ce que tu dis qui compte pour réussir à s'en tirer sans problème, pas comment tu le dis.
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Parfois la vie d'un PDG était infernale mais la mienne actuelle était bien plus chaotique qu'elle en avait l'air. En effet , depuis quelques jours je n'étais plus en couple avec la future mère de mes enfants et comment dire, ma vie avait changé de tout au tout. J'avais presque l'impression d'avoir été lâché dans un monde que je ne reconnaissais plus. Heureusement qu'il me restait mon travail pour pouvoir reprendre ma vie correctement parce que ma petite amie ou devrais-je plutôt dire, mon ex-fiancée m'avait également pris ma fille aînée Aliénor… Elle jugeait que j'étais bien trop violent pour garder ma fille avec moi et je ne risquais pas de connaître nos jumeaux si je continuais dans cette voie. Fin bref, pendant ma visite annuelle de mes usines, j'en découvrais des choses mais là je restais complètement sur le cul je dois l'avouer. En effet une jeune femme était en train de tagger un mur et quand bien même je m'étais fait connaître, elle me défiait comme si elle n'avait pas peur. « En effet, cela tâche mais un costard ça se repaie contrairement à la dégradation de ce mur. Qui es-tu donc et surtout pourquoi t'en prends-tu à l'une de mes usines ? » demandai-je d'un ton posé légèrement las tout de même parce que j'avais peut-être mieux à faire que ça mais le fait qu'une personne s'amuse à dégrader mon mur avec des grafitis en tout genre, je ne pouvais laisser cela passer.
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Tu captes rien. Tu captes pas que c'est une usine que t'es en train de tagger. Tu captes pas que si un mec en costard s'amuse à rappeler à l'ordre une p'tite taggeuse, c'est pas pour le plaisir de faire une leçon de morale. Tu captes pas que ce mec, c'est quelqu'un d'important, qui pourrait te foutre bien dans la merde si tu continues ton p'tit manège. Alors v'là ta surprise quand il prononce les mots « l'une de mes usines » ! Quoi, c'est un patron ce mec-là ? Oh putain, tu n'avais pas vu la bagnole de luxe, légèrement dissimulée à un angle. Voilà qui change légèrement les choses, et pourtant, tu peux pas te départir de ce ton gouailleur :

- Le mur était cool. C'est rare, les aussi grands emplacements pour tagger à l'aise. J'savais pas que c'était ton usine, ç'aurait été celle du voisin que j'aurais fait pareil.

Sourire moqueur. Il croyait avoir à faire à une espèce de rebelle de la société, venu se venger du capitalisme et de son entreprise ? Tu sais pas s'il pensait à ça, mais c'est clair que si c'était le cas, c'est raté. T'en as rien à foutre de ça, tu veux juste pouvoir étaler tes rêves avec tes bombes de peinture. Et puis il était triste, ce mur.

- Franchement, vu comment c'était moche, c'est toi qui d'vrais me payer pour la déco. Sinon, j'crois pas que tu te sois présenté, j'vois pas pourquoi j'te dirais mon nom.

Nonchalante, tu t'asseois soudain en tailleur par terre comme si vous étiez en train de discuter dans ton salon à boire le thé, et tu sors du matos de ton sac. Tu commences à rouler un joint dans ta main, tranquille, sans faire attention au mec. D'ailleurs tu as toujours ta musique à fond dans les oreilles. Lire sur ses lèvres te suffit et t'as pas enlevé tes écouteurs. Tu te dis qu'au point où t'en es, prise en flagrant délit, défoncée comme pas permis, t'es plus à ça près et tu peux bien te faire un spliff sous son nez.
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Qui était cette jeune femme ? Sa tête me rappelait quelqu'un d'autre mais je ne voyais pas qui. ; depuis je n'avais strictement pas le temps pour ce genre d'enfantillage. Tout ce que je souhaitais c'était qu'elle cesse de tagger mon mur et qu'elle s'en aille pour que je puisse retourner à ma réunion qui s'annonçait des plus ennuyeuses comme d'ordinaire d'ailleurs. Ce n'était pas fait pour un homme de 22 ans d'avoir autant de responsabilités mais j'étais un Windsor, un Prince comme on en faisait plus et je me devais de réussir dans tout ce que j'entreprenais. Cette expérience était unique et je ne voulais la partager avec personne : je suis né pour ça, je ne pourrais jamais me détacher de ce que je faisais. Fin bref, je l'écoutais sans broncher tandis qu'elle expliquait son geste. Cela ne me faisait ni chaud ni froid en fin de compte mais tout de même, j'en avais déjà plus qu'assez de cette discussion qui ne menait à rien et plus vite, elle quitterait mon domaine, mieux je me porterais. Au final j'avais l'impression de juger toutes les femmes à cause de ce qu'il s'était passé avec mon ex-fiancée. Là maintenant elle se mettait assise pour s'allumer son joint avant de me demander de me présenter. Quelle insolence mais je me taisais toujours avant de reprendre la parole d'une voix toujours aussi posée et calme : « Je n'ai pas vraiment besoin de refaire la décoration de mes usines... ». Je m'interrompis légèrement avant de poursuivre : « Je m'appelle Andrew Windsor, Prince d'Angleterre et PDG d'Arunthia Aviation. Cela te suffit ? »
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