Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitysentir le grain de ta peau dans la lueur du soir - sydill
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sentir le grain de ta peau dans la lueur du soir - sydill

Anonymous

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Elle n'avait pas dit un mot, et toi non plus. La piscine n'était pas très loin de ton chalet, c'était silencieux, ni oppressant, encore moins pressant. T'avais pris le temps de marcher, de regarder autour de toi, de la détailler, de lui sourire, de tenir sa main. Tu ne trouvais pas ce moment gênant, c'était simplement une compagnie agréable, silencieuse, de celle qui font du baume au coeur juste par la simplicité. Tu rentrais dans le chalet, tu te fichais de savoir si Bird était présente ou non. Dans le fond, t'espérais que ce ne soit pas le cas. "C'est mon chalet" que tu murmurais à la porte d'entrée. Tu tenais sa taille, tu la quittais pas, parce que t'aimais sentir qu'elle était à toi ce soir. Elle n'était pas faible, ni trop facile, peut-être un peu naïve, angélique. Mais ça faisait sa beauté, sa lumière. "Tu veux toujours t'amuser ?" Tu la regardais dans les yeux, le regard joueur, malicieux, envieux. Tu voulais la faire languir, lui donner les frissons au ventre, l'envie, l'excitation, l'impatience, le désir, le jeu. Tu venais laisser ta main glisser le long de son dos nu, laissant retomber au creux de ses reins.
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Je ne regrettais pas de le suivre. Nous marchions main dans la main et je n'avais aucune idée d'où il pouvait m'emmener. Si j'arrivais un minimum à me repérer sur ce camping gigantesque, je dirais que nous nous dirigeons vers les chalets, mais je n'y mettrais pas ma main à couper. Je marchais en profitant du silence et de l'absence de monde dans les allées, nous venions de quitter le monde. C'était agréable, ce moment de solitude partagé en silence. Nous arrivons donc devant un chalet, bien plus grand que la petite caravane que je partageais avec des copines. « C'est mon chalet » me dit le jeune homme en ouvrant la porte sans pour autant se décoller de moi. Non, il me tenait fermement à la taille, tellement que j'avais l'impression qu'il serait impossible pour moi de m'enfuir d'ici. Encore faudrait-il que j'en ai l'envie. « Tu veux toujours t'amuser ? » me demande t-il un fois entrée. Mes lèvres s'étirent pour se transformer en un sourire. Quelle question! « Je crois que je ne serais pas là si l'envie n'était pas au rendez-vous... » m'exclamais-je souriant toujours tandis qu'il faisait glisser sa main le long de ma colonne vertébrale. Automatiquement, je me redressais sous sa caresse, j'en profitais pour me tourner un peu plus vers lui, posant mes mains sur son torse nu et parfait. Sans en dire plus, je m'approchais de lui encore un peu pour venir déposer mes lèvres sur les siennes de manière assez chaste. C'était un peu comme pour lui demander son autorisation et surtout parce qu'elles me donnaient terriblement envie.
(Invité)