Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySomebody make me feel alive and shatter me | Alice - Page 2
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Somebody make me feel alive and shatter me | Alice

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Alice se moque de moi gentiment avant de se poser au sol à côté de moi. Elle pose son regard sur moi, et je ne peux m'empêcher de laisser glisser mes yeux dans les siens, me perdant dans ses prunelles chocolat. Je crois que je pourrais rester ainsi une éternité sans jamais m'ennuyer. C'est simple, c'est bon, et je ne vais tout de même pas me sentir coupable de simplement la regarder dans les yeux, n'est-ce pas ?

Je souris alors qu'elle dit qu'elle était bien aussi. De toute façon, aurais-je passer une aussi bonne soirée si je ne l'avais pas sentie sur le même diapason que moi, dans la même humeur ? Certainement pas. C'était une belle osmose d'une belle amitié qui s'était produite ce soir-là, et c'était bien ça qui m'avait fait prendre conscience de mes sentiments pour elle.

Je finis par arrêter de regarder les étoiles et me rassois à côté d'elle, mon bras autour de ses épaules, mon flanc collé au sien. Proche, trop proche, je ne devrais pas faire ça mais je ne peux pas m'en empêcher. Et elle ne m'a jamais dit que cela la dérangeait... Alors je n'ai simplement pas la force de m'en priver.

- Alice... Je crois que je ne remercierai jamais le hasard qui m'a fait asseoir en face de toi aux urgences à l'hôpital, tu sais.
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Je ne pus retenir une légère grimace lorsqu’il évoqua notre rencontre. Certes cela avait permis qu’on devienne amis, mais je ne pouvais m’empêcher à penser à la cause de ma venue à l’hôpital : mon mari. J’étais bien ces dernières semaines, j’étais toujours avec mes amis, à m’amuser, à rire, mais cela ne pourrait durer pour toujours, mon quotidien allait me rattraper. J’aimais pourtant la vie sur le campus, enfin les cours je veux dire, je ne participais pas beaucoup aux activités organisées. Pourtant, je découvrais cet été que j’adorais ce genre de choses. Des soirées improvisées, cette simplicité m’allait parfaitement. Je reprenais totalement goût à la vie, et mes idées noires étaient totalement disparues. Et je me rendais bien sûr compte que c’était en partie grâce à Ezio. Probablement que si je ne l’avais pas rencontré cette journée-là, je ne serais pas venue au Summer Camp. Je n’avais pas assez de force et de motivation les autres années pour me battre pour convaincre mon mari de me laisser passer l’été loin de lui, pourtant c’était totalement ce que j’avais besoin. J’étais pour ma part toujours assise, le regardant, alors qu’Ezio se redressai, passa son bras autour de mes épaules. Habituellement, je n’aimais pas être proche des gens, mais avec lui, je me sentais bien et en sécurité alors jamais que je ne le repoussais. Je lui souris ensuite, puisque si j’oubliais ma raison de ma venue à l’hôpital cette fois-là, j’étais en accord avec lui. Je le regardai donc et gardai ce sourire constant que j’avais sur les lèvres quand j’étais avec lui. « Oh c’est adorable Ezio… » Et puisqu’on était dans les remerciements… « Et moi je te remercierai jamais assez pour tout ce que tu fais pour moi, tu m’aides vraiment. » Que sa présence, son écoute, ses conseils m’aidaient grandement, et depuis toutes ses années que je vivais cela, je n’avais jamais eu une personne comme lui, qui me faisait oublier mes problèmes et me faisait sentir tout simplement bien.
(Invité)