Flashback → Mia Douglas.

J'étais là, devant sa maison et plus précisément face à la grande porte d'où elle nous ouvrait. Levant les yeux au ciel pour prendre une grande inspiration, j'admire alors les nuages blancs qui ornent le bleu azur, là haut. Là où se trouve sûrement mon père et ma mère. Redressant ma tête, j'expire à fond avant de reprendre une respiration tout à fait normal. J'hésite à toquer à la porte de Mia. Elle ne sait pas que je suis là, pourtant en sortant de chez moi, j'étais bien décidé à allez la voir. Mais plus maintenant, je ne sais pas pourquoi. Je me retourne face à la rue, plus à la maison et m'assied devanr sa porte. Et si elle etait occupée ? Et si elle était avec un autre garçon qu'elle aile déjà ? Pourtant, après le bal, je ne pense pas. Ou alors elle est en train de pleurer ? Et si elle était avec son ex-petit ami ? Elle a peut-être besoin d'aide.

Pensant nettement le pour et le contre, je reste perplexe un instant avant qu'un chaton roux ne fasse son apparition. alors qu'il traverse la route sans précaution. Heureusement qu'une voiture n'esr pas passée à ce moment. Trop tard, je parle trop vite. Un engin apparaît et l'animal court vers moi et se cache sous mes jambes. Une fois le montre du chat passé, je le prends dans mes bras après l'avoir attiré. Il gigote, je le dépose donc sur mes genoux. Il ne rechigne pas et n'attends que des caresses que je lui procure alors.

Après quelques instants, je me pose toujours des questions sur ce que je dois faire. Après tout, j'étais venu pour elle. Et certainement pas pour le chat. Je le fait descendre de moi. Je le repousse quand il revient se frotter à mes chevilles. Je soupire, lassé de l'attendrir. Me levant enfin, après une dizaine de minutes, je me tourne vers cette fameuse porte et me décide enfin à toquer. Ma main frappe alors deux fois fortement la porte, histoire de se faire entendre et j'attends alors que mon amie m'ouvre. Je sais très bien que Mia ne prendra sue très peu de temps, alors je ne m'impatiente pas et reste calme en espérant qu'elle soit chez elle.

Matthiew m'avait sortie de ma torpeur quelque jours plutôt. Maintenant j'habitais avec lui. Je refusais de resté seul la ou j'avais vécue avec mon petit amie maintenant décédé... Le soucis c'est que je n'avais pas pris assez d'affaire. Je ne voulais pas inquiété Matt, alors quand il est partie je me suis dit que c'était le moment ou jamais. De toute façon il fallait absolument que je le face. J'ai plus d'affaire quoi. Quand j'arrive chez moi, je sens cette odeur si famillière, qui me font monté les larmes au yeux. Je ferme les yeux quelque seconde et je vois Rome devant moi. Non pas encore... Il me manque tellement... Des larmes coulent sur mon visage, j'ai même pas la force de prendre mes affaires. Pourquoi je suis venue sans Matt... Je grilles les étapes a chaque fois... Je suis sortie de mes pensé quand quelqu'un toc derrière moi. Je sursaute, essuie mes larmes. Trop tard mes yeux sont gonfé, de toute façon j'ai pas vraiment récupéré de cette semaine de déprime sa se lit sur mon visage.
J'ouvre la porte pour tombé sur Cali. Je crois qu'il arrive au bon moment lui. J'avais besoin de quelqu'un en qui j'ai un minimum confiance, ou du moins quelqu'un pour me faire pensé a autre chose. Si seulement quelqu'un arrivait a me faire oublié Rome, ou plutôt a tourné la page...
"Salut..." On se connais un peu, je sais qu'il voie que j'ai pleuré...

Tandis que je toque à la porte, je n'attends pas longtemps avant que Mia ouvre. La poignée bouge et ça s'ouvre. J'offre un sojrire angélique à la jeune demoiselle quand je remarque on état. Aussitôt, mon sourire s'efface pour laisser place à l'inquiétude et l'incompréhension. Mia est en train de pleurer, et je fous rien, quoi ! Je la regarde un instant tandis qu'elle me salut. « Salut ... » dit-elle avait un air mal en point. Je m'approche alors de l'entrée de la maison et la prend dans mes bras. Je sens son parfum envoûtant et lui caresse le dos pour la réconfortée. Je décide ensuite de la relâchée et de me reculer. « Que ce passe-t-il ? » demandais-je. J'ai bien peur qu'une chose horrible lui soit arrivée. En fait, j'ai trop peur pour la faire rigoler pour le moment mais je suis presque certain qu'elle refusera que je fasse le garçon drôle comme j'ai l'habitude d'être. Pourtant, j'essaye même en ayant peur qu'un regard noir me fixe et qu'elle me claque la porte au nez. Mais il fallait que je la vois sourire ou même rire. « Y'a un chat qu'à pissé sur ton journal intime ou quoi ? » dis-je en ricanant. J'avais juste une énorme envie de paraître un minimum drôle. Une nouvelle blague me passe par la tête, et je n'hésite pas à essayer. « Ou alors, c'est parce qu'il fait trop chaud et qu'en pleurant, tu penses appeler la pluie ? » J'étais d'accord avec une chose dans ma propre phrase, il faisait chaud. Et même si la plupart de mes blagues sortaient de l'ordinaire, c'était ce qui faisait le plus rire. Espérant une rictus de la part de l'étudiant, j'esquisse un sourire, essayant de paraître des plus amicales, drôles et changeur d'idées. Je n'avais pas l'âme curieuse et je savais que lui demander de parler sur ce qui était arrivé la ferait pleurer de plus belle, ce que je ne souhaitait pour rien au monde. Ce que je préfère, c'est les personnes joyeuses qui rigolent aux personnes malheureuse en train de pleurer. J'ai toujours l'impression que c'est de ma faute même si je n'ai rien à voir dans l'histoire, tout ça parce que je suis présent avec la personne.

Quand j'ouvre je tombe face a Cali, il doit être classé juste derrière Matthiew. Fin c'est un peu différent avec lui. Je le condière pas comme mon frère du tout. Il me prend dans ses bras. Son parfum me fait du bien. J'acepte les contact avec lui, c'est déjà beaucoup pour moi. Quand il me demande se qu'il passe.
"Rien de grave t'inquiètes pas ." Il continue. Il dit des chose stupide le pire c'est qu'il me fait sourir quand il dit sa.
"J'ai pas de chat et pas de journal intime" Le pire c'est qu'il me faisait sourir; Il me fait toujours sourire lui. Il continue en disant encore une bétise.Il arrivais a me faire rire.
"T'es bête! Arrête de dire des bétises! Maintenant c'est plus crédible." J'avais pas envie de pleuré quand il est la j'oublie un peu tout le reste.
"Non mais c'est rien, je prenais quelque affaire, je vais en coloc avec mon meilleur ami, j'arrive plus a vivre ici." Il sais que Rome est mort il y a peu. J'ai tellement du mal. JE sais pas trop mais quand Cali est la ça va mieux. JE me sens bien mieux... Je ne sais pas l'expliqué mais je suis bien mieux quand il est la, comme quand Matt est la mais c'est quand même différent se qui me fait un peu flippé.

Lorsque je lui demande ce qu'il n va pas, elle n'a qu'une seule chose à me dire : « Rien de grave t'inquiètes pas. » me dit-elle. Ne pas m'inquiéter devant une jolie fille qui pleure pourtant assez joyeuse à son habitude ? Hum ... J'ai de quoi me poser des questions tout de même, c'est bien connu chez moi. Mais je ne dis et ne demande rien de plus pour autant, je préfère remonter le morale. Ma bêtise la faire sourire et j'en suis bien content. Pourtant, sa réponse me chagrine : « J'ai pas de chat et pas de journal intime. » répondit-elle. Bon d'accord, c'est pas si chagrinant que cela mais bon quand même, ma blague ne marche même plus maintenant, ça me désole. Pourtant, la seconde plus amusante est déjà plus cohérente, enfin presque. « T'es bête ! Arrête de dire des bétises ! Maintenant c'est plus crédible » annonce-t-elle. Bon, à vrai dire, elle avait encore raison. Mais la plupart de mes idées étaient des plus farfelues, mais toujours aussi marante, elle riait. Cela me dit un bien fou en moi et un baume au cœur. J'avais réussi à lui remonter le morale, c'était le principal. « Non mais c'est rien, je prenais quelque affaire, je vais en coloc avec mon meilleur ami, j'arrive plus a vivre ici. » dit-elle. Je sais que Rome est mort, il était l'une de mes connaissances. Ça m'a fait mal aussi et je me suis refermé pendant une journée mais après, j'ai essayé de ne plus y repensé pourtant, je sentais le besoin de parler et je pense qu'elle aussi. Je fis donc un pas vers l'avant pour ne pas me retrouver sur la route alors qu'une voiture surgit. Le chaton de tout à l'heure, effrayé, entre en courant dans la maison après être passé entre mes jambes. Mais plus vif que jamais, je l'attrape. Il commence par se débattre mais je le rassure et le relâche sur le trottoir. Je me retourne vers Mia, et parle : « Je pense que tout deux, on a besoin d'en parler, tu ne penses pas ? » dis-je. Elle savait très bien de quoi je voulais parler et Rome avait besoin d'être le sujet de l'une de nos discussions pour qu'on puisse se confier sur nos émotions à son égard. Peut-être qu cela nous soulagerait tout deux d'un poids qui règne en notre sein. On serait peut-être plus serein à l'avenir même si cela éveille les plus gros souvenirs épatants de notre vie. Mais les garçons ne pleurent - presque - jamais.

Il m'avait fait rire. J'avais eu pendant un court instant l'impression que tout c'était envolé et cete sensation me manquais. Je ne sais plus vraiment avec qui je l'avais ressentie. En faite si mais je me refusais de me l'avouer que je l'avais ressenti en présence de Rome... J'avais mal. La douleur revenais. Il me manque terriblement tous les jours. Un chat débarquais et Cali le faisait sortir
"Une chance que Shishi sois chez Matt" Oui ma chienne était resté chez lui. Il me regardais en disant qu'on devait parlé. En faite je sais de quoi y veu parlé et j'en est pas envie. J'ai envie de pensé a autre chose, c'est lui qui peu me changé les idée et me faire rire... d'un coté il a raison faut qu'on en parle...
"Mouais" Disais je en baissant les yeux. "Entre" on était toujours sur le pas de la porte. J'allais m'écroulé comme une locque dans le canapé.
"Tout se que j'ai a dire c'est qu'il me manque terriblement tous les jours..." J'avais une boule dans la gorge en prononcant ses mots. J'avais mal, je sais pas pourquoi mais machinalement pour arrivé a dire sa j'avais pris sa main. Je sais pas trop mais je sais que j'ai pas envie de me séparé de lui.

Lorsque le chat était entré, elle avait dit que ce chat avait de la chance. C'était vrai, son chien n'était pas là. Enfin, après ma proposition, je la vis pas très convaincue puis elle me fit entrer. La seule chose qu'elle avait à me dire, c'était qu'il lui manquait terriblement. Après mon entrée de la maison, je constata aucun changement depuis ma venue. Elle s'était assise sur le canapé tandis que je me posais près d'elle. Je la pris alors dans les bras en la serrant fort et repensant à mon ami. Je la relâchais mais ne la quittais pas des yeux. Nous étions tout près l'un de l'autre et une attirance me forçait. Ma main touchait timidement la sienne avant de la prendre entièrement dans la mienne. « Il me manque aussi. » dis-je simplement.

J'avais une boule dans la gorge, je pensais a Rome, mais ce n'étais pas la même sensation. J'avais pris sa main et cette sensation était la même, la même que j'avais ressenti avec Rome. Je venais me poser contre son épaule j'avais envie d'être avex lui. Je n'était pas triste. Je voulais me coller contre lui et plus le quitter. Je reflechissais, je, j'ai peur.... Logan m'as fait mal ... Je n'ai pas envie de me ratacher a quelqu'un, sa fait tellement mal de le perdre. Je m'enlevais pour me relever. J'allais dans ma chambre sans donner un mot. Je prenais des affaires. J'ai peur .. je ne veux pas le perdre. Je ne sais plus quoi faire.