Y a de la place pour deux dans cette cabine ? GABWAN

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J'ai chaud, beaucoup trop chaud j'ai besoin d'une douche. C'est la deuxième de la journée mais j'en ai vraiment besoin avant d'aller rejoindre les autres pour prendre l'apéro. Je prends donc mes affaires de toilettes et décide d'aller dans les douches communes histoire de voir comment ça se passe du côté des vrais campeur. Parce que bon un chalet c'est bien mignon mais je dois avouer que c'est moins fun que de se retrouver au milieu de pleins de tentes. J'enfile une petite robe légère, prends les affaires dont j'ai besoin et me dirige vers le centre du camping d'un air tranquille mais décidé. Ces vacances vont me faire beaucoup de bien, j'vais enfin y voir clair et pouvoir profiter sans me poser aucune question. J'entre dans les douches collectives et me dirige vers une des cabines, elles sont toutes vides alors ça me laisse le choix. Je me déshabille et fait couler l'eau après avoir poser ma robe sur la porte de la douche. Aouttch c'est froid.

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Je ne voyais pas beaucoup Zoya, disons que nous passions du temps ensemble, mais apparemment, nous n'étions pas comme tout ces couples à passer H24 ensemble et ça me convenait. Je pouvais voir mes amis, elle les siens, mais aussi faire de nouvelles connaissance, sauf que là, après avoir passer une après midi à la piscine avec ma meilleure amie, je me décide à aller prendre ma douche. Comme un bon brésilien que je suis, je n'ai pas attraper de coup de soleil mais des couleurs et la marque de mon maillot était déjà visible. Ouep, j'ai l'air d'un touriste comme ça, j'aurais certainement dû choisir, piscine option nudiste pour le coup. Enfin, la douche était prise dans notre chalet, par Elia, la pote à Zoya. Bordel, qu'est-ce qu'elle est longue, c'est donc tout naturellement que je me dirige vers les douches communes et là fut ma grande surprise quand je vis la robe de Zoya accrocher à la porte. C'est avec un grand sourire, que je me déshabille bien rapidement, posant mes fringues sur un des lavabo, prenant mon gel douche pour pousser la porte de la cabine et fermer le verrou avec un sourire sur le coin des lèvres. Babe on t'a jamais dit de fermer ta porte de douche dans un camping, on sait jamais qui peut entrer, tsais que y'a des per... et là quand je me retourne, c'est pas Zoya que je vois mais Swan. Mes yeux s'agrandissent, je la regarde de haut en bas, je connais son corps, je connais chaque courbes, chaque grain de beauté, mais ça faisait un moment que je ne l'avais pas vu et mon cerveau de mâle, ne peut s'empêcher de le détailler, avant de mettre mon gel douche, devant mes bijoux de famille Bah ... c'est toi ?! Non non c'est le pape. Enfin, la robe .. je pensais que c'était ... enfin ... quelqu'un d'autre oui, je ne prononçais pas son prénom devant elle.

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L'eau devient juste tiède, comme j'aime. Je me glisse encore plus sous les grosses gouttes qui tombent, je ferme les yeux je ne vois plus rien je n'entends plus rien. Ce soir je vais faire de nouvelles rencontres, ce soir je vais me lâcher comme je sais si bien faire et ce sera juste l'extase. Je rouvre les yeux, et je le vois là nu porte fermée à clé. Je sursaute et mon palpitant s'accélère. C'est quoi ce bordel ? Depusi quand il apparait dans ma douche. Ses formes, son torse, ses mains rien a changé. Mais pourquoi tant de torture pourquoi vient-il me trouver ici ? Il vient pour s'excuser et me dire qu'il m'aime lui aussi. Rêve pas Swan, c'est pour les cons. Ouais il cherchait Zoya et visiblement il n'avait pas frappé à la bonne porte. Il se cache avec son pauvre gel douche qui finalement n'est d'aucune utilité, moi je ne bouge pas d'un poil. Oui désolée, ce n'est pas ta dulcinée. Promis je changerai ma garde robe. J'aimerai bien qu'il ne soit pas déçu, qu'il parvienne à se détendre pour qu'on oublie tout rien qu'un petit moment. Reste pas planter là, viens sous l'eau maintenant que t'es là j'vais pas te bouffer. Quoique. Je lui souris d'un air qui veut tout dire, puis mon sourire s'efface aussitôt, je déglutis. J'sais pas trop quoi faire pour ne pas le faire fuire car bon l'avoir nu pour moi c'est assez inespéré en ce moment. Finalement je me remets bien sous le jet qui me mouille de la tête aux pieds et le regarde. Je m'en lacerai jamais.

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Je pensais retrouver Zoya, mais à la place se fut Swan qui était face à moi, nue. Je passais ma langue contre mes lèvres, bordel, c'est quoi le délire ? Dieu me puni c'est ça ? Mon regard se pose sur son corps, inévitablement, je le connais par coeur. Ses courbes m'ont laissés sans voix à de nombreuses reprises. Je bredouillais quelques mots, ne voulant pas lui parler de Zoya, pour la préserver, mais elle m'en parlait, sans la citer tout de même. Pas besoin de changer de robe, elle est belle ... lui dis-je en hochant une épaule, mettant le gel douche devant mes partis, pour me cacher, c'était ridicule, soyons clair, Swan les avait déjà vu, mais dans cette situation c'était assez compliqué et plutôt déplacé. Swan .... dis-je en penchant la tête sur le côté, je la regardais faire en me demandant ce que je devais faire. C'était jouer avec le feu non ? Je restais un instant là, m'arrachant les peaux de l'index avant de me retourner pour partir. Sauf que sous l'envie, je cassais la poignée qui me restait dans la main. J'essayais de la remettre, mais je n'y arrivais pas. Et merde, j'ai la poisse. Je crois qu'on a un problème ... dis-je en lui montrant la poignée. Fallait que ça tombe sur moi, sur nous et bien sûr, ce n'était pas des cabines de douches standards où nous pouvions sortir par le bas ou par le haut, non, elle était cloisonné. Je peux pas rester là oui parce que je sais pas si je vais pouvoir résister et pourtant, j'ai pas envie de faire souffrir Zoya, j'ai pas envie d'être un con, comme je l'ai été jusque là.

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Il n'est pas à l'aise, je le vois bien. J'ai l'impression d'être fautive de l'avoir attiré ici avec moi alors que je n'y suis vraiment pour rien. Je crois que quelqu'un ou quelque chose s'acharne sur nous, à chaque fois qu'on essaie de rester à l'écart l'un de l'autre on finit toujours par se retrouver. J'ai du mal à réfléchir, à savoir ce que je dois faire ou dire. Il bredouille quelques mots pour me dire de garder ma robe mais dans ma tête j'pense tout autrement. En arrivant je la metterai direct à la poubelle ou alors j'irai mettre des coups de ciseaux dans celle de Zoya. Rien que de penser à elle j'ai envie de vomir. Il hésite, prononce mon prénom, et finalement décide de partir. Je dois avouer que je suis déçue mais je ne le retiendrais pas, pas cette fois. Malhereusement pour lui la poignée se casse dans ses mains, j'peux pas m'empêcher d'échapper un petit rire avant de mettre ma main contre ma bouche. J'avoue que là ça devient problématique. J'sais pas comment on va se démerder pour sortir car je calcule juste à ce moment là qu'on est coincé. Je ne rigole plus, je supporte pas être enfermée et ça depuis la prise d'otage. J'sens que je commence à avoir chaud, trop chaud alors je tourne le robinet d'eau chaude pour le fermer. Moi non plus j'peux pas rester là.Je plaque mon dos contre la parois opposée à la porte et je respire un peu plus bruyamment mais j'essaie de garder une tête normale, j'veux pas trop lui dire ce qui m'arrive. Prends moi dans tes bras, rassure moi s'il te plait.

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Forcément, je n'étais pas à l'aise avec la situation, j'étais en couple maintenant et je devais me retenir, éviter les tentations et surtout mettre de côté l'attirance que j'ai pour cette femme. C'est alors que rapidement, je me tournais pour ouvrir la porte et sortir mais bien entendu, j'y étais allé comme une brute et la poignée m'était resté dans la main. Je me retournais, poignée en main en la levant devant mes yeux Vachement ironique la situation soufflais-je en me pinçant les lèvres. Non je ne pouvais pas rester là, je pouvais pas continuer de laisser promener mon regard. Sauf que lorsque je lui faisais part que je ne pouvais pas rester dans cet endroit, elle me disait la même chose. Je fronçais un peu les sourcils en sentant l'eau froide m'éclabousser, en entendant sa respiration se faire lourde, en voyant ses paupières se fermer et sa main se poser sur son coeur comme pour se calmer. Hey qu'est ce qu'il se passe Swan ? je m'approchais d'elle, mes mains toujours en bas pour me cacher mais lorsque je vis son regard, j'y décelais de la peur ? Elle semblait tétaniser alors instinctivement je la prenais dans mes bras pour la serrer contre moi. Pour la réconforter me décalant un peu de cette eau glacée. D'ailleurs, je remettais l'eau à une température tempérée. Je suis là t'inquiète pas, on va sortir, je vais trouver un moyen je frottais son dos pour ensuite lever son menton vers mon visage afin que nos yeux se rencontre D'accord ?

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Il faut toujours que nos rencontres tounent au drame, c'est assez fatigant à la longue. Je me sens vraiment pas bien, j'ai mon coeur qui bat à une vitesse pas du tout normae et le rouge de mes joues tournent au rouge vif. Oui j'ai peur, et je commence à stressr je crois que j'ai viré clostrophobe, super. Pourquoi faut il toujours qu'on se mette dans des situations pareil ? Pour une fois que je n'avais rien demandé. J'ai chaud, c'est tout. J'avais pas envie d'être vulnérable une fois de plus en sa présence pour une fois j'avais envie de garder le contrôle mais visiblement mon corps en avait décidé tout autrement. Mais il n'était pas dupe, il me connaissait par coeur je ne pouvais rien lui cacher. Je le vois s'avancer pour finalement me prendre dans ses bras. Je pose ma tête contre son coeur ce qui me procure un certain soulagement et m'apaise un peu. Ses paroles se font rassurantes et j'avoue que je suis contente de l'entendre me parler comme ça même si j'aurai aimé une situation plus agréable. Il prend ensuite mon menton entre ses doigts pour relever ma tête vers lui. Je remue la tête de haut en bas pour acquiescer. D'accord, même si l'idée de t'avoir rien que pour moi quelques minutes me rend heureuse. J'esquisse un léger sourire, tout le désir, l'effection que j'ai pour cet homme ne sont pas partis, j'ai besoin de lui, du contact de sa peau contre la mienne et de son caractère de merde. Nos bouches sont toutes proches l'une de l'autre, j'ai envie de poser mes lèvres sur les siennes mais je ne le fais pas de peur qu'il m'en veuille d'avoir commis cet acte. Mais je ne boug et profite de ces quelques centimètres qui sépare nos visage l'un de l'autre.

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Swan se sentait mal. Ses joues étaient beaucoup plus rouge que d'ordinaire, sa poitrine se soulevait de manière anormale et que dire de son regard. Elle pouvait bien me dire qu'elle allait bien, son regard ne me mentait pas. Nous avions eu de longue conversation quant à la prise d'otage. Je sais qu'elle a fait partie de ses étudiants coincé dans un des bâtiments de l'université, retenue par ce malade. C'est donc tout naturellement que je brave la barrière invisible que j'avais tenté de mettre entre nous deux, pour ne pas succomber à ses charmes afin de la prendre dans mes bras. Situation risqué, dangereuse, comme vous voulez, je ne pouvais pas la laisser comme ça, je ne voulais pas qu'elle panique et qu'elle revive ce traumatisme. J'étais là cette fois ci. Mes bras encerclaient son corps fin, je la serrais contre moi pour qu'elle puisse sentir ma présence et en sécurité. Cependant, je ne pouvais pas empêcher mon corps de réagir contre elle, contre cette fille qui m'a longtemps fait perdre la tête et qui me la retourne encore aujourd'hui. Cette attirance, ce magnétisme ne s'enlèvera pas d'un coup de baguette magique. Je souriais à ce qu'elle me disait en remontant ma main dans son dos nu Tu changeras jamais toi soufflais-je en plongeant mon regard dans le sien. Je voyais son regard se baiser sur mes lèvres, cette envie qu'elle avait de m'embrasser. J'avais la même, ma main descendait sur son fessier pour la plaquer d'un geste vif contre mon corps. J'effleurais ses lèvres des miennes avant de tirer sa lèvre inférieur tout en passant un main dans ses cheveux mouillés, mais je me repris à la dernière minute. Je posais mon front contre le sien en fermant les paupières fermement. Je .. je vais trouver un moyen de te faire sortir de là je me reculais un peu en frottant mon visage pour regarder autour. T'as ... une pince à cheveux ? encore troublé, je tourne sur moi même en me passant la main dans la nuque, désorienté.

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Conte son corps je me sentais en sécurité et au complet. J'avais l'impression que la blessure au niveau de mon coeurs s'était un peu refermée mais je savais pertinemment que ce ressenti ne serait que de courte durée, autant en profiter. Samain descendit le long de mon dos et instinctivement mes yeux se fermèrent pour apprécier la douceur de son geste. Je fus surprise quand ses doigts finir sur mes fesses et que mon corps fut collé contre le sien, mon coeur allait finir par lâcher si ça continuait comme ça. La peur que je sessentais d'être enfermée s'était quelque peu dissipée, il avait le don de me rassurer et ça ce n'était pas donner à tout le monde. Jamais. J'esquissais un petit sourire avant que nos yeux se rencontrent et que ses lèvres frôlent les miennes et qu'il mordille l'une d'entre elle. Mon dieu c'est juste l'extase, le paradis de le sentir comme ça en ma présence. Mais rapidement cet état de plénitude prend fin. Front contre front, il respire bruyamment alors que mon à moi s'accélère à une vitesse affolante. Je le désire tellement que ça me fait mal, dans le bas de mon ventre il y a un vrai feux d'artifice et j'sais pas comment je vais pouvoir le calmer toute seule. Je remue la tête de haut en bas, je sais qu'il va nous faire sortir mais je n'en ai pas envie. Il s'écarte et j'ai l'impression que mes jambes vont flancher sous cet abandon soudain, je le regarde tourner sur lui-même l'air complètement paumée. Moi je m'appuie contre le mur et me laisse glisser sur le sol pour m'asseoir. Je rabas mes genoux contre ma poitrine et prends ma tête entre mes mains, je peux plus le regarder sinon je vais lui sauter dessus. Fais quelque chose et vite car là je prends sur moi pour ne pas t'embrasser à pleine bouche. Je tiendrai plus très longtemps. Je ne relève pas la tête, mes mains appuient encore plus fort sur mon visage pour me cacher comme pour me protéger de la vue de mon dieu grec.

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C'est le genre de situation qui arrive souvent n'est-ce pas ? Se retrouver coincer dans la même douche de la femme avec qui on a eu un passé, une femme qui respire la tentation et qui vous fait de l'effet alors que vous êtes en couple ! Je ne pensais plus qu'à elle en cet instant , jusqu'a se que je vois le chouchou de Zoya autour de mon poignet. Là, subitement, je me reculais en lui disant qu'on devait sortir. Non, je ne pouvais rien faire, parce que je ne voulais pas faire souffrir cette femme avec qui je me suis engagé, cette femme qui compte pour moi, même si Swan aura toujours sa place dans ma vie quoiqu'il advienne. Je sais bien que je devrais l'éviter, je sais bien que rester trop proche de sa tentation personnelle risque de m'éclater en pleine figure un jour ou l'autre, car une minute de plus dans cette douche et je risque de faire une connerie. J'attrape la pince à cheveux qu'elle me donne, subitement, j'ai l'impression d'être dans un film d'action. D'être James Bond. M'agenouillant devant la serrure, je tente de l'ouvrir, bien entendu, je n'y arrive pas du premier coup et bien entendu, la pince se coince dans la serrure. Fait chier. Je me retourne, jusqu'à entendre du bruit dans la salle de bain. Une âme charitable ? Heoh y'a quelqu'un ?! une petite voix se fait entendre, je lui explique que nous sommes coincés dans la douche et bien rapidement la jeune femme nous dit qu'elle va appeler quelqu'un pour nous ouvrir, oui, parce que j'ai la poignée dans l'autre main. Je me retourne pour regarder Swan, prostré contre elle-même, ses mains sur son visage.Cette fois-ci je décide de rester contre la porte, mesure de précaution on va venir nous ouvrir, je suis pas un bon James Bond, j'ai pas réussi avec ta pince, j'espère qu'elle n'avait rien de spécial parce que je l'ai cassé dans la serrure. C'est que dans les films que ce genre de connerie marche vraiment

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