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i was scared, you're so special for me // marlen.

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ça fait quelques jours que t’es à l’hôpital, t’attends sagement que warren se réveille. assise sur le fauteuil dans un coin d’la chambre à côté du lit tu dors parce que c’est épuisant de rester à veiller en attendant qu’il aille mieux. il s’était réveillé trois ou quatre jours après qu’on l’ai trouvé et il t’avais trouvé là assise à côté de son lit, les yeux tous gonflés d’avoir pleuré. tu voulais pas le lâcher, tu voulais pas le laisser seul ici, des fois tu t’asseyais sur le lit à côté de lui, puis tu posais ta tête sur son épaule, puis tu te relevais et le regardais dormir. t’as eu beaucoup de mal à te retenir de pleurer, alors des fois tu prétextait un petit tour pour lâcher toutes les larmes que t’accumulait en toi de le voir comme ça.
ça fait une demi-heure qu’il est en salle de réveil,  toi t’es toujours dans sa chambre en train de dormir sur le fauteuil. tu ouvres enfin les yeux, il n’est toujours pas revenu alors tu t’inquiètes un peu. tu vas te mettre un peu d’eau sur le visage et tu sors de la chambre à la recherche d’une infirmière qui pourrait t’en dire un peu plus. elle te dit qu’il va mieux,  qu’il se réveille doucement alors forcément tu lui demandes où est-ce que tu peux le trouver. elle t’indique la salle de réveil mais te dit aussi que les visiteurs sont interdits. elle voit bien que t’es malheureuse, que t’as vraiment envie d’entrer dans la chambre et de le serrer contre toi. alors elle t’enfile des protèges chaussures, une blouse, un masque et une charlotte sur la tête. t’as l’air vraiment con comme ça mais c’est pour la bonne cause. puis elle te laisse entrer en te demandant de faire vite.
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Si tu étais réveillé depuis un moment, tu avais pourtant très peu conscience de ce qui se passait autour de toi. Les perpétuels mouvements agités des infirmières, de l'anesthésiste et du médecin en charge de ton cas déboulaient dans la pièce où tu étais gardé, préservé, surveillé à quasi sécurité maximale. Sans trop exagérer, on ne peut pas dire qu'on t'ait même laissé le temps de retrouver tes esprits et tes repères. Tu t'étais souvent rendormi, et à chacun de tes réveils, tu savais que tu avais zappé quelques bouts, encore. Comme si t'étais amnésique ou un truc du genre. Une énième fois, tu ouvres les yeux lorsque, après une longue pause et un calme plat, tout s'agite de nouveau. Tu crois entendre, peut-être est-ce un scalpel, tomber à plat contre le sol, ce qui te fait presque sursauter dans ton réveil. Tout est flou, pour tes yeux encore peu habitués à cette soudaine clarté horrible de l'hôpital. Tu entends quelque chose grincer à ta gauche, bien que le bruit te semble lointain. Très lointain, même. Puis des murmures. Puis des pas. Est-ce des pas? Ou bien rêves-tu? Dors-tu encore? Tu n'en sais plus rien. Tu as peur, c'est vrai. Rien que l'effort de pivoter ta tête vers la gauche pour voir la provenance du bruit te provoque une douleur dans tout le corps qui t'arrache une grimace. Tu te sens lourd, tu te sens bloqué dans ce lit, comme drogué. Maugréant, murmurant des trucs à peine audibles, tu lèves le bras avec difficulté, le laissant retomber lourdement contre le lit trop peu confortable sur lequel tu es. Puis, comme exténué, tu fermes les yeux, ne sachant que faire d'autre. Qui? Bien sûr, t'aurais voulu demander, en bonne et due forme : C'est qui? Mais c'était bien trop dur, pour toi. Surtout au réveil. Surtout après une tentative de suicide.
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la salle est plongée dans la pénombre, tu t’approches au rythme du bip qui résonne dans la pièce, il ouvre doucement les yeux et tu souris derrière ton masque. alors tu fais gaffes à ce que personne ne te surveilles et t’enlève ton masque avant de lui embrasser le front « c’est moi, marloes » que tu chuchotes doucement en attrapant sa main. ça te fais tellement de mal de le voir comme ça mais tu ne peux pas y faire grand-chose à part être là pour lui. tu t’approches doucement, et attrapes sa main avec une putain de grande tendresse, t’aimerais tant que tout aille mieux pour lui mais tu sais que ça n’arrivera pas tant qu’il ne s’enlèveras pas olive de la tête. tu poses ta main sur sa joue « bouge pas, tu vas te faire mal » il t’fait tellement de peine dans cet état. t’essayes toujours de faire en sorte qu’il aille bien mais voilà, à chaque fois que tu crois que ça va mieux il replonge, et à chaque fois tu t’promets que tu le laisseras pas s’écrouler une nouvelle fois. t’es pas assez forte pour ça. tu voudrais bien lui dire que tout vas aller bien, mais y arriveras-tu cette fois ?
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« c’est moi, marloes » Ton coeur se met à battre vite et si fort qu'il menace de sortir de ton torse. C'est la honte et peut-être cet autre sentiment qui te chavire chaque fois que tu la vois, aussi. Un mélange des deux ne serait pas improbable. En moins de deux, elle attrape ta main et la caresse dans la sienne. Instantanément, tu fermes les yeux, encore un peu sous l'effet des médicaments qu'on t'a administré pour éliminer ceux que t'avais pris en trop forte quantité. « bouge pas, tu vas te faire mal » Tu lui souris tristement, serrant ses doigts entre les tiens de toute la force qui te reste, celle que tu peux encore puiser. Tu t'en veux d'être dans cet état devant elle. Pour une fois, tu te sens faible. Irrité par tes conneries, tu ne sais pas quoi dire à cette fille... non, cette femme sublime que tu as devant toi, et qui représente énormément de choses pour toi.J'ai déjà mal rien qu'en voyant c'que j'vois dans tes yeux.. Parce que oui, tu y vois la douleur, la peine, aussi? Est-ce parce que tu te retrouves ici? Est-ce parce que tu l'empêches de profiter de sa vie à fond. Putain.. Tu te hais. Encore. Toujours. Viens.. Viens dans mes bras. S'teplait. T'en as besoin. Tellement. Tu la veux contre toi, tu t'en fous des règles. T'es pas bien quand elle est loin, c'est tout. Et même si t'es branché de partout, t'en as rien à foutre. Tu la veux dans tes bras.
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t'as envie de le serrer dans tes bras, lui dire que ça va aller, mais t'es même pas sûre que ça finira par aller un jour. t'es triste d'être impuissante fasse à son mal-être, énervée contre toi même de ne pas pouvoir lui promettre que ça ira, parce que tu n'en sais rien. sa main est dans la tienne et tu ne veux pas que ce contact s'arrête, tu veux le garder prêt de toi tout le temps pour que jamais cela n'arrive. tu repenses doucement à boston, vous étiez bien là-bas, loin de tous ces problèmes, loin de cette fille qui ne cesse de ronger warren de l'intérieur. il y a des fois où t'aimerais qu'elle disparaisse, pour qu'il puisse retrouver le sourire, pour qu'il redécouvre le bonheur sauf que ça ne se passera pas comme ça. tu le sais bien. de toute façon il ne peut pas s'empêcher de retourner vers elle.
t'as envie de lui dire que c'est pas vrai, que tout va bien, que ce qu'il voit dans tes yeux c'est juste de la fatigue rien de plus, parce que tu veux pas qu'il s'inquiète, ou qu'il s'en veuille. tu ne dis rien, tu te contentes d'embrasser son front doucement. "dis pas de bétises va" puis quand il te demande de venir dans ses bras tu te fais pas prier parce que tu crèves d'envie de le serrer contre toi et même si c'est interdit, tu t'en fous, aux chiottes les règles, t'as juste envie de profiter de lui. alors tu t'approches, te baisses jusqu'à poser ta tête contre sa poitrine et ferme les yeux, ça te fais tellement de bien d'être contre lui. "j'ai eu peur..." finis-tu par avouer doucement. peur de le perdre clairement. peur que cette fois il ne se rate pas. qu'aurais-tu fais ? t'aurais sûrement voulu le rejoindre, sans penser aux autres. parce que même si tu ne l'avoue pas, t'pourrais pas vivre sans lui.
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Depuis quand je dis des bêtises? Un sourire étire tes lèvres. Quand elle t'embrasse le front, ton coeur se serre. Pourquoi? Parce que tu n'as pas envie de sentir ses lèvres contre ton front. T'as envie de sentir ses lèvres contre les tiennes. Comptes-tu lui dire un jour ce que tu ressens? Tu es dégoûté de toi-même rien que de réaliser que tu aurais pu quitter ce monde sans même lui dire aurevoir. Sans même lui dire ce que tu ressens, lorsqu'elle est près de toi. Bien plus que de l'amitié, ça c'est clair. Mais tu ne peux pas lui dire. Elle aussi, elle est brisée d'un amour perdu, dans le passé. Toi, c'est tout juste plus récent. Plus frais. Et Olive ne quitte toujours pas tes pensées. Mais Marloes commence à prendre de plus en plus de place dans les tiennes, et ça ne te déplaît pas. Elle t'apaise. Elle te plaît. C'est plus que de l'amitié, de l'attirance. Tu la serres dans tes bras, malgré ces longs et nombreux fils que l'on t'a présupposément branché sur toi pendant que tu étais inconscient. Ils t'encombrent, mais ça ne t'empêche pas de serrer Marloes contre toi, contre ton coeur. Ta main vient s'entremêler dans ses cheveux, que tu caresses d'une douceur infinie. Elle t'avoue qu'elle a eu peur. Tu fermes les yeux, ton coeur se serre de nouveau. Inconsciemment, tu laisses échapper une larme, qui roule sur ta joue, lentement... Je sais, Marlo.. J'le ferai plus. J'te promets. J'te jure, j'vais rester ici, j'peux pas t'quitter comme ça. Tu embrasses le dessus de sa tête, auquel tu as accès. Ce qui te torture présentement, ce sont les questionnement. Et ces fils.. ouais, tous ces foutus fils. Marlo.. J'veux savoir. J'veux vraiment savoir.. J'sais que j'viens d'me réveiller.. que j'suis un peu dans les vapes, que j'ai p'têtre pas toute ma tête. Tu vas m'dire que je dis encore des bêtises. Mais faut qu'on arrête de nier. Il s'passe quelque chose. Marloes, depuis l'bal, tout change.. Tout avance, et j'te vois plus de la même façon. T'es importante pour moi. T'es tellement importante pour moi, que j'sais pas ce que ça veut dire. Et tu sais que.. enfin non, tu sais pas, mais j'suis peu doué pour montrer c'que j'ressens. Soit j'en montre trop peu, soit j'exagère. Marloes.. tu ressens c'que j'ressens, dis-moi..? Peur de te faire des idées sur tout ça. Peur d'être dans un rêve - ou qui sait, dans un cauchemar? Peur que l'histoire se répète. Peur de ne pas être assez bien pour elle ou pire, de la blesser.. Peur, aussi d'oublier complètement Olive, même si c'est ce que tu veux depuis des semaines déjà. Des mois. Peur de trop de choses qui pourraient te mettre des barrières. T'es un bon gars.. Mais faut que Marloes le sache d'abord.
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