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fiche; terminée - C'est le 13 décembre 1987 à Houston, Texas, que la famille Beaver m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Daniela, mais mon identité c'est une longue histoire. Je suis célibataire et c'est très bien comme ça, mais si vous voulez tout savoir je suis sans étiquette et j'aime une personne, pas un sexe. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en journalisme, je suis maintenant en 6ème année. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mathers ou les Students. |
Everyone Has Their Own Story
Quand on est jeune, que l'on veut former une famille, on doit se dire que recevoir deux enfants au lieu d'un seul c'est le plus beaucoup cadeau du monde. Oui, c'est très certainement ce que devaient se dire mes parents quand ils ont su qu'ils allaient avoir des jumelles. « Deux fois plus de bonheur », c'était la phrase que tout le monde leur lançaient en apprenant la nouvelle. J'aimerais bien savoir ce qu'il en pense maintenant, c'était surtout deux fois plus d'emmerdes cette histoire .. Je suis née le 13 décembre 1987, un vendredi 13, c'était peut-être un signe, à Houston, prénommée Daniela, je fus suivi de près par ma soeur jumelle Francesca. Des soeurs fusionnelles, incapables de rester l'une sans l'autre plus de quelques minutes, tant similaires qu'on en devenait indissociables au premier abord. Notre relation était si exclusive qu'elle était à la limite d'être malsaine. Avec le recul je peux avouer que pour ma part le culte que je vouais à ma soeur était très certainement nocif, pour chacune de nous. Elle était tout pour moi, vraiment tout. Je ne pouvais m'imaginer la décevoir, j'étais l'ainée, de très peu certes, mais je me sentais investie du devoir de la protéger et de me porter en exemple. Autant dire clairement que j'étais assez possessive et que je vivais très mal le fait qu'elle puisse s'attacher à quelqu'un d'autre que moi.
Aux alentours de notre seizième anniversaire, nous avons eu une violente dispute qui nous prouva que nous étions finalement radicalement différentes, même si on se complétait, chacune compensait les excès de l'autre. Je l'étouffais beaucoup trop, alors nous avons pris nos distances. J'ai pu ainsi faire la rencontre qui bascula ma vie. J'ai commencé à sortir seule et c'est comme ça que, au détour d'un bar, j'ai fait la connaissance de Vassily. Subitement, les événements se sont tous enchainés très vite. Il m'avait promis une place dans son bar si je quittais le lycée. Je n'eus pas besoin de réfléchir longtemps, je savais que c'était très certainement inconscient, mais pour le moment je n'avais qu'une envie, tenter de nouvelles choses. Je n'ai pas été déçue du voyage. A l'annonce de la nouvelle la réaction de mes parents ne se fit pas attendre. L'une des filles de riches industriels texans ne peut arrêter le lycée sur un coup de tête pour aller bosser en tant que "serveuse" dans un bar à la réputation plutôt douteuse. Je me suis irrémédiablement retrouver à la porte, sans même un au revoir mes parents ont tiré un trait sur moi, reportant tout leur amour sur Francesca. Ce fut d'ailleurs la seule à ne pas me tourner le dos, il ne se passait plus un jour sans que nous nous appelions. Elle fut ainsi la première au courant que le bar de Vassily était plutôt une maison close et que mon boulot de serveuse était plutôt celui de fille de joie. Mais au fond, ça ne me dérangeait pas du tout. Je prenais mon pied en m'envoyant n'importe qui. Je n'avais aucune ambition pour le futur, j'étais la trainée personnelle de Vassily et ses amis, ça me suffisait.
Mais Vassily a toujours eu les yeux plus gros que le ventre, ses histoires mafieuses de proxénétisme ne lui suffisait pas. Il s'est alors lancé dans le trafic de drogue. Mais je savais dès le début que ce n'était pas une bonne idée, on était à Houston, une ville bourrée de gangs possédant le monopole total sur ce commerce. Alors forcément, un soir on a eu de la visite. Deux gars, soi disant porte-paroles des deux plus gros gangs du quartier, sont venus 'avertir' Vassily et ainsi lui demande de cesser ses nouvelles petites affaires. L'histoire s'est close vraiment vite. Vassily les abattit tous deux rapidement d'une balle dans le crâne. J'aurais du être effrayée, j'aurais du partir en courant, me précipiter vers mon ancien chez moi, vers Francesca, mais non. J'étais excitée, et je me sentais incapable d'avoir une autre vie que celle que je me construisais. Juste après ce règlement de compte, j'arrêtai de me prostituer au sein de la maison close de Vassily. Il m'entraina au combat rapproché et au tir. Il voulait faire de moi un de ses hommes de mains. C'était quelque chose d'enivrant, une montée d'adrénaline à chaque coup tiré. Mon esprit n'était plus avec moi, j'étais comme dans une dimension parallèle, j'exécutais les ordres, un point c'est tout. Je me souviendrait toujours très nettement de ma première mission. C'était un autre bar, j'avais 4 noms, tous appartenant à un gang rival. J'ai ouvert la porte d'un coup de pied. Mes cibles étaient là, elles savaient exactement pourquoi je venais. Je n'entendais plus rien, aucun son ne parvenait à mes oreilles, seul le battement mon coeur, s'accélérant, retentissait dans tout mon corps. J'ai sorti mes armes et avant même de m'en rendre compte, c'était fini. 4 coups, 4 balles, 4 crânes perforés. Il fallait maintenant déguerpir au plus vite, ne pas laisser de traces. Je suis rentrée chez Vassily juste après, histoire de lui faire profiter de ma fougue de l'instant. Le lendemain, 6h35 du matin, invasion de l'appartement par les forces de police. Je crois que là j'ai eu peur. J'ai voulu me rassurer en tendant mon bras vers Vassily, mais à ma grande surprise et à celle des policiers aussi, la place était vide. Aucune trace de Vassily dans les parages, rien. Ce connard avait filé au milieu de la nuit, certainement au courant de ce qui allait se produire au petit matin, il me laissait dans la merde, une sombre merde de laquelle je ne savais point comment je pourrais m'en tirer. J'ai attrapé au plus vite quelques vêtements, ayant à peine le temps de les enfiler. La descente de mon petit nuage a été si rapide et inattendu. Pourtant je ne pouvais certainement pas me laisser abattre, il fallait que je reste forte, parce que pour me sortir de là, ça allait être compliqué.
Finalement ça n'a pas été si compliqué, ça a juste été littéralement impossible. Une fois arrivé au poste on m'a annoncé les chefs d'accusations qui pesaient sur moi, et franchement à ce moment là, j'ai su qu'il était peut-être plus adéquat que je me la ferme. Prostitution, complicité de proxénétisme et de trafic de drogue. Au fond j'étais agréablement surprise. Jamais on ne me parla des parasites que j'avais fait disparaitre, je ne comprenais pas vraiment comment j'avais pu avoir la chance que cela passe si inaperçu, mais je n'ai jamais été inquiéter de ces meurtres. Mon professionnalisme avait du m'aider .. J'avais deux options. Assumer tout ça de moi même ou aller quémander de l'aide à ma famille, qui m'avait tout simplement rayé de leur vie 2 ans plus tôt. J'avais 18 ans, et je risquais gros, très gros. J'ai décidé d'informer Francesca, voulant simplement la tenir au courant, je ne voulais pas de son fric, ni de celui de nos parents. Elle avait tout de même décidé de venir c'était la première fois que l'on allait se revoir après 2 ans. Dans un tribunal, où j'étais accusée de choses qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. Officiellement je n'aurais jamais pu l'approcher, la toucher .. Mais à Houston, les policiers sont très facilement corruptibles, et puis c'était un peu mon boulot de jouer de mes charmes. Alors juste avant que le procès ne commence, j'avais pu aller la prendre dans mes bras. Elle me pria de plaider coupable, insinuant pouvoir influer sur le verdict si je suivais ses indications. Elle voulait tenter de corrompre la justice avec les sous de notre industriel de père pour m'éviter au maximum la prison. Mais j'ai refusé. Il fallait que j'assume, au moins une fois dans ma vie. Le procès se déroula alors sans trop d'encombre. J'ai finalement écopé de 6 ans de prison. Un choc, une tombée des nues. La prochaine fois que je verrais l'extérieur ce serait dans 6 ans, j'en aurais 24, ma soeur aura changé, elle sera à l'université je suppose. Avant de partir elle m'a avoué partir à Harvard l'année suivante, elle m'a dit qu'elle ne pourrait me rendre visite, mais qu'elle m'enverra tout de même au moins une à deux lettres par mois. C'était le maximum que je pouvais espérer de toute façon.
Je crois qu'une des meilleures leçons que j'aurais pu tirer de cette expérience, c'est que, en prison, si on veut survivre, il faut connaitre les codes. Dans le cas contraire ça devient très vite dangereux. Ma première co-détenue, Elisa, m'avait soi-disant pris sous son aile, m'indiquant les lieux et les personnes à éviter, les choses à ne pas dire, à ne pas faire. Mais c'était tout le contraire. Je n'étais qu'un jouet pour elle. Chaque jour je m'attirais de nouveau problème, mais elle me tenait. Elle m'avait appris qu'elle savait ce que j'avais fait. Son fiancé faisait parti du gang que j'avais "affronté". Oui, celui auquel appartenait les 4 hommes que j'avais descendu. Alors forcément si cela en venait à parvenir aux oreilles des gardiens, ma peine risquait de changer complètement. Alors comme une idiote, j'agissais sous ses ordres, en attendant le bon moment pour lui faire payer. Un jour, ce ne fut pas dans la merde qu'elle m'avait mise, c'était pire que ça .. Une bagarre générale s'était très vite lancée, je soupçonnais même celle-ci d'avoir totalement été planifiée. C'était le moment ou jamais. Alors que tout le monde se tapait dessus, faisant au plus vite pour finir avant l'arrivée des gardiens, j'attrapa la main d'une autre détenue, elle tenait un morceau acéré de je-ne-sais-quoi. Avec l'autre bras, j'agrippa Elisa, et enfonça plusieurs fois la main de l'autre détenu dans son ventre. Même avec les moyens du bord, je savais ne pas laisser trop de traces. Je la voyais agoniser, cracher du sang, l'autre était totalement choquée de voir ce que je l'avais "forcée" à faire. Reculant lentement, je me fondis dans la masse, passant le plus inaperçu possible, pour ne pas avoir sur le dos l'agression de ma co-détenue. Mais reculer dos à la masse, en pleine bagarre, au sein d'une prison, c'est tout simplement inconscient. Je me suis senti agrippée par l'épaule, et une fois retournée, quelque chose est venu violemment se loger dans ma poitrine. Retirant immédiatement l'objet, j'ai reconnu une seringue. Tombant au sol, je me fermai doucement les yeux. Les bruits devenant de plus en plus étouffé autour de moi.
Lorsque j'ai réouvert les yeux j'étais menottée, dans un lit d'hôpital. Au moins j'étais en vie. Un médecin se pointa peu de temps après mon réveil, ces premiers mots furent clair et net : « Mauvaise nouvelle. » Je me suis alors remémorée ce qu'il s'était passé. La seringue. Une seringue en prison ? C'est utilisé pour de la drogue, passé de cellule en cellule, principale cause d'infections en tout genre. Je me voyais déjà avec une hépatite C ou une autre connerie de ce genre. Le médecin continuait. « Il va falloir refaire un test dans quelques temps mais il y a très peu de chances que le résultat soit contredit. » Je me souviens lui avoir demandé vulgairement de s'activer, je n'étais pas pour le suspense quand il s'agissait de quelque chose qui pouvait autant influer sur ma vie. « Vous êtes porteuse du VIH, vous êtes séropositive, vous êtes atteinte du SIDA » Il le répéta de plusieurs manières différentes encore. Il me restait encore 3 ans de prison à tirer .. et j'allais devoir vivre en plus avec le SIDA ?! J'étais abasourdie. Mais je devais vite m'en remettre, deux jours après j'étais de retour dans ma cellule. Mais tout avait changé. Même si jamais les gardiens ne m'en avaient parlé, toutes les détenues savaient que j'étais à l'origine du décès de Elisa, ma co-détenue. Certaines étaient même au courant des 4 meurtres avant la prison. J'étais devenue redoutable, on ne chercha plus jamais d'ennuis là-bas. J'acceptais plutôt bien mon nouveau statut de séropositive, j'avais une visite par semaine avec le médecin de la prison, mais j'étais toujours anxieuse. J'avais envoyé une lettre à Francesca lors du diagnostic et plusieurs mois après je n'avais toujours pas eu de nouvelles d'elle. C'est seulement un an après que j'ai reçu ceci :
Ma Chère Danny,C'était concis, mais ça me suffisait. Au moins elle était heureuse, elle avait retrouvé la joie de vivre après une baisse de régime dont j'étais la cause.Je tenais sincèrement à m'excuser pour ne pas avoir pu te faire parvenir des nouvelles plus tôt, mais je dois t'avouer que si j'ai attendu aussi longtemps pour te répondre c'est car ta dernière lettre m'a énormément troublé. J'ai été beaucoup secouée, et ainsi beaucoup de changement ont été effectués dans ma vie. J'avais fait de mon mieux pour supporter ton incarcération, mais l'annonce de ta séropositivité a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. J'ai eu une énorme baisse de moral et j'ai un peu dérivée. J'avais besoin de me détendre et j'ai rencontré les bonnes personnes. Ces gens là m'ont permis de faire la fête pour oublier. J'ai quitté ma précédente maison pour les rejoindre tu sais. Tu t'entendrais tellement bien avec eux. J'aime leur esprit de camaraderie, tu aimerais leur manière de profiter de la vie, de faire la fête. Je sais que tu ne sors pas tout de suite encore, dans deux ans seulement ! Mais je te promet que je viendrais en personne te chercher ma belle. Je t'aime.Ta soeur, Frankie.
Finalement la fin de mon incarcération c'est plutôt bien passé. J'avais reçu, à une fréquence plutôt soutenue, bon nombre de lettres de ma soeur et ça m'avait vraiment aidé à mieux vivre ma peine, savoir qu'il y aurait toujours quelqu'un de présent pour moi à ma sortie. Pourtant je n'avais toujours pas eu l'occasion de voir Francesca en chair et en os. Je me rappellerais à vie de ce jour sonnant le début de ma nouvelle vie, enfin "ma" ..
Mettant enfin un pied hors de l'enceinte de la prison, ce n'était pas un cri de soulagement que j'ai poussé, j'étais trop digne pour ça. J'ai juste couru sur Francesca qui était appuyé sur sa voiture, juste en face, la serrant le plus fort possible dans mes bras. On avait tant à se dire, tellement de temps à rattraper. Je lui ai glissé à l'oreille que j'avais très certainement fini mes conneries, que plus jamais je ne retournerais en taule. Après des retrouvailles émouvantes, on est enfin parties. J'ai pris le volant pour rentrer sur Cambridge. La route était plutôt calme, l'ambiance dans la voiture était détendu, comme si rien n'était jamais arrivé entre nous. Et encore une fois j'ai tout foutu en l'air. Frankie se détachant pour enlever sa veste, je jeta mon attention sur elle, plutôt que sur la route. Erreur. J'ai laissé la voiture se déporter sur l'autre voie. En retournant la tête j'ai vu un camion juste en face de moi. Un énorme camion, j'ai essayé de virer la voiture hors de la route. Mais nous l'avons percutés de plein fouet. Enfin nous .. Francesca. Grâce à ma ceinture je n'avais que des coupures superficielles. Francesca était beaucoup plus amochée. Elle pouvait à peine me parler. Je hurlais, je hurlais encore. Mais déjà elle ne bougeait quasiment plus. Je l'entendais me souffler quelques mots. « Deviens moi .. Prends ma place » Elle indiquait son porte-feuille du regard. Je ne voulais pas comprendre. Pour moi c'était vraiment impossible. « Je veux que tu aies une vie meilleur. Fais mourir Daniela et deviens Francesca. Ça ira .. » Ces derniers mots sortaient de plus en plus lentement et avec plus en plus de difficultés. Son souffle s'arrêta doucement. J'ai pleuré, j'ai longtemps pleuré. Et finalement j'ai du partir. J'ai échangé nos papiers. Tout ce qui pouvait nous confondre. Et j'ai marché droit devant moi. J'ai finalement été prise en stop après quelques centaines de mètres de marche. Je suis rentrée à Cambridge incognito. Maintenant mon nom c'est Francesca et je vis la vie de ma soeur. Quand je vous avait dit que naitre un vendredi 13 était de mauvaises augures.
Études Je crois qu'il est clair que je n'ai jamais vraiment aimé les cours. J'ai quitté le lycée 2 ans avait d'être diplômée alors bon .. Ma soeur était assez heureuse d'aller en cours, elle étudiait le journalisme. Personnellement j'étais un peu flippée de devoir reprendre sa place et ainsi suivre ses cours. Mais on verra bien à la rentrée. Je ne suis pas une illettré non plus, juste une fille impatiente qui a été tentée par une autre vie. Je suis sure que j'y arriverais. Et puis à la rigueur rien ne m'oblige vraiment à suivre si assidument les cours. Ma soeur n'était pas un rat de bibliothèque non plus. Elle avait des facilités qui lui permettait de faire la fête et de se pointer en cours sans avoir besoin de réviser. | Caractère Froide • Impulsive • Assez pessimiste sur son avenir mais réaliste • N'aime pas prendre ses médicaments et les oublie souvent • Drague énormément mais préfère laisser en plan avant de conclure • Déteste les petits jeunes présomptueux • Intelligente • Réfléchis beaucoup avant de parler • Veut absolument profiter de la vie avant de mourir • Est persuadée qu'elle n'atteindra jamais 35 ans • Préférerais mourir d'une overdose plutôt que du SIDA • Grande déconneuse • Aime beaucoup rire et faire rire • Peut paraître égoïste • Déteste se faire marcher sur les pieds • N'hésitera jamais à en venir aux mains • Sait pertinemment qu'elle est très différente de sa soeur, et que les gens ne vont pas comprendre pour elle a autant changé. • Franche • Indépendante • Débrouillarde • Aime s'attirer les foudres de quelqu'un • Provocante • Sure d'elle • Terrorisée par sa maladie mais ne l'avouera pas • Impatiente • Possède plusieurs tatouages. |
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