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I like it, I'm not gonna crack.
marc & aleksandra.
Aleksandra contempla pour la énième et dernière fois son reflet dans la glace et acquiesça légèrement, plus ou moins satisfaite de son apparence. Elle ne saurait dire combien elle avait passé de temps à se pomponner devant le miroir, mais elle était assez ravie du résultat. La jeune femme avait essayé de ne pas trop forcer sur le maquillage - ça avait le don de la rendre terriblement mal à l’aise – et, après de longues réflexions, avait éventuellement opté pour une légère robe courte noire, qui en montrait et en couvrait assez : Parfait pour ce temps et ces circonstances. Elle passa alors une main rapide dans ses cheveux lâchés et, pour la dernière fois, vérifia si un quelconque pli déformait ses habits, tout cela avant de quitter les lieux d’un pas pressé. Après tout, elle se devait d’être convenablement présentable pour les cours de français qu’elle s’apprêtait à avoir. En effet, après avoir totalement craqué pour l’accent d’un charmant jeune homme d’origines françaises et qui était, il faut le dire, un remarquable joueur dans l’équipe de football de l’université ; elle décida d’apprendre cette fameuse langue, n’hésitant pas à demander cette faveur à Marc, qui, fort heureusement, accepta. Et puis, qui sait ? Peut-être qu’un jour elle en aura besoin dans ses études, ou même dans la vie de tous les jours. Mais à vrai dire, la demoiselle n’était sans savoir qu’elle n’était pas vraiment honnête ici, puisqu’elle était principalement intéressée par Marc, et ces cours n’étaient qu’un merveilleux prétexte qu’elle avait trouvé avec l’espoir de passer un peu plus de temps avec lui. Ses intentions étaient loin d’être mauvaises, bien évidemment. D’ailleurs, elle ne savait même pas ce qui se passerait exactement pendant ces cours : Soit il lui apprendrait quelques mots et ce sera fini, soit il entrera dans son passionnant jeu de séduction, ce qui serait beaucoup plus amusant. Dans tous les cas, Aleksandra va finir par apprendre quelques mots de français, ce qui était bien, du moment que, comme tous les américains, la brunette est fascinée par cette langue. En moins d’un quart d’heure, la jeune femme avait déjà pénétré dans la maison des Eliot, papillonnant des signes et adressant un sourire rayonnant à quelques unes de ses connaissances qu’elle rencontrait. Elle finit par se retrouver devant la porte de Marc. Plaquant un éblouissant sourire sur ses lèvres, elle frappa sur la porte.
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