antonrad † I need you as much as you need me

I need you as much as you
need me

ANTONRAD

Une soirée seule avec mon Konrad, voilà ce qui me faisait du bien. Avec lui je me sentais bien, je me sentais revivante. Toute la soirée j'avais dansé à ses côtés, tous les clients du Lord Hobo ce soir étaient en osmose et malgré la chaleur, j'avais continué avec véhémence de danser avec Konrad. Cependant nous avions décidé de faire une petite pause et je profitais que monsieur commande une énième boisson pour m'éclipser dehors, histoire de prendre l'air parce que j'avais vraiment trop chaud dans cet endroit quoi. Je dois dire que j'étais déjà pas mal éméchée, à cause de lui. Je posais ma tête contre le mur en soufflant un bon coup lorsque je sentais quelqu'un m'agripper par la taille. Je connaissais le toucher de Konrad, et là ce n'était pas le sien. " Bah alors ptit bébé on a perdu son chemin ? " En temps normal j'aurais réagi en deux secondes mais jcrois que les effets de l'alcool m'en empêchait. Je ne réagissais pas. Pourtant je me débattais, il commençait à passer sa main sur des zones interdite, là je commençais à m'inquiéter. Je lui donnais un coup de poing pour me dégager, alors que je voyais flou. " Sale pute, tu vas voir ce que je vais te faire ! " Et il me prends par les jambes ce qui me fait tomber par terre. Bordel quel connard.

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Antorad

❝i need you as much as you need me❞

C'était vraiment bon de la retrouver, bon j'essaye d'oublier la gifle qu'elle m'a mise et la gueulante qu'elle m'a poussée quand elle ma retrouvée il y a quelques semaines quand elle a su que j'étais revenu. Ce soir j'étais pas de service au Hobo, j'étais client et j'étais en compagnie d'Antonia, ma Antonia, on avaient enchaîner les verres, on avaient dansés l'un contre l'autre, cette soirée juste tous les deux me faisait oublier mes galères, je profitais juste de cette soirée avec elle et je ne demandais rien de plus. A un moment elle m'a prit la main pour me sortir de la piste, la belle brune voulait stopper la danse un moment, fallait qu'elle reprenne ses esprits et alors que j'hochais la tete lorsqu'elle me disait qu'elle allait dehors prendre l'air je commandais un shoot de tequila, me garder en forme parce que la soirée était pas finie. Je ne pensais pas que le temps que mon shoot arrive et que je le boive il se serait passé un tas de trucs, j'avais décidé de sortir moi aussi, me fumer une clope, prendre l'air par la même occasion et en arrivant près de la porte, je vis une paire de jambes au sol et un mec dessus, j’écarquillais les yeux en reconnaissant Antonia, c'était dire si j'enfonçais presque a porte pour me retrouver dehors et saisir le mec par les plis de sa veste dans le dos et le tirer hors d'elle ❝J'vais te crever enculé.❞ lui dis-je, je venais de me mette hros de moi, personne pouvait la toucher, surtout pas un déchet comme lui, bourré comme pas possible, il puait la bière d'ici. Il se relevalit mais fut aussitôt couché sur le sol, au milieu du caniveau, je venais de l'envoyer au tapis comme on dit, juste avec une droite mais quand on sait où bien tapé, ça fait vite mal, je remercie toutes mes années de boxe. Je marchais vers lui, j'avais envie de le massacrer mais et je vis Antonia se mettre entre lui et moi ❝Pousse toi, j'vais le tuer.❞.

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ANTONRAD

En temps normal, si j'aurais été sobre, je l'aurais sûrement fracassée en deux. Attends on ne peux pas détrôner la grande et puissante Antonia, forte en arts martiaux quoi. Mais l'alcool et moi ça faisait 2 et tout le monde le savait ! Je le tenais vraiment pas. Alors le mec était là, il montait sur moi, il me touchait sans que je puisse rien faire. Intérieurement je me maudissais de ne pas réagir, à l'intérieur je visualisais ce que j'aurais pu lui faire, mais c'est comme si l'alcool était une barrière. Puis tout d'un coup, je voyais une ombre arriver, une porte s'envoler. " Konrad.. " soufflais-je. Je me relevais mais la scène se passa drôlement vite. Konrad était sur le point de le tuer, clairement. Et je ne voulais pas avoir à faire avec la police ou des trucs comme ça ce soir alors je m'interposais face à un Koko complétement fou de rage. " Laisse tomber. laisse moi arranger ça. " Je me retourne vers mon agresseur et lui mets un bon gros coup de pieds dans les parties. ET BIM. " Ca t'apprendra à vouloir toucher une princcesse, connard. Tiens, il est à toi." Je fais un petit signe à Konrad. Même si je voudrais honnêtement qu'il ne fasse rien et qu'il vient plutôt me prendre dans ses bras parce que je commençais vraiment à divaguer la.

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Antorad

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Ce que je venais de voir me rendait fou de rage, je pétais littéralement un câble saisissant le mec pour l"envnoyer valser quelques mètres plus loin. Personne ne la touche, Antonia, bien qu'elle soit Eliot et je la maudis pour ça mais bon c'était un peu logique vu sa petite vie de princesse, c'est une perle rare, depuis des années elle est mon trésor, ma perle rare, une princesse, ma princesse et c'est pas un soûlard qui abusera d'elle. Je l'avais mis au sol une nouvelle fois avec une droite lorsqu'il s'était relevé, j'avais vraiment envie de le tuer mais Antonia se mettait entre lui et moi, me regardant, me disant de laisser tomber, qu'elle s'occupait et se retournant elle lui envoyait un coup de talon dans les parties, revenant me faire face pour me dire que j'avais le champ libre sur ce type. Il avait eu son compte non ? Enfin je veux dire il était ko et castré ça suffisait, enfin je pense même si je rêvais de le tuer pour ce qui avait osé faire mais il y avait plus important, il y avait Antonia. ❝Il a eu son compte.❞ disais-je à Antonia avant de prendre sa main pour l'emmener plus loin, et de la prendre dans mes bras ❝Il t'as fais mal ?❞ lui demandais-je, inquiet oui.

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mise en page par mad love Je me considérais personnellement comme quelqu'un de fort niveau caractère, mais dès que je me trouvais en présence de Konrad, je devenais une petite fleur bleue. Vous voyez le genre petite enfant derrière son protecteur. J'avais toujours été gentille envers Konrad même si je savais que quand il voulait c'était un redoutable salaud, surtout avec les femmes. Mais je le connaissais depuis tellement longtemps quoi, je ne pouvais pas penser du mal de lui. Lorsque Konrad me prit la main pour m'emmener bien plus loin, dans un endroit plus calme et isolé, je soufflais longuement pour éliminer la surdose d'alcool et ce qui venait de se passer. Ses mains prenaient mon visage pour me demander si le gars m'avait fait du mal. A vrai dire je sentais une petite douleur au ventre oui. Je le touchais et grimaçais. "J'crois qu'il m'a trop appuyé sur le ventre mais bon.." Je me mords la lèvre et soudainement, je me mets à observer mon sauveur. Je souris et passe mes mains derrière sa nuque. Il est encore plus charmant quand il est énervé. "Tu m'as drôlement bien aidé dis donc ! Je pense que si t'aurais pas été là, y en aurait eu plus." Je plonge mes yeux bleus dans les siens et me mordille la lèvre inférieure. "C'est chiant à dire mais c'est super sexy tout ça.. t'es mon ange gardien." Nous sommes à une proximité trop dangereuse qui pourrait sûrement vriller dès maintenant..

hj; désolée pour le changement de mise en page :sifle:

Antorad

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On avaient beau ne pas avoir du tout le même milieu social, j'étais dans la misère et elle dans la richesse, moi dans l'anonymat et elle dans la notoriété mais on venaient tous les deux de Londres et c'est tout ce qui comptait pour moi. J'ai direct trouvé Antonia super craquante, tellement fragile, une vraie perle rare et même si elle vient d'un milieu totalement opposé au mien elle m'a approchée après que je l'ai débarrassé de quelques relous, comme maintenant en fait, sauf que notre rencontre date maintenant.Je l'ai éloigné de ce tupe, la prenait par la main puis prenant son visage entre mes mains pour lui demander si elle avait mal quelque part et je fronçais les sourcils en l'entendant me dire qu'elle avait mal au ventre ❝Putain, quel fils de pute.❞ sortais-je alors qu'elle passait ses mains autour de ma nuque, finissant par me sourire, me remerciant de lui être venu en aide. ❝Heureusement que j'ai eu envie de fumer alors.❞ c'est vrai sinon j'aurai attendu au bar qu'elle revienne vers moi sans savoir qu'elle se faisait presque violer. Ses yeux traversent les miens et je la vois se mordre la lèvre me disant que la situation était devenu à la limite du sexy, qu'elle me considérait comme son ange gardine, je souriais posant mes mains sur sa taille. ❝C'est vrai ça pourtant je suis tellement loin d'être un ange.❞ c'était dangereux la distance entre nos visages, trop dangereux, j'avais cette envie de l'embrasser.

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mise en page par mad love
Ma relation avec Konrad était plutôt difficile à définir, mais nous étions plutôt proches, à veiller l'un sur l'autre, ça nous suffisait amplement. De plus longtemps que je me souvienne, la premiere fois que je l'avais rencontré, j'avais un peu flippé. Un mec bizarre, voilà comment je le définissais. Il n'était pas vraiment mon style d'homme, mais il avait un petit truc qui me plaisait, et il avait surtout le don de savoir toute nous charmer. Et avec le temps je l'ai trouvé de plus en plus beau, j'admirais son charme. Alors bien sûr quand j'apprenais que monsieur était revenu sur Cambridge, il fallait absolument qu'on se fasse une soirée à nous, même si je savais pertinemment qu'il devait sûrement voir pleins d'autres jolies filles, certainement meilleures que moi dans certains domaines. Et c'est sûrement l'effet de l'alcool mais j'étais plutôt entreprenante avec lui là. En effet, me mordre la lèvre ou lui faire un regard charbonneux n'était pas dans mes habitudes.. pour avoir un homme. Pour lui il n'était pas un ange, pour moi bien au contraire, il l'était ce soir et il avait intérêt à se conduire comme tel. Mais il avait raison dans le fond, il était tout sauf un ange, non lui il était beaucoup plus dark que ça. Mon sourire s'efface, laissant place à une hésitation conséquente de vouloir l'embrasser. Je n'ai embrassé qu'une fois Konrad, et c'était pendant des vacances scolaires, à Londres, il y a 7 ans. Alors forcément peut être que le goût de ses lèvres me manquaient un peu (god c'est l'alcool qui parle). "Serions-nous en train de faire une bêtise... Konrad ?" Je demande ça de manière enfantine, d'une petite voix fluette. Et c'est plus fort que nous je crois. Nos lèvres se rejoignent. Ouais elles se rejoignent dans un baiser d'abord doux puis il devient de plus en plus passionnel. Je ne comprends pas, vraiment. Je suis réellement en train de céder à Konrad ?

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Antorad

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J'en avais vraiment rien à foutre qu'elle soit une Eliot, notre amitié dépasse ça, comme elle dépasse nos vies totalement opposées ou nos milieux sociaux contraires. Ça fait plus de sept ans que je la connais, c'est quand même déjà quelque chose, je me souviens encore de notre rencontre, elle m'avait prit pour un véritable con dont elle n'avait rien à foutre mais il sait avéré que ce con l'a débarrassé de d'autres cons et que depuis elle y a porter un intérêt certain jusqu'à l'embrasser quand il est retourné à Londres il y a sept ans. Je sais pas vraiment comment définir notre relation, nous sommes proches c'est évident mais à se regarder comme on se regarde, si proches, si silencieux, elle a raison, tellement raison on risquent de faire une connerie. ❝Totalement.❞ lui répondis-je, on étaient bourrés après tout, on avaient plus véritablement conscience des choses enfin j'avais conscience là qu'elle venait de coller ses lèvres aux miennes et que j'y répondais avec passion et envie. Je retirais mes lèvres quelques secondes après pour la regarder ❝Même après sept ans, tu garde le même rouge à lèvres.❞ je lâchais un petit rire en caressant sa joue, c'était vraiment bizarre mais j'en avais envie.

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mise en page par mad love
Tout le monde le savait de toute façon, j'étais une pacifiste dans l'âme (ça dépendait des fois bien sûr). En général je ne collais pas d'étiquette aux gens. Je pouvais me permettre de les juger au premier regard, mais pas de le penser sur le long terme. Alors ancien mather ou pas, dealer ou ce que vous voulez, dites moi tous les pires trucs sur Konrad, je le porterais toujours dans mon coeur comme un véritable ami qui a su me protéger de nombreuses fois. Sans lui, dès fois, j'aurais sûrement pas tenu le coup. J'avais besoin de cette présence masculine avec moi. Donc bien sûr quand je m'étais mise à l'embrasser avec passion et frénésie, je ne pouvais m'empêcher de penser que ses lèvres étaient encore meilleures qu'il y a 7 ans. "Même après sept ans, tu garde le même rouge à lèvres." Je rigole avec lui parce qu'il a raison. "On ne change pas les habitudes.." Et lorsqu'il caresse ma joue, je suis prise d'une vague de frisson. Mes poils s'hérissent à ce contact. Borel que m'arrive-t-il, c'était vraiment l'alcool qui me rendait comme ça ? Cette façon de me regarder et de me caresser la joue témoignait vraiment de l'instinct protecteur et bienveillant de Konrad à mon égard et ça me faisait réellement chaud au coeur. J'étais sa princesse après tout. Je pose mes deux mains sur son torse, et replonge mon regard dans le sien. On m'avait souvent dit que mes yeux bleus est ce qui faisait mon charme alors j'avais bien l'intention de le faire craquer ainsi. C'était chaud à dire parce que c'était pas mon genre, mais j'avais encore envie de l'embrasser.. ou bien plus.

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Antorad

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Elle venait de m'embrasser et sincèrement j'avais beaucoup aimé, je remontais sept ans en arrière quand on s'est embrassés pour la première fois, une sorte de baiser d'adieu avant que j ene reparte pour Cambridge. Je n'ai pas de préjugés sur Antonia, je la connais depuis très longtemps, je sais comment elle est, elle a beau être une véritable petite princesse richissime dans une confrérie que je n'aime pas, je m'en fiche parce que je connais la véritable Antonia, la perle rare qu'elle est et ce bien-être qu'elle a quand elle est avec moi. Je ne peux pas m’empêcher de confirmer ses dires, on fait une connerie mais on en a envie et je souriais en la regardant, sentant le gout de son rouge à lèvres qui n'a pas changé depuis tout ce temps, ses mains se posaient sur mon torse et ses yeux sur les miens, ce moment était vraiment bizarre et je flanchais une fois de plus, posant mes lèvres sur les siennes encore une fois, appuyant ce baiser en cherchant sa langue, je la serrais un peu plus contre moi posant mes mains sur ses fesses.

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