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1, 2, 3, y en a 1 de trop, c'est pas toi, c'est l'autre | Amanda & Alice

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Je tente de prendre mon fils dans le parc mais cette débile de fille le serre contre elle pour ne pas me le laisser. Le pire, c'est que je vois mon homme, le père de mon fils, adresser un regard d'encouragement à cette salope comme s'il était fier qu'elle ai réussi à me tenir tête. Je vois rouge, je serais capable de la tuer là, tout de suite. Mais je sens une main sur mon épaule. Ezio essaye de me calmer, je dis bien essaye. Il vante encore les "talents" de sa protégée pour apaiser notre fils. J'ai l'impression qu'il ne comprend pas, qu'il ne voit pas à quel point voir une autre femme s'occuper de mon bébé peut me faire du mal. J'ai tellement souffert d'avoir du l'abandonner de force mais il semble ne pas en tenir compte. C'est comme si tout ce que je lui avais expliqué n'avait rien changé, comme s'il me voyait encore comme la femme que je me forçais à faire. Quoi qu'il en soit, ses paroles n'ont servi à rien si ce n'est que d'attiser encore plus ma haine. Je ne prends même pas la peine de lui répondre, il ne comprend rien de toute façon. Je me dégage de l'emprise de sa main sur mon épaule. J’attrape Alice par le bras et mes ongles s'enfoncent directement dans sa peau. Je lui dis d'une voix terrifiante et menaçante: "Alice, lâche mon fils. Tout de suite." Si elle ne m'obéit pas, je serais forcée d'abimer son joli visage qui semble tant plaire à Ezio.

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Entre Ezio qui me demandait de m’occuper de Leonardo et Amanda qui ne demandait qu’à le récupérer, je ne savais quoi faire. Je n’aimais pas me retrouver entre une chicane de couple et j’avais l’impression d’être la cause dans ce cas ci. J’avais envie d’écouter Ezio, puisque clairement ce petit n’avait que besoin d’être réconforté présentement, ce que je m’étais rapidement habitué à faire avec lui. Je crois d’ailleurs qu’il me reconnait à présent, qu’il s’habitue à moi. J’aurais d’ailleurs aimé que les paroles de mon ami la fassent changer d’idée. Il avait totalement raison mais je préférai rester en silence. Je ne voulais pas m’interposer entre eux, déjà que j’avais gardé son bébé contre moi, encouragée en plus du regard par Ezio. Ses pleurs commençaient à peine à cesser et je détestais l’entendre ainsi. Malheureusement, Amanda ne semble pas se laisser faire si facilement et elle ne prend même pas la peine de lui répondre, venant directement vers moi. Je ne m’attendais pas à ça, étant des plus surprises en la sentant m’attraper le bras et enfoncer ses ongles dans ma peau. Je grimaçai en essayant de me défaire, ne faisant même plus attention à son. « Toi lâche moi! » Je commençais à paniquer et je savais que ce n’était pas la meilleure manière pour la calmer ou qu’elle me lasse tranquille. « Tu le reprendras plus tard… » Je devrais lui laisser mais je sentais qu’elle n’était pas en état de le prendre et de s’occuper de son bébé présentement.
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Elle m'ignore. Elle m'ignore complètement et la situation a totalement dérapé. Elle échappe à ma prise sans efforts et saisit violemment le bras d'Alice, dont l'expression de malaise bien compréhensible se métamorphose immédiatement en un masque de peur. Elle grimace et je vois bien qu'Amanda lui fait mal. Alice exige d'Amanda qu'elle la lâche et je vois les yeux de ma petite amie s'étrécir alors qu'elle resserre sa prise. Elle a de longs ongles blessants, dont mon dos a fait bien souvent l'expérience, et du sang commence à perler sous ses doigts alors qu'elle la secoue - Dieu merci, elle n'oublie pas qu'Alice tient Leo et ne la bouscule pas très fort, mais toujours trop à mon goût.

Je ne vois plus mon Amanda. À vrai dire, je ne vois même pas l'Amanda qui m'a tant fait souffrir. C'est une inconnue qui est devant moi, une inconnue cruelle, impulsive, violente, et soudain je prends conscience que j'ai sous les yeux tous les traits de caractère qui ont fait d'elle un agent du FBI. Sans pitié, sans regrets. Je ne vois plus Amanda, non, par contre je vois toujours bien Alice, qui a mal, comme si son mari ne la blessait pas suffisamment comme ça, qui a peur, qui ne sait pas et ne peut pas se défendre.

Alors je prends Amanda par son bras libre pour la retourner vers moi, de mon autre main, je saisis le bras qui agrippe Alice pour l'arracher à sa poigne - laissant des déchirures dans la délicate peau d'Alice - je l'éloigne brutalement de la française et je la gifle.

Le claquement résonne, sonore, dans tout le salon, puis un silence incroyablement pesant s'abat sur nos épaules.

Ma main me brûle. Je sens les regards incrédules d'Amanda et Alice posés sur moi. Toutes les deux savent pertinemment que je n'ai jamais frappé une femme de ma vie et que même en ayant toutes les bonnes raisons du monde, je ne m'y résoudrais jamais. Il semblerait que je me sois trompé. Les secondes s'étirent, interminables, alors que nous sommes tous plus ou moins en train d'essayer de prendre conscience que j'ai bien fait ce que j'ai fait. Une rougeur apparaît déjà sur la joue d'Amanda, ma femme chérie, la mère de mon enfant, à qui je viens de mettre une gifle. Putain. Mais qu'est-ce qui m'a pris ? Mais qu'est-ce qui m'a pris, putain de bordel de merde ?

Je voudrais lui tendre la main, la prendre dans mes bras, l'embrasser, m'excuser, mais le seul geste que je parviens à avoir est de tomber à genoux devant elle. Je ramperai s'il le faut pour qu'elle daigne me pardonner, je lui baiserai les pieds mille fois si nécessaire, je serai son esclave le reste de ma vie, mais il faut qu'elle me pardonne ou je vais devenir fou. Piétine-moi, vas-y, Amanda, massacre-moi, mais garde-moi, je ne peux plus vivre sans toi.

- Amanda, oh, Amanda, pardon ! Pardonne-moi, pardonne-moi, je t'en supplie. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je... Je t'en supplie, regarde, je te le demande à genoux, je t'en supplie, pardonne-moi, amore mio, ti amo, chiedo scusa, chiedo scusa...
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Cette folle ose me demander de la lâcher et me dit que je reprendrais mon fils plus tard. Mais à quoi elle joue, putain ? C'est mon fils! Si elle ne le lâche pas je serais capable de la démonter, c'est ce qu'elle cherche ? Je ne vois plus rien autour de moi à part cette garce qui tient mon enfant et ne veut pas me le rendre. Ce n'est pas elle sa mère, c'est moi ! J'ai perdu assez de temps à cause de mon travail et c'est assez douloureux de voir qu'il est habitué à une autre femme que moi pour qu'elle en rajoute.

Puisqu'elle ne veut pas le lâcher, je la forcerais à le faire. J'enfonce mes ongles encore plus loin et plus fort dans sa peau jusqu'à ce que du sang glisse sous mes doigts: "Tu vas le lâcher sale pu..." Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'on m'attrape par le bras. Mes ongles écorchent un peu plus les bras de cette salope et j'en suis contente. Mais ça ne dure pas longtemps, un énorme bruit sourd vient de s'abattre sur ma joue. Ezio vient de me gifler.

Le claquement résonne un long moment dans le silence pesant du salon. Il vient de me gifler, je n'arrive pas à y croire. Ma joue est en feu et je ne sens pas encore la douleur tant je n'arrive pas à comprendre ce qu'il vient de se passer. Ezio vient de frapper une femme. Je sens qu'une grosse marque rouge se dessine sur mon visage. Mes yeux se remplissent de rage.

Il tombe à genoux devant moi et me supplie de lui pardonner. Mais c'est fini, c'est trop tard. Je ne vois plus l'homme que j'aime, le père de mon fils. Je ne vois qu'un homme qui a osé me gifler. Je vais le tuer, je vais le massacrer. Je le regarde de haut, insensible à ses excuses. Tu m'as giflé pour une autre femme. Je vais te tuer. Je lui lance un regard haineux et lui dis: "Lève toi." Je vois qu'il ne bouge pas et je lui hurle dessus "Lève toi, j'ai dit !" J'attends qu'il se lève et je lui détruis sa sale gueule.
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Je n'ai plus conscience de rien sinon ma main qui me brûle atrocement et Amanda, debout au-dessus de moi, belle et terrible. Elle ne me pardonnera pas. Je lui demande de le faire parce que je ne peux pas faire autre chose, parce que quand ma sentence s'abattra, je ne saurai plus quoi faire, ni comment réagir. Je serai juste au fond du gouffre, séparé d'elle. Et ça, je suis incapable de l'envisager, parce que bon sang, je suis ccro à elle, et je ne pourrai jamais être accro à une autre femme autant qu'elle m'a ensorcelé, je le sais bien. Alors je m'accroche au denrier espoir qui me reste. Si je la supplie assez, si je lui montre assez que ce geste n'était pas moi, peut-être qu'elle daignera me laisser une chance ?

Au milieu de mes excuses balbutiantes, je ne l'ai même pas entendue me dire de me lever. Mais quand elle le répète, je me coupe net et je me lève lentement, pâle comme la mort. Je ne veux pas qu'elle dise ce qu'elle va dire. Je veux qu'elle me dise qu'elle comprenne et que je vais devoir être à ses ordres le reste de sa vie pour me pardonner, mais qu'elle me laisse l'honneur de partager sa vie. Je t'en supplie, Amanda. Je fixe sa bouche, parce que je sais que si je croise ses yeux, je verrai tout ce qu'elle pense de moi et plus aucun espoir, aussi absurde soit-il, ne sera possible.

- Je t'en prie, Amanda, tu sais que ce n'est pas moi, ça. Je ne pourrai jamais, jamais m'excuser assez pour ce que j'ai fait. Je t'en supplie, laisse-moi une chance.

J'ai même complètement oublié Alice, je ne vois plus que ma femme, ma si jolie femme, si douce, si fragile... Et puis je me retrouve à moitié par terre alors que la douleur m'envahit, et dans le seul petit coin de mon cerveau qui n'est pas en train de hurler de souffrance, je parviens à me faire la réflexion qu'un agent du FBI, ça n'est pas si fragile que ça.

[Ouais, j'ai fait un twist à la fin parce que la conclusion sur le dialogue me plaisait pas 1, 2, 3, y en a 1 de trop, c'est pas toi, c'est l'autre | Amanda & Alice - Page 2 2157042859 Comme d'hab hein tu me dis si faut que je change 1, 2, 3, y en a 1 de trop, c'est pas toi, c'est l'autre | Amanda & Alice - Page 2 1881463262 Et j'ai vu avec Alice pour sauter son tour comme ça elle pourra réagir à la scène dans son ensemble !]
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Ezio est pitoyable à mes pieds à me supplier de lui pardonner alors qu'il sait très bien que jamais je ne le ferais. Mais il continue et tente de se justifier sans oser me regarder dans les yeux tant il est lâche et faible : "Je t'en prie, Amanda, tu sais que ce n'est pas moi, ça. Je ne pourrai jamais, jamais m'excuser assez pour ce que j'ai fait. Je t'en supplie, laisse-moi une chance"

Mais je n'écoute même pas ce qu'il me dit. Il s'est enfin levé et est debout là, devant moi. Tu as voulu taper sur une fille, chéri ? Tu as choisi la mauvaise. Je suis entrainée comme personne je vais lui faire payer son geste. Je serre mon poing de toutes mes forces et le frappe en plein ventre comme je n'ai jamais frappé quelqu'un. La haine et la rage me donnent une force indescriptible. Alors, ça fait quoi de se faire démolir par la personne qu'on aime ? Il se recroqueville sur lui même et j'en profite pour lui mettre un bon coup de coude dans la nuque pour qu'il s'écroule de nouveau par terre.

Je ne suis plus la femme qu'il a connu. Il l'a perdu à l'instant même ou il a levé la main sur moi pour protéger cette fille qu'il connait depuis même pas deux mois. Il a fait l'erreur de sa vie et il va le regretter. Je pose alors mon pied sur son visage. Mon talon laisse une trace de sang sur sa joue puis je lui dis: "Si tu t'avises ne serait ce qu'une seule fois de m'adresser la parole, je te tue, t'as compris ?"

Je suis rouge de colère, mes yeux sont brulants. Je ne fais même plus attention à Alice et heureusement sinon je pense qu'elle aussi aurait pris un coup ou deux. C'est quand même de sa faute si Ezio m'a donné cette gifle qui a mit fin à notre histoire de manière définitive. J'appuie une dernière fois sur la joue de l'ex homme de ma vie, histoire qu'il souffre un peu plus encore puis je ramasse mes affaires et je claque la porte pour sortir de la vie de cet enculé, pour toujours.
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J’étais totalement figée devant ces événements qui s’étaient déroulés si rapidement. Je n’avais rien eu le temps de faire, ou réagir à quoi que ce soit, j’étais comme une spectatrice extérieure de tout cela, je voyais Ezio et Amanda, mais je n’étais mentalement par présente. Une gifle, des excuses, Ezio à genoux, Amanda l’engueule, elle le frappe à son tour, elle part. Au milieu de quoi j’étais tombée? Certes j’avais rapidement remarqué que moi et Amanda, on ne se ressemblait aucunement. Elle était bien plus assumée que moi, plus directe aussi. Pour Ezio, il m’avait même dit, il y a quelques semaines, qu’il ne toucherait jamais une femme, pas même elle. Apparemment, il ne fallait jamais dire jamais, et ça me faisait peur à présent. Je ne le connaissais pas de cette manière, et je n’en avais pas envie non plus. Je ne l’avais pas remarqué, mais des larmes coulaient sur mes joues. Je me levai, Leonardo toujours dans mes bras, que j’allai déposer dans son parc. Aucun de nous deux n’étaient en état de s’occuper d’un bébé en ce moment, donc il était mieux là. Je relevai mon regard vers Ezio, j’étais déçue, apeurée, je ne pouvais pas rester. « Je-je dois y aller… » Je ne dis pas plus et ramassai mon sac, me dirigeant rapidement vers la porte. Je ne savais plus quoi penser.
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