Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySepharinewt ❧ Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais. - Page 2
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Sepharinewt ❧ Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais.

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❝ Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n’existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais. ❞
SEPHARINA & NEWT.

En mettant tes doigts sur chaque fossette de la brunette, t'espérais que cela allait redonner le sourire à Sepharina. Chose qui marche puisque cette dernière souriait malgré la situation en sentant le mal l'aise entre vous à peine papable entre vous. Mission réussie. Ces cicatrices semblaient être un mauvais souvenir. Il est vrai que tu es têtu comme une mule et tu n'allais pas lâcher l'affaire tant que tu n'aurais pas d'explications valables. Tu ne pouvais que la rassurer et de toute façon, tu n'as pas un caractère méchant ni violent, il ne fallait pas te chercher tout simplement. Voyant le signe qui voulait dire « tu peux t'asseoir, je vais tout te raconter », ne te faisant pas prié, tu te poses aux côtés de l'étudiante en médecine. Tu n'avais pas l'attention de révéler cette histoire à la terre entière. Ce n'était absolument pas le but. Ce dernier était que Mademoiselle Rosenbach se débarrasse d'un poids porté sur les épaules depuis trop longtemps. En entendant la malheureuse histoire au fur et à mesure, tu ne pouvais pas t'empêcher d'être en colère qui est tellement rare chez toi. Tu te sentais tendu, mais t'essayais de ne rien parâtre. Ne comprenant pas un homme pouvait lever la main sur une femme. Dans ce cas, on n'est pas un homme, mais un connard sans cœur. Et ça traumatise la fille qui n'ose plus faire confiance à un garçon ni entamé une nouvelle relation. Tu pouvais entendre dans la voix de l'Anglaise des tremblements, signe que la femme de vingt-quatre ans allait peut-être craquer et se mettre à pleurer. Tu voyais la longue cicatrice qui partait de son épaule jusqu'au bas de son dos après avoir retiré son haut pour être en maillot. Pourquoi frapper un si joli corps ? Tu ne pouvais que la rassurer et de toute façon, tu n'as pas un caractère méchant ni violent, il ne fallait pas te chercher tout simplement. « Ne laisse jamais personne dire que tu n'es pas une bonne personne alors que c'est faux ou même le penser. Ce gars, c'est un vrai connard, si je le croise un jour dans la rue je le …. » Tu te mordilles les lèvres pour éviter de dire le mot frapper, fracasser.
© LOYALS.
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❝ Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n’existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais. ❞
SEPHARINA & NEWT.

La demoiselle n’était jamais à l’aise lorsqu’elle devait montrer ses cicatrices. Mis à part sa défunte meilleure amie, sa famille et son médecin il n’y avait pas d’autre personne au courant de l’histoire et elle préférait que cela reste ainsi. Maintenant, Newt était au courant mais cela lui retira un poids sur l’épaule. Elle n’allait pu avoir besoin de faire attention pour ne pas qu’il voit ces affreuses traces sur son corps. La demoiselle se disait que si il cherchait tant à savoir la raison de ses cicatrices c’était bien parce qu’il devait l’apprécier et s’inquiéter pour elle. Cette idée lui plaisait bien. Quoi qu’il en soit, elle avait retiré son haut pour qu’il puisse comprendre l’étendu de ses marques. À la remarque de l’étudiant, Sepha ne pu s’empêcher de rigoler nerveusement en versant quelques larmes qu’elle n’avait pas su retenir. ‘’ oh tu sais, je ne crois pas que tu vas le croiser si tôt…. Il purge sa peine ‘’ Dit-elle la voix tout aussi tremblante qu’auparavant. Il fallait dire que sa remarque la rendit heureuse. Il semblait réellement tenir à elle. Maintenant que tout était montré et dit, elle reprit son haut pour l’enfiler de nouveau. Elle n’avait pas envie de laisser ses cicatrices à la vue des touristes curieux. Ce qui l’apeurait le plus à se monter c’était les regards indiscrets et les jugements que les autres pouvaient lui porter. Bref, elle voulait changer de sujet, arrêté de penser à cet homme qui l’avait tant fait souffert. Elle espérait seulement qu’il n’allait pas revenir après avoir purgé son temps en prison. C’était sa plus grande peur. Qu’il vienne pour la punir d’avoir parlé devant le tribunal. Elle avait beaucoup de difficulté à regarder Newt dans les yeux maintenant. Son regard sur elle allait sans doute changer. Elle n’allait être plus seulement l’étudiante en médecine, qui chante à ses temps perdus, mais aussi la femme battu, fragile et apeurée.
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