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❝ heaven is a place in earth with you ❞
MARY ET ZEPHYR ALSO LES PLUS BONNESJe sais pas ou ça va nous mener, j'en ai vraiment aucune idée. C'est juste que j'ai vue Mary, la nuit dernière. Oui cette Mary là. La même qui m'as fait tourner la tête dans tout les sens, et me donner envie de hurler ma joie à tout le monde. La même Mary qui arrivais pas à attendre le levier de la machine à granitas, parce qu'elle est trop petite. La même Mary et ses cheveux boucler et brun, et ses yeux d'un bleu éclatant, et son sourire qui ferais fondre 'importe quel cœur de glace. Cette Mary là. Et je l'ai vue, une heure, voir moins. On a parler, comme si des années n'avait pas séparer notre discussion, et elle m'a dis qu'elle devait partir en Afrique le lendemain, que j'étais la bienvenue. J'étais trop chambouler pour lui dire oui, alors j'ai dit non, et je suis rentrer chez moi en esperant que ma tête ne se remette pas à tourner de nouveau, mais manque de bol : elle a tellement tourner, que j'ai du regarder toute la saison de Grey's Anatomie pour la calmer. Et quand j'ai enfin trouver le sommeil ,je me suis mise à rêver d'elle, et je me suis mise à me dire que j'avais la chance de pouvoir la retrouver encore, et d'être encore avec elle. Et que ça ne pouvait pas attendre, je voulais être avoir elle maintenant, tout de suite. Alors j'ai fait ma valise, ce fut horrible parce qu'on m'a toujours appris à prendre plusieurs jours pour faire ma valise, alors que je me suis contenter de prendre des slips et une brosse à dent. J'ai foncer jusqu'à l'aéroport, mais je venais de les raté d'un quart d'heure. Je devait attendre une journée pour avoir un autre avions. Je n'ai pas eu le courage d'attendre une journée, alors j'ai pris un chemin qui faisait trois avions en tout. D'Amerique en France, de la France au Maroc, du Maroc en centre Afrique, et de là je devait prendre un espèce de bus ou autocar qui aller me ramener jusque là bas. Je n'avais aucune idée de quoi dire, ou que faire, je voulais juste la voir. « Salut. » dis-je en poussant la porte du bungalow de Mary, ma valise sous le bras, et de la transpiration partout sur moi.© LOYALS.
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