C'est le 17 février à Changsha, que les membres de la famille Han m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Mei Li. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis encore indécise, je ne suis encore jamais tombée amoureuse. Néanmoins, le traditionalisme de ma famille m'oblige presque à être hétérosexuelle. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Littérature Anglaise depuis bientôt un an et je ne travaille pas. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Lowell.
Même si je ne fais pas des études « utiles » selon mon père, il n'en reste pas moins qu'il veut offrir le meilleur pour ses enfants. Étudier la littérature ? J'aurais pu faire cela n'importe où, mais il m'a poussée à travailler très fort pour être admise ici. Il souhaitait aussi que j'intègre la meilleure maison, et la Eliot House semblait sans contredit convenir le mieux à notre classe sociale, en plus d'y accueillir des étudiants respectables qui ne font pas la fête tous les soirs. Aucun groupe étudiant ne pourrait être mieux adapté pour sa petite fille chérie.
LOWELL
Je suppose qu'une part de moi a envie d'intégrer cette maison. Les romans éveillent en moi autant de créativité qu'un peintre laisse parler son âme sur un tableau. Je suis cependant une artiste plus introvertie, mes idées s'éveillent dans mon esprit et dans mes rêves et parfois je les couche sur papier. Des poèmes, des chansons, des nouvelles, qui restent souvent à l'étape d'ébauches. Je ne suis pas à la hauteur des plus grands écrivains que ce monde ait porté, alors je garde ces frivolités dans le secret. Je suppose que la Eliot House me convient mieux, finalement.
J'étais absolument horrifiée, tellement que des larmes ont coulées sur mes joues sans prévenir. je n'y étais pas, ce jour-là. J'ai appris l'incident en revenant des cours, en regardant la télévision comme bien des gens. Je voyais des bâtiments en flammes, démolis, des gens en panique. Que s'était-il passé ? En proie à la panique, j'ai appelé mon père qui tentait de me rassurer, mais c'était impossible. Mon frère était là, et nous n'avions aucune façon de savoir s'il allait bien. C'est sans doute l'un des moments les plus stressants de ma vie, même si ce n'était pas la mienne qui était en jeu. Je n'aurais pas supporté de perdre quelqu'un de nouveau... Heureusement pour moi, il s'en est sorti, sain et sauf. Néanmoins, ce qui m'a perturbée dans cette histoire, c'est que je travaillais fort depuis des années pour espérer intégrer cette école. Mais après cela, à quoi devais-je m'attendre le jour où j'y mettrais les pieds ?
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je n'arrivais pas à y croire. Il y avait combien de chances que des malheurs d'une telle ampleur arrivent deux fois au même endroit ? Le temps des agressions, j'étais craintive, sur mes gardes. Étant une fille tranquille, je ne me déplaçais que rarement sur la campus en dehors des cours. Mon grand frère, protecteur comme il est, venait souvent me rejoindre pour m'accompagner. S'il n'était pas disponible, il n'était pas rare que je me joigne à deux ou trois personnes pour ne pas être seule. Peut-être était-ce de la paranoïa, mais je préférais nettement exagérer que manquer de prudence.
Je ne me suis pas trop indignée de l'abolition temporaire des maisons. Même que j'ai trouvé le rapprochement plus facile avec certaines personnes. Qu'on le veuille ou non, les maisons collent une certaine étiquette à chacun de ses membres, et peut en rebuter plusieurs. Ce fut toutefois de trop courte durée pour que la plupart des étudiants aient le temps de créer plus de liens...
Quant à la prise d'otage... Je suis encore chamboulée par la chance qui m'accompagnait ce jour-là. J'avais un cours bien matinal, de 8 heures jusqu'à 11 heures, mais le prof ayant terminé sa théorie un peu plus tôt nous avait laissé quitté le cours à l'avance. Je devais faire un saut à la bibliothèque, prendre un bouquin pour bosser tout l'après-midi sur un travail à remettre. Le destin en a décidé autrement. Il était 10h50 et je me dirigeais vers la Widener Library lorsque le destin m'appela par mon prénom. Un ami à moi désirait recevoir mon avis sur l'un de ses textes, qu'il n'avait pas avec lui. J'ai donc tourné le dos à l'enfer qui a failli m'accueillir en son antre.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle wave et j'ai 23 ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à un ami qui s'inscrit avec moi . Je trouve le forum vraiment complet et l'ambiance me semble fort agréable ! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kim Seuk Hye comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 200-300 mots si le forum le permet, mais je peux monter jusqu'à 700 sans problème et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Alors alors... euhm, coucou ! Je sais pas trop quoi dire en fait C'est mon premier forum university depuis... euh... mes tout débuts dans le rp, en fait :hmm: donc peut-être 10 ans environ x) alors je tente l'expérience ! je tiens à dire que j'suis une vraie squatteuse de cb et de flood, et que j'adore mettre des smileys partout :lol2: à chaque phrase d'ailleurs, si je suis lente à répondre sur la cb, je suis probablement en train de chercher le smiley parfait (d'ailleurs, la case des smileys est toute petite et la barre de défilement horizontale m'agace un peu ainsi que certains smileys qui sont carrément coupés, mais c'est le seul défaut de votre magnifique design ). BREF. Voilà. J'espère que vous apprécierez la lecture de ma fichette
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)