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you're the sunshine of my dark days | marlen

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Presque arrivé à destination, la voiture ronronnant sur la route lisse et étonnement déserte, tu t'impatientais presque d'arriver là où t'attendaient Marloes et ses parents. Tu n'étais pas paniqué à l'idée de rencontrer ceux qui l'avaient élevée. Tu étais plutôt stressé de l'image qu'ils auraient de toi. Étrangement, tu voulais faire bonne impression, tu voulais qu'ils croient que tu était un.. bon garçon pour leur fille. Un homme qui la méritait, peut-être? Tu n'en sais rien. Perdu dans tes pensées, ne sachant plus trop ce que tu veux et ce que tu ne veux pas depuis plusieurs semaines déjà, c'était encore plus difficile à gérer depuis le bal, soirée qui avait semblé tout changer. Tout. Et ta perception de Marloes faisait partie de ces choses qui avaient changées. Tu la voyais autrement.. Plus que comme une amie, et pourtant.. Tu ne devrais pas. Tu ne pouvais pas. Mais c'était plus fort que toi. Et t'avais envie de la voir. T'avais besoin de la voir. T'avais hâte de la voir. Arrivé enfin dans la rue que Marloes t'avait donnée par sms, tu ralentis ta vitesse pour analyser comme il faut les numéros de porte et ne pas rater la maison en question. Tu souris pour toi-même en voyant le numéro de la maison de ses parents juste à ta gauche. Tu te gares rapidement dans la rue, laissant ton sac à dos contenant quelques vêtements et autres trucs essentiels dans la voiture. Tu viendrais les chercher plus tard. Tu te diriges alors vers la porte, toquant quelques coups, dansant sur tes pieds, tout à coup bien stressé, en réalité.. Ah oui. Et tu lui avais apporté un cadeau. Un cadeau tout simple, rien de bien complexe. Un magnifique bouquet de fleurs de toutes sortes, une panoplie de fleurs. Un si grand bouquet, qu'il t'en cachait presque le visage derrière. Si bien qu'en ouvrant la porte, on ne pourrait peut-être pas te reconnaître tout de suite. Tu es mal à l'aise, mais fier. Enfin, t'espères qu'elle va apprécier, surtout.. Bien que ce soit simple. Très simple.
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t’étais un peu stressée, un peu surprise aussi, par tout ce qu’il t’avait dit, par le fait qu’il vienne si rapidement, qu’il te rejoigne tout simplement. pour ne pas trop stresser tu t’étais occupée de lui préparer une chambre propre et jolie pour qu’il s’y sente bien. tu savais que le fait de venir ici lui ferait du bien, c’était tellement reposant, puis il serait loin de ses problèmes à harvard. bizarrement tu voyais même pas le côté étrange de la chose, tu lui avais proposé de venir sans aucune arrière pensé, juste pour qu’il prenne un peu de recul, qu’il se sente bien tout simplement. t’avais fini de nettoyer les moindres recoins de la chambre puis t’étais descendue aider ta mère en cuisine, elle avait préparé tout un tas de trucs. elle aimait recevoir et se pliait toujours en quatre pour satisfaire au mieux ses invités, c’était comme ça, c’était ta mère et sans ça tu ne la reconnaitrais sans doute pas. elle était comme ça même avec toi d’ailleurs elle avait bien ralé en te voyant arriver à l’improviste. t’étais en train de préparer une tarte aux fruits pendant qu’elle te cuisinait pour connaître la vraie relation qui t’unissais à warren. sauf que voilà, toi-même ignorait ce qu’il se passait vraiment entre vous. tu laissais les choses venir tout simplement alors tu restais évasives quant aux réponses à ses questions. les tartes sont aux fours et ta mère t’active pour que la cuisine soit propre quand il arrivera alors tu frottes, tu frottes, tu t’arrêtes pas. tu te prends limite pour cendrillon. et là ça tape, ton père va pour ouvrir et tu cours pour aller ouvrir avant lui, tu te dis qu’il vaut mieux pour warren que ce soit toi qui ouvre la porte plutôt qu’il se retrouve face à ton père qui le défigure. alors t’ouvres la porte et puis tu le vois, enfin c’est surtout un gros bouquet de fleur que tu vois, et un immense sourire s’affiche sur tes lèvres. « haaaaaaaaaaaan, il est beau ce bouquet ! » puis t’essaye de le prendre dans tes bras comme tu peux sans abimer les fleurs « j’suis contente que tu sois là »
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C'est une demoiselle d'une beauté exquise que tu découvres lorsque la porte s'ouvre, juste devant toi. Si son visage occupait tes pensées depuis un petit moment déjà, ça demeurait un sentiment indescriptible que de la voir en chair et en os. D'une beauté rayonnante, elle dégageait des valeurs inouïes et une bonne humeur habituelle qui te perturbait même quelques fois. Sa beauté te chamboulait. Tu ne regrettais pas d'être venu la rejoindre. Si tu n'étais plus sûr de rien de ce qui se passait dans ta vie, tu n'avais jamais été si certain de quelque chose depuis un moment. « haaaaaaaaaaaan, il est beau ce bouquet ! » Tu ne cesses de sourire. Au moins, elle ne se décide pas à jeter le bouquet à la poubelle, ce qui t'enlève un poids de sur le coeur. « j’suis contente que tu sois là » Hochant la tête, tu la serres dans tes bras du mieux que tu peux, avant de te retourner pour refermer la porte derrière toi et après avoir pénétré la maison de ses parents. Moi aussi., fais-tu en lui embrassant la joue. En relevant la tête, tu aperçois un homme et une femme, qui te toisent du regard et qui se jettent ici et là quelques regards. Tu souris en tendant son bouquet à Marloes, puis tu t'approches du monsieur, lui tendant la main pour la serrer vigoureusement. Enchanté, m'sieur.. Moi c'est Warren. Puis, lui souriant d'homme à homme, tu t'approches de la dame, la mère de Marloes, en lui embrassant les deux joues gentiment, comme un gentleman. Désolé d'apparaître ici à l'improviste, mais.. votre fille a tellement insisté, que j'ai pas pu résister., dis-tu en riant, bien que ce soit faux. Auriez-vous un vase, ou un bocal pour.. déposer les fleurs?, demandes-tu alors, de sorte à déposer les fleurs dans un endroit où Marloes pourrait les voir tous les jours. Tu t'approches alors de nouveau d'elle, l'air tout de même un peu maladroit, un peu timide, sans pourtant vraiment l'être. Puis, haut et fort, tu déclares : Vot' fille est belle comme un coeur. Ça vient d'vous, madame Orhen? Tu te mords l'intérieur de la joue, te passant la main au niveau de la nuque, puis tu te calmes les nerfs, la nervosité va passer..
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La douceur de tes bras quand il te prend contre toi, ça t'as manqué, clairement oui il t'a manqué. T'avais même pas fait attention à tes parents qui se tenaient derrière toi, ton père les bras croisés, imposant, l'air de dire 'ça c'est ma fille, fais gaffe à tes fesses' et ta mère, toujours aussi accueillante, un immense sourire sur ses lèvres. Tu te détaches de lui et le laisse entrer enfin, parce que vous allez pas rester sur le pas de la porte éternellement. Tu le vois se présenter, le visage de ton père se détend peu à peu, faut dire que t'es son unique fille, que vous avez une relation tout particulière. T'es un peu sa prunelle, son trésor. Tu sais bien qu'il pourrait presque tuer pour ton bonheur, si quelqu'un s'en prennait à toi. Les salutations terminées tu vas dans la cuisine pour aller cherche un vase, forcément ta mère te suis et te dis qu'il est charmant, tu souris un peu, tu veux pas trop te prononcer sur la question, de toute façon tu l'as fait venir en tant qu'amis, pour qu'il se ressource et pour rien d'autre. « viens » que tu lui lances depuis la cuisine alors qu'il est encore dans le hall de l'entrée, il s'approche « elles sont vraiment belles ces fleurs » dis-tu en souriant doucement en les contemplants dans le vase. Et quand tu l'entends parler à ta mère clairement tu rougis, t'es aussi rouge qu'une tomate, oui, faut bien le dire, ta mère elle, elle a bien l'air de l'apprécier parce qu'elle nous regarde avec une banane dessinée sur son visage. Tu sais bien à quoi elle pense quand ses yeux voyagent de toi à lui, de lui à toi. Elle lui répond que c'est sans doute les gènes, elle se rapproche de son mari, qu'elle attrape par la taille. T'es bien contente de voir qu'ils sont aussi amoureux qu'au premier jour, tu te dis que t'as quand même beaucoup de chance de les avoir. Tout ce que tu sais, toutes tes valeurs, c'est grâce à eux que tu les a et t'en es tellement fière. Fière d'être leur fille tout simplement. Une fois tout ça fini tu te tournes vers Warren « t'es affaires sont dans la voiture ? Tu veux qu'on aille les chercher pour les monter dans ta chambre ? » parce que t'as aussi besoin de te retrouver seule avec lui un peu.
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