la haine se transforme parfois en passion torride et passionelle. ❖ ELYSIARC

❝la haine se transforme parfois en passion torride et passionelle❞
feat. elysiarc

Deux heures du matin,, je venais juste de finir ma garde à l'hôpital, je prenais une grande respiration en sortant de cet endroit, trop de temps dedans ça tue le moral et déjà que j'en avais pas beaucoup depuis quelques temps, un brin d'air frais faisait du bien. Je quittais le parking de l'hôpital au volant de ma Lambroghini pour rouler dans les rues de Cambridge jusqu'à arriver sur le campus où je trouvais sans mal une place prêt de la Eliot House, je m'empressais de sortir de la voiture et de la condamner pour me rendre jusqu'à ma chambre mais je fus très surpris lorsque je passais la porte de celle-ci. Elysia qui foutait un bordel monstre, la prenant sur le fait à vider la moitié de mon dressing ❝Ouah, rien de mieux à faire que te trouver là à deux heures du mat pour me casser les couilles putain !❞ lui dis-je apparement en la surprenant vu qu'elle sursauta en se retournant vers moi ❝Barre toi de là.❞ ajoutais-je pointant le couloir du doigt en la fixant.

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feat. elysiarc

Une soirée passée, de l'alcool coulant à flot, un nouveau moment passé à m'éclater, mais pas question pour moi de rentrer directement chez moi, non j'ai un tout autre objectif en tête. En pleine nuit, en mode ninja, je me faufile dans la Eliot House, prête à mettre en exécution mon plan machiavélique. Entrant dans la chambre, je m'en donne à cœur joie pour la saccager. Ça fait un bien fou, de se défouler de cette manière en renversant tout au sol. Je me trouvais du côté de l'armoire, laissant les cintres tomber au sol lorsque j'entends quelqu'un parler derrière moi. Surprise, je sursaute au son de cette voix, détournant mon regard vers lui. Marc Hein? Je regarde rapidement autour de moi, le bordel que j'avais mis... Quoi? Ce n'est pas la chambre du président? L'alcool dans le sang, j'avais perdue mon chemin et m'était tournée vers la mauvaise chambre, celle de Marc. Le hasard fait bien les choses... ou peut-être pas.

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J'arrivais pas à y croire, mais sérieusement elle se prenait pour qui à entrer dans ma chambre comme si c'était chez elle ? A foutre un bordel monstre ? J'avais vraiment pas la tète à ça, fallait qu'une emmerdeuse de première, une débauchée de verte vienne me faire chier. Je l'avais surpris, tant mieux et après avoir fait mon petit effet de surprise, je la voyais tourner les yeux un peu partout dans la chambre et de me rendre compte que ce n'était pas cette chambre là destinée à être mise dans un bordel monstre, sa cible c'était la chambre de Tate mais il fallait croire que les grands nombres de verres qu'elle avait du prendre l'avait perdu dans son itinéraire. ❝J'aimerai bien te faire cet honneur mais malheureusement c'est à l'autre bout du couloir alors fous le camp.❞ elle me sortait par les yeux sérieusement, je ne savais toujours pas pourquoi elle et moi on couchaient ensemble et le pire c'est que ça s'est produit un nombre incalculable de fois.

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Et bien oui, je me suis de toute évidence trompée de chambre. Bon sang, je n'avais pas les yeux bien en face des trous pour m'en rendre compte. J'observe Marc de la tête aux pieds Non de toute évidence tu n'es pas le président, juste un de ses larbins. Je le provoque un minimum, mais dis aussi ce que je pense. Je ne trompe pas ses schtroumpfs dans mon cœur et je me demande ce qui m'a pris de traîner avec Marc. De toute évidence, chaque fois que je viens à le croiser, je suis toujours bourrée, comme ce soir. Tu ne m'invites pas à rester? En souvenir du bon vieux temps... Je lui adresse un clin d’œil, ironie, je joue avec ses nerfs, ce qui ne semble pas être compliqué étant donné qu'il s'énerve si facilement. Une chance pour moi. Oui, je suis folle à vouloir le provoquer de cette manière, à croire que je l'aime le voir énervé... dans ce genre de situation, c'est la suite qui s'avère être intéressante.

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Elle s'était trompée de chambre, bourrée comme elle était ça ne m'étonnait même pas, et ça ne m'étonnait pas non plus que ça tombe sur ma chambre, bien que ce soit un hasard vu q'uà la base elle aurait aimée saccager la chambre de Tate. ❝C'est touchant.❞ lui dis-je roulant des yeux au ciel avant de les reporter sur elle et de me permettre d'insister à ce qu'elle sorte de ma chambre mais elle continuait toujours et encore ses provocations, voulant que je la laisse rester en souvenir de nos moments communs particulièrement sauvages et torrides et je souriais ❝Non, j'ai vraiment pas la tête à te supporter là, dégage.❞ tout ce qu'elle cherchait c'était de me pousser à bout parce que ce qui suivait était beaucoup plus intéressant mais je voulais pas, non j'avais pas le moral et je voulais pas culbuter cette traînée de Mather pour oublier tous mes problèmes.

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Ça arrive à tout le monde de se tromper de chambre, il ne va pas me faire son petit caca nerveux de bourge là! Je grimace à chacun de ses mots, me moquant ouvertement de lui en répétant ses paroles. Oui, je me comporte comme une sale gamine, mais honnêtement, je m'en fous de ce que peut penser Marc. Il rigole quant à cette proposition de rester en souvenir du bon vieux temps, est-ce si drôle que ça? Il l'aime bien se taper cette petite traînée de Mather, encore et encore et encore ... et encore. Mauvaise langue. Vraiment? Une moue sur les lèvres, je défais légèrement ma robe pour la laisser tomber le long de mon corps. Moi aussi j'aime bien me taper cet idiot d'Eliott, il est au moins utile pour une chose, usé de popole à bon escient, tout Harvard peuvent en témoigner. Bitch, gigolo de seconde zone