Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(TOBIAS) I hate getting flashback of things i don't want to remember.
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(TOBIAS) I hate getting flashback of things i don't want to remember.

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❝ i hate getting flashback
of things i don't want to remember.

tobias & claarys

Clara, ma colocataire, déménageait. Je crois que c'était l'une des filles les plus adorables que j'ai jamais rencontré. Elle était gentille avec n'importe qui, j'ai très souvent pris ça pour de la naïveté. Bref, elle avait invité tout l'immeuble à sa fête de départ, en plus de ses amis. Elle connaissait tout le monde, se mélangeait avec tout le monde et tout le monde l'appréciait. Je n'étais pas une aussi bonne voisine ou amie qu'elle, à mon plus grand malheur, je ne connaissais pas la plupart des gens présent à cette fête, mais elle, elle les connaissait tous. Clara allait un peu me manquer. Peut-être pas beaucoup, mais je remarquerais son absence comme toutes les personnes présentes. Elle avait fini ses études et avait trouvé un travail à New York, rien ne la retenait ici. La soirée se déroulait plutôt bien, c'était agréable. J'avais rarement vu autant de gens chez moi. Et après une bonne heure, j'avais envie de me retirer un peu de cette fête. Il y avait trop de monde et j'avais juste envie d'être un peu seul. Je ne pouvais pas partir, ce n'était pas une option, Clara me tuerait. Alors je suis juste sortie sur le balcon et j'ai fermé la porte coulissante derrière moi avant de me rappeler que merde... Elle ne s'ouvre que de l'intérieur. Et puis zut, quelqu'un finirait bien par m'ouvrir. Je respire lentement, il faisait bon dehors, la lune était magnifique. Je me demandais comment on pouvait s'enfermer à l'intérieur avec un temps pareil. Puis je l'ai remarqué. Lui. « Qu'est-ce que vous foutez chez moi ?! » Je sentais que mon visage tournait au rouge, principalement de colère, alors que je m'avançais vers lui. « Qui vous a laissé entrer ? »
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claarys & tobias

Ma voisine m'avait invité à sa fête de départ de l'immeuble. D'après ce que j'avais pu comprendre dans ses phrases c'est qu'elle déménageait et laisser sa colocataire seule. Même si l'idée de me retrouver dans l'appartement de Claarys, une jeune femme qui me méprisait pour un acte que j'avais pu commettre dans le passé, ne m'enchante guère. Pourtant, j'ai tout de même accepté la proposition. Je m'étais vêtu d'un pantalon de costume avec une belle chemise blanche. J'étais enfin prêt à aller fêter dignement le départ de Clara. Elle s'appelle ainsi la voisine. J'attrape une bouteille de vin qui avait sur mon comptoir. Je sors de mon appartement en fermant à clé, avant d'aller frapper à la porte en face de chez moi. Clara vient dont à m'ouvrir chaleureusement son appartement. Je lui donne la bouteille tout en souriant. Je n'aime pas venir les mains vides lorsqu'on m'invite quelque part. Bref, je fais le tour du salon pour dire saluer quelques personnes avant de prendre un verre. Une fois mon verre en possession je viens à m'isoler sur le balcon de l'appartement. Quand soudain, la voix de Claarys vint à retentir dans mes oreilles. « On m'a invité pour fêter un départ de l'immeuble. » Dis-je froidement. J'ai employé le même ton que la jeune femme avait eu en mon encontre. « C'est Clara. Arrangez-vous avec elle, si ça vous pose un problème quelconque. »
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tobias & claarys

Je détestais le voir. Je supportais à peine de l’avoir en face de mon appartement, personne ne peut imaginer l’horreur que je ressentais en sachant qu’il était à présent à l’intérieur. Mon corps tout entier bouillonnait, j’allais entrer dans une terrible colère et je n’allais pas pouvoir me contrôler, je le sentais. Il avait dû comprendre que je le détestais, il avait dû le sentir. Ce n’est pas comme si je le cachais, au contraire, je montrais l’immense mépris que j’avais pour lui à chaque fois que je devais supporter sa présence. Ça se voit dans mon regard, dans mon comportement, sur mon visage; Je ne fais aucun effort pour le cacher, pourquoi j’en ferais ? C’était un tueur, quelques soit les raisons, quoi qu’on dise il avait ôté la vie à un autre être humain. Quelqu’un avec une famille, des amis, une infinité de possibilité qui s’offrait à lui. Quelqu’un à qui je tenais particulièrement. Sa mort m’a rendu incroyablement triste, il n’y a pas de mot pour décrire ce que j’ai ressenti. Ce que je ressens. « Mon problème, c’est qu’il y a un meurtrier dans mon appartement. » Je me rapprochais d’un pas de lui, hésitante. Je ne me contrôlais plus quand il était dans les parages, pour plusieurs raisons, mais je me concentrais sur un sentiment qui surplombait tout le reste : La haine. Je n’avais jamais détesté personne, mais il était plus saint de dire que je le détestais lui. vraiment. Parce que si je ne le détestais pas, qu’est-ce que ça voulait dire sur moi ? « Vous devez vraiment être atteint. Vous pensez que vous pouvez vous permettre d’entrer ici après ce que vous avez fait ? » Peut-être que Tobias n’était pas un monstre. Peut-être que c’était même un homme bien, mais je n’avais pas envie de le savoir.


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claarys & tobias

J'ai simplement acceptée une invitation à fêter un départ de l'immeuble. Ce n'était rien de bien méchant au fond. Puis peu de personnes connaissent réellement mon passé. Alors, je ne craignais rien d'après moi. J'avais eu faux sur toute la ligne. Vu que Claarys était présente à la soirée également. Je pensais qu'avec le temps elle aurait probablement changé de comportement. Qu'elle aurait mûrir avec l'âge. Que de belles foutaises. Puisqu'elle restait exactement la même. C'est-à-dire aussi méprisante que séduisante. Néanmoins, je ne dois pas penser à ça pour l'instant. Je dois plutôt me justifier encore une fois à son encontre. « C'est du passé tout ça. Vous devriez passer à autre chose, il serait temps. » Je ne suis même pas désolée d'avoir ôté la vie à cet homme. Si Claarys connaîtrait toute la vérité elle changerait peut-être d'avis, qui sait. Or, je n'ai pas envie d'expliquer toute l'histoire ce soir. J'ai seulement envie de me vider la tête et de fêter dignement le départ de Clara. Est-ce un crime ? Malgré tout, je continue de faire front à Claarys qui n'arrêterait pas de me dénigrer. Je suis attristé de la voir réagir de cette manière. Surtout qu'elle ne connaît absolument pas ma vie. Et elle ose me juger pour un apte qui remonte à quelques années auparavant. « Personne ne sait l'apte que j'ai pu commettre par le passé hormis vous. » Je me voyais mal refusé la proposition de Clara quand elle est venue m'inviter à sa petite soirée.
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Heureusement pour moi, Palmyr ouvrit très vite la porte. Je me dépêchais d’entrer et fermais la porte derrière moi, regardant derrière moi si on m’avait vu ou suivi, comme si j’étais dans un film d’action américain. « Une excellente raison. » Je suis une peureuse, voilà pourquoi. Une idiote faible qui ne peut pas résister à des beaux yeux bleus de cowboy. « Il y avait ce mec super canon à l’accueil qui voulait emmener des genres faire de l’escalade… Tu sais à quel point j’ai peur du vide hein ? Et bien j’ai quand même dit oui, et je lui ai donné mon numéro de chalet et il ne va pas tarder à arriver… Alors j’ai dit que j’allais me cacher ici jusqu’à ce qu’il parte. » J’abandonnais quoi, et j’avais un peu honte de l’admettre il faut le dire. Je n’étais pas très fière de moi, j’avais garanti que je serais présente et que je m’occuperais des enfants etc… C’est pas le genre de truc qu’on dit quand on a l’esprit clair, sa beauté m’a pris pas dépourvu. « Il a toqué à mon chalet. Je n’ai pas répondu. Il a insisté alors je suis passé par derrière. Et puis, je voulais te voir aussi. » ajoutais-je avec un sourire innocent.
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