I don't like you ◆ Elysia & Angel

I don't like you Elysangel

Je déménageait aujourd'hui de ma confrérie, il faut dire que comme c'était la fin de l'année ça ne changeait pas grand chose. Je n'allais pas rester chez les Eliot indéfiniment. J'avais trouvé une petite villa pas trop mal où je pourrais emménager avec Beezus et ma fille également. J'allais enfin pouvoir profiter pleinement d'elle. J'avais manqué tellement de bon moments avec elle et tout ça à cause de fausses accusations. Je n'avais jamais tué mon père et pourtant ça m'avait causé 6 mois de prison. Enfin désormais tout ça était derrière moi, du moins pendant un temps donc je devrais profiter tant que je peux. Je rangeais toutes mes affaires dans ma nouvelle Mercedes. Ca allait faire bizarre de ne pas retourner chez les bleus à la rentré mais bon il fallait que je change d'air. Je restais un pestiféré alors autant m'en aller.

@Elysia Vargas

(Invité)

Je venais de passer du temps avec ma meilleure amie, on venait de se dire au revoir avant que je ne reprenne mon chemin pour rentrer chez moi. C'est alors que je remarque cette voiture garée et quelqu'un en train de prendre ou bien ranger ses affaires dans le coffre. Curieuse, il faut bien que je joue ma fouineuse, je m'avance vers cet homme avant de reconnaître qui se cache derrière cette voiture. Angel. Je ne le porte pas dans mon cœur, notre première rencontre ne sait pas tout à fait bien déroulée. Il ne faut pas s'étonner s'il m'arrive de me montrer désagréable avec lui. On t'a foutu dehors? Tu plies bagage? Dis-je ironiquement en prenant légèrement appuie contre son véhicule. J'aurais très bien pu continuer mon chemin, mais j'en ai décidé autrement.

(Invité)

I don't like you Elysangel

J'étais entrain de mettre mes cartons dans mon coffre lorsque Elysia vint près de moi. Il ne manquait plus qu'elle, fantastique. On ne s'aimait pas spécialement et ce depuis que nous avions eu une altercation chez ma mère. Elle avait bossé pour elle une fois, à moins qu'elle l'ait fait plusieurs fois, je ne sais pas et à vrai dire je m'en fichais pas mal. Désormais nous étions un peu comme chiens et chats. Elle s'appuya sur ma voiture et je l'a regardais d'un regard désapprobateur avec les sourcils froncés. Elle n'avait pas intérêt à abimer ma voiture. « Non personne ne m'a foutu à la porte, tu me prend pour qui ? » On ne fou pas un Massarelli à la porte, alors ça non. Ca n'arriverait jamais. « Je déménage simplement. » A quoi bon rester dans une maison où visiblement on est pas spécialement le bien venu ? Je voyais bien les regards désapprobateurs et haineux de certains et oui que voulez-vous j'entachais la réputation de cette magnifique maison qu'était la Eliot House. Comme si j'avais fait exprès d'être accusé de meurtre.

(Invité)

Je ne peux pas passer à côté de ça, venir saluer Angel en sachant pertinemment qu'il ne me porte pas dans son cœur, à croire que j'aime bien faire chier mon monde. C'est un peu ça, en effet. Je prends appuie contre sa voiture, remarquant facilement ce regard qu'il me porte. C'est bon! Ce n'est pas avec mes fesses que je vais lui péter sa voiture! Les hommes et leur bagnole. J'esquisse un sourire, non, ils ne l'ont pas mis à la porte, mais c'est un peu tout comme Qu'est-ce qui se passe? Ils ont peur de l'assassin que tu es? J'ai eu vent de cette histoire, j'en rigole, mais au fond j'espère que cet homme n'est en rien menaçant, je ne voudrais pas voir ma vie écourtée Tu nous rendrais un grand service en nous débarrassant de tous ces schtroumpfs... Beh oui, c'est vrai.

(Invité)

I don't like you Elysangel

Bien sure que je partais à cause de tous ces jugements et parce que ça commençait à peser lourd. J'en avais marre de me faire juger sans arrêt et je voulais m'évader de cette horrible ambiance. Tout le monde me prenait pour un meurtrier et je le ressentais bien dans leurs attitudes et dans leur manières de faire. Depuis que j'étais rentré j'étais exclut alors j'avais décidé de partir mais je n'avouerais jamais que c'est parce que j'en avais marre de tout ces regards. Je ne l'avouerais jamais cependant. « Désolé de te décevoir mais ils ne m'ont pas foutus dehors. » Je levais les yeux au ciel lorsqu'elle me dit que je devrais sans doute tuer les bleus pour débarrasser l'université. N'importe quoi. « Mais bien sure ! Tu n'as qu'à le faire toi même s'ils te dérangent tant que ça. »

(Invité)

(Contenu sponsorisé)