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You gonna have to do it at my tempo + Zoyiel

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You gonna have to do it at my tempo
Livia était enfin partie. Pas que je n'aime pas ma soeur, mais aujourd'hui, nous avions prévus, Zoya et moi de se passer une petite journée à deux, aux larges de Cambridge. Je raccompagnais ma soeur jusqu'au pont pour retourner à l'intérieur, retrouver ma petite amie. Elle avait l'air ailleurs, un peu distraite et surtout distante tout à coup. Certes, je connaissais les femmes, mais ce genre de subtilités me passent au dessus. J'ai fait quelque chose de mal ? Dis quelque chose ? Je la regardais un instant, sans approcher, appuyait contre la chambranle de l'entrée. Qu'est ce qu'elle est belle. Par moment, j'aimerais rester ainsi, à la regarder sans qu'elle ne me voit, pour profiter égoïstement de la quiétude de son âme. Le regard dans le vide, je ne sais pas à quoi elle pense, je ne sais pas ce qu'elle est entrain de se dire alors je me raclais un peu la gorge pour la prévenir de mon arrivée, je me décide à lui faire face, à lui demander ce qui ne va pas. Oui, parce que même si nous étions encore dans cette phase où nous apprenions à nous connaître, je sais que quelque chose cloche. Elle a cette expression dans le regard qui me le fait clairement comprendre. Bah voilà... c'était ma soeur Livia   dis-je en haussant une épaule avant de me mettre derrière elle, alors qu'elle était assise à la table. Posant mes mains sur ses frêles épaules, je les massais doucement, peut-être que ça l'apaiserait  ce genre de geste non ? Qu'est-ce que t'as ? T'es ... distante ?   dis-je sans aucune hésitation, alors que je cessais tout mouvement pour ranger toutes les merdes qu'il y avait sur la table et me poser face à elle. Carte sur table Zoya. Quoique, cette femme était du genre direct, qui ne passe pas par quatre chemins.

(c) toxic heart.
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Perdue dans ses pensées, Zoya regarda Gabriel revenir vers elle et se demanda comme la suite de la journée allait bien pouvoir se passer. Elle voyait bien qu'il ne comprenait pas pourquoi elle se montrait distante envers lui d'un coup, et rien que cet air de petit garçon qui vient de faire une bêtise était capable de l'attendrir. Mais elle décida de rester forte et de ne pas céder au moindre regard. Le brésilien se plaça derrière elle et posa ses mains sur ses épaules, lui massant. La première réaction de Zoya fut de se crisper, mais elle se détendit rapidement : " Vous ne vous ressemblez pas beaucoup, mais elle a l'air gentille. " Puis ils passèrent enfin aux choses sérieuses lorsque Gabriel lui demanda ce qu'elle avait. Maladroite lorsqu'il s'agissait de parler de ses sentiments, la jeune femme se ferma à vue d'oeil, tentant de trouver une échappatoire. Elle n'avait pas envie d'en parler, cependant elle était coincée ; ils avaient décidé de se mettre en couple, et cela impliquait qu'ils soient francs l'un envers l'autre, sinon leur relation tournerait rapidement au cauchemar. Et s'il y avait bien quelque chose que Zoya craignait en ce moment, c'était que Gabriel revienne sur sa décision et la laisse tomber. Elle planta son regard dans celui du brésilien qui se tenait face à elle et répondit : " A ton avis, ta soeur pense que je suis qui pour toi? " Elle ne voulait pas se montrer dure, mais c'était plus fort qu'elle. La situation lui faisait de la peine et quand elle était blessée, elle avait tendance à devenir un peu agressive : " Une pote? Un coup d'un soir? "
(c) Colyn


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Les mains posaient sur les épaules de Zoya, je les massais doucement, comme pour me préserver d'un orage. Autant la détendre la plus possible avant que ne nous affrontions non ? Cependant, je pouvais sentir ses épaules se remonter, se crisper au départ pour heureusement, se détendre après. J'haussais les épaules à ce qu'elle me disait, c'est vrai que nous ne nous ressemblions pas Livia, contrairement à mon autre soeur, qui avait pris certain de mes traits. Notamment les yeux, les cheveux .. Mon autre soeur, Jeisa, me ressemble plus j'haussais les épaules, ne relevant pas le fait que Livia était une gentille fille. J'avais tellement vécu de chose avec elle, elle nous en avait fait tellement voir à Jeisa et moi que le changement était difficile à croire. Combien de fois nous avait-elle discrédités devant nos parents, combien de fois nous avait-elle crée des histoires juste pour paraître être la fille parfaite ? Bien trop, sans compter les crasses qu'elle avait fait à Jeisa. Mes mains se voulaient plus lentes sur ses épaules, jusqu'à ce que je ne m'arrête pour me poser face à elle, prêt à en découdre avec ce soucis qui semblait la tracassé et que je ne connaissais pas. Ce que ma soeur pensait de Zoya ? Je fronçais un peu les sourcils, ne comprenant pas où elle voulait en venir. J'attrapais mon pain au chocolat que je n'avais pas terminé tout à l'heure pour en mordre un petit bout, surpris par ces mots Pourquoi tu veux que ma soeur pense ce genre de chose ? Puis qu'est ce qu'on en a foutre de ce qu'elle pense ? lui dis-je en haussant les épaules, ce que pensait Livia me laissait froid, que ça plaise ou non, je faisais mes choix et j'en ai pas mal à faire de ce que les autres pense. Elle était légèrement agressive dans sa façon de parler chose qui m'énervait peu à peu.

(c) toxic heart.
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Après lui avoir dit que la cadette de la fratrie Batista lui ressemblait davantage, Gabriel fit le tour de la table pour s'assoir face à elle. Zoya était le genre de fille au sang chaud qui était incapable de garder les choses pour elle, et même si Gabriel avait cet étrange effet sur elle de l'adoucir, elle avait besoin d'extérioriser ce qu'elle pensait de cette entrevue avec sa petite soeur. Lorsqu'elle lui exposa son problème, le brésilien fit une légère grimace, fronçant les sourcils. Personne ne lui avait dit d'éviter de faire ce genre de mimique s'il ne voulait pas finir plein de rides?? " Peut être tout simplement parce qu'à aucun moment tu ne lui as dis qui j'étais pour toi, comme si ça n'avait aucune importance, comme si JE n'avais aucune importance. " Zoya se mordilla l'intérieur de la joue et ajouta : " J'avais l'impression d'être une étrangère à partir du moment où elle est arrivée, je me suis sentie rejetée, et je crois que je mérite mieux que de me sentir de trop. " Tout le monde méritait d'être traité avec respect. Nerveuse, la russe ressentit le besoin de se lever et de marcher sur place, un peu comme un lion en cage. Il fallait qu'elle évacue tout cette agressivité qui menaçait d'exploser : " Enfin bref, ça m'a permit de comprendre que ça allait peut être trop vite pour nous cette relation, qu'on devrait peut être moins se voir ou éviter de croiser tes soeurs par erreur par exemple si ça peut nous permettre de nous remettre les idées en place. " Fuir les sentiments, voilà une chose qu'elle savait faire. Et ceux qu'elle développait pour Gabriel semblaient avoir un tel impact sur elle qu'elle serait capable de fuir très loin. Il était le premier homme capable de lui faire ressentir des émotions telles que la peur ou la colère dans leurs extrêmes, mais aussi la joie, contradiction qui la rendait totalement perdue.
(c) Colyn


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Donc, elle est vraiment en colère ?  Je me terrais dans mon mutisme et mon silence, c'est que même sans le vouloir, elle me pourris la vie cette Livia. Nous étions partis pour passer une belle journée, nous avions décidés de faire un tour en mer, je voulais lui montrer les belles côtes qu'il y avait dans les environs, les petites criques qui n'étaient accessibles qu'en bateau mais il a fallut qu'elle se ramène avec sa grosse boîte rose pleine de muffin ou une de ces conneries dans le genre. Je regardais Zoya me dire que ma façon d'agir laissait présager qu'elle ne comptait pas pour moi et tout le blabla. Je mordais dans mon pain au chocolat, buvant une tasse de café en m'affalant un peu plus sur le cuir du canapé.  Je suis censé faire quoi, tu peux me le dire ? Te mettre une étiquette au cul et y écrire que t'es ma petite amie lui demandais-je avec un air qui donnerait l'envie à une sainte de m'en donner une. Arrêtes de dire ce genre de connerie, tu sais très bien que t'en a pour moi, tu veux que je fasse quoi de plus que je le cris sur tout les toits ?   Je me levais pour prendre le mégaphone sous les sièges à l'extérieur, en cas de panne en pleine mer et je montais sur le bois de la table de l'extérieur pour crier " J'ai l'immense et incroyable joie de vous annoncer que Zoya Thomspers est ma petite amie  et que merde je tiens beaucoup à elle , vraiment beaucoup ! " avant de sauter sur mes pieds joins et d'entrer dans le bateau, jetant l'appareil sur le canapé.  T'es satisfaite ?! lui demandais-je sur un ton un peu agressif pour le coup  Y'a pas d'idée à remettre en place Zoya, je sais pas moi, ça fait quoi deux jours qu'on est ensemble et tu veux déjà que je te présente à une de mes soeurs, je veux dire, j'ai rien à lui dire sur ma vie privée à celle-la ma chérie, tu serais tomber sur l'autre j'aurais surement fait l'effort, mais pas celle-ci. Quand bien même je l'aime, c'est ma soeur, pour rien au monde je ne lui confierais des choses sur ma vie privée, pour rien au monde je ne lui présenterais les personnes qui compte pour moi pour l'instant, de peur qu'elle les fasse chier comme au Brésil.  Tu sais quoi, peut être que t'as raison, peut être que c'était une mauvaise idée cette journée, je te laisse vaquer à tes occupations si ça te fait plaisir, mais je me casse d'ici 15 minutes alors décides toi dis-je en me levant soudainement, jetant ma tasse de café dans l'évier, la cassant au passage. Merde quoi, je sais pas quoi faire dans cette situation, dans toutes ces situations, je savais pas que c'était important.


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Insupportable, il était vraiment insupportable. Pourquoi ne pouvait il pas simplement la comprendre pour une fois? Pas forcément l'approuver mais juste la comprendre, qu'elle n'ait pas l'impression de parler à un mur. Gabriel savait la faire douter, douter de tout en permanence. Elle n'arrivait pas à lui faire aveuglément confiance à cause de sa méfiance naturelle qui la tenait éloignée des gens, et pourtant, elle lui avait assez fait confiance pour s'engager avec lui, mais elle avait par moment l'impression de faire erreur. Tandis qu'elle s'apprêtait à répondre à sa tirade assassine, il se précipita sur le pont avec un mégaphone et annonça qu'il tenait à elle, et alors qu'elle aurait put être flattée, elle était tout simplement blessée et honteuse de voir Gabriel s'énerver autant. Totalement renfermée sur elle même, le visage rembrunit, elle jeta des éclairs à son petit ami du regard : " Très bien. " dit elle d'un ton cinglant. S'il croyait qu'elle s'appelait Teddy ou Swan et qu'elle allait se laisser marcher sur les pieds parce que monsieur lui avait fait l'immense privilège d'en faire sa petite amie, il se fourrait le doigt dans l'oeil jusqu'à son implantation capillaire. Il lui lança ensuite un ultimatum tout en brisant un tasse dans l'évier, ce qui fit froncer les sourcils à Zoya qui s'approcha de lui jusqu'à sentir sa respiration sur sa peau avant de siffler : " Au moins y'a une chose que t'as comprise, c'est que c'est moi qui prend les décisions ici. " La colère additionnée à cette proximité avec cet homme qui la rendait folle faisait monter le désir en elle. A croire que leurs disputes étaient encore plus excitantes que leur complicité. Elle le poussa sur le canapé derrière lui d'un geste assez sec et monta à califourchon sur lui, montant ses mains derrière sa nuque qu'elle tenait nouées dans les siennes : " Cette journée n'a jamais été une mauvaise idée, c'est toi qui y a mit le bordel. Je suis pas juste une potiche, je fais pas partie de la déco, à partir de maintenant tu me présenteras à tout le monde comme ta petite amie. Pas parce que je pense qu'on va passer le reste de nos jours ensemble, pas parce que je t'aime ou parce que je veux me marier avec toi, mais parce que c'est ce qui me définit et que c'est en partie toi qui a choisit que ce soit le cas." Elle resserra son étreinte autour de ses poignets et lui mordilla la lèvre inférieure avant d'ajouter : " C'est clair? Ou tu comptes encore me contre dire? "
(c) Colyn


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Si un regard pouvait tuer, celui de Zoya m'aurait littéralement foudroyait sur place. Je levais les yeux au ciel, prenant ma tasse de café pour la mettre dans l'évier mais sous la colère, je la cassais dedans. Au moins, il n'y aurait pas de bouts de verres de partout, c'est déjà ça. Cependant, je fus surpris de sentir le souffle de Zoya se répercuter contre ma peau. Je ne me tournais pas, je n'en avais pas envie, je la laissais juste parler, assez pour la contredire à nouveau. Je détestais ne pas avoir le dessus dans ce genre de situation, mon côté macho n'aidant pas. Ce qu'elle disait me faisait éclater de rire. D'un rire franc, j'allais pour me retourner vers elle afin de lui rire au nez mais elle me poussa sur le canapé. Waouh, j'ai loupé un épisode ? Parce que tu penses sérieusement que tu prends les décisions ? Que je vais me laisser faire par une femme ? je rêve, elle me prenait pour un de ses jouets ? Pour un niais de service, sorry, je ne m'appelle pas ... Okay, j'avais oublié son prénom ridicule, mais je ne suis pas ce mec qui lui tournait autour y'a pas si longtemps que ça d'ailleurs. Puis, c'est surement mon côté plus sanguin qui l'avait attiré. Cette fille est anormalement attiré vers les choses sombres et dangereuses. Mes yeux se levaient dans les siens, je ne m'attendais pas à y trouver du désir ? Automatiquement, mes mains se posaient sur le bas de ses reins, naviguant sur son fessier que je pressais mais se fut sans compter ses mains qui attrapaient mes poignets. Heureusement que je me suis mit du déo ce matin (aa) Moi j'ai mis le bordel ? C'est une blague ?! je baissais un peu la tête, en riant, pour finalement, lever de nouveau mon regard dans le sien, écoutant la suite. Aoutch tu viens de me briser le coeur si j'avais eu la disposition de mes mains, j'en aurais porter une sur mon coeur justement, mais je ne pouvais pas, elle me tenait toujours les poignets. Cependant, ce qu'elle disait me plaisait. Elle voulait que tous le monde sache que nous étions ensemble, peut être est-ce un brin de possessivité qu'elle était entrain de développer. Tout dépend de toi en fait, si je te contredit encore, ça va renforcer ton désir ? bon dieu, ma lèvre était en feu et ça me plaisait. ou peut être que tu pourrais me laisser te montrer si j'ai compris ou non ? terminais-je par dire en arquant un sourcil.

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Le côté macho de Gabriel donnait réellement envie à Zoya de lui mettre sa main dans la figure, mais il fallait bien admettre que c'était excitant d'avoir enfin trouvé un homme qui lui résiste. Elle passa ses mains dans ses cheveux et lui tira légèrement la tête vers l'arrière avant de souffler : " C'est pas parce que je suis une femme que tu vas me laisser faire, mais c'est parce que je suis Zoya et que c'est comme ça que je fonctionne. " Elle déposa des baisers le long de sa mâchoire. Gabriel posa ensuite ses mains sur ses fesses ce qui fit sourire d'un air narquois la jeune russe qui laissa ses lèvres se balader dans son cou, inspirant profondément son parfum : " Parce que t'as un coeur toi maintenant? " Lui qui se donnait tellement des airs de gros dur ne pouvait pas avoir mal au coeur, c'était impossible. Gabriel rentra progressivement dans son jeu, ce qui la fit sourire à nouveau. Il était si beau, elle ne comprenait pas comment elle avait fait pour qu'un gars comme lui s'intéresse à une fille comme elle. Peut être que c'était l'image de personnes sans coeur qu'ils reflétaient qui les rapprochait l'un de l'autre, comme des Bonnie & Clyde des temps modernes : " Je serais pas contre que tu me montres si t'as bien compris, ça me permettrait de voir si je suis une bonne pédagogue ou non.. " dit elle l'air de rien. Elle avait du mal à bouder à la manière des vraies filles, elle avait juste besoin d'exploser pour extérioriser ce qui n'allait pas, et une fois la douleur évacuée, elle était capable de rapidement passer à autre chose. C'était probablement ce qui rendait sa relation avec Caly si difficile ; elles n'avaient jamais trouvé la force de se dire les choses, leur dignité était bien trop grande. Et maintenant, elles passaient leur temps à se hurler dessus sans jamais s'entendre, sans jamais se comprendre. Comme pour chasser cette idée de son esprit, Zoya déposa ses lèvres sur celles de l'homme qui arrivait à faire chavirer son coeur et l'embrassa avec sensualité.
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 Oh et parce que tu es Zoya je suis censé tout te laisser faire ? dis-je amusé par cette manière si particulière de me répondre.  Je reculais un peu mon visage lorsqu'elle voulait y déposer des baisers dessus, juste pour la taquiner, mais je laissais trainer pour ma part, mes grandes mains sur son fessier ferme et musclé pour la rapprocher un peu plus, comme si cela était possible. Difficile à croire n'est ce pas   j'attrapais sa main écartant mon débardeur au niveau de l'aisselle pour qu'elle puisse poser sa main sur mon palpitant  Il se fait timide, mais il est là, inexistant mais présent, aussi indispensable que douloureux dis-je en levant mes yeux dans les siens, peut être que finalement, ce qu'on était entrain de vivre tous les deux ne voulait rien  dire à ses yeux. Je dirais pas que j'aime Zoya, c'était un peu tôt, beaucoup trop tôt d'ailleurs, mais elle me fascinait. Elle me déroutait sans cesse, me faisait rire et je m'étais doucement attaché à cette femmes aux allures de guerrière quand bien même derrière son armure se cachait une femme sensible, une petite fille qui avait encore peur de l'abandon.  J'irais pas à dire que t'es une bonne pédagogue, je dirais plutôt que t'as un élève incroyablement intelligent, peut être même un surdoué ? Tandis qu'elle m'embrassait , je passais l'une de mes mains dans ses cheveux pour les enrouler autour de cette dernière et lui tirer le visage vivement en arrière. On a dit que je devais te montrer   lui dis-je avec une petite pointe de dureté dans la voix et le regard. J'attrapais sa robe que je lui retirais rapidement la laissant joncher le sol sans délicatesse, mes mains se promener dans son dos , mes lèvres quant à elle se retrouvèrent sur son buste, sa poitrine qu'elle m'offrait comme sur un plateau dans ce petit balconnet. Les mains à présent sur son fessier, je les poussais vers le haut pour qu'elle se redresse sur les genoux afin que mes lèvres puissent se poser sur son ventre, laissant une trace humide et finalement, je la soulevais du canapé tout en me relevant pour la jeter sur le lit. La regardant un instant là qui s'offrait à moi.  Mince, je t'avais dit qu'on partirait dans 15 minutes et elles se sont écoulées   dis-je en restant là, debout, au pied du lit devant elle. J'haussais les épaules, mais quand je la regardais à nouveau, je ne pouvais pas me résoudre à la laisser en plan. Elle m'donne top envie, ni une ni deux, je me jette à ses côtés sauf qu'avec l'entrain que j'y avais mit je m'étais cogner vivement contre la tête de lit. C'est dangereux de vouloir coucher avec toi   dis-je en riant un peu, me frottant la tête

(c) toxic heart.
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