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walter ▴ we are made from broken parts.

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THE RUTHERFORDS.
Depuis mon retour de l'Australie, le temps me donne l'impression qu'il passe à la vitesse grand V. Une autre année allait bientôt s'achever, le bal étant déjà passé. Tout était en ordre à l'exception d'un truc. Ou d'une personne. Walter. Depuis le remariage de notre père et mon retour, je n'arrêtais pas de me demander pourquoi il n'avait pas été présent ? Au cours des dernières semaines, j'avais préféré éviter la question et ne pas aller perturber son petit cocon. De toute manière, nous avions de la difficulté à communiquer et la la plupart du temps, il me mettait hors de moi. Seulement, il m'était impossible de penser à autre chose. J'avais besoin d'une réponse. Alors, après un réveil difficile, j'enfilais des vêtements rapidement, m'arrêtait en chemin chercher un bagel et repris la route pour me rendre jusqu'à l'appartement de mon frère. L'instant d'après, je toquais à sa porte. Si cela ne tenait qu'à moi, je me retrouverais déjà à l'intérieur, dans son appartement. Seulement, je ne veux pas le brusquer en faisant cela. Connaissant Walter par cœur.
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« Allez, dégage. » Asséna le blondinet on ne peut plus froidement, à sa conquête du soir précédent, toujours allongée à ses côtés, dans son lit, à neuf heures du matin, alors qu'elle commençait doucement à lui déposer quelques petits baisers par-ci par-là sur la tempe puis sur son front et descendait sans gêne en direction de sa bouche. Walt l'avait arrêté net. Pour qui elle se prenait elle ? Sa nouvelle petite amie ? L'Angelina Jolie de leur nouveau charmant petit couple ? Mais qu'est-ce qu'elles ont toutes ces dindons femelles à penser qu'un petite partie de jambes en l'air avec un inconnu le premier soir les engageait à continuer à faire ça jusqu'à la fin de leur vie ? Dans quel monde vivait-on bordel ? « T'écoutes ce que je dis ? Prends tes cliques et tes claques et tu te barres de chez moi. Allez. » répéta-t-il plus froid encore alors que la brunette ne daignait pas bouger. Avant que ça percute son cervelle de moineau aussi. Quand elle saisit, elle prit un air indigné avant de prendre ses affaires et se diriger vers la porte de sortie. Enfin. Bon débarras. Et alors que Walt pensait être enfin tranquille, quelqu'un sonna à la porte. La pétasse aurait-elle oublié sa petite culotte rose en dentelle ? Quelle plaie. Il se dirigea, non sans grogner de mécontentement vers la porte de chez lui, torse nu, s'apprêtait à lancer une pique cinglante à son invité de la nuit, avant de se la fermer net en constatant que la personne devant lui était tout sauf brune. Et inconnue. Palmyr. « Oh sœurette ! Que me vaut le déplaisir de ta visite ? Encore une autre perte dans la famille ? Ne me donne pas de faux espoirs s'il te plaît. » Attaqua-t-il derechef, toujours aussi agréable et charmant comme il était.

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J’avais encore l’image de la brunette dans la tête. J’étais prête à parier tout l’argent de mon compte en banque qu’elle sortait de chez mon grand frère, Walter. C’était presque une évidence. Elle était bien roulée puis elle était en colère probablement parce que Walter avait fait son connard. Comme toujours, quoi. La routine. M’enfin, il était libre de faire ce qu’il voulait et si être un connard en faisait parti, bah je n’y pouvais rien. Bref, après un léger moment d’attente, Walt ouvrit enfin la porte. « Oh sœurette ! Que me vaut le déplaisir de ta visite ? Encore une autre perte dans la famille ? Ne me donne pas de faux espoirs s’il-te-plaît. » Je roulais des yeux en me permettant d’entrer dans son appartement. « Crois-moi, si j’avais pu m’éviter de me rendre jusqu’ici, je l’aurais fait. » Répondis-je en affichant mon sourire le plus sarcastique que j’avais en réserve. Oui, parce que pour être honnête, je n’aimais pas être en présence de Walter. Notre relation était tendue et ça sortait de mon contrôle. Nos différences étaient flagrantes. Trop même. Mon regard fit une ronde circulaire de son appartement et mon nez se rebroussa presque de dégoût en constatant à quel point il n’était ordonné comme être humain. Tout le contraire de moi. « Et non, pas de décès. J’ai juste une question qui m’agace depuis un moment. » C’était le cas de le dire. Pas au point où j’étais incapable de m’endormir la nuit, mais au point où elle revenait sans cesse. Je ne savais pas s’il avait un doute, mais je l’espérais presque. « Pourquoi t’es pas venu au remariage de papa ? » Avec cette Rosie, femme que je n’aime pas. Pas du tout.
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« Crois-moi, si j’avais pu m’éviter de me rendre jusqu’ici, je l’aurais fait. » Walt leva exagérément les yeux au ciel alors qu'elle pénétra, sans invitation, dans son appartement. Il faillit la retenir et la remettre à la porte avant de se souvenir que, mine de rien, il faisait face à sa sœur.  Et malgré leur relation loin d'être fraternelle, et voire même amicale, il lui devait un minimum de respect. Et par-là, entendez qu'il attendrait au minimum 10 minutes pour la jeter dehors, et non 1min, comme le reste de la population. Il la suivit du regard alors qu'elle jaugea l'état de son appartement et s'attendait à un commentaire cinglant, mais non. A la place, elle répondit à son accueil on ne plus chaleureux, expliquant le pourquoi du comment elle se trouvait debout dans son appartement, à le faire chier, littéralement, de bon matin comme ça. « Et non, pas de décès. J’ai juste une question qui m’agace depuis un moment. [...] Pourquoi t’es pas venu au remariage de papa ? » Bien évidemment, c'était de ça. Bien évidemment. A peine avait-elle sorti la fin de sa phrase que Walt rit jaune. « Ce sont pour des futilités pareilles que tu viens m'emmerder, chez moi, à une heure si matinale, le jour de la fête du petit Jésus ? Tu te fous de moi j'espère. »  Il se posa face à elle, croisa ses bras sur son torse toujours nu et la toisa du regard. « De plus, je ne crois pas avoir reçu le faire-part de ce mariage en question. D'ailleurs, papa ? Tu peux m'éclairer sur le sujet parce que ma mémoire me joue des tours : "papa", c'est le p'tit monsieur rondouillard aux cheveux dégarnis qui a passé  toute ma jeunesse à me rabaisser ? Ce "papa" là ?» Évidemment, Walt commençait à s'énerver. Il en était toujours ainsi lorsqu'on partait sur le sujet de sa famille tant adorée. « Ce même "papa" qui a oublié l'existence de Caleb en deux-trois coups de baguette magique et agit comme s'il n'avait jamais existé ? » Caleb, le sujet délicat. Très délicat. Caleb, là était le problème. Là était toujours le problème. « Comme "maman" ? Comme toi ? » Il lâcha un rire sarcastique comme il savait si bien le faire. « Va au diable s'il te plaît Palm, et emmène-y papa et sa nouvelle petite famille heureuse avec toi. » Continua-t-il sur un ton froid et dédain, tout en commençant à partir vers sa chambre, lui tournant le dos, en espérant qu'elle écoute ses conseils pour une fois et qu'elle aille au diable. La porte de sortie lui emmènera directement là-bas.

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Ma visite matinale ne l’enchantait guère. Sauf que je m’en fous. Comme j’ai tendance à me foutre d’absolument tout lorsque Walter entre en compte. Ma simple présence ne l’enchantait guère, de toute manière. Depuis la mort de Caleb, nous étions incapables d’être dans la même pièce plus de deux minutes sans que les couteaux volent bas. Et depuis deux ans, j’avais de la difficulté à considérer Walter comme un frère. Il était, à mes yeux, davantage une personne relié à moi. Ce qui était bête parce que la ressemblance était indéniable. Nous n’avions pas une relation spéciale ou même fusionnelle, mais je m’entêtais à veiller sur lui parce que je savais que Caleb aurait voulu que je le fasse. Mais Walter était têtu. Toujours dans les emmerdes jusqu’au cou. Incapable d’accomplir quelque chose de bien. C’était un incapable. L’écouter parler en ce moment m’emmerdait. Je regrettais presque d’être venue. Le téléphone aurait été une possibilité, mais connaissant Walter il n’aurait pas répondu à mon appel. Ni même retourner celui-ci. Il était con comme ça, Walter. Là, je l’écoutais déverser sa haine. La routine, quoi. Depuis le début, tout ce qu’il dit entrait dans une oreille et ressortait par l’autre et sa réaction était typique. Tellement typique. La même depuis des années. Puis, cette histoire qu’il n’a pas reçu de faire-part est impossible parce qu’encore, une fois, j’étais prête à parier tout mon argent qu’elle traînait dans son bordel. « Ce même ‘’papa’’ qui a oublié l’existence de Caleb en deux-trois coups de baguette magique et agit comme s’il n’avait jamais existé ? […] Comme ‘’maman’’ ? Comme toi ? » Mon sang ne fait qu’un tour, je me figeais. J’arquais les sourcils en serrant la mâchoire. Comment est-ce qu’il osait ? Je n’ai jamais prétendu qu’il n’avait jamais existé. « Je me trouve déjà en enfer… » Dis-je en desserrant la mâchoire tout en le regardant s’éloigner jusqu’à sa chambre. Une voix me dit que je devrais partir, mais j’en suis incapable. Non, je fais le contraire. Je le suis jusqu’à sa chambre. « T’es qu’un connard, tu le sais ça ? T’as pas le droit de dire que je fais comme si Caleb n’avait jamais existé. T’étais pas là quand il est mort, t’étais absent comme tu l’es depuis toujours. » La colère est présente dans ma voix, je le sais. « T’es tellement aveugle que tu réalises pas qu’y’a des gens qui vivent leurs deuils différemment. Bien sûr que non parce que tu vis dans ton petit monde où tu ne fais que te détruire et en vouloir au monde entier. Parce que contrairement à toi, moi, j’ai décidé d’avancer dans la vie. Essayer de faire comme si ma vie vaut plus que celle de Caleb. » Mes mains bougent dans tous les sens et je manque d’air. J’inspire profondément après avoir prononcé ces mots. « Alors, va-te-faire foutre Walter. Tu peux bien y aller au diable toi-même… Tu devrais y retrouver tes semblables. » Parce qu’à mes yeux, Walter, t’es pire que le Diable.
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