C'est le 13 juin 1995 à Dublin, que les membres de la famille Hamilton m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Echo Ainsley. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle à tendance hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' Arts plastiques depuis deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse dans une boîte de nuit . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather House ou les Lowell House.
Fêtarde, couche tard et je m'en foutiste au possible, Echo est une jeune femme qui n'a aucune limite, aucun panneau stop se mettant à un moment donné au travers de son chemin, qu'elle se retrouve avec une gueule de bois venu d'un autre monde le lendemain ou qu'elle se retrouve affalé sur un canapé dont elle ignore la provenance après une soirée bien arrosée. Elle ne se fiche pas de ses études mais préfère amplement profiter de la vie et s'amuser avant tout. C'est ce qui fait qu'elle sait qu'elle serait parfaitement bien au sein des Mather. D'être près d'une grande famille, chose qu'elle n'a connu qu'un laps de temps trop court.
LOWELL HOUSE.
Echo est une artiste dans l'âme. Depuis toute petite, elle peint. Elle peint pour se souvenir, pour s'éveiller, pour s'amuser et se rendre heureuse ou faire exploser sa rage dans un panel de couleur. Peu lui importe. L'art c'est une partie de sa vie, ça se voit rien qu'à ses doigts toujours tâchés de peintures. Elle sait qu'elle se sentirait bien au sein de la confrérie Lowell tout en sachant que la majorité des personnes au sein de ce groupuscule ne partagent pas forcément sa façon de voir le monde et de l'emmerder profondément.
Je me trouvais près du stade de football lorsque c'est arrivé. Mes souvenirs sont plutôt flous et seuls les cris et les bruits de déflagrations me reviennent clairement en tête. Je pense que le choc a atténué mes souvenirs. Les gens couraient dans tous les sens, certains me bousculaient alors que je tentais de descendre des gradins. Je ne suis pas de ce genre de fille à avoir peur, à frissonner dans des situations qui effrayeraient n'importe qui mais là, ce jour-là, j'ai réellement su que mon cœur pouvait s'affoler pour autre chose que de la bonne adrénaline, que ma peau pouvait se couvrir de chair de poule autrement qu’en regardant un film d'horreur, que je pouvais crier à m'en péter les cordes vocales. Je n'ai pas été blessée, bien heureusement mais les souvenirs sont vivaces et me collent à la peau. Je reste, depuis cet événement, assez paranoïaque sur les bords mais je le cache. Cela ne sert à rien d'en parler ou de montrer que ça m'a atteint. Je suis vivante et c'est ce qui compte.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Concernant les agressions, je n'en ai été victime qu'une seule fois. Un pauvre con qui s'est soudainement excité à la vue d'un corps frêle comme le mien. J'ai appris, ce jour-là, que ma force de caractère n'avait rien à voir avec la force physique. Fort heureusement, je n'étais pas seule à ce moment-là et l'agresseur s'est enfui alors qu'on venait me libérer de son emprise. Plus de peur que de mal, en soit malgré quelques bleus et égratignures. Cet épisode m'a rappelé des souvenirs enfouis qui refont peu à peu surface … Moi, qui me sentais à peu près en sécurité ici, je deviens de plus en plus paranoïaque et sursaute à la moindre brusquerie et au moindre cri. Un stress post-traumatique ? Sûrement. Mais il arrive bien trop tard.
Pour la prise d'otages, je n'étais pas présente. Fort heureusement, pour une fois, mes conneries m'ont sauvées la mise. J'étais partit fumer un joint en dehors du campus, voulant oublier ma rage et ma haine. Drôle de façon de le faire, oui. Je n'ai appris qu'en rentrant ce qui était en train de se passer. Sous mes yeux, des policiers et plusieurs forces de l'ordre dont j'ignorais le nom s'étaient postés tout autour de mon université. Un bordel monstre et j'avais réussi à attrapé une fille totalement paniquée, qui m'avait expliqué la situation. Je ne suis pas du genre héroïque ni altruiste alors, j'ai simplement attendu nerveusement, espérant (et priant inconsciemment) pour qu'aucuns de mes amis ne soient retenus à l’intérieur et bel et bien en sécurité. En peu de jours successifs, j'avais ressentie la peur des milliers de fois. Un sentiment que j'avais réussi à enfouir très loin au fond de moi. Ce ne fut pas agréable et je suis heureuse de n'avoir perdue aucun amis dans cette prise d'otage.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Biscotte Cynique et j'ai 18 ans. Je suis française, allemande, martiniquaise, polonaise (c'moche tout ça ) et j'ai connu le forum grâce à beeeh j'me souviens plus. Je crois que c'est grâce à DMTH l'un de vos partenariats :dance: . J'observe ce forum depuis très ... très ... trèèèèès longtemps et mon dieu vous me charmez chaque fois avec vos design de ouf puis surtout qu'on me dit toujours que ILH c'est LA base niveau forum université/city alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Teresa Oman comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par okinnel.. Je fais environ 500 (et plus) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ J'espère pouvoir faire un bon bout de chemin avec vous parce que vous avez l'air de roxey du poney et de déchiré le slip à mamie ( :devilish: ).
Je souhaite ▲ fa-remove= non
adhérer un flood d'intégration (?)