Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitysweet disaster is our title story. ( alaska )
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sweet disaster is our title story. ( alaska )

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we've got that power, power, power. Alaska & Stan.

Cinq heures du matin et encore réveillé. Oui, Stan n'avait pas dormi de la nuit, veillant jusqu'à cinq heure dans sa chambre à l'appartement afin de terminer son projet de fin d'étude. Il avait réussi à tenir avec une cafetière entière et un paquet de cigarette qui demandait grâce. Une cigarette dans la bouche, une tasse énorme de la taille de sa tête à la main, il tapait frénétiquement sur son ordinateur, bien décidé à avoir la meilleure note à son examen terminal et donner une raclée à l'intello de la classe. Il avait réussi à passer cette année à Harvard avec quelques petites bêtises, avec des sourires chaleureux mais faux et une poignée de personnes sur qui compter. Parfois, il se bagarrait, parfois il appelait Alaska pour qu'elle vienne le chercher derrière un bar, parfois Skylar le retrouvait sur le pas de sa porte avec une bouteille à la main, mais il rendait toujours son boulot complet et parfait le jour J. « T'as vu frangin. Je suis encore au top, comme d'habitude. » Il avait pris cette habitude depuis la mort de son jumeau dans cette prise d'otage. Lui parler comme si il était encore là. Faire en sorte de faire perdurer son âme encore quelques années de plus. Cela faisait à présent près de 8 ans que son jumeau avait perdu la vie et il considérait encore que son âme était là, à ses côtés quand il était seule dans sa grande chambre de Harvard Square. Ses colocataires tous endormis, il profitait du calme présent dans l'appartement, sans les voix douces des filles parlant entre elles et la voix grave de gars regardant le sport à la télé. Il aimait ça parfois, et le détestait souvent. L'agitation de la colocation lui convenait quand des dates échéantes n'étaient pas dans son futur proche et surtout quand il avait sa dose de sommeil à six heures minimum par jour. Souvent aussi quand il a avait eut une fille dans son pieu durant les trois jours précédent. Sauf que cela faisait près d'une semaine qu'il n'avait pas vu une fille nue dans sa chambre. Bon parfois, il zieutait Serah ou Clarke dans la douche mais ce n'était pas pareil et surtout, ce n'était pas ce qui allait le soulager de son abstinence forcée. Ses mains ayant des crampes à force de taper sur son ordinateur, sa nuque lui faisant horriblement mal à force de se pencher sur son écran, ses lunettes glissant sur son nez à force d'être pencher, il se dit qu'il avait besoin d'une pause, une bonne pause. Hop, au dodo. Laissant ses lunettes sur son bureau, sauvegardant au moins trois fois son travail sur trois clés usb différentes, il glissa dans son lit, bien au chaud sous sa couette qui appartenait auparavant à son frère. Sa médaille à son cou, l'envie de revoir son ex petite amie le taraudant encore une fois, il s'endormit en pensant à elle, mais en souhaitant malgré tout qu'elle soit heureuse à présent et qu'elle ait su trouver une personne pour lui rendre ce sourire qu'il lui avait volé. […] Trois heures plus tard, les bruits d'un réveil dans les règles dans un appartement occupant quatre autres personnes, le réveilla de son sommeil à peine entamé. Il grogne un peu, comme à son habitude, mais sort de sa chambre avec un simple boxer pour prendre d'assaut la salle de bain dans le plus grand des calmes avec un simple grognement comme bonjour pour ses chers colocataires bruyants. L'eau froide le réveille d'un coup, et il retrouve un peu le sourire qui le caractérise certains jours. Aujourd'hui, enfin, il allait finir son boulot. Mais dans la salle informatique, pas dans l'appartement bien trop encombré depuis l'arrivée de la fin de l'année. Sortant avec sa serviette, il intercepte des yeux admiratifs de son corps, et entre dans sa chambre avec un sourire carnassier. Pas le temps d'aller draguer, faut qu'il bosse. Habillé d'un jean ajusté et d'un simple débardeur sous une chemise style bûcheron ouverte, une paire de Timberland noire aux pieds et le voilà en route, son ordinateur sous le bras, en train de traverser l'appartement en mode éclair pour la salle informatique de l'université. « Pas le temps, je file. ». Vingt minutes, le temps d'attraper un Starbuck et de draguer un peu la serveuse, et le voilà en train de taper de manière frénétique sur son ordinateur dernier cri. « Putain, marche marche maudit algorithme. » Il s'évertuait à régler les derniers détails, fignoler au maximum afin que son travail soit parfait, mais il y avait toujours un truc qui beuguait, une variable qui le rendait fou de rage. Dans ce genre de cas, il aurait aimé avoir une bière à la place de son café pour se calmer, ou une clope à sa bouche qui brûlerait son jean à cinq cent dollars. Mais le hasard faisait bien les choses. La seule personne apte à l'écouter se plaindre autant qu'il le ferait pour elle venait d'entrer dans la salle et se dirigeait vers lui. « Alaska. Putain, tu tombes à pique. J'ai besoin que tu me changes les idées, j'en ai marre de bloquer sur mon programme. » Il sauvegarda son travail, et se mit face à elle. « Alors, t'as fait quoi comme connerie ces temps ci ? Toujours à te battre dans les bars sans me dire de joindre la partie ? » Ouais, il l'avait un peu mauvaise dans ce genre de cas.
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J'avais du mal, mais je m’accrochais. C'était le slogan de ma triste vie et en ce moment, il était plus que jamais au goût du jour. Je m'étais jurée que même si c'est extrêmement dur et que je risque de devenir un légume psychologiquement, JE DOIS TRAVAILLER MES COURS. C'était la règle numéro une. J'ai une vie minable, les études me sauveront, elles m'ouvriront des portes, elles me donneront un travail et je pourrais enfin faire quelque chose de plus distingué. Ouais, adieu l'alcool, la drogue et le reste, peut-être qu'à un moment, je pourrais sortir de tout ça et me concentrer sur une vie saine. Bon, les études à Harvard étaient définitivement compliquées. J'étais restée toute la nuit sur des lectures, des notes et beaucoup de prise de tête pour réviser ma littérature anglaise. Ce matin, j'avais demandé à Léonora de me réveiller de force pour être certaine que je me rendrais sur le campus de l'université. Si je restais à la maison, j'allais glander. Je m'étais habillée, les yeux encore clos, d'un simple jean et d'un t-shirt. Pour fêter les beaux jours, j'avais mis une paire de sandale plate et pour luter contre la fraicheur matinale, j'avais enfilé un sweet vert à l'effigie de ma maison, les mathers. Je profitais du temps clément pour sortir un vieux vélo, la flemme de marcher sérieux. Je l'avais délaissé dans un hangar spécial. J'aimais bien conduire, mais je n'y voyais aucune utilité pour me rendre à l'université, et puis, si tôt le matin, j'étais plus un danger publique qu'autre chose. J'avais mis mes écouteurs, Sia jouait dans mes oreilles. J'écoutais de la musique parce que c'était vitale pour moi et parce que j'avais une migraine terrible et qu'il fallait vaincre le mal par le mal. La musique faisait autant d'effet qu'une de ses immondes dolipranes. En chemin pour mon lieu de révision, je m'arrêtais chez Starbuck pour y prendre un thé. J'avais pensé à me prendre une pomme avant de partir de la maison et ainsi, j'allais pouvoir prendre mon petit déjeuner en me rendant à la salle informatique. Hors de question d'aller à la bibliothèque d'Harvard ou dans des salles spécialisées aux révisions, elles étaient trop fréquentées. La salle informatique contenait quelques tables vide pour s'installer et pour ma part, comme pour beaucoup d'autre étudiant, mes cours était sur ordinateur. Je trainais alors des pieds en direction de cette fameuse salle informatique, mon thé dans une main et ma pomme déjà croquée dans l'autre. Je m'arrêtais aussitôt quand j’attendis la voix de mon faux jumeaux. Bon, elle était légèrement masquée par la douce voix de ma chanteuse préférée, mais il parlait assez fort pour se faire comprendre. Je lui esquissais un sourire sans peine en éteignant ma musique et en m'avançant vers la table où il se trouvait. J'y déposais soigneusement mes affaires. « Crois-moi, t'es pas le seul à avoir besoin de te changer les idées ! » lui avouais-je en soupirant. Non parce que j'étais préoccupée par mes examens, mais aussi par une montagne de problème que j'étais de noyer sous les révisions. Il se met face à moi et je ne peux m'empêcher de lui sourire en écoutant ses propos. Il me donnait l'impression d'être une vraie tigresse, celle qui imposait le respect. J'aimerais parfois être cette personne, mais j'étais malheureusement à des années lumières de l'être. « Je voudrais pas que ton joli minois soit abimé, faut bien qu'il y en ait un de nous deux qui reste désirable ! » m'exclamais avec un sourire. Je le serre brièvement dans mes bras et je lui déposais un chaste baiser sur la joue pour lui dire bonjour avant de prendre place sur la chaise devant lui. « J'me suis faite "agresser" par un porc alcoolique au lord hobo et c'est un eliot qui m'a sorti d'affaire. J'ai tellement honte que j'me suis pris une cuite après et que je ne suis pas ressortie de chez moi. » lui avouais-je en pinçant mes lèvres, peu fière de moi.  

Rapport choucroute:
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