C'est le 15 août 1993 à Genève, suisse, que les membres de la famille Hundish m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Stanley Edward Charles. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de l'informatique (M) et management (m) depuis 5 ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que héritier désabusé (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Winrthop.
Fils d'un ambassadeur, fils d'une héritière d'une chaîne hotelière, il est l'exemple type d'un Eliot. Héritier d'une dynastie qui a connu énormément de haut et de bas mais qui est toujours sur le devant de la scène. Les Hundish ont, par delà les âges, toujours montrer que leur famille était une des meilleurs. Ayant grandit dans un manoir suisse, ayant toujours eut, malgré une attitude parfois limite, les meilleures notes, les meilleures résultats, il est un parfait Eliot dans sa démesure et son caractère si étrange. Impulsif en général mais extrêmement perfectionniste dans son travail, il fait la part des choses et sait que son rêve d'être à la tête d'une entreprise basée sur l'informatique, ne sera pas une mince affaire. De ce fait, même si il est adepte des soirées à la Dunster, il restera dans sa chambre afin d'être le parfait héritier Eliot et pouvoir travailler sans relâche jusqu'à ce que tout soit parfait. Hautain et arrogant, il n'en est pas moins sociable et assez avenant. Dur, oui. Mais c'est surtout à cause de son passé trouble et turbulent. Les Eliot sont une façon pour lui de se discipliner, d'être le meilleur de lui même et laisser son passé au placard une clope à la main.
Winthrop House.
Depuis toujours, il est un sportif accompli. Football, base ball, tennis, natation, il pratique ces sports depuis son plus jeune âge, moyen pour lui de contrôler sa dose d'énergie impossible à épuiser au départ. A l'aise dans son corps, malgré des bras minces et un corps assez svelte, il n'en reste pas moins fort et endurant. Il aime le sport, il aime la dépense d'énergie et intégrer les Winthrop serait pour lui un parfait moyen de se canaliser afin de rester concentré sur son objectif. Son père l'a toujours poussé à voir plus loin, à continuer de courir jusqu'à ce que son corps n'en puisse plus, jusqu'à ce que ses poumons appellent à l'aide. Il le fait encore, malgré la disparition de ce dernier. Intégrer les Winthrop serait un peu comme un hommage à un père disparu.
Peur ? Oui, il l'a ressentis. A chaque réveil, à chaque tournant, à chaque inconnu qu'il croisait dans la rue. Il a ressentie une peur panique dès qu'un bruit brusque et soudain résonnait dans sa chambre, dans la rue, dans une salle de classe, et même sortant d'un ordinateur. Les jeus vidéos dont il était si friand avec des voitures qui explosent et des flics qui rappliquent, il ne les a pas touché pendant des mois. Il est partis précipitamment après la bombe, une de ses oreilles ayant été touché et le rendant sourd partiellement. Jusqu'à maintenant, il a du mal à entendre avec son côté gauche. Il a donc prit le premier avion pour Genève et a rejoins sa mère. Deux semaines plus tard, il retourne à Cambridge après un court passage à Johannesburg sur la tombe de ses défunts père et frère. Il vit encore parfois avec l'impression que le moindre bruit est annonciateur de catastrophe qu'il a expérimenté dans une salle de classe bondée.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Il pensait être au calme dans un McDonald afin de profiter de la wi fi et d'une boite de nuggets avec sauce barbecue, mais il a eut tord. Ce 17 janvier, il a été victime de la prise d'otage et encore eut cette peur panique d'une explosion en devenir. Stan, ce gars à l'allure dur et au visage impasible a versé une seule et unique larme, sa fragilité si discrète refaisant surface. Il avait peur de ressentir cette même douleur à l'oreille gauche, cette impression d'étouffer d'une crise de panique. Et pourtant, après cette unique larme, il a pris sur lui, et est resté, le visage froid et l coeur serré que la prise d'otage prenne fin. Depuis ce jour, il ne va plus au McDonald et préfère rester dans sa chambre afin de bosser. Il évite le plus possible les lieux des prises d'otages et de l'explosion, vivant dans une sorte de peur camouflé par un sourire et une cigarette.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Gladou et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Depuis longtemps je le connais alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Dudley O'Shaughnessy comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par blitz. Je fais environ 800/1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ :luv2: .
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)