Gabia Tu vas sortit maintenant!

Une semaine... Une semaine que je suis enfermé chez moi. Depuis le reour du bal j'avais enlevé ma robe qui était dans un coin et je m'étais mi en vieu t shirt a Rome. Je passais mes journée a pleuré. Logan avait ré ouvert des plaie que je commencé tout juste a supporté. J'avais l'impression que ma vie sans Rome ne pouvais pas continué. Tout le monde me blessait, je ne voulais pas ouvrir ma bulle a quelqu'un d'autre. Je m'étais laissé faire par un homme stupide. J'avais laissé ma chienne chez ma voisine, je n'avais même pas le courage de la sortir. Je voulais resté dans ma bulle, dans mon monde. Personne ne pouvais rentré. JE passait mes journée entre dessiné, pleuré et sentir les affaires que Rome m'avait laissé avant de repartir...

Cela faisait quelques semaines que Mia n'était pas venue aux séances de groupe. Je n'y allais plus, parce que ma vie était redevenu ce qu'elle aurait dû être depuis un moment, depuis que je m'étais éteint face à la mort de cette femme qui aurait dû être ma fiancé, la mère de mes enfants et surtout la femme de ma vie. Cependant, j'avais tenu à garder un rôle de parrain. Je n'avais pas la prétention de dire que j'étais un bon conseiller, à vrai dire, c'est tout le contraire. Un peu brut de décoffrage, je n'aime pas prendre des pincettes pour secouer les gens. Je n'ai pas les mots qui réconfortent, mais je suis là et par moment, une simple présence fait du bien. Une personne m'avait aidé moi aussi et je voulais pouvoir aider à mon tour. Outre mon côté macho, c'est peut-être mon côté idéaliste et rêveur qui veut ça. La responsable m'avait donc appelé, m'avait donc demandé de passer chez Mia et c'est ce que je faisais en ce début d'après midi. Je toquais à la porte, personne ne m'ouvrait, mais je pouvais entendre du bruit à l'intérieur. J'ai l'ouïe fine que voulez-vous. Mia ?! Je sais que t'es là ouvres moi ! criais-je à travers le bois de la porte après quelques essaies infructueux. Bordel ouvres-moi rapidement ou je défonce ta porte

J'eseperais avoir la paix pendant un bout de temps mais c'était en oubliant totalment de prendre en compte mon parrain "gab" . Je sais très bien que y avait que lui pour vouloir défoncé la porte. Vu que je tenais a ma porte d'entré, je me trainais pour la deverouillé, pour me foutre sur mon divan. J'étais une vrai loque, je n'avais pas envie de parlé. Je retournais a mon occupation favorite me rouler en boule dans le sweet de Rome. Je ne me reconnaisait plus. D'habitude je suis une battante vu tout se que j'ai traversé... A cette instant la je n'arrivais a rien du tout je ne pouvais pas la faire c'était au dessus de mes forces. Je ne trouvais pas le courage de passé au dessus. J'avais même pas envie de parlé a Gabriel, il sait déjà pourquoi je suis comme ça...

Elle ne pouvait pas se terrer ici. Elle ne pouvait pas se couper du monde comme elle le faisait, sinon, jamais elle ne remonterait la pente pourtant dieu seul sait à quel point ça fait du bien de se retrouver seul avec soit même. De ne pas sentir les regards compatissant d'autrui se poser sur soi lorsqu'on descend la rue, ou qu'on va à l'université, encore sur ce dernier point, elle n'était pas obligé d'y retourner. Elle m'ouvrait la porte, je m'engouffrais dans l'appartement pour claquer la porte du pied juste après. Elle se mettait en boule dans un Sweet qui me paraissait sale. Je la regardais de haut en bas, fronçant un peu le nez, les sourcils légèrement froncés. Alors c'est comme ça que t'occupe tes journées ? Tu te roules en boule dans ce sweet dégueulasse et tu laisses le temps passer. Tu ressembles à une loque Mia je sais bien qu'avec elle, c'est la méthode forte qu'il faut employer et à vrai dire, ça ne me dérange pas de la secouer un peu. Alors me pliant sur mes jambes un court instant, je l'attrapais pour la mettre sur mon épaule et l'entrainer dans la salle de bain. Je la posais dans la baignoire, faisant attention de ne pas lui faire mal puis attrapant le pommeau de douche, j'ouvrais l'eau pour la faire couler sur sa tête, histoire de la réveiller, histoire de lui arracher une quelconque émotion.

J'étais terrée dans mon appartement, en loque. Je n'arrivais pas à reprendre le dessus, en faite je ne voulais pas. Je viens de me prendre une claque magistral, je n'avais pas envie de continué comme ça. Au moins ici, je ne pouvais pas continuez a me prendre des coups. Ici je pouvais me concentré sur lui. Quand j'étais dans son sweet c'est comme quand j'étais dans ses bras. Après avoir ouvert la porte je me eremettais en boule dans mon sweet. Je ragissais a peine a se qui me disait a quoi bon. Il pouvait gueuler sa me ferait pas plus réagir. Par contre quand il me foutait sous ma douche que j'avais pas du voir depuis une semaine, la je crois qu'il aurais pas du faire ça. Il venaist de tremper le sweet de rome c'est le sel vetement qui me reste de lui.  Je le poussais, bah la j'avais pas trop le chhoix pour sortir
"C'est tout se qui me reste de lui et toi tu le trempes" J'allais me réfugier dans mon lit, je m'en contre foutait d'être trampé.