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thibalte & joy ✖ J'papillonne des yeux et je regarde autour de moi. Je suis dans des toilettes dégueulasse. J'essaie de me rappeler comment je suis venue là, mais impossible. J'entends le son sourd des basses; une boîte. J'ai des bribes de souvenirs et des souvenirs qui me reviennent mais ça reste flou. Je sors de la cabine et je me regarde dans le grand miroir au dessus des toilettes. Il n'y a bien que dans une boîte qu'on peut trouver un endroit aussi crade. Mon rouge à lèvres est étalé un peu partout sur mon menton et mes joues, et j'ai des traces blanches juste au dessus de ma lèvre supérieure. Qu'est-ce que...
J'ai envie d'éclater de rire, et c'est ce que je fais. Putain, ça ressemble à un mauvais épisode de 'New-York unité Spéciale'. J'essaie de me recoiffer et me tâte la poitrine. Mon portable, et ma carte Gold sont dans mon soutif. Pas con, mais pourquoi j'ai pas de sac? Je suis pas super bien habillée.. J'ai voulu sortir sans grande frasque ce soir, on dirait. J'ai la tête qui tourne et j'ai juste envie de rentrer. Je sors des toilettes et le son de la musique me vrille les tympans. Trois types que je connais me font signe de les rejoindre. Je les remets pas mais je les sens pas du tout. J'arrive pas à apercevoir la sortie de la boîte et je finis dans le fumoir, où je m'appuie sur le mur, histoire de me rassembler les idées; au moins la musique est moins forte ici. J'arrive pas à me rappeler de mon arrivée ici Putaaiin... Je me prends la tête à deux mains et respire à grands coups.
Thibalte. Faut que j'appelle Thibalte. J'essaie de retrouver son nom dans les contacts. J'ai les mains qui tremblent, je sais pas ce que j'ai pris, mais ça me rend lente. Je crois entendre la sonnerie. J'entends presque rien, alors je lance au pif "Allô? Thib, c'est Joy... Ecoute je suis désolée, je sais pas quelle heure il est, je suis à... au..." Je vois un sous-verre par terre "Au People's Republik. Je sais pas comment je suis arrivée ici, je suis toute seule et.. Putain de saloperie de bordel de..." J'ai plus de batterie. J'espère qu'elle m'a entendue. Fais chier. Il est hors de question que je me laisse abattre. Je me pose dans un coin et reste là un temps impossible à définir, en essayant de ne pas sombrer. Puis je vois les mecs entrer dans le fumoir. Je les dépasse et sort. Je vois enfin la sortie. Je trotte sur mes talons et je sors enfin. C'est une petite ruelle. Génial... J'essaie d'en voir le bout et je trébuche et tombe. Meeerde... J'ai presqu'envie de rester là, mais je retrouve les 3 types soudains autour de moi. Ils se marrent et me disent des trucs dégueulasses et l'un d'entre eux essaie de me relever.
J'ai envie d'éclater de rire, et c'est ce que je fais. Putain, ça ressemble à un mauvais épisode de 'New-York unité Spéciale'. J'essaie de me recoiffer et me tâte la poitrine. Mon portable, et ma carte Gold sont dans mon soutif. Pas con, mais pourquoi j'ai pas de sac? Je suis pas super bien habillée.. J'ai voulu sortir sans grande frasque ce soir, on dirait. J'ai la tête qui tourne et j'ai juste envie de rentrer. Je sors des toilettes et le son de la musique me vrille les tympans. Trois types que je connais me font signe de les rejoindre. Je les remets pas mais je les sens pas du tout. J'arrive pas à apercevoir la sortie de la boîte et je finis dans le fumoir, où je m'appuie sur le mur, histoire de me rassembler les idées; au moins la musique est moins forte ici. J'arrive pas à me rappeler de mon arrivée ici Putaaiin... Je me prends la tête à deux mains et respire à grands coups.
Thibalte. Faut que j'appelle Thibalte. J'essaie de retrouver son nom dans les contacts. J'ai les mains qui tremblent, je sais pas ce que j'ai pris, mais ça me rend lente. Je crois entendre la sonnerie. J'entends presque rien, alors je lance au pif "Allô? Thib, c'est Joy... Ecoute je suis désolée, je sais pas quelle heure il est, je suis à... au..." Je vois un sous-verre par terre "Au People's Republik. Je sais pas comment je suis arrivée ici, je suis toute seule et.. Putain de saloperie de bordel de..." J'ai plus de batterie. J'espère qu'elle m'a entendue. Fais chier. Il est hors de question que je me laisse abattre. Je me pose dans un coin et reste là un temps impossible à définir, en essayant de ne pas sombrer. Puis je vois les mecs entrer dans le fumoir. Je les dépasse et sort. Je vois enfin la sortie. Je trotte sur mes talons et je sors enfin. C'est une petite ruelle. Génial... J'essaie d'en voir le bout et je trébuche et tombe. Meeerde... J'ai presqu'envie de rester là, mais je retrouve les 3 types soudains autour de moi. Ils se marrent et me disent des trucs dégueulasses et l'un d'entre eux essaie de me relever.
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