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Fuck off - ft Hugo

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La journée avait normalement débuté. J'avais suivi mon cours sur la première guerre mondiale que j'avais trouvé super intéressant car mon prof avait réussi à mêler l'histoire américaine  avec celle de l'Europe. Enfin bref, une journée plus que banale dans ma petite vie. Après les cours j'étais passé dans ma chambre pour récupérer de quoi me changer pour que je puisse travailler ce soir. Un manteau , robe sexy et talon..sans oublier le maquillage.  J'étais comme d'habitude en poste , assez loin de l'université pour éviter de croiser des camarades de la fac. Ce soir, j'avais prévu de me faire deux , trois clients pour pouvoir rentrer assez tôt dans ma chambre. C'est au deuxième que je me suis faite avoir comme un bleu. D' habitude je demandais qu'on me paie avant pour éviter tout problème. Mais cette fois-ci comme une conne j'ai réussi à me faire embobiner. Arriva ce qui devait arriver , le temps de m'habiller le coco s'était tiré de la chambre qu'il avait louée J'ai donc dû payer la chambre et une séance gratuite pour lui. Je vous dis pas l'état dans lequel j'étais. J'étais dégoûtée de lui et de moi. En sortant de là, j'avais qu'une idée en tête ..rentrer chez moi et frapper ma tête contre un mur. Putain de merde comment-est ce que j'ai pu être aussi conne ? Ça fait plusieurs fois que je me faisais avoir dans ce pays. Si je recroise ce connard je lui fais refaire toutes ses dents. Je déambulais donc dans les rues en grognant entre mes dents des jurons de toute sorte. Qu'est-ce que je m'en voulais.
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Les mains prises au piège dans le capot ouvert de la voiture, tu cherchais un problème d'huile depuis le milieu de la journée. Après avoir pris une pause pour mordre dans un sous-marin délicieux que t'avais choppé au coin de la rue, dans un petit dépanneur miteux. En soirée, tu recommences à bosser sur la magnifique voiture que tu as dénichée pas trop loin d'ici, et que tu essaies de remettre d'aplomb, sur ses 4 roues. Après, tu pourras la vendre et te faire un peu - beaucoup, cette fois, d'argent de poche. Tu la mettrais dans les paiements de l'appartement dans lequel tu vivais avec tes quelques colocataires, déjà très sympa, même trop sympas, quant à l'indulgence qu'ils te montraient pour les paiements à plus petit tarifs, et retardataires.. Des gens bien, trop bien.. Toutefois, en fin de soirée, alors qu'il faisait déjà obscurité depuis belle lurette, tu réalises que tu dois sortir, puisqu'il te manque quelques rouleaux de papier de toilette.. Ça demeure un essentiel, même pour les p'tits pauvres comme toi.. En parcourant les quelques rues qui menaient à ce même dépanneur miteux - qui contenait pourtant tout ton nécessaire habituel, tu tombes sur une jolie demoiselle qui, si tu ne l'avais pas déjà rencontrée maintes et maintes fois, ferait chavirer ton coeur pour la toute première fois. Il s'agit de Vera. Putain.. elle travaille, cette nuit. Oubliant ce que tu devais faire il y a encore seulement quelques secondes, tu t'approches d'elle. Elle semble perdue dans ses pensées, en train de ruminer. Mais tu ne le remarques pas vraiment. Tu ne peux pas prendre tes gardes et t'approcher doucement, de peur de la brusquer, ou de l'effrayer, ou de l'énerver.. Alors, tu lui tapotes l'épaule. Même si tu l'avais aperçue de dos, tu la reconnaîtrais entre mille. Vera.. tu bosses encore, cette nuit, beauté fatale? Tu sais que tu devrais pas.. T'avais pris l'habitude de lui donner quelques petits mots doux et compliments de la sorte, par habitude, surtout..
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Honnêtement si je m'étais faite avoir encore une fois je ne devais m'en prendre qu'à moi-même.  J'avais été particulièrement naïve d'accepter de me faire payer qu'à la fin. Pourtant la majorité des fois ça se passe bien, mais il faut toujours un pauvre con pour ruiner ta journée. Le problème c'est que je n'ai pas encore réussi à former une clientèle régulière alors que ça fait déjà plus de trois que je suis là. Enfin si, j'ai des clients réguliers mais pas en quantité suffisante.  Je ne rencontrais pas ce genre de problème en Bulgarie puisque je me prostituée que dans des lieux huppées , avec de riches hommes. Aux États-Unis je ne suis malheureusement pas assez connu et il me semble que les clivages sociaux sont bien plus importants qu'en Bulgarie. Enfin bref, j 'ai la rage , la haine, j'ai envie de frapper quelqu'un, et j'ai surtout envie de prendre une douche parce que me faire baiser gratos ça me dégoute un peu. J'ai pas encore les moyens d' investir dans une chambre pour pouvoir y recevoir du monde, mais il me faut être encore plus organisée. Je marchais en pleine nuit en mode frustré de la vie avec cette envie de me réfugier dans ma chambre. Mais bien évidemment il fallait que je me fasse importuner par un mec qui avait osé me toucher et me dire quelques mots. J'étais dans un tel état que les paroles qui sortirent de sa bouche ne faisaient pas sens dans ma tête.  Je me retournais violemment pour lui dégager la main : "- Tu me touches encore une fois je te fais avaler ta main petit con. Si t'as envie de baiser t'as qu'à aller te trouver une autre pute !"lui sifflais-je sans remarquer que je connaissais cet homme.  Mais là pour le coup j'étais tout simplement frustrée. Après ces belles paroles je repris mon chemin pour rentrer hativement dans ma chambre.  
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"- Tu me touches encore une fois je te fais avaler ta main petit con. Si t'as envie de baiser t'as qu'à aller te trouver une autre pute !" La manière sèche de laquelle elle te répondit et le battement d'air violent avec lequel elle te repousse vivement te surprit. Si tu comprenais peu les émotions des gens t'entourant et croisant quotidiennement ta vie, tu saisissais au moins la haine, ou la colère, ou bien l'irritation. Sentiments forts et violents qui étaient bien trop puissants pour être incompris. Même toi, tu y arrivais. Un peu sous le choc qu'elle s'éloigne si vite de toi et, par-dessus le marché, qu'elle ne t'ait pas reconnu, tu baisses la tête vers tes pieds en fourrant tes mains dans les poches de ton jean mal lavé, recouvert de jolies tâches d'huile. Tu accoures presque vers elle, tapotant son épaule une nouvelle fois, et te précipitant rapidement juste devant elle, l'arrêtant dans son élan déterminé. "C'moi, Vera.", dis-tu, un sourire rayonnant aux lèvres. Ouep, cet habituel sourire qui te correspond si bien, celui que tu accordes à tout le monde, ou presque. Celui qui te convainc que chaque journée est une nouvelle et qu'il faut la vivre à fond, sans te soucier de ta maladie. Eh, calme-toi. Pourquoi t'es si énervée..? C'est que moi., souffles-tu en posant tes deux mains juste sur ses épaules. Si tu as l'air physiquement d'être le grand gaillard, beau et fort qui sait toujours quoi dire pour draguer, et toujours quoi dire pour réconforter ces gentes dames, c'est faux. Tu n'es qu'un petit oisillon qui a eu du mal à sortir de sa coquille, contrairement à ses frangins, et qui se bat constamment pour tenir debout et voler sans problèmes, dans cette vie aux problèmes multiples et aux confrontations infinies.
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J'avais passé une très mauvaise soirée et je ne comptais pas me laisser enquiquiner par un gros con dans la rue. J'avais donc pas hésité à le refouler et a continuer mon chemin. Mais que voulez-vous il existait des relous partout qui revenait à la charge, mais je me calmer très rapidement lorsque l'inconnu qui n'en était pas un finalement prononça mon prénom. Je m'arrêtais aussitôt alors qu'il posait ces mains sur mon épaule.  C'était le beau Hugo qui avait croisé mon chemin alors que j'étais vraiment très mal luné. Le visage d'Hugo faisait véritable paradoxe alors l'enflure qui m'avait berner quelques minutes plus tôt. "-  Ah Hugo c'est toi ..." lui dis je en lui faisant un petit sourire forçais pour ne pas paraitre trop froide malgré mon énervement. "- Je suis désolée je pensais que c'était un petit con qui voulait se soulager" me justifiais je après l'avoir agressé. Il n'y avais pas grand monde dans les rues mais il fallait que je tombe sur lui. Je soufflais un bon coup pour tenter de canaliser ma haine et pour éviter qu'il puisse la subir gratuitement. "- Qu'est- ce que tu fais a cette heure ci dans la rue ? Tu cherchais une prostituée ? " lui disais je pour le charrier un peu et changer un peu de conversation par la même occasion. J'avais vraiment pas envie de recevoir une leçon de morale , ou un "je te l'avais dit Vera" 
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