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(fw) FELAÏA ► a mother is the truest friend we have.

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J'avais l'impression que rien ne tournait rond aujourd'hui. Cette journée n'était rien d'autre qu'une catastrophe et je n'avais qu'une hâte : qu'elle se termine enfin. Mon petit-ami m'avait largué. Et chose encore pire, il l'avait fait en plein milieu du couloir du lycée, devant des dizaines d'élèves. Motif : j'avais refusé de coucher avec lui. Je n'avais jamais eu aussi honte de ma vie. Mais la honte n'était rien comparé à la douleur que je ressentais au fond de moi. Je comprenais enfin la phrase "avoir le coeur en mille morceaux". J'avais tellement mal que j'avais vraiment la sensation qu'il était brisé. C'était la première fois que je ressentais une telle chose, mais c'était aussi la toute première fois que je me faisais largué par un petit-ami. Ce n'était pas agréable du tout et mon égo en avait pris un sacré coup. Après avoir passé l'après-midi à me cacher dans les toilettes du lycée pour pleurer, j'étais rentrée à la maison et j'avais été surprise par Hermès qui n'avait rien trouvé de mieux que de me dire "Je t'avais dit que ce connard allait te briser le cœur". J'étais bien sûr parti au quart de tour et nous nous étions encore disputés. Maman n'était pas encore rentrée à ce moment là, mais ça valait peut-être mieux parce que je n'avais pas envie qu'elle me voit dans cet état là. Et puis je l'avais entendue rentrer et discuter avec Hermès dans le salon. Je savais qu'elle n'allait pas tarder à venir me voir, d'ailleurs je l'entendais déjà monter les escaliers, alors je cachais mon visage dans mon oreiller pour essuyer mes larmes.
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J’avais passé ma journée a courir entrain plein de différents meeting, les uns les plus demandants que les autres avec les japonais qui ne comprenaient pas notre nouveau OS, les européens qui eux avaient réussir à le faire buger en a peine quelques heures d’installation puis les chinois qui eux ne l’avaient toujours pas installé alors que l’ancien devenait obsolète demain. J’en avais vraiment eu pour ma paye sur ce coup-ci. J’avais passé ma journée aux téléphones dans des conférences à essayer d’expliquer et de comprendre le problème de chacun, à jongler entre trois langues. J’avais vraiment hâte de pouvoir rentrer chez moi et de mettre cette journée derrière moi. Toute fois, je savais que j’allais encore devoir travailler toute la nuit sur ce stupide bug européens. J’aimerai vraiment savoir comment ils avaient réussi à le faire. Parfois je me demandais si je faisais pas mieux de jeter mon job par la fenêtre et d’aller rejoindre Elios en Italie. Ouais, non pas possible. Pour le bien des enfants, je restais à Cambridge avec eux jusqu’a leur 18 ans et après, décidant sur leur choix, je verrais où j’irais. Arrivé 18 heures, je fermais mon poste de travail et me mettait en route pour rentrer chez moi. Gaïa et Hermès seront déjà depuis longtemps rentrés du lycée et j’allais devoir commencer à faire manger pour eux. Toute fois, il y avait toujours du bruit quand je rentrais, mais cette fois-ci, c’était le silence totale. Hermes jouait à un jeu video sur l’écran plat du salon et j’entendais pas Gaia se plaindre. Je lui demandais alors ce qu’il s’était passé. Je connaissais mes enfants très bien et pour qu’Hermes joue dans le salon sans que sa soeur ne lui gueule dessus de baisser le son, c’est que clairement il y avait quelque chose. Il m’expliqua qu’il s’était disputé avec sa soeur et l’histoire autour de cette dispute. Les hommes, aucuns tacts. Je secouais la tête, lui disant que j’allais toucher deux mots après avec lui. Je montais alors à l’étage pour aller voir Gaia. Sa porte était fermée alors je toquais. « Gaïa, je peux rentrer? » Je ne voulais pas non plus m’imposer dès le départ.
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Parfois, je regrettais de devoir grandir. Tout avait l'air beaucoup plus simple quand j'étais enfant. Je n'avais pas à faire attention à mes faits et gestes pour ne pas faire honte à ma famille paternelle, je n'avais pas à essayer d'être parfaite en tout. Mais surtout, je n'avais pas l'occasion de me faire briser le cœur par des garçons. C'était ce que toute les jeunes filles de seize ans finissait par vivre à un moment donné, mais c'était vraiment horrible. J'avais l'impression que je faisais tout de travers. Peut-être n'étais-je pas une fille assez bien ? Non, je savais que ce n'était pas ça. Il m'avait largué parce que je n'avais pas voulu coucher avec lui, et je n'y étais pour rien. Mais si j'avais accepté de le faire, on serait peut-être encore ensemble aujourd'hui. Et si j'avais écouté Hermes dès le début, quand il m'avait prévenu que ce mec n'était pas quelqu'un de bien pour moi ? "Et si", encore et toujours. Mon esprit était embrouillé par toutes les questions que je me posais, et ça me faisait pleurer encore plus. Ce n'était pas mon style de pleurer, j'étais d'habitude plus courageuse que ça. Mais là je ne pouvais pas m'en empêcher, ça faisait trop mal. J'entendis maman frapper à la porte et me demander si elle pouvait entrer. Je me dépêcher de me redresser et d'essuyer mes larmes d'un revers de la main. Je devais avoir l'air lamentable avec mes yeux rouges et mes cheveux emmêlés. Oui. Ma voix s'était brisée alors que je n'avais prononcé qu'un seul mot d'une seule syllabe, et des larmes commençaient déjà à couler de nouveau sur mes joues. J'aurais pu envoyer ma mère balader, mais je n'avais pas envie de me battre avec elle. Pas ce soir.
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J’adorais mon travail. J’adorais le fait de pouvoir continuer de faire ce que j’aimais malgré ma situation. Toute cela aurait pu être tellement plus diffèrent. J’étais contente que mes enfants pouvaient grandir normalement, même si ils avaient des circonstances spéciales et que les gardes du corps étaient quand même présent. Ils étaient tout de même les héritier du trône d’Italie. Il ne pouvait pas avoir n’importe quelle liberté. Cela me manquait aussi de ne pas être au cote de l’homme que j’aimais tout les jours. J’avais toute fois fais mon choix il y des années maintenant et nous avions trouvé notre accord. Toute fois, je m’attendais pas a ce que le temps passe si vite. J’avais l’impression que c’était encore hier que j’ai dis à Elios que je continuerai à vivre à Cambridge avec les jumeaux jusqu’à leur 18 ans. Encore deux ans et je pourrais aller le rejoindre. Je ne devais pas y penser. Cela faisait des années maintenant que j’étais avec les jumeaux et ils étaient devenus deux adolescents dont j’étais très fière. Bien que je ne m’étais pas attendue a rentrer à une dispute entre mes deux enfants. J’attendais une réponse de la part de ma fille avant d’entrer dans sa chambre. Elle était assise sur son lit, ses yeux rouges et ses cheveux emmêlés. Je refermais la porte derrière moi en venant m’asseoir à cote d’elle pour la prendre dans mes bras. Malgré nos nombreuses disputes en ce moment, je n’aimais pas voir mes enfants tristes et encore moins voulais-je qu’ils pleurent. « Viens là, ma chérie. Tu veux en parler? » Bien sure que je savais déjà un peu ce qu’il s’était passé grâce a la version d’Hermès. Je voulais, cependant que cela soit Gaïa qui me le dise d’elle-même. Si elle ne voulait pas, alors je continuerai de la tenir dans mes bras le temps qu’elle pleure, comme Dr Bolden l’avait fait alors que j’avais pleuré la rupture avec Elios il y a 15 ans à présent.
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Je n'étais pas trop sûre de vouloir parler à maman de ce qui s'était passé aujourd'hui. Notre relation était suffisament compliquée comme ça, et je ne voulais pas en rajouter une couche. Cependant, si il y a une personne qui pouvait comprendre ma peine, c'était bien elle. Elle avait tellement souffert à cause de papa, et je savais qu'il lui manquait encore, qu'elle savait très bien ce que je ressentais. C'est pour cette raison que je l'autorisais à rentrer dans ma chambre, même si je savais qu'elle l'aurait fait même si je l'avais envoyé balader. Elle s'assit près de moi sur mon matelas et elle passa l'un de ses  bras autour de mes épaules. Il ne me fallut pas plus de trois secondes pour fondre en larmes de nouveau. Je me laissais aller sur elle, cachant mon visage humide dans son cou et entourant son corps de mes bras fins, comme je le faisais quand j'avais un gros chagrin lorsque j'étais petite. Elle arrivait toujours à me consoler avant, alors j'espérais qu'aujourd'hui aussi elle réussirait à faire partir la douleur que je ressentais dans ma poitrine. Je restais un moment silencieuse, parce que j'hésitais à tout lui raconter, mais aussi parce que j'étais incapable de parler pour le moment. C'est au bout de quelques instants que je réussis enfin à formuler une phrase cohérente. « Maximilian a rompu avec moi... Devant tout le monde. » Cette rupture aurait été un peu moins douloureuse s'il ne s'était pas arrangé pour me ridiculiser devant des dizaines de lycéens, dont mes meilleures amies et mon frère jumeau. « Il a dit qu'il préférait sortir avec une fille moins coincée qui ne refusera pas de coucher avec lui. » Je reniflais en relevant mon visage inondé de larmes pour regarder ma mère.
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Malgré qu’en ce moment, je me disputais régulièrement avec Gaia, j’étais quand même la pour elle. C’était ma fille et quand elle n’allait pas bien, je me devais d’être la. C’était tout de même mon rôle de mère d’être la pour ma fille et ceux qu’importe nos disputes ou nos différents en ce moment. Gaia était ma petite princesse et mon ange, je l’aimais plus que tout. Je ne voulais pas la voir triste ou pleurer parce que quelqu’un lui avait fait du mal. J’avais dis il y a longtemps que je voudrai protéger mes enfants du malheurs de ce monde, mais je crois que je ne pourrais pas toujours le faire. Gaia venait passer ses bras autour de moi et cachant son visage dans mon cou. je l’entendais pleurer et je sentais mon coeur se pincer dans ma poitrine. Je lui caressais les cheveux pour la rassurer le temps qu’il fallait. Finalement, Gaia me racontait ce qu’il se passait. Il s’agissait donc bien d’une peine de coeur. Je ne savais que trop bien comment elle se sentait, ayant pleurer de nombreuses fois à cause des ruptures avec Elios. Elle m’avoua ensuite la raison de la rupture. Ok, je vais aller le trouver ce mec pour lui dire ses 4 vérités, personne n’humilie ma fille de la sorte. Je prenais son visage dans les mains pour essuyer ses larmes. « Si il rompt avec toi juste parce que tu veux pas coucher avec, c’est qu’il n’a jamais vu à quel point tu es une jeune fille magnifique et précieuse. Tu vaux mieux que ce genre de mec. Tu coucheras avec quelqu’un quand tu seras prête. Faut pas que tu te sentes mal pour ce genre de choses. Il ne vaut pas tes précieuses larmes, gardes-les pour quelqu’un qui en vaut la peine qui te fera pleurer de joies, qui saura te reconnaitre pour la princesse que tu es. »
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Malgré tous les différents qu'il pouvait y avoir entre ma mère et moi ces derniers mois, j'étais quand même ravie de pouvoir compter sur elle dans des moments aussi difficiles que celui-ci. Cela prouvait que malgré toutes les méchancetés que je pouvais lui lancer à la figure, elle serait quand même là pour moi, remplissant à la perfection son rôle de mère. Là, blottie contre elle, j'avais l'impression de redevenir la petite fille d'il y a dix ans, qui venait toujours se réfugier dans les bras de sa maman lorsque quelque chose n'allait pas. Au fil des années, cette manie avait cessée puisque je préférais régler mes problèmes seule. Mais aujourd'hui, j'avais belle et bien besoin du réconfort maternel. Je lui expliquais donc, en reniflant, ce qui s'était passé au lycée aujourd'hui, ma rupture avec mon petit-ami, et le pourquoi du comment. Je n'avais pas honte de parler de sexe avec elle, après tout, elle était passé par là aussi, et puis c'est une chose naturelle après tout. Elle essuyais mes larmes, et je l'écoutais essayer de me réconforter en m'expliquant qu'il n'en valait pas la peine, que je trouverais quelqu'un de mieux, et que je ne devais pas me forcer pour un mec. « Mais peut-être que j'aurais dû, tu sais... Coucher avec lui quand il le voulait. Peut-être que c'est moi qui ne suis pas normale. Une grande partie de mes amies l'ont déjà fait. Mais j'sais pas... Je ne veux pas gâcher ma première fois... C'est peut-être bête, mais... J'sais pas comment l'expliquer. » Je passais les paumes de mes mains sous mes yeux pour essuyer les nouvelles larmes qui y coulaient, ainsi que les traces de mascara. « Tu crois vraiment que les mecs bien existent ? Parce que personnellement, je commence à en douter. Et si jamais je finissais ma vie toute seule ? » ça serait un cauchemar. J'avais déjà imaginé comment ma vie sera dans quelques années : parfaite et heureuse. Je ne voulais pas tirer un trait sur ça.
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Mes enfants étaient mon tout. Je ne sais pas où j'en serais sans eux mais je pense que cela n'était clairement pas à cette position. J'aurais pu tout lâcher de mon indépendance avec Elios. J'aurai pu aller le rejoindre en Italie, et nous aurions tous pu être une magnifique famille heureuse aux yeux du monde entier. Je savais toute fois, que je n'aurai pas été heureuse et aussi que mes enfants n'aurait pas été ce qu'ils étaient aujourd'hui. Je pense qu'ils n'aurait pas fini ainsi et cela feraient d'eux des souverains exemplaires. Je n'étais peut-être pas italienne et j'avais parfois du mal à communiquer avec le peuple italien mais eux avaient un charme naturel, qu'ils avaient dès leur premier pas dans le monde mondain su utiliser. C'est vrai que parfois, ils m'énervaient et que je me disputais avec eux souvent, surtout Gaïa. C'était juste que je ne voulais que leur bonheur et voir que ma fille ne l'était pas à cause d'un type qui l'avait plaqué car elle avait refusé de coucher avec lui me faisait du mal aussi. J'irais très certainement aller parler aux parents de ce Max ou comme il s'appelait encore. Mes enfants allaient dans le meilleur lycée de la ville et il n'y avait que l'élite dedans, alors je n'acceptais pas ce genre de comportement. Je lançais un regard noir à ma fille alors qu'elle m'avoua qu'elle aurait dû. "Non, c'est absolument pas bête. Tu as ça de ton père. Le sexe c'est pas juste du plaisir, c'est une relation de confiance et si la personne ne te met pas en confiance, ça peut faire mal. Chacun à son rythme, tu le feras quand tu seras prête. Tu trouveras quelqu'un qui te fera du bien, qui te rendra en confiance. Il faut pas que tu te laisses influencer par les autres. Tu es toi et eux sont eux. Chacun son rythme, ok? Te tracasses pas la tête pour ça." Pour être honnête, je ne pouvais pas dire grand chose. J'avais un peu balancé ma première fois au premier venu pendant ma période rebelle. Cela ne m'avait toute fois pas empêché de plus tard, de prendre mon temps avant de me lier de cette sorte à quelqu'un. "Bien sûre que les mecs bien cela existe. Regarde Papa!" Dis-je pour la faire rigoler un peu. Je savais qu'elle le regardait avec plein d'admiration et qu'il lui manquait énormément. A moi aussi, il me manquait mais nous avions chacun nos responsabilités. "Ce que je veux dire, c'est que tu vas le trouver ton prince charmant. Peut-être pas maintenant mais il se peut que dans quelques années oui. Puis tu sais, les mecs ils prennent un peu de temps pour mûrir et toi, t'es tellement intelligente et mature pour ton âge, qu'ils doivent se sentir un peu con à côté de toi. Faut pas que cela t'affecte. Tu es parfaite comme tu es et je ne pourrais pas être moins fière de tout ce que tu fais." Dis-je en déposant un baiser sur son front.
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J'avais l'impression que mon monde s'était arrêté de tourner. J'étais consciente que c'était pitoyable, et que je devais continuer de vivre. Mais pour l'instant j'avais trop mal. J'étais trop en colère aussi. Comment pouvais-je me mettre dans un état pareil pour un mec qui n'en valait clairement pas la peine ? J'étais en train de devenir comme ces filles que l'on voit dans les séries télé et de qui je me moque bien souvent. Mais une fois qu'on vit une rupture pour de vrai, on comprend enfin ce que ça fait. J'aurais dû m'y attendre, et peut-être aurais-je dû agir autrement. Pourtant maman me donnait raison. Mieux valait attendre, être sûr de vouloir coucher avec quelqu'un. Elle essayait de me consoler comme elle pouvait, de me faire comprendre que je n'étais pas coupable. Pourtant je n'arrivais pas à me le rentrer dans la tête. De toute façon j'étais incapable de réfléchir et de tirer des conclusions. Ça m'agaçait puisque j'étais d'habitude la fille toujours réfléchie et ingénieuse. « Et si je ne trouve jamais une personne en qui j'ai réellement confiance à cent pour cent ? J'essaye de ne pas me prendre la tête, maman, mais je n'y arrive pas. » Je passais le dos de mes mains sous mes yeux pour essuyer une énième fois les larmes qui coulaient sur mes joues, ainsi que le mascara qui laissait des marques noires. Les mecs bien ? Je n'y croyais plus vraiment. « Si papa était si parfait, il ne serait pas en Italie loin de nous. Il ne te rendrait pas aussi triste. » J’idolâtrais mon père, mais parfois j'avais un peu du mal à le comprendre. Et le fait de ne pas le comprendre... ça me faisait un peu peur parfois. Je souriais un peu quand maman me disait que j'étais plus mûre et intelligente que les garçons et que je devais leur faire peur. En tout cas, je sais que j'en impressionnais quelques uns au lycée. « T'es vraiment fière de moi ? Tu sais, je ne suis pas sûre d'être si intelligente que ça. Je dois être la seule à ne pas avoir vu que ce mec allait me faire du mal. Hermes m'avait prévenu, tu sais. C'est pour ça qu'il m'a engueulé tout à l'heure. »

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Depuis leur naissance, Gaïa et Hermès étaient pour moi ma priorité. Je m’étais toujours leurs besoins devant les miens et j’avais laissé passer certaines opportunités pour leurs biens. Qu’ils aillent bien m’était beaucoup plus importants que ma carrière. J’avais assez d’argents pour que nous puissions vivre bien sans que j’aie un travail qui me prend tout mon temps. J’avais beaucoup de liberté, je pouvais facilement travailler de chez moi et je faisais en sorte que mes voyages d’affaires n’empiètent jamais sur la vie de mes enfants. Je faisais vraiment tout pour qu’ils aient une bonne vie et c’est pour cela que voir Gaia triste me rendait triste également. Je voulais qu’elle sourit, qu’elle profite de la vie à 100% et qu’elle ne se lamente pas sur un misérable mec qui n’avait pas pu voir a quel point ma fille était une jeune femme resplendissante. « Tu es encore jeune Gaïa. Tu as le temps de trouver. Tu sais il y a des filles qui n’ont leur première fois qu’après l’université. T’as pas à te sentir sous pression parce que tu l’as pas encore fait. Moi, je trouve ça même bien que tu préfère attendre. Tu le sauras quand tu es prête pour franchir le pas. » Je voulais vraiment pas qu’elle se tracasse la tête pour quelque chose d’aussi insignifiant. Je l’avais peut-être fait tôt, mais si j’aurais pu attendre, je l’aurais certainement fait. J’étais juste trop rebelle dans ma jeunesse pour en avoir quelque chose à faire. Gaïa me prit par surprise en me demandant pourquoi si Elios était parfait il était en Italie et me rendait triste. Je passais la tête. C’est vrai que j’avais du mal à dormir quand il n’était pas là, que je dormais rarement la nuit et que quand il venait nous rendre visite, je me sentais plus en sécurité. Malgré les années passées, j’avais toujours peur la nuit. Il y avait certains démons qui ne disparaissaient pas si facilement. J’avais fait mon choix, Elios avait fait son choix et nous devions vivre avec. Nous avions tous des obligations. « Tu sais que papa n’y peux rien à tout cela. » Je tenais toujours la main de ma fille, la serrant doucement pour lui donner courage. « Bien sure que je suis fière de toi. Tu te rends pas compte quel genre de fille tu vas grandir à devenir. On va devoir faire attention de pas trop en parler à papa, il va finir par t’emprisonner dans une tour pour protéger sa petite princesse. » Dis-je en rigolant. Gaïa avait tout pour elle, sa beauté, sa grâce, son intelligence, son titre. C’était une vraie princesse, malgré le langage parfois. « L’amour ça rend aveugle. Je savais que ton père allait me faire du mal aussi et regarde où j’en suis aujourd’hui. » Lui dis-je en montrant la bague sur mon doigt. Bon ok, on pouvait pas trop comparer mais quand même, l’amour ça fait mal et c’est quand on a eu le coeur brisé pour de vrai qu’on sait vraiment ce que c’est que de souffrir. Elios m’avait fait souffrir, me faisait toujours souffrir, mais je l’aimais plus que tout, et cela n’allait pas changer.

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