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- Non, c'est pas humain, grogné-je.
Je ne considère pas Amanda comme sa mère, je ne la considère même plus comme une femme. Elle m'a trop fait souffrir et l'abandon de Leonardo est vraiment la goutte qui a fait déborder le vase. Et ce n'est sans doute pas très optimal pour mon karma, mais je ne peux m'empêcher de ronronner intérieurement alors que ma douce Maëlys parle de vengeance, même si elle ne la croisera probablement jamais en réalité.
Je souris alors qu'elle me dit qu'elle veut devenir pédiatre. Elle veut sauver les gens, comme notre père, mais dans un autre genre, plus doux, plus pacifiste, qui lui correspond bien. Elle ne m'a jamais fait cette petite précision, même si je sais déjà qu'elle était en médecine, mais ça lui va tellement bien que ça ne me surprend même pas.
- Je suis persuadé que tu y arriveras. Parce que tu déchires, petite sœur !
Je redeviens sérieux à ses paroles suivantes. Tout ce qu'elle me dit me touche profondément. J'ai tendance à un peu trop oublier qu'elle n'est pas une orpheline abandonnée, qu'elle a eu une vraie famille, qu'elle a grandi avec des parents aimants, et parfois je ne peux m'empêcher d'être un peu jaloux de tous ceux qui ont cette place dans son cœur sans aucun effort. Sa famille. Et ça me touche qu'ils veuillent me rencontrer, moi le mec du bout du monde dont les parents l'ont abandonnée.
- J'te laisserai plus jamais tomber, Maëlys. Ça m'a trop fait mal l'année dernière pour que je recommence. C'est réciproque, t'es ma seule famille aussi... Si tes parents adoptifs tiennent à me rencontrer, alors c'est avec plaisir. Ça me touche beaucoup tu sais... J'suis vraiment heureux que tu sois capable de me pardonner.
Je la regarde avec un sourire en coin.
- J'peux avoir un câlin ou ces foutus américains vont encore croire des choses bizarres ?
Je ne considère pas Amanda comme sa mère, je ne la considère même plus comme une femme. Elle m'a trop fait souffrir et l'abandon de Leonardo est vraiment la goutte qui a fait déborder le vase. Et ce n'est sans doute pas très optimal pour mon karma, mais je ne peux m'empêcher de ronronner intérieurement alors que ma douce Maëlys parle de vengeance, même si elle ne la croisera probablement jamais en réalité.
Je souris alors qu'elle me dit qu'elle veut devenir pédiatre. Elle veut sauver les gens, comme notre père, mais dans un autre genre, plus doux, plus pacifiste, qui lui correspond bien. Elle ne m'a jamais fait cette petite précision, même si je sais déjà qu'elle était en médecine, mais ça lui va tellement bien que ça ne me surprend même pas.
- Je suis persuadé que tu y arriveras. Parce que tu déchires, petite sœur !
Je redeviens sérieux à ses paroles suivantes. Tout ce qu'elle me dit me touche profondément. J'ai tendance à un peu trop oublier qu'elle n'est pas une orpheline abandonnée, qu'elle a eu une vraie famille, qu'elle a grandi avec des parents aimants, et parfois je ne peux m'empêcher d'être un peu jaloux de tous ceux qui ont cette place dans son cœur sans aucun effort. Sa famille. Et ça me touche qu'ils veuillent me rencontrer, moi le mec du bout du monde dont les parents l'ont abandonnée.
- J'te laisserai plus jamais tomber, Maëlys. Ça m'a trop fait mal l'année dernière pour que je recommence. C'est réciproque, t'es ma seule famille aussi... Si tes parents adoptifs tiennent à me rencontrer, alors c'est avec plaisir. Ça me touche beaucoup tu sais... J'suis vraiment heureux que tu sois capable de me pardonner.
Je la regarde avec un sourire en coin.
- J'peux avoir un câlin ou ces foutus américains vont encore croire des choses bizarres ?
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