Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPetite sœur, joli cœur, passe le temps passent les heures | Maëlys - Page 2
Le Deal du moment : -50%
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX ...
Voir le deal
49.99 €


Petite sœur, joli cœur, passe le temps passent les heures | Maëlys

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- Non, c'est pas humain, grogné-je.

Je ne considère pas Amanda comme sa mère, je ne la considère même plus comme une femme. Elle m'a trop fait souffrir et l'abandon de Leonardo est vraiment la goutte qui a fait déborder le vase. Et ce n'est sans doute pas très optimal pour mon karma, mais je ne peux m'empêcher de ronronner intérieurement alors que ma douce Maëlys parle de vengeance, même si elle ne la croisera probablement jamais en réalité.

Je souris alors qu'elle me dit qu'elle veut devenir pédiatre. Elle veut sauver les gens, comme notre père, mais dans un autre genre, plus doux, plus pacifiste, qui lui correspond bien. Elle ne m'a jamais fait cette petite précision, même si je sais déjà qu'elle était en médecine, mais ça lui va tellement bien que ça ne me surprend même pas.

- Je suis persuadé que tu y arriveras. Parce que tu déchires, petite sœur !

Je redeviens sérieux à ses paroles suivantes. Tout ce qu'elle me dit me touche profondément. J'ai tendance à un peu trop oublier qu'elle n'est pas une orpheline abandonnée, qu'elle a eu une vraie famille, qu'elle a grandi avec des parents aimants, et parfois je ne peux m'empêcher d'être un peu jaloux de tous ceux qui ont cette place dans son cœur sans aucun effort. Sa famille. Et ça me touche qu'ils veuillent me rencontrer, moi le mec du bout du monde dont les parents l'ont abandonnée.

- J'te laisserai plus jamais tomber, Maëlys. Ça m'a trop fait mal l'année dernière pour que je recommence. C'est réciproque, t'es ma seule famille aussi... Si tes parents adoptifs tiennent à me rencontrer, alors c'est avec plaisir. Ça me touche beaucoup tu sais... J'suis vraiment heureux que tu sois capable de me pardonner.

Je la regarde avec un sourire en coin.

- J'peux avoir un câlin ou ces foutus américains vont encore croire des choses bizarres ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Un bien fou de te parler.. vraiment. Puis je passais du rire aux larmes si je puis dire avec tout ce que tu m'annonçais, la mère de ton enfant vous avait complètement lâché. "Non, c'est pas humain" si un jour j'avais l'occasion de la rencontrer, elle saurait ce que je pense.. et ça lui ferait tout drôle. Cet enfant était mon neveu et je me battrais pour lui, c'était certain. J'voulais devenir pédiatre en plus.. "Je suis persuadé que tu y arriveras. Parce que tu déchires, petite sœur !" et ouais, c'est la classe ça. "On déchire.. c'est de famille." fallait bien que je te souris aussi, que je t'accorde un peu de ces moments de complicité, parce que tu en avais besoin.. "J'te laisserai plus jamais tomber, Maëlys. Ça m'a trop fait mal l'année dernière pour que je recommence. C'est réciproque, t'es ma seule famille aussi... Si tes parents adoptifs tiennent à me rencontrer, alors c'est avec plaisir. Ça me touche beaucoup tu sais... J'suis vraiment heureux que tu sois capable de me pardonner." j'haussais les épaules "la vie est bien trop courte et.. j'suis pas rancunière." tout dépendait pourquoi. Mais je pardonnais souvent, un jour ou l'autre. "J'peux avoir un câlin ou ces foutus américains vont encore croire des choses bizarres ?" "on s'en fiche de ce que les gens pensent, viens là.." je m'avançais et je m'égarais dans tes bras, fermant les yeux un instant. C'était juste trop bien d'être là, de se sentir protégé.. "Ezio, j'veux pas me sauver comme une voleuse mais.. on se verra bientôt?" fallait que je file.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mais ouais, c'est de famille. Et je vois déjà le tapis rouge se dérouler devant nous. Ma soeur, brillante diplômée en pédiatrie, dans un hôpital de renom, ou son propre cabinet peut-être, selon ses ambitions et ses souhaits. Moi, titulaire de mon doctorat en informatique, avec un fils adorable que j'aime et qui m'aime. Et puis un jour elle trouvera un homme, et moi je trouverai une femme, et ce sera à notre tour de fonder notre famille. Nos enfants auront des cousins, un oncle pour les siens, une tante pour les miens. Elle a un neveu, déjà. Nous sommes trois. Trois Salvadore, même pas, deux et demi - selon si on considère que Maëlys ne s'est jamais appelé Salvadore ou que Leonardo n'est encore qu'une demi-portion. C'est rien, mais c'est suffisant pour partir à la conquête du monde ensemble !

Elle me fait fondre, ma petite soeur, alors qu'elle me dit qu'on s'en fout de ce que les gens pensent et qu'elle me serre dans ses bras. Elle se blottit contre moi et je la garde un instant là, protégée de toutes les saloperies que le destin peut faire survenir. Je ne veux que son bonheur. Maëlys, c'est la femme de ma vie, comme Leonardo est l'homme de ma vie. Ils seront toujours mes deux plus grandes priorités. Parce que la famille, c'est ce qu'il y a de plus important.

Elle finit par s'éloigner de moi et s'excuser doucement. Je la rassure d'un sourire.

- On se verra bientôt. T'inquiète, je ne vais nulle part. Attends deux secondes...

Je farfouille dans une poche et extirpe une carte de visite de mon portefeuille.

- T'as mon nouveau numéro là-dessus. J'ai toujours le tien, normalement, mais texte-moi pour vérifier. Je t'enverrai mon adresse.

Je lui ébouriffe les cheveux comme je le ferais à une gamine.

- Ton grand frère est de retour pour de bon. Et cette fois, tu t'en débarrasseras pas facilement !
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)