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Promis j'renverserais pas de café cette fois (Ezio)

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❝ if people were rain i was
drizzle and she was hurricane.

Ezio & Billie

Parfois il suffisait d'un rien pour faire de nouvelles rencontres, le genre de rencontre improbable comme tu les aimes en ce moment, alors forcément quand se genre de rencontre passe sur ton chemin, faut tout faire pour sauter sur l'occasion... Du café renversé, une chemise au pressing, quelques sms et voilà que ce soir tu allais passer ta soirée chez cet italien sexy du nom d'Ezio, et tu lui avais même dit que tu apporterais l'alcool, parce que monsieur s'occupait du dîner de ce soir. D'ailleurs t'en avais même profité pour le taquiner un peu dessus, étonnée d'apprendre qu'un homme savait cuisiner, mais après tout il était italien, alors forcément il marquait d'avance quelques points. C'était en cours que tu avais reçu un sms de sa part, et au lieu d'écouter le cours, tu lui avais répondu sans hésiter, acceptant son invitation. Depuis combien d'années tu n'avais plus eu de rencards ? Tu ne comptais plus, et tu avais quitté l'amphi où tu avais cours, tu étais partie faire quelques courses, de l'alcool, tu t'étais changée et c'était à l'heure que tu te pointais chez lui. Comme tu ne savais pas si son enfant dormait, tu préférais taper à la porte, ou même lui envoyer un texto pour lui dire que tu étais derrière la porte.
© LOYALS.
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Je ne sais trop ce qui m'a pris quand j'ai recontacté cette Billie - qui a failli foutre en l'air une de mes chemises préférées, mais ça je me suis gardé de lui préciser - pour l'inviter à passer la soirée avec moi. Avant Leonardo, la situation aurait été claire : si elle est d'accord, je couche avec, sinon à moi de savoir la séduire sans la brusquer, ou même simplement de rester ami avec si on se découvre des points communs.

Mais là, on est après Leonardo. Je n'ai plus de vie depuis février autre que travail/paperasses administratives/bébé/paperasses administratives/travail et je n'en peux simplement plus. Que je ne doive plus sortir et faire la fête jusqu'au milieu de la nuit, d'accord, mais après tout, qu'est-ce qui m'empêche de recevoir une fille chez moi ? Ce n'était pas comme si le petit s'en souviendrait, de toute façon.

Pourtant, je ne lui ai pas envoyé de SMS dans le but de coucher avec elle, même si elle semble plutôt d'accord. J'avais l'impression d'être un ado hésitant en écrivant ces textos, incapable de savoir si je pouvais me permettre de flirter ou pas. Pourtant, j'ai vingt-cinq ans, je ne suis pas stupide, je sais ce que ça signifie quand une presque inconnue accepte de venir chez vous avec de l'alcool. Mais ça me paraît étrange, je me sens presque gêné, j'ai l'impression de l'allumer sans rien pouvoir lui donner.

Elle arrive à l'heure promise, en m'envoyant un SMS de peur de réveiller le bébé. Heureusement, il a visiblement l'intention de rattraper toutes ses nuits passer à hurler sur son père, et dort énormément depuis quelques jours. Je suis sûr qu'il nous laissera tranquille ce soir. Ça ne m'arrange pas : en se réveillant, il aurait résolu mon dilemme. Quand je lui ouvre, elle est resplendissante. Moi-même, j'ai passé un jean et une chemise de qualité - je me suis amusé à en prendre une qui ressemble à celle du café.

- Salut, bienvenue dans mon antre, dis-je avec un sourire. Ne t'inquiète pas pour Leo, il dort comme un ange, tout va bien !

Je lui prends galamment ses affaires pour les ranger et l'entraîne à ma suite vers le salon. Le dîner est presque prêt, il frémit dans la cuisine, et on en sent les effluves depuis le vestibule. Je me suis fait un malin plaisir à lui préparer quelque chose totalement maison, avec des aliments frais que j'ai acheté en vitesse au traiteur du coin. Même avec des pâtes, on peut éblouir une fille.

- Étonnant qu'une jolie fille comme toi soit libre un vendredi soir, non ? la taquiné-je. Je te sers un verre ?

L'apéritif est déjà sur la table basse du salon, avec ce qu'elle m'a apporté.
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C'était bien la première fois que tu acceptais ce genre de "rendez-vous", avec ce genre de comportement il pourrait même croire que tu étais une fille facile, alors qu'au fond, pas du tout... Il broyait du noir, et toi, t'avais pas franchement le moral, tu repensais à tellement de choses, tu repensais à tes retrouvailles rapides avec ton ex et premier amour, tu repensais à cette nuit passée avec Nemo et au fait que tu avais failli être enceinte. Tu secouais la tête, pas question de repenser à tout ça ce soir, cette soirée devrait être parfaite, tu essaierais aussi de ne pas être maladroite comme Ezio te l'avais rappelé par texto, et à cette simple pensée t'eus un petit sourire aux lèvres. Tu venais tout juste de le prévenir que tu étais derrière la porte de son appart et te voilà en face de lui, il avait sorti le grand jeu, enfin presque, une chemise qui ressemblait à celle que tu avais envoyée au pressing  et un jean simple. Tu lui souriais quand il te souhaita la bienvenue et tu entrais donc dans son antre. "Waouh, c'est super bien décoré pour un appart d'homme." tu lui faisais en observant un peu les lieux alors qu'il te prenait ta veste pour te débarrasser d'elle. "Dis donc, ça sent super bon, on croirait pas que tu as préparé de simples pâtes." Tu le taquinais et déposais la bouteille de vin sur la table basse "J'ai pris du vin italien, j'espère que ça te va." Tu souriais et sortais une deuxième bouteille, de tequila cette fois-ci "Et ça, c'est pour plus tard. Et un vendredi soir généralement je ne fais rien de spécial, alors j'suis plutôt contente d'être ici."
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Elle entre, à l'aise, elle promène son regard un peu partout, elle prend ses marques, admire et complimente. Je la remercie, la décoration est simple mais c'est vrai que contrairement à la plupart des hommes seuls, j'ai aménagé l'appartement avec un peu plus qu'un frigo pour les bières, le matelas pour dormir et la télé pour s'occuper. Pour commencer, je ne trouve pas sain pour un enfant de vivre là-dedans, et ensuite, si je ne veux pas avoir le mal du pays, j'ai besoin de me rappeler le chaud soleil d'Italie. Le salon est donc grand, bien éclairé, une lithographie de Venise, ma ville natale, au mur, deux ou trois plantes vertes ici et là. Et puis bien entendu, il y a ma collection de DVDs, qui arrive deuxième derrière mon fils dans mon cœur, soigneusement alignée sous l'écran plat.

Je ris quand elle me complimente également sur le dîner à venir.

- Les américains croient que les pizzas à dix dollars et les pastabox représentent tout le talent culinaire de l'Italie, mais c'est de la connerie ! Ces pâtes, tu t'en souviendras toute ta vie, et un jour, tu iras à Venise, tu trouveras un restaurant coincé entre une maison prête à s'écrouler sur ses pilotis et un cordonnier qui va bientôt atteindre les cent ans, dans les tréfonds de la ville, l'odeur qui s'en échappe te rappellera une soirée merveilleuse datant de ta jeunesse, alors tu y entreras. Tu commanderas des spaghettis bolognaise sans vraiment y réfléchir, tu sais juste que c'est ça que tu veux. Et quand tu prendras ta première bouchée, tu te souviendras de l'italien sexy à la chemise tachée de café, qui t'a fait les meilleures pâtes du monde, des pâtes qui avaient exactement le même goût que celles que tu manges maintenant. Tu sais pourquoi ? Parce que ce restaurant, c'est celui de la meilleure amie de ma mère, qui a tout appris à ma mère, qui m'a tout appris à moi. Tu peux y aller dans quarante ans, ne t'inquiète pas, il sera toujours ouvert, il existe depuis des générations et ils ne risquent pas de laisser tomber l'entreprise familiale un jour.

Je raconte volontairement cette histoire avec ma plus belle voix de lover, en appuyant mon accent, en une caricature honteuse des clichés italiens. Pourtant ce que j'ai dit est tout à fait véridique. Je prends la bouteille qu'elle a ramené et regarde l'étiquette. Je ne sais pas si elle l'a fait exprès, mais elle a pris précisément le bon vin pour accompagner le plat que j'ai préparé. Mais elle n'a pas fini et mes yeux pétillent quand je la vois sortir une bouteille de tequila. Ça tombe bien, j'ai du citron vert...

- C'est parfait, tu n'aurais pas pu faire mieux ! Je te garantis un excellent vendredi soir, alors. En tout cas, tu me remontes déjà le moral, ajouté-je avec un clin d’œil.

Je sers nos deux verres, en la laissant s'installer sur le canapé. Sans plus tarder, je retourne dans la cuisine, où tout est prêt et sent délicieusement bon. Je mets en un tournemain les spaghettis parfumés au basilic dans deux assiettes, ajoute la bolognaise maison par-dessus, mets ce qui reste dans un bol et ramène le tout, avec fourchette, cuillère et parmesan, sur la table du salon. Je n'ai pas de vraie table, j'ai préféré prendre une table basse à la hauteur modulable, et je la fais remonter afin que nous soyons idéalement installés.

- Si tu veux un couteau, demande, je ne t'en voudrai pas, promis, plaisanté-je.

N'empêche que j'ai voulu faire le malin, mais je ressens un violent pincement au cœur en m'installant à côté d'elle. Avant qu'elle arrive, quand je cuisinais, j'avais presque l'impression d'être de retour chez moi, et je m'étais illusionné dans cette idée, savourant les souvenirs ramenés à la vie par mes gestes. Et maintenant, alors que j'ai fini de m'agiter, je me souviens que je ne suis plus chez moi, que ma mère est morte et ne critiquera plus jamais ma cuisine, que le seul rappel que j'aie de ma ville chérie est une simple reproduction accrochée à un mur, que les plantes égayant mon salon ne sont qu'une pâle imitation des oliviers embaumant la campagne italienne. Je suis écrasé par un terrible mal du pays depuis que je suis arrivé ici, et je n'ai même pas eu le temps de prendre cinq minutes pour m'attarder sur ce problème. Ça n'était pas arrivé l'année dernière - sans doute parce que le déménagement s'était déroulé sous de bien meilleures augures - si bien que cette fois, je suis totalement perdu et ignore comment y réagir.

Allez, Ezio, ce n'est pas le moment. Tu as invité cette fille sympa et sans prise de tête pour te changer les idées, justement. Haut les cœurs ! Je lève mon verre et plonge mes yeux dans les siens. On trinque. On boit. On commence à manger.

La soirée a commencé, ce soir, il n'existe plus rien d'autre que ce vin et cette fille qui me tendent les bras.
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Ce vendredi soir s'annonçait plutôt cool et détente assurée, du bon vin pour le repas, un bon petit plat italien dont Ezio était terriblement fier, ce qui d'ailleurs te fit sourire au passage, et tu l'écoutais raconter l'histoire ce plat, un peu rêveuse. Tu n'avais jamais mis les pieds en Italie, et après avoir mangé la première bouchée de ce plat, tu t'exclamais "La vache, c'est super bon !". Tu te rendais compte que tu avais été trop franche, que ce n'était peut-être pas le meilleur des compliments de la planète et tu te reprenais avec un sourire aux lèvres "Je veux dire... c'est délicieux, vraiment, faudra que tu me donnes la recette." Tu déposais ta fourchette pour prendre une gorgée de ce délicieux vin qui accompagnait parfaitement bien le plat et reposais ensuite le verre sur la petite table basse.

L'assiette vide et repue, tu te levais du canapé "Tu veux que je t'aide à débarrasser la table?" tu lui demandais, polie alors que tu le fixais un peu trop, tu avais ton verre de vin dans ta main et celui-ci glissa de tes mains pour venir tâcher ton petit haut que tu avais choisi pour la soirée. "Merde, quelle gourde, t'avais raison, j'suis bien une miss catastrophe..." Ton haut était fichu et tu puais le vin "Tu aurais un haut à me prêter pour le reste de la soirée ?" tu lui demandais, sans vraiment réfléchir et tu commencer à ôter ton haut...
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- Je ne sais pas si on a le droit de révéler nos secrets à un étranger, mais je ferai une exception pour toi, plaisanté-je.

Au moins la première étape est réussie. Nous profitons pleinement du repas, en discutant de tout et de rien. Billie est franchement sympathique, vraiment pas prise de tête, et avant d'avoir mon bébé, je n'aurais pas hésité une seconde. Néanmoins, plus le temps avance et plus je me demande pourquoi je me prends la tête. Qu'est-ce qui a changé ? J'ai un bébé et je me dois d'être responsable, d'accord. Avoir une relation pas sérieuse qui vient de temps en temps à la maison, ce n'est pas être irresponsable, je ne vais pas ramener les filles par paquets de quinze. Et je ferais mieux justement d'en profiter tant qu'il est petit, parce que je n'ai vraiment pas envie qu'il croie que courir les jupons est normal en en voyant une différente chaque soir, alors je me devrai d'être plus discret si je n'ai toujours pas trouvé la bonne.

La fin du repas coïncide avec la fin de ma réflexion, et visiblement, elle m'a vu prendre de plus en plus d'assurance car elle était de plus en plus souriante. Alors que nous repoussons nos assiettes vides, je suis redevenu à cent pour cent l'Ezio charmant et séducteur que je sais être. Elle me propose de l'aide, mais à la façon dont elle me fixe intensément, son esprit est à cent lieues des tâches ménagères. Elle est tellement déconcentrée que je vois le verre de vin pencher dangereusement dans sa main... J'ouvre la bouche pour lui signaler mais trop tard. J'éclate de rire.

- Je t'avais prévenue, hein ! T'inquiète pas, j'ai trouvé un bon pressing pour la chemise, ils pourront peut-être sauver ton haut aussi... Je peux te prêter quelque chose y a pas de soucis.

J'ai à peine fini ma phrase qu'elle commence à enlever son haut sous mes yeux sans aucun complexe. Bon sang, cette fille était-elle juste incroyablement distraite ou une vraie allumeuse ? Heureusement que j'ai eu l'occasion de rompre ma période d'abstinence avec Lyssana, parce que sinon, les yeux me sortiraient de la tête. Lyssa me connaît, mais je n'ai pas tellement envie de passer pour un incapable auprès d'une inconnue. Question de fierté, quand même !

Puisqu'elle joue à ça, je m'avance vers elle et alors qu'elle passe son haut par dessus sa tête, je me retrouve collé contre elle, les mains sur sa taille nue, la prenant par surprise.

- Tu sais, il y a une salle de bains pour se changer, dis-je avec ma moue la plus charmeuse.
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