As long as you love me | Samuel

Je suis devant mes étudiants, j’ai dû m’absenter durant plusieurs jours enfin plutôt semaine à cause de quelques grosse merde de ma vie. Déjà la perte de Léa et ensuite de… ma mère. Alors qu’on était venu à Hawai pour se reposer, Ivy et moi avons découvert que ma mère était décédée ce qui m’a mis un sacré coup. Cela n’a absolument pas aidé mon couple et je pense que cela bat vraiment de l’aile. Quand je suis rentré je ne l’ai pas vu et selon Indy elle était en week-end avec sa mère. Je n’ai pas vraiment cherché à la joindre afin que chacun puisse prendre du recul sur la situation. Beaucoup d’élèves étaient venu au début du cours me dire qu’ils étaient heureux de pouvoir me revoir et que mon remplaçant ne me valait pas, j’esquissais toujours un petit sourire afin de ne pas cacher mon état émotionnel à mes étudiants et d’autres venait me souhaiter mes condoléance pour ma mère, je ne savais pas si la perde de ma fille avait été divulgué étant donné que beaucoup savait Ivy enceinte et puis suffisait de la voir. J’essayais de faire mon cours normalement et sécher un peu mes yeux quand j’étais dos à eux. Ma mère ne voudrait pas voir son fils ressemblait à une fillette et si elle était là elle me dirait sans doute que j’étais sa fierté même quand je partais en mission et que je risquais de pas revenir. Je n’aurais pas eu le temps de me dire au revoir, mais sa lettre mettant ses derniers mots est dans ma boite avec les photos.

La fin du cours approchait je regardais ma montre « revoyais bien ce que vous avez vu avec le remplaçant et la prochaine on reverra ce que vous n’avez pas compris ensemble, je vous préviens la suite risque de ne pas être amusante pour vous, je vais mettre les bouchées double. Vous aurez droit a des cours particulier si jamais cela va trop vite pour vous. » Je les regarde s’en aller chacun leurs tours et commence à ranger mes affaires, je devais trouver le moyen de pouvoir voir Ivy afin qu’on puisse parler. Alors que je regarde la porte je la vois contre me regardant et finir par venir se blottir dans mes bras alors que je n’ai pu dire aucune mot et je l’entends pleurer. Je la serre fort contre moi collant ma joue contre ses cheveux blond, elle m’avait manqué horriblement manqué. Je lui embrasse les cheveux. Continuant de la porter alors que j’ai les yeux luisant, tellement heureux de pouvoir la ravoir dans mes bras « tu m’as horriblement manqué chérie, désolé d’avoir été absent si longtemps. J’aurais jamais dû te laisser partir… » Je ne voulais pas la lacher.

Je pouvais enfin de nouveau sentir son odeur, la douceur de ses cheveux et pouvoir revoir son visage qui m’a tant manqué. Je n’aurais pas dû la laisser partir et au lieu de rester sur mon île de la rejoindre ici afin de veiller sur elle pour qu’elle ne fasse pas de bêtises. Elle n’avait pas dû être tendre avec son frère qui d’ailleurs je devrais aller voir afin de le remercier d’avoir veillé sur elle à ma place. J’étais resté trop longtemps loin d’elle et à présent je ne voulais plus la quitter. Je la sentais en train de pleurer mes yeux étaient luisant, de pouvoir la revoir. Je me demande si elle pense comme moi, après tout j’ai été un égoïste de l’avoir laissé toute seul alors qu’elle avait besoin de moi. Je lui avouai qu’elle m’avait horriblement manqué, mais l’émotion semblait lui avoir coupé la parole et préférait avoir son visage blottit contre ma prenant. Je la sentis bouger et elle posa son front contre mon torse, elle allait dire quelque chose ? » Puis j’entendis des murmure, Wade, trompé ? Comment ça trompé, qu’est-ce qu’elle veut dire par là ? Qu’est-ce qu’elle a bien pu avoir fait ? Ce connard aurait profité de son mal-être afin d’obtenir ce qu’il voulait ? L’alcool, elle était soule… J’étais pas mal soul aussi alors qu’elle n’était pas là. Je l’écoutais fixant mon regard sur son crâne, mes mains toujours autour de sa taille, elle continuait d’énumérer les choses. Puis le mot que je ne voulais jamais entendre de sa bouche, elle l’avait… embrassé, ce n’était pas lui, mais elle qui avait… Non ce n’est pas possible pas ma chérie, lui j’aurais compris, mais que ce soit elle qui le fasse. Elle se dégage de mes bras et se recule, levant les yeux, les joues remplie de larme. Je ne la regarde pas et tourne un peu le visage, elle l’avait embrassé. Je vais le tuer, je vais trouver ce mec et lui montrer ce que ça fait de perdre des gens qu’on aime, la suite me déchirant encore le cœur, il… C’est un enfoiré il a profité d’elle ou est-ce elle qui… non cela était impossible. Je ne savais pas si j’étais en colère ou déçus et en même je me haïssais de ne pas avoir été présent. J’aurais été là c’est moi qu’elle serait venu voir enfin peut-être pas cela aurait rien changé peut-être. Le coup de gifle me fit sourire à l’intérieur, car ce n’était pas une gifle que je lui donnerais, mais un voyage à l’infirmerie.
La suite de ses mots me fit relevé les yeux, tout est fini comment ça ? J’avais une fiancé vraiment courageuse je dois l’avouer, faible, mais en même temps très forte. Je passe ma main sur sa joue et essuie quelque larme. J’ouvre « je devrais t’en vouloir pour tout ce que tu viens de dire, tu as réalisé ce que je craignais le plus en me mettant avec toi, en devenant fou de toi. Je…Je ne sais pas ce que je dois penser de ce que tu as dit, mais je me déteste pour t’avoir laissé livrer à toi-même, j’aurais été là tu n’aurais pas bu et tu n’aurais pas réalisé cette terrible erreur que tu regrettes en ce moment, mais tu es celle que j’aime parce que tu ne le sais pas, mais tu es forte. Tu viens de faire ce que beaucoup n’aurais pas fait, justement parce ce que tu m’aimes plus que tout… » J’attrape son visage et l’embrasse, ce baiser qui transmet vraiment l’amour qu’on a pour une personne et je prends sa main et entrelace nos doigt, rompant notre baiser et lui montre nos deux doigt « ces deux bagues signifient que je serais à toi jusqu’à mon dernier souffle, rien n’est terminé Ivy au contraire tout ne fais que commencer. » Je la regarde dans ses yeux remplies de larme « je t’aime plus que tout Ivy et je veux plus te laisser toute seul a présent. » Je la colle contre moi pour l’enlacer « et je veux plus que tu me laisse tout seul et que je tombe dans le néant »

Comment elle avait pu faire cela alors qu’elle savait dans l’état auquel j’étais aussi, non cela était de sa faute, je serre le poing, mais je ne pouvais rien contre elle tout était de ma faute aussi. J’étais responsable de son action, elle avait besoin de moi et je n’étais pas là. Elle se recule et repousse ma main alors que ce que je disais était sincère, j’étais à elle pour toujours. Je détourne le regarde alors qu’elle me demande comment je pouvais encore vouloir d’elle, puis l’entendre dire qu’elle avait aimé ce baiser me fit serrer les dents. Je savais que j’aurais dû rentrer et laisser Mick s’occuper des funérailles, combien il me l’avait dit de la rejoindre, mais la douleur était trop forte, j’aurais été pire que détestable en revenant ici, il me fallait de la distance, au final j’aurais pas dû.

Ce qu’elle disait était vrai, elle m’avait dit de revenir, mais je ne pouvais pas, mais elle se moquait de moi, elle sait pourquoi je ne suis pas revenu tout de suite, puis là elle débloque complétement, comment ça pourrait être de sa faute « ferme là !!! Comment tu peux oser dire tout ça ? Comment hein ? Pourquoi je ne suis pas revenu ? Tu le sais très bien idiote, c’était ma mère putain de merde J’ai perdu deux des trois femmes de ma vie tu le comprends ça ou quoi. » Je serre les dents, les yeux brillant je la regarde « Je t’en veux, oui je t’en veux pour avoir osé me dire que tu as aimé ce baiser, tu peux pleurer bien comme il faut, quand il s’agira de lui je n’aurais plus aucune confiance, plus aucune et tu sais quoi prie pour que je le croise jamais sinon tu le reconnaitra plus tellement je l’amocherais quitte à perdre mon boulot d’enseignant, c’est ta faute autant que la sienne, mais lui je peux le tabasser jusqu’à qu’il en crève. Ensuite je te giflerais bien pour oser dire que Léa est morte par ta faute, tu n’as rien fait putain, tu l’as accepté… tu as accepté ta fille et elle l’a senti. Ça t’a peut-être tué de la perdre, mais à moi aussi alors ne sois pas égoïste !!! » Je la regarde avec des yeux noir « je t’aime quoi qu’il puisse arriver, je t’aime comme un fou, mais là tu me dégoute d’être aussi gamine, je n’ai pas pu te protéger, mais toi tu enfonces la lame. » Je donne un coup sur mon bureau et baisse la table « Je pensais pouvoir te pardonner, mais non apparemment ça va pas se passer comme ça, maintenant tu vas t’en aller et plus venir me voir pendant un temps, c’est moi qui viendrais à toi quand j’en aurais décidé. Tu as qu’à passer ton temps avec ton meilleur vu que tu as aimé ce baiser, tu auras plus de ma part. » Je me mords la lèvre et prend mes affaires et passe a côtés d’elle, des larmes coulant sur ma joue, je ne la regarde même pas et me dirige vers la porte.

Je passe a côtés d’elle après avoir versé un soupçon de ma colère, mais finalement elle se tourne et se met à parler, si c’était une idiote et une vrai j’ai envie de dire. Autant de temps pour l’enterrement, ma parole ce qu’elle est bête, je ne suis pas américain, mais Hawaïen je croyais qu’elle le savait cela. Ce qu’elle dit est vrai, elle avait besoin de moi comme j’avais besoin d’elle. je sens de plus en plus ses larmes verser, mais je la regarde pas, mais quand elle me dit de la regarde, je le fis les sourcil froncé. Je me mords la lèvre comme si tout était de ma faute je ne la contrôlais pas elle faisait ce qu’elle voulait et elle l’a fait je crois. Apparemment je la traiter comme une fille et pas comme ma femme, mais soit je fais peut-être cette impression, mais je n’en passer pas un traitre mot par contre je me rappeler pas qu’elle vivait plus avec lui, qu’elle l’a fait pour moi ou pour nous. Je la regarde passer et lui attrape le bras « tu vas bien écouter ce que je vais te dire, je ne suis pas américain, je suis Hawaïen, tu ne connais pas ma culture, mes tradition chez nous un enterrement ne dure pas une journée alors oui je suis resté là-bas plus longtemps car j’ai tout détruit à part la maison j’ai plus rien qui me retiens là-bas car j’ai tout ici c’est-à-dire toi. Tu serais pas là je ne serais pas revenu ensuite là tu as agi comme une gamine pas comme ma fiancé alors je te traite comme tel et tu es une idiote, car tu sais que je t’aime. » Je passe devant elle et ouvre la porte en y donnant un coup de pied : « j’ai accepté Lea, mais tu l’as fait aussi bien avant, mais tu avais encore peur tout simplement et je suis comme ça, car je suis fou de toi, maintenant je souhaite qu’un truc le croiser pour lui faire comprendre ma façon de penser de cette histoire et on verra si le drogué tiens le choc. » J’attrape un truc dans ma poche et lui lance une bague « prend ça et met la si tu m’aime ça te rappellera combien je t’aime » et je lui montre mon collier que j’arrache et j’enfile la bague a mon doigt « t’es a moi personne te prendre j’espère que ça rentre dans ta tête même si je suis en colère tu restes ma fiancée et je suis à toi, retiens le bien Ivy ! Si je le vois proche de toi je viendrais le chopé sans hésité » Je passe la porte alors qu’elle s’abat pour se refermer sur moi, me cachant d’Ivy.