ENOLA HODGKIN ► Vita Sidorkina

Bonjour, je m'appelle Enola HODGKIN, j'ai 21 ans. Je suis née à Edinbourg le 15 Mai 1994 sous un temps clair -ce qui est rare dans la région- Ma mère, quand je suis née, souahaitais me rendre le plus heureuse possible. Mes enfance était compliquée. Mes parents se disputaient régulièrement à cause de moi. Mon père lui, n'assumait pas son rôle et blâmais ma mère de m'avoir gardée. Il ne concevait pas qu'un homme comme lui pouvait devenir père. Il m'a de nombreuses fois insulter, ce qui, au même point qu'une gifle, tout aussi blessant. Seulement, les blessures qui en résultaient ne pouvaient pas se voir. Ma mère, qui n'était pas au courant de ce qu'il se passait avec mon père, subit un choc quand je lui raconta. J'avais 8 ans quand ma mère a demandé à mon père de partir. Il n'a pas fallut lui dire une seconde fois. Quand je suis rentrée de l'école, il n'était plus là. Et comme s'il n'avait jamais existé, toutes photographies ou trace de lui avait été effacées. Je suis cependant très proche de ma mère et je ne lui en veux absolument pas de l'avoir mis à la porte. Depuis, elle a trouvé mon beau-père, un homme intelligent et agréable qui m'a appris les bases fondamentales de l'écriture. Ma mère, elle, travaille dans une boutique au milieu de Princess Street. Grâce à cet homme, il m'a apprit à aimer la culture de l'espit et la maîtrise des langues. En plus de l'anglais, je peux parler couramment russe, chinois et français.
Un été, nous sommes paris en vacances dans le Sud de l'Italie. J'en garde des souvenirs merveilleux, ainsi que la trace de mon premier amour. En effet, j'avais 12 ans et, comme la plupart des jeunes filles, j'étais naïve. Un jeune Italiens habitant dans le village à côté du notre s'est amusé à me séduire. Il n'en fallait vraiment peu. Un accent anglais a-do-rable, une peau bazanée et une vie sous le soleil en percpective. Nous nous sommes rencontrés au cours de l'une de ces soirées organisée par un groupe d'amis des deux vilages. Ma mère, qui s'exercait à la langue, m'avait laissée en totale autonomie. Un jeune homme me propose un verre, que j'accepte naturellement (nous rêvons tous de ce genre d'expérience à 12 ans). Après plusieurs verres, nous discutions gaiement. Il m'a proposée de nous revoir le lendemain, puis le jour d'après... A la fin de la semaine, il s'est avéré que, malgré les milliers de kilomètres et les 3 ans qui nous séparaient, j'étais irrévoquablement tombée amoureuse de lui. Cependant, quelques jours plus tard encore, nous avions décidés de se retrouvés devant un feu de camp avec ses copains, tous bien plus âgés que moi. Bien qu'il y ait quelques filles, ces dernières n'ont rien fait pour empêcher ce qui allait suivre. Une fois les présentations faites, onme propose des verres. Les bouteilles se vident peu à peu et la nuit commençais à être noires. Sous le chant des cigales, ce jeune homme voulait trimballer ses mains parout sur moi. Protestation et révoltes n'y changeaient rien. Sous le regards de ses copains qui riaient tous aux éclats, il m'a enlevé mon haut, puis continuait à me déshabiller. Prise de colère et de peur, je me suis énervée vraiment fort. J'ai réussit à me sortir de là avant que ça n'aille trop loin, mais dans ma démarche de fuite, il m'a rattrapé et m'a laissé une marque. A mon retour en Ecosse, je me suis désormais méfiée des hommes.
Plus tard, j'ai fait mes études à l'Edinburgh College. A l'âge de 13 ans, je suis entrée dans le club de journalisme de l'école. Au fur et à mesure, je me suis prise de passion pour cela et j'ai l'ambition d'en faire mon métier. Mon beau-père était également très présent derrière moi pourm'aider à acquérir l'essentiel à savoir. Je me suis vie démarquée de mes autres camarades et à 16ans, un journal local m'a engagé pour écrire quelques sujets chaque semaine. je continuais à exceller dans ce domaine quand une chance inoïe s'est présentée à moi : une interview avec Sean Connery. Cette interview est parue dans le journal national et j'ai pu ainsi en récolter une grande notoriété.
Ayant mis de l'argent de côté après ces quelques années, je décidais d'envisager un nouvel objectif de plus grande envergure : la conquête de l'Amérique. J'ai donc fait mes valises, pris un billet d'avion et la semaine suivante, je posais les pieds pour la toute première fois sur le sol Américain. Dès la première année dans ce nouveau pays, j'ai cherché à travailler dans le journalisme, comme lorsque j'étais chez moi. Malheureusement, je n'ai pas réussi à trouver. Je suis actuellement serveuse. Cela me permet de subvenir à mes besoins, mais je continue de presévérer dans mes recherches. Je travaille dans ce bar tous les soirs de la semaine. La vie en Amérique est vraiment très différente de celle en Ecosse. Mais les personnes que je cotoie son toutes très gentilles et comprennent ma situation. Aujourd'hui, je me suis très bien adapté à cet endroit magnifique, et j'espère continuer de vivre en Amérique pour quelques années !