LUKA JOHAN PETROVA ► liam hemsworth

Tu es né le 12 janvier 1989, à Moscou en Russie. Tu es l'aîné d'une très grande fratrie et tu es surtout le fils d'un très grand politicien reconnue dans ton pays et d'une mère ballerine. Autant dire que tu as été élevé dans le luxe et l'aisance la plus totale et que toi, autant que tes deux sœurs vous n'avez jamais manqué de rien. Tu as grandi dans un mode de vie assez rude, où la feignantise n'avait pas sa place. Tes parents ont toujours tout fait pour vous et il était normal que vous leur rendiez. Ils t'ont inculqué des valeurs auxquel tu tiens énormément et dont tu es très fier, l'argent ne rends pas toujours stupide ou méprisant et ta famille en est la preuve vivante. Certes vous viviez avec beaucoup de gens qui travaillaient pour vous, ménage, cuisine, jardin, mais au fond il était clair que c'était uniquement parce que tes parents n'ont jamais vraiment eu le temps pour tout ça, mais ils ont toujours eu beaucoup de temps pour vous, surtout ta maman. C'était une femme sérieuse, rude et travailleuse, elle pouvait souvent paraître froide envers vous mais vous saviez qu'elle était ainsi uniquement pour votre bien. Il était inconcevable pour elle d'avoir des enfants irresponsables et sans éducation, les Petrova ont toujours été d'une lignée de gens très aisés, poli, avec une très grande reconnaissance et une intelligence hors-pair. Lorsque tu étais plus jeune, tu as toujours fréquenté des écoles privées où se trouvaient seulement des enfants de riches ou de personnes connues, tu as donc toujours fréquentés des gens de ce monde-là et tu n'as jamais eu de soucis pour te sentir à ta place. Tu as toujours été ce garçon sociable, qui s'entend avec tout le monde du moment qu'on ne le cherche pas. Tu as rapidement affirmé ton caractère d'ailleurs, garçon honnête, sensible, indépendant, franc et sportif. Le sport d'ailleurs, parlons-en, c'est ta passion depuis tout jeune. Enfant, tu voulais toujours jouer au basket avec Oksanna, seulement en tant que fille il été rare qu'elle y joue pendant plus de dix minutes sans finir par se plaindre qu'elle en avait marre et à cette même époque on ne pouvait pas non plus dire que ton père était très présent pour vous. Du coup tu jouais seul, mais cela te plaisais.

Vers l'adolescence, tes parents étant de plus en plus absent tu as commencé à t'occuper seul et quotidiennement de tes frères et soeurs ce qui ne t'a jamais réellement dérangé car tu les as toujours adorés et tu aimais prendre soin d'eux. Tu avais une grosse responsabilité sur tes épaules mais tout le monde avait une confiance aveugle en toi, tu avais su faire tes preuves en tant que garçon responsable et tes parents étaient très fiers de cela. Tu t'es occupé d'eux comme de tes propres enfants malgré tes quinze ou seize ans. A l'école, tu étais très souvent le meilleur de la classe, un avenir très prometteur s'ouvrait à toi et tu faisais très clairement la fierté de ton père qui souhaitait que tu sois politicien comme lui, or toi cela ne t'intéressais pas. La politique n'était pas ton truc, le droit oui. C'est aussi à ce moment-là que les relations entre ton père et toi sont devenus un peu compliquées, il agissait bizarrement en se permettant de te forcer à faire des choses que tu ne souhaites pas tout en étant totalement absent au quotidien. Tu as fini par apprendre qu'il avait trompé ta mère bien avant et même encore après et tu as coupé tout contact avec lui, lui en voulant énormément de ce qu'il avait fait à ta maman. Pour montrer ton total désaccord avec lui, tu as réussi à entrer à l'université la plus prisée de Moscou pour étudier en droit mais également en sport. Il n'avait absolument rien à te dire et cela t'arrangeais beaucoup. Au bout de trois ans d'études à Moscou, tu as fini par vouloir intégrer une université encore plus prisée et mondialement reconnue : Harvard. L'argent n'étant pas un problème, tu as tout de même demandé l'accord de ta mère qui, avant que tu partes t'a demandé à ce que tu pardonnes à ton père. Tu as fini par le faire, pour elle et pour tes frères et soeurs, après tout une famille ne devait pas se déchirer. Si ta mère avait pu lui pardonner, tu devais également le faire. Puis, avoir une demi-soeur n'est finalement pas si désagréable.

Ton arrivée à Harvard fût difficile au début, pour la simple et bonne raison que ta Russie te manquais mais surtout ta famille. La vie américaine n'avait rien avoir avec ce dont tu était habitué, mais cela ne t'empêcha pas de t'intégrer assez facilement dans cette université. Continuant tes études de droit et de sport en parallèles, tu t'épanouis finalement sur le sol américain, bien plus que tu ne l'aurais imaginé. Ta sociabilité t'a beaucoup aidé à rencontrer rapidement des gens et à ne pas te sentir seul, tu as été à des fêtes rapidement sans pour autant perdre les valeurs que tu avais. Respectueux des femmes, tu n'as jamais joué avec aucunes d'elles et l'alcool n'a jamais été ton truc, en tant que sportif il est inconcevable pour toi d'y toucher. D'ailleurs, depuis ton arrivée à Harvard tu passes beaucoup de temps à la salle de sport en plus de tes entraînements et tu adores cela. Tu es très studieux, tu aimes de plus en plus le droit et ton rêve de devenir avocat se rapproche de plus en plus. Tout allait très bien pour toi jusqu'à l'appel de ton père qui t'annonça une nouvelle dont tu te serais bien passée : le décès de ta mère. Une femme forte, formidable, que tu appelais tous les jours et à qui tu promettais de venir très rapidement la voir. Mais il n'en fut rien, elle vous avez quitté prématurément et tu n'entendrais plus jamais sa voix. Cela fait un an mais tu n'arrives toujours pas à oublier, tu n'oublieras jamais mais le deuil risque d'être très long. Tu t'es donc encore plus acharné sur tes cous et tes entraînements afin de noyer ton chagrin dans quelque chose d'utile, ton but étant de la rendre fière de là où elle se trouve.