WHAT DO YOU WAITING FOR. (alexander)

Je sais pas ce qui me prend, peut être le désire de me faire un homme de pouvoir, ou juste qu’Olive m’a donner envie en me disant qu’Alexander était un bon échapatoire. Je voyait un lui, un énorme fantasme, entre le mec qui t’attacher à un radiateur, pour t’obliger à faire des trucs cochons, et le mec qui est tellement bon dans ce qu’il fait qu’il te fait oublier tout tes soucis. C’est mon plus gros fantasme. Alors je me suis lasser emporter dans une idée totalement stupide. Je me suis habiller comme une fille dans ses films porno, ou ça finit toujours en partouze. Genre une petite nuisette de chez victoria secret et un gros trench-coat, un rouge à lèvres rouge pétant et une paire de talon, un peu trop haut ? Je savait pas que des aussi fine et d’aussi long ça exister en tout cas. Je suis aller à la Mather House, en espérant qu’il ne soit pas en réunion, ou en révision, et j’ai toquer à la porte de sa chambre. J’ai attendu qu’il ouvre la porte, pour adresse un sourire qui en disait looooooong. Oh la la, Alaska à quel moment t’es devenue une petite coquine. « Bonsoir, monsieur Strudwick. » dis-je en balançant une mèche de cheveux derrière mon épaule. « Je voulais vous parlez de quelque chose d’important. Qui nécessite qu’on soit seul. Et que donc je dois entrée pour.. 'fin pour le truc important, j'veux dire.. » STOP, je perd ma voix sexy et panique un peu, je reprend mon calme pour lui adresser un sourire anxieux. ME REMBALLE PAS, ME REMBALLE PAS, ME REMBALLE PAS.

Mon projet de fin d'année me cassait les burnes, pour être honnête. Enfin coder en soi n'était pas réellement un problème, au contraire. C'était ma passion, je kiffais ça bien plus que tout le reste - sauf Robyn - et j'y passais des heures. Mais là, écrire un rapport, préparer une soutenance, c'était de la meeeeerde en boite. Et ça m'énervait. Alors quand quelqu'un venait frapper à ma porte, sans que je ne sache qui c'était, je prenais cette pause volontiers. Refermant le clapet de mon ordinateur, je me relevais de mon lit, passant une main dans ma poche quand je venais ouvrir la porte. J'y découvrais Alaska, habillée très suggestivement. Enfin, elle avait un long manteau et des talons hauts. Je me demande si elle porte énormément en dessous en fait, pour le coup, vu que ça ressemblait à bien des films hollywoodiens. Je me mis à arquer un sourcil avant de me décaler de l'entrée. « Vasy, entre » Elle avait l'air d'être mal à l'aise et je ne comprenais pas vraiment pourquoi. C'était bien pour cette raison que je la faisais entrer. Elle avait tout simplement piqué ma curiosité.

D’accord, j’suis pas super forte pour les plans meuf sexy à la Marilyne. Quand il ouvre la porte, je vire au rouge, les joues roser et la voix qui commence à béguailler. J’ai même du mal à me rappeler qui je suis et ce que je fou là, mais son visage de mec ultra sexy me remet sur le droit chemin : 50 NUANCES DE STRUDWICK. Je fait passer une mèche derrière mes cheveux, et m’aventure doucement dans son appartement. Doucement, parce que mes talons sont vraiment haut, et que j’ai un peu du mal à marcher avec. Depuis quand le sol est aussi haut ? Je manque de glisser, attrape quelque chose en chemin, et me rend compte que c’est une lampe qui se frappe au sol. BORDEL DE. « J’espère que c’était pas un héritage..» dis-je dans une grimace, pas douée. J’arrive à me poser sur le canapé et vire les coussins, je m’installe confortablement, essaie de placer mes mains de manière sexy, mais c’est pas gagner. J’reprend ma voix sexy et penche la tête pour jouée l’aguicheuse. « J’espère que je ne vous dérange pas dans vos activité, monsieur Strudwick.» dis-je en passant mes doigts sur la boucle de mon trench coat, pour l’ouvrir délicatement. Et le laisser tomber, juste sur le haut de mes épaules nue.

La présence d'Alaska sur le pas de ma porte était étonnante mais pas forcément désagréable. Je me demandais surtout pourquoi elle se trouvait là, vêtue de cette façon. Enfin, du coup je la faisais entrer quand même parce que j'étais curieux de savoir ce qu'elle me voulait. Mais j'étais loin de penser que ce serait une boulette en son genre. Pouf, une lampe de cassée. Me retenant de rire, je la regarde s'aventurer jusqu'au canapé sur lequel elle s'installe de manière... aguicheuse. Elle est sérieusement en train de faire ça ? Forcément, quand je vois qu'elle commence à retirer son manteau, avec genre ses épaules dénudée, mes lèvres pincées se transforment en lèvre mordue par mes dents, montrant que j'aimais ce que je voyais. « Non, j'faisais une pause.. » Mon regard la parcourait de bas en haut avant de m'attarder sur ses lèvres. « Tu.. Qu'on soit clair, tu veux coucher avec moi ? »

J'essaie de faire de mon mieux, mais le mieux que je puisse faire, fait tomber des vasses et fait un trou dans le tapis. Trou que j'essaie de faire disparaître en laissant tomber un coussin au sol, si tout vas bien il penseras que je ne l'ai pas fait exprès, si tout vas mal il va se buté et me forcer à recoudre le tapis, maintenant, tout de suite, dans cette tenu si légère que n'importe qui pourrais lire en moi. « Parce que si c'est un héritage, je ne pourrais pas le remplacer, mais sinon j'peut t'en acheter une chez Ikéa, qui seras probablement mille fois plus belle, et qui fait différente couleur même, c'est vendu avec une petite télécommande et tu peut changer couleurs, y a du rouge, du bleu du- » j'me stop parce que j'suis pas là pour faire du marketing ou encore pour refaire la décoration de sa chambre, bien qu'un coup de peinture pourrais éclairer cet pièce et donner un effet de profondeur, on aurait l'impression que c'est plus grand, avec peut être un autre tapis et des meubles pour jeune et funky ? BREF. Je passe une main dans mes cheveux, reprend ma voix sexy et ténébreuse, et commence mon petit spectacle d’aguicheuse, je voit son visage montrer clairement qu'il n'est pas indifférent à ce qu'il voit, ce qui me fait gloussant légèrement, jusqu'à ce qu'il pose la question. « Je n'aime pas être clair. On peut dire qu'on va faire du sport de chambre ensemble ? Brûler 260 calories l'un contre l'autre ? Jouer au docteur ? » j'fais une petit moue de bébé chat, et arbore ensuite un sourire au coin. « Après, c'est comme tu veux. J'ai envie de faire du sport, et j'ai penser à toi. »

Elle était.. maladroite. Très maladroite. Heureusement pour elle, j'en avais rien à faire de cette lampe. Mais bon, du coup elle se mettait à parler, blablater pour ne rien dire si je veux être plus précis. Bras croisés contre mon torse, je l'écoutais sans vraiment faire attention. Le sourire au visage, je restais amusé de la situation. Finalement, elle cessait de parler, ce qui me fit décroiser mes bras pour glisser mes mains dans mes poches. Reprenant son assurance, je venais m'approcher d'elle en étant le plus clair possible. Et visiblement, c'était bien ce que je pensais. « Okay, je vois » A présent à côté de la porte, je fermais à clé histoire qu'on soit tranquille elle et moi et puis je retirais mon t-shirt, me retrouvant torse nu. « T'attends quoi ? Retire moi ça » disais-je en mentionnant son manteau.

C'est pas mon fort ce genre de situation, mais j'essaie de faire avec mon temps. C'est révolue le temps de la petite Alaska, fébrile et vierge, maintenant c'est Alaska la tigresse qui doit prendre le relais. Mais Alaska la tigresse ne s'attendait pas à ce que monsieur sexy mather retire sa chemise, et dévoile sa musculature de dieu grecs. Alaska la tigresse a la bouche béant, et les yeux tout rond, il faudrait peut être qu'elle réagisse comme il le faut ? Ta veste, ta veste, lui cris sa conscience. BON RÉVEILLE TOI, RAVALE SA SALIVE ET AGIS. C'est ce que je fais, j'enlève mon trench avec un peu de hâte et la balance de l'autre côté de la pièce, faisant tomber cette fois-ci un verre qui était poser au sol. « Oops ? » dis-je encore une fois, avant de me redresser, je vire les talons, avant de ne blesser quelqu'un, et met mes cheveux derrière mon épaule, pour dévoiler ma petite tenue sexy de chez victoria secret. « Tu me laisse faire ? J'te laisse faire ? Qu'est-ce qu'on fait ? » dis-je en m'approchant de lui, les yeux river sur son torse nu. « Je sais pas si t'as remarquer, mais je suis un peu maladroite. » dis-je en toute honnêtes.

Je sais pas ce que j'ai fait pour mériter ça, mais ouais, ça me plaisait drôlement bien. On m'offrait carrément du sexe sur un plateau, qui étais-je pour refuser une telle offre ? Ouais non, je ne pouvais pas refuser. Du tout. T-shirt retiré, je m'étais mis en tête de fermer la porte avant de faire quoique ce soit d'autre. Et une fois que c'était fait, les choses pouvaient commencer. Sauf que bon, elle était aussi adroite qu'une main gauche. Non pas que je traite les gauchers, j'en suis moi-même un.. ouais bon, ambidextre, mais bon, l'expression veut qu'on parle des maladroits comme ceux qui ont deux mains gauches. Donc voilà. Elle en avait deux et faisait tout tomber en retirant son trench coat. « Tais toi » lui disais-je alors qu'elle ne cessait de parler et je me collais à elle tout en capturant ses lèvres. Au moins là elle ne dira plus rien. Posant mes mains de part et d'autre de ses hanches, je l'attirais avec moi jusqu'à mon lit sur lequel je l'allongeais, sans attendre. Ouais, il était préférable qu'on passe à la vitesse supérieure, son petit ensemble sexy faisait son effet.

C'est Alexander Strudwick, devant moi, torse nu, son mal raser et ses pectoraux. Est-ce qu'il peut rester torse nu toute sa vie ? Ou est-ce que c'est interdis par la loi de montrer ô combien, il est sexy ? Je pense qu'il risque de prendre cher, dans le style 3 ans de prison ferme pour avoir rendu une dizaine de fille enceinte d'un simple coup de regard. Et je perds un peu panique en laissant tomber mon trensh, mais rien n'est perdu si je reste concentrer, je bégaie un peu ne sachant pas comment m'y prendre, et au final je le laisse mener la barque. De toute façon il s'est y faire, c'est un chef de baise, un capitaine du sex.. un.. je trouve plus d'autre surnom à sonorité érotique, puisque ses lèvres sont collé aux miennes, que mon corps devient de plus en plus chaud, et que sans pouvoir riposter, ni émettre un avis je me retrouve dans son lit, lui sur moi, et moi essayant de poser mes mains quelques part, avec beaucoup de difficulté. Je le laisse faire, échangeant de long baiser passionner et torride, et décide d'inverse les rôles. J'le met allongée, passe sur lui, et m'assoie sur son bassin. Je fais glisser ensuite le bout de tissu que j'ai sur moi, le long de mes courbes, me retrouvant en petit tenue. « Punissez moi, monsieur Strudwick, j'ai été une très très très vilaine jeune fille. » dis-je en me baissant pour remplir sa nuque de baiser. « Si tu trouves pas ça excitant, je peut prendre un accent russe, tu trouvais ça excitant un accent russe ? Ou polonais, au choix. » merde Alaska, la ferme bon sang.

Forcément que je me sentais chanceux. Je n'avais pas besoin de bouger de ma chambre pour me trouver une fille à mettre dans mon lit. La réputation qui me précédait les faisait venir directement ici. Autant dire tout de suite, je ne suis pas si malheureux de cette situation. Je venais la pousser dans le lit en me mettant sur elle, l'embrassant sans retenue. Mais elle n'avait pas l'air d'être d'accord puisqu'elle reprenait le dessus, se mettant sur moi en retirant ses vêtements. Putain ouais, qu'elle continue comme ça. Sauf que forcément, elle se mettait à parler et mon doigt se retrouvait immédiatement sur ses lèvres pour l'en empêcher. « Tais toi j'ai dit » Je me redressais afin d'être face à elle et j'attrapais encore ses lèvres, laissant mes mains découvrir son corps. Et puis ouais, j'avais envie de la déshabiller entièrement afin de la découvrir par moi-même et non parce qu'elle a décidé elle même d'enlever ses vêtements. « Arrête de parler et laisse toi faire » Je glissais mes mains sur ses cuisses, les remontant jusqu'à ses hanches alors que je sentais des frissons la parcourir. Il était clair que je lui faisais de l'effet et je ne comptais pas m'arrêter en si bon chemin.