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Ethan & Juliette
Il y'a quelques semaines, je rentrais d'un de mes voyages pour prendre des nouvelles de ma mère. La case aéroport était bien évidemment obligatoire vu la distance qui nous séparait ma mère et moi. C'est donc à cet endroit que j'ai rencontré pour la toute première fois Juliette. Elle avait l'air désemparée, épuisée, je me suis donc porté volontaire pour l'aider à retrouver ses bagages qui devaient tourner depuis une bonne heure sur les tapis roulants.
Au début je ne comprenais pas trop ce qu'elle racontait je voyais qu'elle n'était pas une pure américaine c'était sur, elle avait un accent plutôt frenchy, raison de plus pour l'aider, je détestais voir les étrangers perdus sans que personne ne viennent à leurs secours. De plus elle était fort charmante et tout le monde la remarquait avec ses cheveux roux brillant de milles feux. Nous avons fini dans la cafétéria de l'aéroport à bavarder autour d'un café et nous avons échangé quelques parties de notre vie. Je me souvenais qu'elle faisait des études de droit mais pas plus, sa remontait à un bout de temps et j'avais la mémoire qui flanchait par moment. Du peu que j'ai vu elle m'avait paru très adorable, intelligente une fille tout à fait normale et équilibrée.
Aujourd'hui était un beau jour pour prendre des couleurs, je me décidais donc à allait sur le terrain officiel d'harvard, personne n'y jouait, j'aurais la pelouse à moi tout seul, ou presque. Car en effet la jolie rousse s'y trouvait, quelques personnes avaient eu également la même idée que moi, mais vu la taille du terrain nous avions toute la place nécessaire pour garder notre intimité. Des filles discutaient tout au bout en cercle, des cheerleaders à mon avis, se trouvaient sur les gradins quelques intellos lisant des vieux bouquins, Juliette était elle sur le bord de la touche assise dans l'herbe, quelques affaires autour d'elle. J'hésitais à l'interrompre, mais sa me démangeait de savoir ce qu'elle faisait ici. Je m'avançais vers elle timidement, jusqu'a lui cachais le soleil et lui lançais " Juliette c'est bien toi ? Tu te souviens de moi, Ethan Barnes " lui demandais je. " On s'est rencontré à l'aéroport tu t'en rappelles ? " Si elle ne s'en rappelais pas je prendrais la honte de ma vie, mais quand même sa ne s'oublie pas ce genre de chose, discuté avec un inconnu pendant 2 bonnes heures. Je m'asseyais tout en continuant de la harceler pour m'incruster en douceur dans son espace. " Tu vas bien, j'ignorais totalement que tu étudiais ici c'est fou ! " m'exclamais je avant de me taire pour l'écouter me répondre.
Au début je ne comprenais pas trop ce qu'elle racontait je voyais qu'elle n'était pas une pure américaine c'était sur, elle avait un accent plutôt frenchy, raison de plus pour l'aider, je détestais voir les étrangers perdus sans que personne ne viennent à leurs secours. De plus elle était fort charmante et tout le monde la remarquait avec ses cheveux roux brillant de milles feux. Nous avons fini dans la cafétéria de l'aéroport à bavarder autour d'un café et nous avons échangé quelques parties de notre vie. Je me souvenais qu'elle faisait des études de droit mais pas plus, sa remontait à un bout de temps et j'avais la mémoire qui flanchait par moment. Du peu que j'ai vu elle m'avait paru très adorable, intelligente une fille tout à fait normale et équilibrée.
Aujourd'hui était un beau jour pour prendre des couleurs, je me décidais donc à allait sur le terrain officiel d'harvard, personne n'y jouait, j'aurais la pelouse à moi tout seul, ou presque. Car en effet la jolie rousse s'y trouvait, quelques personnes avaient eu également la même idée que moi, mais vu la taille du terrain nous avions toute la place nécessaire pour garder notre intimité. Des filles discutaient tout au bout en cercle, des cheerleaders à mon avis, se trouvaient sur les gradins quelques intellos lisant des vieux bouquins, Juliette était elle sur le bord de la touche assise dans l'herbe, quelques affaires autour d'elle. J'hésitais à l'interrompre, mais sa me démangeait de savoir ce qu'elle faisait ici. Je m'avançais vers elle timidement, jusqu'a lui cachais le soleil et lui lançais " Juliette c'est bien toi ? Tu te souviens de moi, Ethan Barnes " lui demandais je. " On s'est rencontré à l'aéroport tu t'en rappelles ? " Si elle ne s'en rappelais pas je prendrais la honte de ma vie, mais quand même sa ne s'oublie pas ce genre de chose, discuté avec un inconnu pendant 2 bonnes heures. Je m'asseyais tout en continuant de la harceler pour m'incruster en douceur dans son espace. " Tu vas bien, j'ignorais totalement que tu étudiais ici c'est fou ! " m'exclamais je avant de me taire pour l'écouter me répondre.
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Je commençais peu à peu à m'habituer à ma vie étudiante à Harvard, ça avait été un peu difficile au début, s'adapter à la langue, aux habitudes et au nouveau rythme scolaire. Mais finalement, j'avais rencontré des personnes particulièrement gentilles qui m'avaient bien accueillie et aider à trouver ma place. Je me sentais à présent totalement à l'aise, comme une vraie étudiante américaine. Avec le beau temps qui prenait doucement le pas sur le froid, j'avais décidé de me rendre au stade universitaire pour travailler un peu. Je savais qu'il était ouvert aux étudiants pendant la journée et comme il était immense, il y avait largement de la place pour travailler en silence tout en profitant du beau soleil. J'avais emmené quelques livres de théâtre pour réviser et de quoi peaufiner ma dissertation d'économie. Je n'étais pas particulièrement motivée à travailler, mais plus vite c'était fait, plus vite je pouvais profiter du reste de ma journée. En arrivant au stade, je m'installais sur l'herbe, près des bancs de touche et étalai mes affaires autour de moi. D'autres étudiants étaient présents, certains s'entraînaient, d'autres discutaient. C'était agréable d'être entourée tout en pouvant se concentrer sur son travail.
Je ne sais pas exactement combien de temps s'était écoulé depuis mon arrivée, mais quand d'un coup le soleil me fut caché par une ombre humaine, je pris cette intrusion comme une pause bien méritée. Je levais les yeux et croisai ceux de Ethan, un jeune homme que j'avais rencontrée à mon arrivée en Amérique, à l'aéroport. Il avait été le premier à qui j'avais parlé, ça ne s'oubliait pas ! Il se représenta, au cas où j'aurais oublié son nom et me rappela notre lieu de rencontre. Un grand sourire aux lèvres, je lui répondis :
"Salut Ethan ! Bien sûr que je me souviens de toi voyons !"
Nous avions discuté à l'aéroport près de deux heures, ce n'était pas rien. Et puis, il avait été particulièrement gentil et compréhensif avec moi, j'avais une mine affreuse ce jour là et mon langage n'était plus très compréhensible avec le décalage horaire et le manque de sommeil. Ethan s'installa à côté de moi, me laissant de nouveau apprécier le soleil. Toujours sourire aux lèvres, je répondis à sa seconde remarque.
"Oui, j'ai été muté en fait, c'est pour ça que je suis arrivée en plein milieu d'année. Je vais bien merci. Et toi alors, ça va ? Quel bon vent t’amènes au stade ?"
J'étais agréablement surprise de le croiser ici. Nous avions bien sympathiser à l'aéroport, mais quand nous nous étions quittés, nous n'avions échangé ni adresse ni numéro de téléphone. Alors le revoir aujourd'hui était peut-être un coup du destin.
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Ethan & Juliette
C'était une bonne chose de gagner, elle se souvenait de moi ! " Oui je vais bien, c'est une belle journée alors je me suis dit pourquoi pas flâner au stade, y'a pleins de jolies filles en plus " répondais je tout en rigolant, je n'étais pas sérieux et je ne voulais pas qu'elle croit que j'étais un de ces types cherchant à tout prix une fille différente tous les soirs. Car j'étais à l'opposé de cela. " Je pensais que l'on se reverrais jamais, on avait même pas échanger une adresse mail ni rien, comme quoi le hasard fait bien les choses te voila en face de moi à nouveau " Sa m'étonnais toujours à quel point j'étais poursuivi pas le hasard. Il m'arrivais toute sorte de choses improbables depuis que j'étais arrivé ici à Harvard.
" Alors tu fais quoi toi ici, je vois que tu as bien pris ton territoire " en effet elle avait étalé tout autour d'elle plein de feuilles, de bouquins, je sais pas comment elle s'y retrouvait mais cela n'avait pas l'air de la perturber. J'espérais ne pas l'avoir trop dérangé. Je poursuivais donc la discussion pour éviter les longs silence qui me mettais si mal à l'aise. " Maintenant que l'on sait que nous sommes sur le même campus, on peux échanger nos numéros ! je lui tendais alors mon blackberry "Ajoute ton numéro " je m'allongeais alors sur l'herbe face au soleil, Juliette me rendit mon portable doucement. Heureusement que j'avais mes lunettes de soleil car celui ci brillait énormément aujourd'hui, je passais mes mains derrière ma nuque en guise d'oreiller puis je restais la en sa compagnie, me dorant la pilule. " Comme quoi j'ai bien fait de venir, me voila en compagnie d'une charmante jeune fille " finissais je en riant. Je ne voulais pas qu'elle le prenne comme un compliment qu'un gars fait pour draguer une fille, non je le disais car je le pensais vraiment et que je n'avais aucune arrière pensée.
" Alors tu fais quoi toi ici, je vois que tu as bien pris ton territoire " en effet elle avait étalé tout autour d'elle plein de feuilles, de bouquins, je sais pas comment elle s'y retrouvait mais cela n'avait pas l'air de la perturber. J'espérais ne pas l'avoir trop dérangé. Je poursuivais donc la discussion pour éviter les longs silence qui me mettais si mal à l'aise. " Maintenant que l'on sait que nous sommes sur le même campus, on peux échanger nos numéros ! je lui tendais alors mon blackberry "Ajoute ton numéro " je m'allongeais alors sur l'herbe face au soleil, Juliette me rendit mon portable doucement. Heureusement que j'avais mes lunettes de soleil car celui ci brillait énormément aujourd'hui, je passais mes mains derrière ma nuque en guise d'oreiller puis je restais la en sa compagnie, me dorant la pilule. " Comme quoi j'ai bien fait de venir, me voila en compagnie d'une charmante jeune fille " finissais je en riant. Je ne voulais pas qu'elle le prenne comme un compliment qu'un gars fait pour draguer une fille, non je le disais car je le pensais vraiment et que je n'avais aucune arrière pensée.
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